Raymond "Red" Reddington

Nom Prénom
• Nom* : Reddington
• Prénoms* : Hannibal Abraham
• Surnoms : La grande majorité des gens l’appellent "Red" ou bien Monsieur Reddington. Certains l'appelle le "Ripper", à cause de sa manière de torturer avec un couteau.
• Sexe* : Masculin
• Age/Date de naissance* : Il a 58 ans, il est donc née en 1948.
• Groupe : Civil ou Autre
• Grade (Uniquement pour les militaires): Ex Colonel
• Quelle galaxie rejoignez vous : Voie Lactée ou Pégase?*: VL
L'affectation pour les militaires: SGC ou Stargate Atlantis)

Mon apparence

Raymond Reddington est un homme fier et hautain. Mais il est avant tout un homme d'affaire respectable dans le milieu du crime. C'est pour cette raison que vous le verrez toujours habillé de façon élégante. Red est pourvu la plupart du temps d'un chapeau noir qu'il arbore fièrement sur le sommet de son crâne. La majorité du temps, il porte de magnifiques costumes ou des gilets surplomber par un veste noire hors de prix. Raymond est chauve, ou du moins partiellement puisqu'il possède encore quelques cheveux à l'arrière de son crâne. Malgré son âge, il est plutôt bien bâti, bien qu'il ait prit quelques kilos avec l'âge. Bien qu'il ne soit pas retourner sur Terre depuis bien des années, il fait venir des marchandises par contrebande, notamment des vêtements qu'il arbore fièrement. Mais aussi des armes, comme le berreta qu'il porte toujours sous sa veste.

Ma personnalité

Avant toutes choses, Reddington est un homme d'affaire implacable et intraitable. C'est quelqu'un de fort intelligent, possédant une finesse de l'esprit rare pour sa race. Red observe les expressions, les mimiques ainsi que les traits du visage pour savoir ce que vous ressentez. C'est quelqu'un qui a le plus souvent un coup d'avance sur les autres, et c'est pour cette raison qu'il est encore en vie aujourd'hui, malgré tout ce qu'il sait. Lorsqu'un client s'adresse à lui, il sait par sa réputation que Reddington n'a qu'une parole et qu'il ne la brise jamais. Reddington collectionne les secrets et s'en sert afin d'obtenir ce qu'il veut, quand il le veut. Mais ça lui procure aussi une certaine immunité, car ses ennemis pourraient rapidement voir leurs pires secrets révélé aux yeux de l'Univers.

En revanche, ce que personne ne sait, c'est pourquoi fait-il ça ? Reddington a passé toutes ces années à travailler s’arrache pied pour une seule raison : Assurer la sécurité de la Terre. Le SGC n'est pas infaillible et viendra un jour où il échouera. Seulement, toutes opérations à l'encontre de son monde finira très certainement à ses oreilles, lui laissant le temps de prévenir ses "amis".

Mon histoire

Octobre 1948, au sud du Colorado.

C'est à cette date, dans un charmant petit hôpital, d'une petite ville bourgeoise, que j'ai vu pour la première fois le doux visage de ma mère. Issu d'une famille datant de l'ancienne noblesse anglaise, on me répéta durant toute mon enfance que j'étais quelqu'un hors du commun, spécial, avec pour destin de reprendre le business familial. Classique. Mon père était un avocat véreux, principalement reconnu dans le milieu du crime. Ma mère, elle, était une femme au foyer veillant à l'éducation de ses deux petits enfants uniques. A ses yeux, ma petite sœur et moi, nous étions tout et, je dois reconnaître, que j'ai toujours eu ce que je voulais durant mon enfance.

