Dans une pièce sombre, ou ne filtre qu'un trait fin de lumière faisant brillé une dalle grise du sol été accroché un homme.
Habillé d'une tunique marron et d'une ceinture beige, l'homme toussé.
Dans l'ombre sortis un déesse, vétus d'or, de bracelet et collier en tout genre, le tissu léger laissé passait la vu de son coprs.
- Alors....Alors....Alors......Qui t'envoie ici? Qui est ton maître? Qu'elle ordre avait tu? Posais-je calmement, j'adore voir la peur dans leurs yeux, surtout au mâle.
Je suis vraiment désolé...... je pourrais abrégé tes souffrances si tu me donne les réponses à mes questions..... Je n'ai pas de sarcophage pour te refaire vivre, donc je suis triste de t'annoncer que tu devras mourir. Mais à toi de choisir la vitesse.....Oui, bien sur je suis gentil je te laisse le choix.Dit-elle dans un rire à vous refroidir le sang.
L'homme était en mauvais état, il lui manquait plusieurs doigt aux mains. Les dalles dessous ses jambes était de couleur rouges foncé à cause du sang coagulé.
Je pris une lame que je trouve magnifique par son aspect esthétique. D'un geste vif, j'entailla la joue de l'humain qui se mis à hurlé à la mort.
Mon sourire grandi en béatitude. J'aime ce sont d'agonie...je le trouve mélodieux...tellement entrainant.
Je prit mon temps pour le faire parler à ma façon.
Il ma permis de jouer assez longtemps. J'ai pu prendre assez de plaisir à l'écouter me raconter son histoire. Vers la fin, par contre je commençais à m'ennuyer, qu'en la douleur assomme dans des petits coma, le temps deviens un peu plus long, et moins amusant.
Les derniers soubresaut de ma victime commençait à ralentir et la cadence de sa cage thoracique à ralentir, les derniers instants sont extraordinairement beau, les lames se fond rare, la respiration et plus en a coup et le regard dans les yeux devient livide. Tellement beau, c'est mon moment préféré.....
Une fois sortie des geôles, je me dirigea vers le centre du village. Hazrim un des jaffas me voyant arriver, se redressa et se dirigea vers moi d'un regard de vénération.
- Déesse à t-il parlait?
Paff! Frappais-je brusquement à la figure mon Jaffa.
-Ose tu insinuer que ta déesse n'a pas de pouvoir envers les vies des autres simples humain. Grondais-je.
Le jaffa se baissa avec un genoux à taire et dit tout haut:
- Maitresse! Non ma déesse! Pardonnez moi d'avoir mal formulé ma demande.
- Va nettoyer le cadavre dépêche toi avant que.....
Maintenant, après ce moment de satisfaction à frapper un de mes hommes, je dois aller faire du commerce. Je dois refaire ma flotte et cela demande beaucoup de moyen.