Le narrateur a écrit:

Bastet avait décidée de faire un tour de son royaume, pour savoir ce qu'il lui restait après toutes ces péripétie: Anubis et Ba'al, les réplicateurs... tout était bien compliqué.

Elle avait envoyé des espions  voir sur place ce qu'il en était.
Divers rapports lui revinrent. Et pour tout envoyé ne revenant pas, elle décida d'envoyer ultérieurement des hatacks vérifier si le monde existait toujours et sous quelles conditions.

Un rapport lui parvint pour T'sonak.
Ce fut une jeune prêtresse de nom de Déliora'auk qui vint lui faire.
La planète située à la bordure du système solaire ou elle était installée.
La population était loin de tout, une de ces planètes oubliées car peu importante, nétait pas sur un chemin potentiel, ne possédant pas d’extraordinaires ressources qui aurait put motiver quelques goa'ulds, et puis n'oublions pas qu'il était sur le domaine de Bastet depuis que Râ le lui avait octroyé non pas comme une prison, mais c'était un peu le cas, enfin peut être qu'elle s'était enfermée toute seule allez savoir, mais là n'était pas la question.

La population ne croyait pas en sa mort, la déesse chat était éternelle après tout et elle sourit en se demandant combien de vie il lui restait encore.


Un mois plus tard, Bastet se rendit sur place, à bord de son Per-Râ, pour constater ce qu'il était devenu de T'sonak.

Quel ne fut pas le ravissement de la belle déesse de voir la nouvelle ville principale déjà occupée par la population surexcitée par le changement majeur qui avait été mis en place par les artisans. Certes, il restait encore des petits villages qui jalonnaient la planète, servant de relais pour l'agriculture: On y trouvait certes des coopérative avec tout le matériel et les saisonniers, mais leurs familles elles, femmes et enfants, se trouvaient majoritairement à Nap'tara: les femmes ayant dorénavant plus facilement accès à des travaux moins dur concernant la vente ou la gestion des stocks, postes auxquels elles surent se montrer redoutables dés le début. Les enfants, jaffa ou humains, quand à eux bénéficiaient dorénavant d'une meilleure éducation au temple de la ville.
Pour protéger efficacement la planète au nom de la belle déesse, une garnison se tenait a l'extérieure de la ville, plein Nord derrière son temple, et de nombreux miliciens et jaffas y seraient dorénavant formés par des jaffas loyaux que Mal’ken, le prima de Bastet, avait lui-même nommé ici.
A bord d'un Tel'tak d'apparat, Bastet découvrait avec plaisir la ville et toutes les améliorations apportées. Son peuple était content et croyait rêver : Leurs vieux vaisseaux leur avaient été confisqués et remis à neuf par un chantier que la déesse avait fait installer plus loin, à une centaine de kilomètres au Sud.
Grâce à cela, les voyages seraient plus rapides et le commerce n'en serait que plus efficace. Un système de liaison avait aussi été mis en place pour les urgences, par anneaux de transport bien entendu on pouvait transiter rapidement sur un vaisseau en orbite avant d'être de nouveau transféré sur la planète, mais cela était réservé aux seuls hauts dignitaires.
De hautes murailles encerclaient la grande ville, plus symboliques qu'autre chose, ne craignant pas vraiment d'attaques terrestres, mais dans le doute, quand même pourvu de hauts cannons sur tour, et de champs de forces classiques, pour protéger la ville efficacement d'hypothétiques attaques aérienne. Les villes de moindre importances bénéficiaient aussi de hautes murailles mais pour se protéger des tempêtes principalement, et des batteries anti-aérienne (cannon) classiques mais moindre y seraient installées.

Bastet se leva de son trône et alla jusqu’au pare-brise du tel’tak et leva la tête pour observer les vaisseaux en orbite haute qu'elle apercevait très légèrement dans l’ionosphère... .
Lors de son retour il y avait plus d’un mois sur la planète, sa flotte était venue en appui, mais avait finalement été inutile, les habitants n’ayant pas oublié leur grande déesse. Elle leur avait ordonné de rester en place, juste au cas où, mais dés que les premiers hatacks étaient sortis des chantiers, elle avait renvoyé sa flotte sur Bubastis.