Ma mère est d'origine italienne, alors que mon père est un pur sang anglais. C'est l'ironie de l'amour, peut être, qui poussa mon père à briser cette tradition familiale, datant de plusieurs générations. Ma mère, elle, a étonnamment des origines Carthaginoises … c'est du moins ce qu'elle affirme, comment en être certain ? Mais c'est que de là que vint mon prénom : Hannibal. Pour ceux qui n'ont pas reçu une éducation à mon image, Hannibal Barca fut l'un des générales les plus émérites de Carthage. Ce grand homme naquit en 247 av. J.-C et mourut (par suicide) entre 183 et 181 av. J.-C. en Bithynie (près de l’actuelle Bursa en Turquie). Cet héro représenta Carthage lors de Deuxième guerre punique, que l'ont surnomma la guerre d'Hannibal. Guerre qu'il perdit avant d'être condamné à l'exil pour survivre à la colère de Rome. Finalement, il finit par se donner la mort. Néanmoins, je vous épargnerai d'un cours d'histoire sans réel importance.

Mon deuxième nom dut choisi par mon père. Ce fut Abraham, un nom qu'aujourd'hui j'ai oublié, puisqu'il représente la justice et la liberté. Ironique venant d'un avocat mafieux, non ? Si il fut un temps où j'étais fier de m'appeler Abraham, porter le nom de celui qui a aboli l'esclavage peut sembler contradictoire avec mes convictions personnelles. Mais laissez-moi me présenter noblement : « Hannibal Abraham Reddington ». Mais mes amis préférèrent m'appeler « Red », un nom plus simple à prononcer et à retenir. Mon rêve a toujours été de suivre les traces de mon père, que je voyais à l'époque comme l'un des plus grands juristes de notre temps. Quoique ... es-ce que je savais à l'époque ce qu'était un juriste ? C'était un héro qui sauvait des vies, qui permettait à des gens d'échapper à la peine de mort ou la prison à vie. Des gens qui, d'après mon père, étaient accusés à tord par le gouvernement qui n'acceptait pas le profit et l'élévation de sa condition sociale. C'était décidé, je deviendrai un juriste à l'image de mon père. Afin qu'il soit fier de moi, je travaillais sans relâche car, comme il disait à juste titre, dans la vie, on réussit que si on le mérite. Les États Unis t'apporteront tout ce que tu veux, à condition que tu travailles dur pour l'avoir. Une mentalité qui s’avéra juste, même dans ma nouvelle profession. J'avais douze ans et mon père était un héro.

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Avril 1963, United States Air Force Academy au Colorado.

Mon père fut absent le jour de mes 15 ans, c'était la première fois qu'il n'était pas présent le soir de mon anniversaire. Puis à une heure tardive, des gens sonnèrent à la porte d'entrée. Deux agents du gouvernements nous annoncèrent la sombre nouvelle : mon père venait d'être arrêté pour entrave à la justice, trahison et association avec des malfaiteurs. La sentence ? Il fut condamné à la prison à vie. Plus jamais je ne le vis, à mes yeux, il n'était plus rien. Désireux de protéger ma petite sœur et mon pays, je renia le droit et entra à l'école de Colorado Springs : l'USAFA : United States Air Force Academy à l'âge de 17 ans. Un an après, tout comme ce grand général Carthaginois, ma mère se donna la mort. Ironique n'es-ce pas ? Ma formation dura près de quatre ans, jusqu'à ce que j'obtienne mon diplôme de Second Lieutenant. Quand à ma sœur, elle poursuivit ses études pour devenir avocate. Contrairement à mon père, elle voulait mettre les malfrats en prison. J'avais 21 ans et j'étais prêt à défendre ma patrie. Mon père n'était plus rien à mes yeux. Juste un lointain souvenir, mais sans jamais me souvenir de qui il s'agit. Un effet de la honte, probablement. La Honte d'avoir voulut lui ressembler. A mes yeux, nous étions différents ... je ne m'étais jamais autant trompé.

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Novembre 1970, Base d'Opération, Vietnam

Mes instructeurs me prêtèrent rapidement un avenir dans le renseignement militaire. C'était, toujours d'après eux, des qualités plutôt rares, mais très utiles. J'étais assez bon orateur, et j'aimais trouver ce que les autres essayaient de me cacher. Malheureusement, je ne savais pas encore ce qu'on allait attendre de moi ...

