Drié’do vit Séléna se lever de la banquette et se rapprocher du lit. Sa phrase concernant la sécurité de la couche était superflue. Il avait très bien compris se qu’elle désirait. En la regardant, il appréciait le teint dorée de sa peau, la chaleur qui s’en dégagé. Elle paraissait si vivante par rapport aux ghoules qu’il côtoyait.

Il se déplaça si doucement qu’elle ne le sentit pas arriver derrière elle. Il passa ses mains froides sur les épaules de la Goa’uld afin d’accéder à l’épingle qui retenait la cape. Il vit la peau ambré se transformé sous l’effet de la chair de poule apparaissant dans le cou. Il savait ce qu’il provoquait en elle. L’épingle défaite, la cape glissa au sol, il retira une des main et de la seconde il commença à détacher le fermoir de la robe situé dans la nuque. Le froid continuait à la faire frissonner, mais n’était pas désagréable. Et sa robe suivi le même chemin que la cape.

Juste quand elle commença à ce détendre, son corps parcouru par le léger frissons, Drié’do empoigna la chevelure le Sélèna de sa main gauche et l’obligea à dégager son cou, puis elle sentit un point de douce chaleur et légèrement humide. La force utilisé était contrôlé pour être juste violent mais pas faire mal. Sa main droite se posa sur le sein gauche et le froid fit pointé les tétons. Le froid était doux amer. Il continuait a déposé des baisé dans la zone érogène du cou et sa main commença a devenir plus pressente sur le sein, puis il relâcha la pression et recommença. Au bout d’une trentaine de seconde il fit glissé la main et prit le téton entre son pouce et son index et se mis à le faire rouler de droite à gauche, de gauche à droite et ainsi de suite jusqu'à ce que le souffle de Sélèna change. il relâcha enfin la pression sur les cheveux et libéra sa main gauche, d’un mouvement vif il sorti sa lame de son dos et la fis glisser le long de la hanche du bas vers le haut. Le tranchant étant tellement aiguisé que la ficelle gauche de string de Sélèna fut coupé, il ne tenait que par le tonus du fessier de ce sublime corps.


Déesse laissez moi, la possibilité de vous amener dans un autre espace où le plaisir est roi. Abandonnez vous à moi et vous ne serez pas déçue.

Il remonta lentement la lame au niveau des seins et lui fit changer de main et rapidement la redescendit sur la hanche droite afin de couper le deuxième lien.
Le son du métal du stylet percutant le sol distrayant les pensés de Séléna, qu’elle ne put réagir lorsqu’elle Drié’do la poussé vers le lit d’une poussé dans le dos. Elle se retrouva allongé sur le lit à plat ventre.

Drié’do regarda la sublime créature qui s’offrait à lui. Il fit tomber sa veste et entama de délasser sa chemise. Le torse laiteux montrait des muscles bien dessiné. Il défit la ceinture de ses chausses et le laissa glisser au sol. Il avança vers le lit et se pencha sur Séléna.

Il s'appuya sur son bras droit et vint poser ses lèvres sur celle de la goa’uld. Sa main gauche parcouru le long de la jambe afin de remonter sur le ventre et finir sur le sein gauche. Ses doigts commencèrent à presser le mamelon. Leurs lèvres se décolèrent, sa bouche vient lécher le sein droit. Il mordilla le téton et ensuite goba le mamelon. La succion augmenta le plaisir de Séléna. Elle ne put dire quand le taux d’humidité entre ses cuisses avait drastiquement augmenté. Elle senti une main froide se posé sur son entrejambe et un doigt vient geler son clitoris, mais pour mieux le réchauffer. Elle sentit la langue de Drié’do faire des vas et viens, et en même tant exercer un légère aspiration. Le plaisir continuait de faire sa progression. Elle senti alors Drié’do la pénétrer et prendre un rythme lent, de manière à ce qu’elle s’habitue à lui. Dés qu’elle montra les premiers signent de gémissement, il accéléra le rythme afin de l’amener au paroxysme. Son corps se contracta et s'effondra. Il lui laissa quelque seconde de répit avant de s’approcher d’elle et de déposer un baisé dans le cou.

Il se redressa et sorti du lit.

Bastet regarda l’intérieur de la tente en soupirant et alla s’installer sur le bord du lit. Gé’rar s’approcha et viens s’installer en face d’elle, glissa ses mains sur les épaules de Bastet venant masser sa nuque en l’observant.

-" Que puis-je faire pour vous être utile ma reine ?"

