Messages : 137 Date d'inscription : 29/11/2012 Age : 29 Feuille de personnage Affectation: VOIE LACTEE Equipe: Equipe SG-4 Gène:
Sujet: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:14
Cerise:
Il était tard au SGC et le silence régnait en maître à cette heure avancée de la nuit. Les quelques rares scientifiques présent au SGC étaient regroupés autour de la machine a café au mess et papotaient doucement. Walter somnolait un peu dans la salle de contrôle, son voisin faisait des mots croisés en patientant jusqu'au retour de SG8 dans six heures... Tout avait l'air aussi calme au niveau 18, seulement, en parcourant les couloirs, on pouvait entendre résonner un léger air de guitare et une voix féminine chantonnant doucement par dessus. Dans son bureau, Miss Lafont était occupée à étudier diverses reliques qu’une équipe SG avait ramenée d’une exploration sur un monde détruit depuis longtemps et ce, en musique.
♪Cachés pas les dunes♫ Entre terre et mer… ♫ Voler un peu de paix , Des refrains à la mer… ♫Bien sûr tu serais là, ♪♫ Moi blotti contre toi … ♪♪ Je te raconterais ce rêve ♫ Quand tu veux on …♪♪ ♪
--TUUUUUT TUUUUUT TUUUUUT ---ACTIVATION NON PROGRAMMÉE DE LA PORTE DES ÉTOILES---
Soudain l'alarme retentit et vrilla les tympans de Cerise qui, ne s'y attendant pas, sursautât et porta une main sur sa poitrine en cherchant à calmer son cœur qui manquait de sortir de sa cage thoracique . Trop absorbée dans son boulot, Cerise en oubliait souvent où elle était, mais d'un côté vu les dangers auxquels elle était régulièrement confrontée, oublier un temps ces malheurs n'était pas si mal. Elle fermât les yeux et soufflât, mais le coup de stress lui envoyait de l’adrénaline et elle dut se faire une raison : elle n’arriverait plus à se concentrer tant que le flot ne se serait pas tarie et elle décida alors d'aller chercher du chocolat chaud à la cafétéria. Elle fit pivoter la chaise et sauta au sol, se qui fit craquer ses genoux. Elle se demanda alors depuis combien de temps elle était là et regarda l’horloge.
-Deux heures ? Temps de faire une pause…
Cerise posa ses lunettes de repos sur son bureau, étira longuement ses bras et se dirigeât en chantonnant vers le bout du couloir. Une fois devant les portes de l’ascenseur, elle l'appela et entreprit de lisser les plis de sa jupe, puis frissonnât et se dit qu'elle aurait dû prendre sa veste dans le bureau pour se couvrir. Cerise souffla dans ses mains devant les portes en attendant se maudissant de ne pas s'être changé et d'être rester dans cette tenue de soirée décontractée: une jupe noire courte et un débardeur style corset, c'était certes joli, mais ça ne tenait pas chaud du tout . En vérité, Cerise avait prévu d'aller boire un verre ce soir, dans un bar du petit quartier français et donc s'était habillée de circonstance, mais en revenant chercher son sac dans le bureau, elle avait commencé à regarder les statuettes et une chose en entrainant une autre, elle avait fini par s'asseoir pour noter une inscription, puis deux, puis la série et avait complètement oublié la soirée du jeudi soir, ou l'entrée était gratuite pour les filles. L’ascenseur arrivé, elle y pénétra et demanda à descendre au niveau 22. L’ascenseur étant vide Cerise continua à chantonner dans sa langue natale la dernière chanson qu’elle avait entendu sur la radio qu’elle écoutait sur le net.
?Dada daa.. On s’rait juste Toi et Moi Près d'ici ou là-bas Nana ninananaaa… Hum humm quand tu veux on y va ? Toutes les couleurs du ciel Un plein de bouteilles ? ?Du rhum dida dada Quand tu veux on y va…?