La guerre du Vietnam fut la première guerre dans laquelle les diplômés de l'Académie de L'USAFA se sont battus et sont morts. Une guerre aussi terrible qu’inhumaine. Tout droit sortit de la promotion de 1970, je fus envoyé au front pendant cinq ans. En temps de guerre, certaines mesures étaient prises et ma formation fut écourté de cinq mois. Mais j'étais un bleu, les officiers supérieurs ne me faisaient pas vraiment confiance, donc j'étais souvent nommé responsable des corvées. Je viellai à ce que les recrues fassent leur boulot. Rien d'extraordinaire quoi. Quelques semaines plus tard, j'avais enfin acquis le respect de mon responsable. Je fus muté aux centres de communications. Mon travail était simple : Intercepter des communications et des ordres ennemis. Une tâche que j'effectuai soit à la base, soit dans des postes avancés ou même en territoire allié. Enfin pour finir, on m’intégra à l'unité d'extradition. Un an s'était déjà passé.

Et j'eus enfin ma première, vraie, mission. Je n'ose même pas vous dire à quel point j'étais excité d’œuvrer pour mon pays, du moins là, pour ses intérêts. J'étais la charge d'un Capitaine. Un homme assez con, il faut bien le dire, mais droit et juste. Ensemble, nous partîmes en jeep jusqu'à un avant-poste très, trop même, avancé. Nous arrivâmes assez tôt, il faisait soleil. Bref, un trop beau jour pour mourir. Nous devions récupérer un officier ennemi et le ramener à la base. C'est l'ordre qu'on me transmit, en tout cas. Quoiqu'il en soit, on venait à peine d'arriver sur site, qu'un bombardement eut lieu. Même aujourd'hui, j'ignore comment ils ont eu notre emplacement, mais mon Capitaine n'en ressortit pas vivant. Ce fut une hécatombe, très peu de survivants, même si le prisonnier était heureusement indemne. Moi, j'étais blessé à l'épaule, mais rien de critique. Des citoyens américains étaient morts pour le pays et ce "chien", ricanait alors qu'on ramassait nos morts. Les communistes, ou ses partisans, étaient probablement en route pour nous achever. Je pris la décision d'emmener le prisonnier, et l'officier en charge de l'avant-poste en ordonna l'abandon. De toute manière, ils étaient incapables de défendre cette position, notre mission était de ramener cet homme sain et sauf. La chose que je désirai le plus au monde, ce fut d'éliminer cette vermine qui nous provoquait. Mais les ordres étaient les ordres et nous rentrâmes à la base, sans accro. Le paquet était livré.

Les missions de ce style se succédèrent pendant environ un an. Ce fut toujours dans notre zone d'influence, donc relativement en sécurité. Je faisais mon travail et mon supérieur me recommanda au grade de Première Lieutenant. Ce fut un grand moment de fierté.

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Novembre 1972, Bataille d'An Lôc, Vietnam

Les festivités, se soûler avec les copains lors de nos jours de permissions, prirent fin assez rapidement. Un soir, on m'annonça que j'allais enfin faire mes preuves et déterminer ma valeur. La mission était très simple, pénétrer un camp que nous savions peu défendu avec un commando, récupérer un officier ennemi et le ramener. Si ce dernier but s'annonçait impossible, nous devions le faire parler. Mission difficile et risqué. Le lendemain, on me parachuta avec un commando sur site, en périphérie, de nuit et suffisamment bas pour qu'on ne puisse pas être repéré par des radars.

J'étais le second du Major Taylor, officier responsable de notre commando. Un homme assez sévère mais que je respectais énormément.

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Mise à jour de la fiche
Partie post-validation.

Comme tout le monde, votre personnage vit et donc évolue, change. Cette partie vous permettra de faire évoluer sa fiche au fil de son évolution dans le jeu.
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