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 |  Sujet: Naissance du nouveau membre d'Atlantis... Jeu 30 Aoû 2012, 16:31 | |
| Il était encore bien tôt, sur l'ancienne cité d'Atlantis, où la vie recommençait à grouiller depuis seulement quelque-temps, depuis qu'elle avait à nouveau était découverte par les équipes SG. Les gents qui vivaient et travaillaient là commençait seulement à se réveiller, et se préparaient à aller prendre leur petit déjeuné, avant de débuter une nouvelle journée de travail dans ce lieux de recherche sur les monde de la galaxie de Pégase et sur la Porte des Etoiles. Un soldat à peine sorti du lit, son tee-shirt mis à l'envers sans qu'il ne s'en soit encore rendu compte, passa devant la porte de l'un des laboratoires, un lieu pour la recherche génétique des êtres qu'ils pouvaient rencontrer dans les différents mondes. Il marcha sur quelque-chose de collant sur le sol et faillit tomber la tête la première... se retournant, il vit, par-terre, une petite flaque d'un liquide à demi-solide, jaune sombre. Il s'accroupit, l'observa, puis tourna la tête vers la porte du laboratoire, à moitié ouverte... puis il poussa un juron, de mauvaise humeur à cause de l'heure encore matinale... rah, les scientifiques, il ne savait pas ce qu'ils pouvaient bien traficoter dans leurs laboratoires, mais ils laissaient toujours traîner des trucs bizarres partout... ils pourraient nettoyer, au moins !
Ronchonnant des mots qui ne resteraient à jamais que pour lui-même, le soldat sortit un mouchoir de sa poche, essuya sa botte qu'il avait ciré la veille, puis la tâche par-terre, au moins pour éviter que quelqu'un ne glisse dessus, puis il referma la porte et continua son chemin... dommage, qu'il n'ait pas jugé bon de regarder à l'intérieur, mais il était vrai que les militaires n'était pas censés savoir quel genres d'oeufs de spécimens les chercheurs gardaient dans tel ou tel laboratoire. Dans la pièce, il aurait pu voir que le sol était couvert de morceaux de verre, de morceaux d'une étrange coque lisse et anguleuse, et de ce liquide jaune un peu partout. Durant la nuit, un oeuf que l'équipe SGA-01 avait découvert durant une expédition avait éclot... l'ennui, c'était que le nouveau-né n'avait pas eut l'intention d'attendre que quelqu'un vienne s'occuper de lui : il avait brisé la vitre de sa couveuse à coups de ses encore toutes jeunes petites griffes et il s'était enfui. Son corps, encore couvert du liquide jaune, avait laissé des traces de pattes dans tout le laboratoire, jusqu'à ce qu'il ne trouve la porte mal-fermée, qu'il ne la pousse un peu du bout du museau, et qu'il ne sorte... où était-il, maintenant ? Il avait fait ce que tout animal doué d'un instinct de survie et affamé aurait fait : il était parti chercher de la nourriture, suivant son flair qui l'avait guidé droit vers le mess, avant que qui que ce soit ne se réveil et ne s’aperçoive de sa fuite.
Une paire de bottes passa devant les grands yeux jaunes et humide de la créature qui se cachait maintenant sous une desserte du mess, apeurée par ce nouveau monde qu'elle devait apprendre à connaître, et par ces êtres à deux-pattes de toutes les couleurs... ils étaient vraiment très grands ! Les yeux de cette bestiole étaient, plus ou moins, la seule chose vraiment mignonne chez-elle, la seule chose qui montrait qu'elle n'était encore qu'un bébé... on ne savait pas encore vraiment quoi, innocent. Tout le reste de son corps était nu et tout fripé, particulièrement sa longue queue et ses vestiges d'ailes qui pendaient dans son dos, et sa peau était rose... il faisait un peu penser à un bébé rat géant. La créature avait suivit son odorat qui l'avait mené jusqu'ici, là où sortait la bonne odeur du bacon encore en train de cuir, et du lait dans les céréales. Mais peu de temps après sa fuite, les humains avaient commencés à se réveiller et à marcher partout... le bruit de leurs pas sonnait vraiment très bruyamment à ses quatre jeunes oreilles, elle avait eue peur et elle s'était cachée. Mais la faim fut plus forte que la peur.
Derrière-elle, un cuisinier ouvrit la porte du garde-mangé, et en ressortit avec les bras tellement chargés qu'il ne put la refermer. De cette porte sortait une très bonne odeur d'une grande quantité de nourriture... la créature sortit de sa cachette et se dirigea vers là, courant à moitié... et seulement à moitié, parce que ses mouvements étaient particulièrement maladroits. Elle ne cessait de trébucher et de se cogner partout, tendis que ses ailes traînaient lamentablement sur le sol et qu'elle marchait parfois dessus. Il était étonnant qu'elle ne se soit pas encore faite attrapée... mais elle était petite, et à une heure aussi matinale, personne ne faisait attention à ce qui l'entourait, surtout si c'était par-terre. Elle entra dans le garde-mangé encore froid, où, sur des étagères en métal, étaient entreposés les denrées d'Atlantis. La petite bête rose le museau à l'air, et celui-ci se mit à frétiller tendis qu'elle sentait toutes ces bonnes odeurs... et l'une d'entre-elle l'attira en particulier : tout en haut de l'une des étagères se trouvaient les pâques de lait. Bien que l'animal était né dans un oeuf, elle était un mammifère... et elle savait donc, d'instinct, que c'était du lait, qu'il lui fallait, le lait qu'elle aurait tétée sur les mamelles de sa mère, si elle en avait eue une. Elle s'approcha doucement de l’étagère, la queue battant l'air, puis commença à monter dessus... elle posa d'abord une patte sur la première planche de fer, puis une autre, et elle se hissa... elle fit de même à la suite, et monta le long du meuble comme on monte à une échelle. Mais alors qu'elle venait de dépasser la moitié, celui-ci se mit à trembloter. Comprenant ce qui allait arrivé, la créature poussa un couinement dépité...
Déséquilibrée par le poids supplémentaire de la créature, l'étagère tomba, faisant retentir dans le garde-manger un immense vacarmes, entre la ferraille touchant le sol, les boites de conserves roulantes, et les bocaux se brisants. Dans le mess, ceux qui étaient en train de manger et qui avait déjà commencés à bavarder firent silence... par chance, la petit créature ne s'était pas fait mal, en tombant. Elle se redressa, seulement un petit peu sonnée... et éternua un grand coup, levant autour d'elle un nuage de poussière blanche. En tombant sur elle, un sac de farine s'était cassé, et la recouvrait maintenant complètement. Suivant toujours l'odeur, le petit anima s'avança vers le bout de l'étagère où se trouvait les pâques de lait... et poussa un couinement dépité et affamé, en s’apercevant qu'ils s'étaient tous cassés, en touchant le sol, et que le liquide blanc était éparpillé par-terre. En désespoir de cause, elle lécha le sol, cherchant à laper quelques gorgées... |
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