Arrivée à destination elle fredonna doucement pour ne pas gérer ceux qui étaient assis, las, autour des tables. Elle vit Bill Lee et alla papoter un peu avec lui. Le scientifique avait l'air content et ils discutèrent une bonne demi-heure sur son dernier projet de canon laser portatif et un peu de Word Of Warcraft. Cerise avait joué un temps à ce jeu, mais elle n'avait plus le temps et plus l'envie non plus... Surtout depuis la mission avec Juno pendant laquelle SG-4 avait affronté une race extraterrestre humanoïde intelligente et belliqueuse au sang vert en sa compagnie... Ou qu'avec SG-3, elle avait fuit les ruine d'un temple ou de grosses créatures féroces noires qui grimpaient partout avaient bien faillit les croquer. Depuis, bizarrement Cerise se sentait moins concernait par les jeux ou livre de SF ou Médieval-Fantasy, c'était presque son quotidien. Elle écoutât donc avec son air le plus sérieux et intéressé en remuant la tête en faisait « hum hum.. » quand il fallait puis, annonça qu'elle allait se coucher finalement, l'adrénaline retombée, c'était la fatigue qui reprenait le pas. Cerise finit pas lui souhaiter la bonne nuit et se dirigeât en baillant vers le niveau 25 ou se trouvait sa chambre. Elle n'avait pas eu le temps de chercher un appartement en ville et pas l'envie non plus : vivre en société ne la dérangeait pas et quand elle avait le cafard, elle allait voir sa copine et collègue Lana Miro et elles passaient des fois des nuits entières à papoter ou bien elles commençaient un film et s'endormaient ainsi. Pour Cerise qui était enfant unique, c'était des instants rares, car son père avait beau l'avoir aimé, c'était un militaire pur et dur et tout ce qui révélait de l'affectif était comme « ' banni »de son vocabulaire et de ses gestes... cela expliquait d'un côté que cerise avait du mal avec les hommes. Elle avait des amis, des amants, ni pas vraiment de régulier... Elle n'était pas sauvage, mais assez indépendante et bien des hommes lâchaient vite l'affaire, mais ça lui convenait, son travail passait avant et peu étaient ceux qui pouvaient comprendre cela. Arrivés dans le couloir, elle salua une militaire qui allait prendre surement son tour de garde, entra dans ses quartiers et se laissa aller sur le lit, retira ses ballerines, attrapa l'oreiller et s'endormit presque en le glissant sous sa tête. C'est dans cette position qu'elle se fit réveiller par son téléphone cinq heures plus tard.
-Aalloooaahh... Euh, là de suite ? Pfff, Ouaah...très bien j'arrive. Oaaaahhh !
Cerise se leva péniblement, pas les yeux en face des trous elle trouva difficilement ses ballerines et attrapa une blouse de labo quel portait souvent, elle l'enfila sans la fermer et bâillât tout le long du couloir avant de s'étirer et de se frotter les yeux devant l'ascenseur. Cette fois-ci, c'était heure de pointe et les militaires se serrèrent un peu pour lui faire une petite place, mais après tout Cerise n'était pas vraiment épaisse et se ne fut pas difficile. Elle sortie de l'ascenseur au niveau 27 et recoiffa rapidement ses cheveux ondulés sur le chemin menant à la salle de conférence attenante au bureau du général Landry.
Cerise étouffa un bâillement en arrivant dans la salle ou le Général Landry l'attendait en discutant avec une équipe SG, celle de surveillance du colonel Reynold. Le général l'interpella à son entrée et voyant sa tête il lui sourit rapidement avant de lui dire de prendre un café et de s'asseoir, car c'était urgent et qu'il fallait qu'elle soit vite réveillée. Cerise lui fit une moue et allât se chercher un café. Elle détestait le café, c'était fort, amer, mais elle détestait tellement ça qu'une seule gorgée la réveillait en un instant. Elle avalât sa tasse d'une traite, frissonnât en faisant une moue de dégout et pris un verre d'eau avant d'aller s'asseoir.
