Mais c'est quoi cette plaisanterie encore ? Pourquoi l'armée de l'air se déplace jusqu'en Écosse pour venir chercher William ? Toutes ces questions trouveront une réponse, du moins il l'espère. Il regarda les deux hommes et soupirant regardant par la fenêtre leur annonçant qu'il aller avec eux et accepter la mission. Il quitta la pièce avec eux et alla voir ses vieux parents et leur explique que l'armée de l'air a besoin de lui pour une mission particulière. Sa mère fut contente de cette nouvelle et lui souhaita bonne chance. Son père en fit de même lui souhaitant de les rendre fiers. Ceci fait, William alla faire ses affaires et emportant le plus important le whisky écossais. Finalement, il suivit les militaires en voiture jusqu'à l'Aéroport d'Édimbourg.

William monta dans l'avion de l'USAF posant un dernier regard sur l'Écosse et alla s'asseoir sur un fauteuil en face des deux militaires. Il les observa un moment et sourit leur demandant finalement a quoi rime toute cette histoire. L'un des militaires ne répondit même pas et se contenta de tourner la tête et l'autre répondit qu'il ne pouvait rien expliquer pour le moment et que c'est le général O'Neill qui lui dira tout. William souffla et régla son fauteuil sur la position allongé et leur souhaita de se détendre un peu puisqu'il y a au moins 14h30 de trajet d'avion jusqu'à Colorado Spring.

Une fois le voyage terminé à 08H00, William se réveilla et ils se dirigèrent vers une voiture militaire qui les emmenèrent enfin à Cheyenne Mountain. L'un des deux militaires contacta la base du SGC en disant qu'ils arrivent avec William et de prévenir le général. La voiture s'arrêta devant le barrage de contrôle et un des gardes donna un badge d'accès à William lui expliquant les mesures de sécurité :

Les deux militaires eurent un rictus léger suite à la remarque de William et ils entrèrent dans la base. Le sniper fut impressionné par l'installation. Le meilleur restait à venir. Ils prirent l'ascenseur en direction des dortoirs demandant à William de se mettre en tenue pour son entretient avec le général. Il expliqua que ses affaires militaires sont déjà prêtes sur son lit et que son sniper est à l'armurerie ainsi que son couteau militaire :

William ricanant et finit par rire. Il se dirigea enfin vers les dortoirs et trouva son lit avec toutes ses affaires dessus. Il les regarda et ouvrit la boite avec la silver star dedans. Il songea à ce qu'il avait fait pour l'avoir et la remit dans sa boite. Finalement, il mit son uniforme qui lui aller toujours par un miracle inexpliqué. Il sourit et mit les écussons de la base et une fois prêt sortit des dortoirs et suivit les militaires directions le bureau du général.

Arrivé à son bureau, William attendit le signal du général pour entrer dans son bureau et enfin savoir ce que signifie toute cette histoire.

William se leva lorsqu'il entendit un colonel se présenter à la place du général O'Neill. Un certain colonel Beredford. Il l'écouta parler et dit que le général est au Pentagone et de l'en excuser. William sourit légèrement plus curieux de savoir ce qu'ils attendent de lui plutôt que les présentations qui durent dix ans. Le Sergent continua à l'écoute parle et lui annonça qu'il avait été sélectionné grâce a sa précision au sniper et lui demanda l'arme et les munitions qu'il utilise. William se sentit quand même fier d'entendre qu'il est reconnu en tant que très bon sniper par la hiérarchie. Malgré qu'il n'est plus touché à une arme depuis plus de cinq ans, il lui répondit fièrement, mais en restant humble :

William resta droit et regarda son colonel dans les yeux et finit par lui poser les questions qui le tiraille depuis que les militaires sont venus en personne le chercher en Écosse le sortir de sa ''retraite''. Après tout, il mérite quand même quelques explications claires s'il doit être au meilleur de sa forme :

William attendit les réponses tant attendues par William.

Le colonel ne répondit pas vraiment à la question de William. Il soupira et le laissa expliquer la mission. Une simple mission d'escorte d'une archéologue. Ça ne devrait pas poser de problèmes majeurs pour le sniper. Une mission aussi simple était le quotidien de William pendant la guerre du Golfe et ses entraînements. Après tout, 1200 mètres sont une distance plus que raisonnable pour le talent de William. Il observa le colonel qui ne lui donna pas plus de détails de la mission comme l'emplacement, la personne qu'il doit protéger et surtout la cible. Aimant les surprises de façon très modérée, il n'appréciait pas vraiment les mystères que faisait le colonel Beredfort au sujet de la mission et de cet endroit :

William sourit et se craqua les doigts impatients de reprendre du service ignorant totalement ce qui aller lui tomber dessus :

William se mit au garde a vous attendant le signal de Beredford.