Bastet ronronna en laissant sa tête dodeliner jusqu’à sentir le torse épais de Gé’rar contre son front. Est-ce qu’elle se laissait faire ? Elle se laisserait bien tenter, laisser Gé’rar continuer son massage, le laisser descendre sa robe et l’occuper, l’amuser jusqu’à ce que le mariage débute, mais elle était moyennement chaude pour cela. Pas que cela ne l’amuserait pas, loin de là, mais elle voulait que Gér’ar puisse récupérer des informations…

-"Tu veux m’être utile ? Alors récupère-moi des informations sur cette satané cours grecque !"

Elle le regarda alors qu’il s’éloignait d’elle de quelques pas. Elle posa ses mains sur le lit autour d’elle et lui sourit en penchant la tête et leva une jambe jusqu’à poser son talon contre lui. Il l’observa et rattrapa sa jambe, la massant délicatement sentant qu’il avait le droit.

-" Et …si tu es sage, promis : je te récompenserais… comme… il… se… doit."

Un sous-entendu ? Une réalité il le savait, et il ne pouvait nier qu’il avait bien envie de pouvoir avoir accès à sa peau, duce-t-elle être brutale il le voulait. Il hocha imperceptiblement la tête en signe d’accord. Oui, elle était plus petite que lui, et si fine, gracieuse, mais elle était tout sauf fragile, elle était aussi forte que lui (vive les goa !) et savait très bien se battre, se défendre seule et était un véritable démon au combat… Une Lionne aurait mieux correspondu à la belle qu’un chat.
Elle haussa un sourcil d’un air entendu et libéra son pied. Gérar laissa son regard glisser sur elle en hochant la tête avant de se diriger vers l’entrée.
Gé’rar sortit et… réapparut moins de 3minutes plus tard ce qui la fit hausser un sourcil d’un air septique et mécontente, mais à voir son air contrit, ce ne tenait pas de son ressort à lui.


-"Un serviteur et là pour nous guider à la cérémonie."

-" … Tssss !"

Bastet se redressa et se leva du bord du lit en s’étirant, se recoiffant des doigts rapidement avant de rejoindre Gé’rar qui d’une main écarta la tenture pour qu’elle passe. Le spectacle devant elle la fit doucement sourire. Ses troupes, ses guerrières étaient bien en place, postées de chaque côté de l’allée menant à sa tente et prenaient leur rôle très au sérieux. À vrai dire le serviteur, le guide qui lui était destiné n’osait pas pénétrer entre elles : elle ne savait pas si c’était par crainte ou à cause des regards de défiances qui se portaient sur lui. En tout cas, l’homme attendait devant. Depuis combien de temps, elle ne savait pas. Ce qu’elle savait c’est que tan qu’il ne se serait pas annoncé, ses guerrières l’auraient dévisagés, le prenant de haut. Après tout… pourquoi engager la conversation avec un homme, un humain et qui n’appartenait pas à leur déesse ?
Loin de le prendre mal, elle sourit, marchant entre ses jaffas, lançant des petits regards et répondant à quelques petits sourires mesquins : il fallait annoncer la couleur de suite et c’était exactement e qu’elles avaient fait non ?
Elle arriva devant le serviteur, Gé’rar marchant à 2pas derrière elle et elle attendit qu’il ouvre la bouche pour l’interrompre en levant un doigt rapidement, devant ces yeux. Elle l’observa en souriant, un regard à double tranchant doux mais où l’on sentait qu’il faudrait un rien pour qu’elle se tue.
Elle se retourna et s’approcha de la jaffa la plus proche, celle qui commençait l’unité en ce jour.

-"Dois-je te donner des consignes ?"

-"Ne laisser rien ni personne vous approcher… sauf si vous le désirer."

Bastet sourit avant de se tourner vers le serviteur qui attendait, Gé’rar à ses côtés et avait la vue de Bastet avec ses gardiennes aux regards le méprisant, en tenues de combat de cuir, griffes et lances briquées.

Elle fit un geste vers l’homme qu’il s’avance et un regard vers Gé’rar qui s’approcha.

-" Quant à toi… déçois-moi et je te promets que même rêver de mon corps te fera souffrir…"



[HRP : attente du tour de Robby]

Alors que Drié’do était en train de refermer la boucle ouvragée qui fermait la robe dans le cou de Séléna, un serviteur se mit à l’ouverture de la tente et se fit entendre.

- Si madame et son suivant voudraient bien me suivre, les festivités vont bientôt commencer.

Le serviteur était l’un des dizaines envoyés pour quérir les invités arrivés suffisamment tôt pour bénéficier d’une tente de repos. Les anneaux les ramenèrent au niveau de la porte. Le serviteur les invita à le suivre d’un signe de la main. Il commença à gravir le grand escalier qui dominait la vue en sortant du chap'pai. L'escalier était encadré de plantes exotiques qui tombaient d’un étage intermédiaire dont l'accès n’était pas visible, d’autre tombaient directement de la grande esplanade où la réception avait lieu.