Construction des hatack.
Bastet n’avais pas été là durant tout ce temps, laissant le soin à ses esclaves de créer eux même les hatacks selon les plans immémoriaux. Elle se dit alors qu’elle devrait peut réfléchir a un moyen de les améliorer et de les rendre plus résistants, car les temps avaient changés et les ennemis n’étaient plus les même : ils savaient se défendre, et elle savait que la course à l’armement était toujours le meilleurs choix, pour attaquer comme pour se défendre.
Elle ordonna de se poser au chantier, elle voulait voir de ses yeux comment avançait les travaux et par sa présence aussi elle savait qu’elle féliciterait les travailleurs. Elle visita le dernier hatack qui devait être finit sous peu : il ne restait que les finitions à mettre en place, et elle sourit en ayant l’impression d’être dans une ébauche de vaisseau. Tout en marchant tranquillement dans les couloirs vides, elle se dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas assisté à la construction d’un vaisseau. Sur Bubastis aussi le chantier était loin de sa résidence, mais il y avait longtemps, sous Râ, elle les voyait de la fenêtre de sa chambre et aimait a regarder ce spectacle : Voir l’ossature prendre forme puis, petit à petit, la coque extérieure tel un végétaux, semblait sortir du sol pour tout recouvrir. Cela la fascinait tellement qu’elle aurait put rester des heures ce spectacle. Ensuite, bien que extérieurement tout semblait finit, il n’en était rien : elle savait qu’alors les travailleurs grouillaient à l’intérieur, tels des parasites, et finissaient de donner vie aux vaisseaux, mettant en place les différents circuits électriques, installant les chaines d’assemblage des planeurs, mettant en place les panneaux décorés et agencent avec soin le pont pour que leur déesse se sente a l’aise.

Après qu’elle eut rencontré et félicité le chef du chantier, un homme très déférent, elle regagnât la capitale en utilisant les anneaux de transport et fit aussi le point avec les jaffas en poste dans les vaisseaux en orbite. Tant que le système de protection de l’espace autour de la planète ne serait pas mise en place, des jaffas se relaieraient pour prévenir et parer à toute attaque.

Bastet ayant enfin fit le tour de tout ce qui touchait a l’armement décida de rejoindre le temple de Nap'tara. Son arrivée non annoncée en ces lieux suscitât l’effervescence et cela l’amusa un peu, puis elle annonça qu’elle souhaitait se retirer quelques heures dans les nouveaux jardins. Elle alla s’installer dans un salon d’été très zen et en profita pour réfléchir tout en dégusta quelques mets locaux. Elle fit convoquer le haut prêtre du temple pour discuter avec lui des détails de la cérémonie qui allait avoir lieu a la tombée de la nuit.

Le soir même au temple....

Bastet ayant enfin fit le tour de tout ce qui touchait a l’armement décida de rejoindre le temple de Nap'tara. Son arrivée non annoncée en ces lieux suscitât l’effervescence et cela l’amusa un peu, puis elle annonça qu’elle souhaitait se retirer quelques heures dans les nouveaux jardins. Elle alla s’installer dans un salon d’été très zen et en profita pour réfléchir tout en dégusta quelques mets locaux. Elle fit convoquer le haut prêtre du temple pour discuter avec lui des détails de la cérémonie qui allait avoir lieu a la tombée de la nuit.

Bastet se délectait de l'agitation du régnait a présent dans le temple. Elle aimait les festivité, surtout en son honneur. Elle s'était entretenue avec le haut prêtre, enfin, elle avait parlée et il avait écouté sa déesse, car c'est comme ça que ça devait marcher. Bref, ce soir il y aurait fête dans la cité pour célébrer la présence de la déesse: spectacles de rue, musiciens, acrobates, danseuses, repas partagés... ce serait l'allégresse la plus totale. En prime elle avait acceptée d'honorer de sa présence une succession de prim'ta qui aurait lieu a la tombé de la nuit, et elle avait même l'intention d'en réaliser elle même car elle savait que son peuple n'en serait que plus fier, et qu'ainsi elle obtiendrais aussi des fanatiques.

Alors que le ciel se teintait de pourpre, son lot'har Dey vint la prévenir que ses appartement étaient prés a la recevoir pour la parer, et elle s'y rendit. Pendant que celui-ci ne l'habillait, elle se laissa faire. C'était toujours la même chose: se préparer, avoir l'air douce mais ferme, rencontrer le peuple, harangué la foule et servir un discourt qu'elle avait rodée depuis des millénaires et se faire passer pour une déesse encore et toujours. En fin de compte cette vie la laissait quelque peu: il n'y avait pas d'action, pas de nouveautés... pas d'intérêt. Elle se rendait bien compte qu'elle s'embourbait seule et ne voyait pas comment faire pour changer cela, ayant l'impression d'être tel un poisson hors de l'eau se débattant frénétiquement pour respirer. Mais elle se reprit, après tout elle avait un rôle a jouer, et elle se savait entrainé sur une vague qu'elle avait certes amorcé, mais qu'elle ne contrôlait plus: la croyance était de se genre, les gens avaient besoin de croire et elle se montrait une déesse bienveillante et bienfaisante mais juste et protectrice, il n’en fallait pas plus pour que son rôle ne lui appartienne plus.

