Je croisa Mélanie dans le couloirs, elle avais l'air pale, et elle sortie de l'infirmerie, je lui rendit son salut, avec le sourire, et une fois qu'elle eu passer l'angle, j’entrai dans l'infirmerie, allant voir le dos et lui demanda le pourquoi du comment, je du insister un peut, afin de découvrir qu'elle avais de l’asthme, je remercia le doc et sortit a sa recherche, il fallait que je lui parle, je la chercha donc suivant la direction qu'elle avais prise quand on c'etait croiser.

je ne tarda pas a la trouver sur un balcon, je souris; elle prenait l'air, elle avais raison, sa lui ferai du bien, elle était de dos, mais je m’immobilisa en voyant un panache de fumer apparaitre, je vis rouge sur le coup, j’avançai a pas rapide et arriva a sa hauteur, regardant ses lèvres, se qui me confirma se a quoi je songeai.

Elle fumais, je connaissait l'effet de ce machin ignoble qui pue, vous détruit la santés, et vous donne une halène de Trikal, sans prévenir j’attrapai la cigarette et la jeta dans la mer du balcon, la regardant avec des yeux furieux, et je ne pu me contenir de parler, le ton n'etait des hurlement hystérique, je parlait calmement, mais on sentait bien dans mes mots ma colère évidente.

Bon, je sait, tu a surement pas apprécier se que je vien de faire, mais voie tu, je sort de l'infirmerie et je sait, a quoi tu joue?

Elle proteste en plus, mais c'est pas vrais,, mais par respect pour elle je l’écoute jusque au bout, un beau ramassis de foutaise a mon avis, et je vais pas tarder a lui faire savoir, elle n'a pas a foutre sa vie en l'air pour se genre de connerie, pas du tout, surtout avec se que je voulait lui demander depuis un moment, et que je doit lui demander normalement plus tard, je soupire en entendant la fin, mais comme elle sembla avoir autre chose a ajouter, je l'ecoute, elle ose me demander si elle doit arreter, et de plus elle me dit que c'est trop dur, je soupire de nouveau, bien plus fort.

Bien, tu a fini, alors a mon tour, et je te préviens je vais pas prendre de gants, si j'en tire les bonnes conclusion, tu fume pour t’intégrer a un groupe, se qui de mon point de vue est la débilitée ultime, tu te dit nulle en tant que scientifique, je ne suis pas dans ce domaine certes, mais je doute que si on t'ai intégrer a cette équipe, se soit le cas véritable, DE PLUS, si tu voulait vraiment y rester, tu aurai du me le dire avant la mission que l'on a fait ensemble, je t'aurai pas sauver du dart, sa t'aurai peut etre soulager comme sa de te faire bouffer par un wraith.

je respire un peut, je sait très bien que j'ai dit sa pour la choquer, par car je l'aurai fait, mais j'ai toujours ne tête la suite de se qu'elle a dit, sur le fait d’arrêter.

et oui tu vas arrêter, et TOUT DE SUITE! ne pas pouvoir arrêter, on dit sa pour se trouver une excuse, tu est une amie alors je t'aiderai, a baffe dans la tronche si il le faut, je tiens pas a devoir participer a tes funérailles a cause d'une débilitée comme celle la, surtout avec se que je veut te demander.

Je soupire, il faut que je lui apporte un cas concret, un exemple qui fait reflechir, quelque chose de choquant, quelque chose de violent, et j'ai une idée, une bonne idée, un bon exemple qui pourrai se présenter facilement.

Bien, petit exemple, continue de fumer, tes crises d’asthme vont s’amplifier et devenir de plus ne plus violente et fréquente, un jour tu en fera une isolée, une très violente, tu n'aura pas ton traitement ni une personne pour aller ne chercher rapidement, et je te promet que tu vas y rester, en souffrant, c'est se que tu veut, alors tu vas me faire le plaisir de gerter se qu'il te reste de cigarette, mange des pommes a la place, dé que tu a envie de fumer.

je la regarde droit dans les yeux, un regard félin inflexible, qui ne cèdera pas et lui collera une baffe pour la faire reflechir si il le faut, elle doit aussi un peut se demander se que je veut lui proposer autre que l’engueulade, et pour sa, je vais surement la prendre en otage, pas vraiment le choix mais sa pourai la motiver, car il faut dire, que sa sera pas mal comme événement, il se pourrai que sa surprenne pas mal de monde.