- Miss Lafont ? Nous avons besoin de vos compétences. - Colonel Reynolds c'est ça ? -Oui. Nous rentrons de notre mission sur P4x-855 et nous avons trouvé des informations comme quoi un commandant Luxien, Lerio, chercherait à vendre au plus offrant des Antiquités goa'ulds... dont des armes rares. Selon nos sources et il est possible qu'elles soit très dangereuses car estampillé Ba'al. -Hum... ça c'est embêtant. "Ouahhh" décholé. -Miss Lafont? Nous ne pouvons pas laisser trainer des armes comme ça, surtout pour qu'on en fasse usage après contre nous. Il nous les faut. J'aurais préféré envoyer SG-1... mais ils sont connus des Luxiens, ils ne passeront pas inconnus. Vous par contre... -Euhm..attendez, on parle bien d''identification des objets et des armes hein? ça je peux oui, sans soucis même ...Mais vous ne comptez pas vraiment m'envoyer les acheter si ? - Et bien, c'est là le souci... Nos sources n'ont pas pu nous donner plus de renseignements. Ou s déroulera la vente? Y en a t'il vraiment une ou est-ce des parols en l'air? Un piége... Nous ne savons rien, sauf que ces armes sont bien réelles. Donc, on ne sait pas par où commencer les recherches et je ne dispose pas d'archéologue dans mon équipe . - Donc vous partez en mission d'infiltration Miss Lafont. Il va falloir vous changer et vous équiper. - Oui, je ne comptais pas y aller en civile ne vous inquiétez pas général. Je vais me changer dès que le briefing et finit et je rejoins le colonel Reynold au... - J'ai déjà avertit le pressing, ils vous préparent des vêtements dans l'instant. Par contre, vous ne partez pas avec Reynolds, nous avons besoin de lui pour repartir et pouvoir vous faire passer plus d'informations s'il en trouve. - Et donc ? Si je ne pars pas avec eux ni avec SG-1 je... ? - Désolé, mais qui dit infiltration dit groupe limité, surtout pour cette mission. Il va falloir être discret et peut être jouer les chasseur de primes, les chasseurs de trésor ou...Enfin je ne sais pas moi. Faite fonctionner votre imagination. - Et donc, je ne vais pas partir seule quand même ? - Bien sur que non,tenez, votre compagnon vient d'arriver. Préparez-vous vous partez dès que vous êtes prêts.
Cerise était assise a droite du général, la porte a sa gauche, elle fit donc pivoter son fauteuil pour suivre le regard du général et voir qui venait de passer la porte. Elle vrillât alors ses grands yeux dans les yeux aussi froids que des icebergs de son interlocuteur, avec qui elle s’entendait comme chien et chat. Enfin, surtout depuis sa mission avec Juno, car avant elle cela, elle avait peur de lui et n’osait pas vraiment lui tenir tête, mais c’était du passé ça. Avec lui, elle avait même appris a se lâcher et il lui arrivait de ne plus de pincette ce qui était rare car cerise était assez diplomate, mais ca fonctionnait comme ça. Cerise soupira avant de faire un sourire de convenance à l'homme qui s'approchait d'eux avant de le saluer.
- Miiiles. Par contre, Général vous n’aviez pas parlé d' "Infiltration" ? et de...discrétion? Juste pour être sure...
- Ne vous inquiétez pas! le Colonel Quaritch sera tout à fait a même de mener cette mission et de veiller à ce que vous rentriez entière. Après tout, vous êtes dans la même équipe.
Elle regarda le colonel Quaritch en souriant un peu bêtement : elle ne s'était pas attendue à tout cela. Elle avait du mal à se dire qu'il y avait seulement vingt minutes, elle était au chaud, sur son lit... Cerise prit conscience d'avoir loupée un épisode en voyant le Général regagner son bureau et l'équipe de Reynolds passer la porte. Elle fit une moue de stupeur et ouvrit la bouche comme un poisson, mais la referma sans rien dire, elle avait eut un blanc, ça arrivait a tout le monde et de toute façon, elle était résignée à effectuer la mission. De toute façon elle n'avait pas le choix. Elle songeât alors à aller dévaliser la pharmacie en paracétamol et valium, car elle sentait que la mission aller être tendue et que s'en suivraient de copieux maux de crâne, mais bon, elle ne pouvait pas reprocher au colonel son incompétence, car il n'en fessait pas preuve, c'était juste au niveau du caractère que ça « coinçait » un peu en fait. Cerise quitta son siège, mis ses mains dans les poches de sa blouse ce qui en écarta les pans en révélant les vêtements civils qu'elle portait, puis elle se planta devant le colonel et attendit un instant de voir ce que celui-ci avait a dire avant de lui adresser la parole.
-Bon ...bon ...ben... Et bien, on va se préparer ? Cerise attendit que le colonel daigne lui répondre, en le regardant droit dans les yeux.