Vêtue d'un costume aguichant donc Dey avait le secret et qui la mettait ses atouts en valeur sans être dégradant. Une brassière échancrée ou se mêlaient tissus, métal et pierre précieuse et une longue jupe taille basse fendue le longs de cuisse, avec ceintures et différent bibelots précieux a sa taille et dans ses cheveux: son image était travaillé et ne lui appartenait plus vraiment: elle était tel un produit , elle était ce que la foule attendait.

Une fois prête elle déambula dans le temple, flanquée de sa gardes personnelles de garde Horus, il n'y avait pas a dire, elle avait bien rodée ce spectacle, tout était calculé au millimètre prêt.
Quand vint la nuit, la tension fut a son maximum et elle sourit en coin, en se disant que le spectacle pouvait commencer.

Elle apparut en haut des marches du temple, et vit que de nombreuse table avait été installé sur l'esplanade du temple. Elle se sentit investit de son rôle de déesse et entama le discourt et la scénique, comme elle le devait.
L'esplanade était bondé et nombres de jeunes jaffa en age d'être implanté allait recevoir leur première larve ce soir, elle fit donc un longs discourt pour les motiver et leur expliqué qu'ils seraient dés aujourd'hui des êtres privilégiés bénéficiant de la toute confiances de leur déesse qui leur confiait ce soir, et a chacun la garde d'un de ses enfants.
L’émotion fut a son comble quand il pratiqua la première ouverture de poche, et avec tan de doigté que le jeune homme n'eut pas mal, même quand elle inséra la larve. Le choc passé, de nombreux prêtres arrivèrent et commencèrent alors a pratiquer des prim'ta, Bastet quand à elle fit signe aux guerrier aguerrit qui devait changer leur larves devenus presque adultes.
Après leur avoir fait un discourt ventant leur forces et mérites, elle effectua elle même le changement de larves, reprenant les goau'lds matures pour les rapporter sur Bubastis ou un grand lac les attendait.

Plus tard, la cérémonie finie Bastet présida un grand banquet donné en son honneur dans le temple, et savait que son prima participait a la fête hors des murs, et semais a droite a gauche des informations tendant a dire que l'armée de la déesse recrutait. Elle savait aussi que le lendemain, nombreux de jaffa se présenterais pour faire partis de ses troupes: des jeunes hommes voudraient apprendre a combattre, pour devenir virils, fort et combattre pour elle, et échapper ainsi aux travail des champs. Mais il y aurait aussi des hommes d'ages murs, et elle laissait le soins a Mal'ken de régler tout les détails en vue de la sélection de ceux qui pourraient les rejoindre: c'était bien d'avoir du nombre, mais il valait mieux avoir peu mais de qualité, que trop de mauvaise qualité.

La nuit fut longue,et la journée d’après aussi, mais Bastet ne se trompa pas: son prima passa la journée a chapeauter les inscription de jaffas dans leur rangs. Et ce fut que tard, qu'il vint lui annoncé que les sélections étaient finit et qu'ils avaient recruté 5.000 jaffas d'ages murs prêt a servir et qu'il avaient retenus 3.000 jeunes hommes prêt a apprendre a servir la grande déesse qu'elle était.
Elle le remerciât chaleureusement et lui promis des extras a son retour sur Bubastis. Elle lui annonça qu'elle rentrait donc, et qu'elle le laissait gérer le reste: Elle rentrerais par la porte des étoiles, et amènerais des jaffas avec elle, mais ils étaient nombreux, et elle lui dit alors de les affecté aux 4 hatacks qui seraient bientôt finis et serviraient a protéger cette planète et son domaine.

La ré-urbanisation de T'sonak était dorénavant achevée et la planète était protégée classiquement: 2 000 jaffas avaient été enrôlés par hatacks construit pour protéger la planète, et la population était tellement heureuse des remaniements, que leur ferveur n'en était que plus grande.

Bastet nomma alors un intendant sur place, qui serait son représentant sur T'sonak de sa puissance. Elle comptait mettre un goa'uls a la tête de la planète comme gouverneur, mais elle devait d'abord en choisir parmi ses enfants.
Il viendrait régulièrement lui faire des rapports. Il aurait la lourde tache de faire tourner l'économie de la planète, sans pour autant pressé la population, ou il le regretterait amèrement.
Depuis le temps, Bastet avait bien comprit que la peur n'était pas le seul moyen d'arriver a ses fins: des fanatiques bien trop heureux de faire plaisir a leur dieu et d'être récompensé était bien plus productifs, voir a outrance. Et le fanatisme, Bastet en jouait, pour arriver a ses fins, car elle avait crée en grande partie la religion goa'uld, lorsqu'elle avait comprit ce que cela pourrait leur apporter, mais elle n'était pas stupide, elle jouait un rôle, SON rôle de déesse a la perfection, bien qu'elle se sentait plus dirigeante d'entreprise que véritable déité: mais les humains et jaffas avaient besoin de croire, alors autant qu'ils croient en elle dans ce cas, au moins, elle en sortait grandie.