Visiblement elle a comprit, elle ouvre les bras pour un câlin et j'avance pour la serrer dans mes bras, je ronronne un peut, doucement, la tête sur son épaule, elle dit qu'elle veut les donner, bon réflexe, sa semble plus senser que les detruire c'est vrais, elle me demande aussi si elle mérite que l'on s'inqueitte pour elle, j'ai envie de rire, si elle savais, et puis tiens, je vais lui donner trois bonnes raisons moi de rester vivante.

Et bien tu sait, je suis censée attendre un peut, mais je vais te demander un truc.

en fait deux truc, mais bon, sa n'a pas d'importance, pourquoi elle me demande si sa vaut le coup alors qu'elle est mon amie? étrange, elle ne semble pas comprendre qu'elle est mon amie, bon, passons a la révélation.

Bien, comme tu le sait, tu est ma mailleur amie, apres tout, les mission sa tisse des lien d’amitiés, et, j'ai une chose, très importante pour moi a te demander, vraiment très importante.

Je lui fait un sourire amical, comment je suis sensée dire sa? je veut pas lui faire faire une crise, car sa pourrai bien la stresser a mort se que je m’apprête a lui révéler, j'ai un peut peur a vrais dire, mais bon, il le faut.

Mélanie, je doit te demander, veut tu être ma témoin et ma demoiselle d’honneur?

Voila c'est dit, il ne me reste plus qu'a attendre sa réaction, j'espère vraiment qu'elle vas être d'accord, j'espère qu'elle vas pas faire de crise d'asthme dans mles bras, bien que je sache comment réagir, mais avec l’émotion des fois ...

Alors que je tenait Mélanie dans mes bras, et lui annonça la nouvelle, elle recula soudainement, elle paraissait choquée, comme, si elle était, en colère, cependant, son ton n'était pas franc, elle feintais, elle voulait me faire croire, et finalement, elle se mit a rire, je ria avec elle, m'avoir comme sa est difficile, mon instinct me dit bien souvent quand les gents me mentent, le lui souri elle est d'accord, sa me soulage un peut, décidément, les mariages de leur monde est plus complexe que chez moi, mais c'est plaisant, et je sait que j'ai fait le bon choix, elle me demande un autre calin, je la prend dans mes bras en ronronnant, elle lui dit aussi qu'elle m'adore, se qui est parfaitement réciproque.

Moi aussi je t'adore, faut dire qu'on a un bon contact, que l'on se sent bien l'une avec l'autre, et qui sait, peut être que tu aimerai aussi en savoir plus sur ma race maternelle, étant une scientifique, sa m’étonnerai pas du tout.

Je lui fait un grand sourire, j'espère vraiment qu'elle vas arrêter de fumer, c'est vital pour elle, mais il semblerai que je me sois montrée convaincante, avec son asthme, c'est vraiment hyper dangereux, je ne voudrai pas la perdre, je n'arriverai pas a m'en remettre, enfin, je parle de danger de santés, mais a chaque fois que je passe la porte, je risque ma vie aussi, c'est différent et similaire a la fois.

Mélanie est définitivement une personne bien, amicale franche et attentionnée a se que je voie, elle voulait en savoir plus sur ma race maternelle, se que je comprenait parfaitement, et je vais donc éclairer deux trois lanternes comme elle dit, je lui souri quand elle me lache, par contre je ne comprit pas l’allusion au saucisson, surement une expression de son monde.

Bien, les félinéïdes sont une race de grand félin humanoïde, en fait ils me ressemblent, mais on une fourrure intégrale, moi par mon croisement je n'ai que quelques bandes sur le corps, se qui pour un croisement moitier moitier est déjà pas mal, les félineïdes on, longtemps été considérer comme une race, primitive ou inférieur, se qui rapidement leur a valu le statut d'esclave, une periode fort peut amusante, ou la fédération Alkan n’était pas encore celle de nos jours, plus juste et, je dirait, intelligente, cependant, ma race maternelle possède de grand talent, une force, agilité, équilibre, vitesse, sensation supérieur a celle des humains, en plus d'avoir le don de la nyctalopie, se qui est il faut le dire, parfois bien pratique, nous vivions a la base sur une planète reculée, tempérée, un peut comme on m'a décrit la terre, ...

Je continua ainsi, donnant des détail parfois insignifiant, mais j'en donna un d'importance, les cheveux long, qui chez les notre, est un signe de libertés, même a l'armée nous pouvons les garder long, personne ne pourra nous enlever notre signe si précieux, je lui expliqua diverses coutumes, anciennes et actuelles, pour finalement finir par les divers croisement inter espèce possible avec les félinéïdes et pour conclure, je lui souri.

Sa va? j'ai pas trop charger?

je ne voulait pas la submergée par le discours, la pauvre, elle aura surement du mal a s'y retrouver.