Une fois l’escalier gravit on découvrait une large place encadrée par deux canaux de végétations luxuriantes et dont le son laissait présager la présence d’eau. Les couleurs de ses amas de flore contrastaient avec le beige clair des pierres pavant la place.
A l’orée des deux canaux des paravents avait été installés afin de protéger les tables des mets et des boissons.
Un tapis allait de l’escalier jusqu’au au fond et grimpait les quelques marches qui menaient à une estrade. Une cascade d’eau tombait dans un bassin duquel partait les deux canaux. Devant le basin un autel avait été installé. Sur les 20 mètre devant l’estrade des petites tables rondes avaient été installées avec 2 chaises à chaque fois.

Les serviteurs guidèrent chaque convive à sa table.

Bastet était déjà à sa table lorsque Séléna fis son entrée. L’ouïe fine de la féline, lui permit d’entendre dans son voisinage prononcer une phrase dans une langue qu’elle n’avait plus entendu depuis très longtemps. C'était la langue utilisée pour les serments des grands maîtres, une langue très ancienne. Du contenu elle compris “C’est celle qui prétend être ma petite fille, la fille d’Ishtar.”

Elle vit quelque table plus loin, un vieil homme (chose rare chez les Goa’uld) accompagné d’un homme qu’elle avait déjà aperçu à la terrasse d’un café avant qu’une explosion l’oblige à se mettre à l’abri.

Un serviteur vient à installer Séléna la table voisine de Bastet.

Bastet suivit le guide avec Gé’rar marchant 5pas derrières elle, calmement. Visage lisse, petit sourire, une attitude simple et sobre qui lui donnait un air légèrement engageant sans la faire paraitre bisounours.
Elle apprécia le cadre, le décor étant très à son gout, mêlant nature et minéral en rejoignant la table qui lui avait été assignée. Elle s’installa donc, Gé’rar lui tirant sa chaise, l’installant avant de s’assoir à la table. Elle posa ses deux coudes sur la table, croisa ses doigts gracieux et vient poser sa tête dessus en parlant négligemment avec Gé’rar. Une discussion sans intérêt, sur le décor, mais qui lui permettait négligemment de laisser ses yeux divaguer et repérer les lieux et l’emplacement des tables, des paravents, des balustrades, regardant aussi doucement si elle reconnaissait des personnes.

Même sans regarder, elle écoutait ce qui se disait, c’est ainsi qu’elle entendit une phrase qui la fit tiquer. Elle ne bougea pas, se raidit justement pour rester droite, mais enregistra mentalement ce qui se dit. Elle fit taire Gé’rar d’un regard alors qu’elle se remémorait les mots de l’ancien dialecte goa’uld qui venaient d’être prononcés. Elle regarda alors la sulfureuse blonde qui venait d’entrer en réfléchissant. C’était elle dont il était question ? Celle qui prétend être la fille d’Ishtar. Une ancienne akkadienne alors ? Son regard se posa presque innocemment sur la table d’où provenaient ses propos : Il avait été dit que c’était sa petite fille ? Elle le regarda juste un instant, rapidement, n’ayant pas l’air de le dévisager. Elle l’avait croisé plus tôt, mais ne reconnut pas le vieillard… par contre le jaffa l’accompagnant lui disait quelque chose, mais quoi ? Impossible de se rappeler. Elle y réfléchit alors que la blonde venait s’installer à la table d’à côté. Bastet archiva cela dans un coin de sa tête, en répondant au salut de sa voisine. Elle glissa sa langue sur ses lèvres et sourit. Avant de bouger sa chaise et regarder Séléna de ses yeux bleus.

-"Eh bien, vous savez y faire dans les arrivées. Je suis certaine qu’aucun mâle de la salle n’à manquer cela."

Elle lui sourit et gloussa en jetant un regard vers Gé’rar, et fit un clin d’œil à Séléna d’un air entendu.

-" D’un côté, il suffit que nos hôtes soit un peu sensuelle pour que cela fasse tourner des têtes. Comme quoi : un mâle reste… un mâle."

Son ton était visiblement amusé, comme si elle se moquait, mais si légèrement… Elle haussa les sourcils d’un air entendu et amusée, surtout en détaillant dans un long regard l’accompagnant de la goa’uld en face d’elle.
Elle bougea sur sa chaise, croisant ses longues jambes et sourit agréablement à Sélena en se mettant visiblement à entamer la conversation avec elle, enfin si elle le voulait bien.

-"Je suis Bastet. A qui ai-je l’honneur ?"