Miles:
Comme à chaque fois qu'il est de retour de mission, Miles profite de son temps libre pour faire de l'exercice. Haltère, pompe, traction, il passe donc des heures à s’entraîner car il n'a rien d'autre à faire, néanmoins ça ne le dérange pas puisqu'il adore garder son corps en forme. Il discutait avec d'autres militaires sportifs, la salle d’entraînement était un endroit convivial et sympathique. Une fois sa besogne terminé, le Colonel ramassa sa serviette par terre, épongea la sueur sur son visage puis sur son corps. Une fois sa pré-toilette terminé, il rentra dans sa chambre personnelle et partit prendre une bonne douche. Prenant le soin de se laver de partout, il passa bien trente minutes sous la douche à se récurer les moindres recoins. Alors qu'il se séchait, il entendit :
---TUUUUUT TUUUUUT TUUUUUT ---ACTIVATION NON PROGRAMMÉE DE LA PORTE DES ÉTOILES---
Sa réaction fut de dire :« Bordel de merde ! Ils pouvaient pas rester là où ils étaient ces cons ! J'ai d'autres choses à foutre que d'aller faire le pet devant un anneau à la con merde ! »Il ne prit même pas la peine de se rhabiller, il enroula une serviette autour de sa taille et déambula dans les couloirs à moitié à poil. Il décida de passer par la cafette et choppa une pomme au passage. Son grade de Colonel le forçait à aller sur place pour vérifier qu'il n'y a aucun soucis … chienne de vie, se dit-il. Les gens se retournait vers lui lorsqu'il en croisait, il était rare que quelqu'un se promène à poil dans le SGC, seulement Miles était d'une humeur massacrante et personne n'osa lui dire quoi-que ce soit en voyant son visage déformé par la colère. Ses collèges se poussaient sur son passage, de toute façon, il serai passé de force alors … autant laisser le Général Landry lui remettre les pendules à l'heure. Il débarqua dans la salle de débarquement en trombe, il effaça toute trace de colère, prit un air détendu et innocent.
« Mon Général ! Que ce passe-t-il cette fois-ci ? »
« Mais Quaritch, que foutez-vous à moitié nue ? »
« J'y suis pour rien si votre super portes spatiale ou je ne sais quoi m'oblige à sortir de la douche en trombe pour me rendre compte de la situation. Vous savez bien que je tiens mon rôle de Colonel très au sérieux mon Général ! Alors quand j'ai entendu ce foutu message signalant une activité de ce cercle à la con qui me dérange à chaque fois que je suis occupé, j'ai couru à votre chevet pour vous tenir la main, même sans slip ! »
Miles affichait un sourire vicieux, il adorait se foutre de la poire de ses supérieurs, c'était comme une seconde nature chez lui.
« Quand vous aurez fini de vous payer ma tête, vous me le direz. Maintenant rentrez dans votre chambre et changez vous ! »
« Vous avez raison mon Général, je risque d'attraper froid ! Je reviens tout de suite ! »
« Non non, restez dans votre chambre, j'enverrai quelqu'un vous chercher. »
« Bien bien, c'est vous qui voyez. »
Le Colonel Quaritch rentra donc dans sa chambre, fière de lui. Avec son spectacle, il a bénéficié de deux choses. La première, il n'a pas été obligé d'entendre un rapport à la « mords moi le nœud » pendant lequel il aurait piqué un somme. Deuxièmement il a bénéficié d'une permission. Il sera tranquille quelques temps. Landry ne voudra pas le voir pendant plusieurs jours. Les vacances commence. Il se jeta sur son canapé et alluma la télé. Il joua à la console pendant une bonne petite heure avant d'être dérangé par la sonnette de la porte. Miles décida de le faire poiroté devant la porte et ne s'occupa pas de lui. Mauvaise idée, le pénible se mit à violer la sonnette. Irrité, Miles ouvra la porte et lui cria :
« Ça ne va pas la tête voisin ? Vous avez décidé de mourir aujourd'hui ? Vous avez des tentations suicidaires ? Dites moi hein, je serai ravi de vous aider si vous appuyez encore une fois sur cette sonnette. »
Miles lui claqua la porte au nez … puis il dut la rouvrir quand le bonhomme sonna de nouveau …
« Je me demandais, vous êtes à votre apogée ou vous pensez pouvoir m'emmerder encore plus ? »
« Je pourrai vous appeler par votre nom en plus ... »
« Ah d'accord … je vois … donc … que puis-je pour vous ? Je vous donne cinq minutes, après je cogne. »
« Le Général Landry vous demande en salle de briefing. »
« Ah … et bien c'est dommage ... tousse tousse … mais j'ai attrapé froid. Je ne pourrai pas venir. Ma ballade à poil m'aura servi de leçon. Toutes mes excuses au Général. »
Miles lui claqua une fois de plus la porte au nez. Le Militaire frappa cette fois à la porte. Miles était désespéré … que devait-il faire pour faire partir cette abruti. Il ouvrit et regarda le Militaire au nez ensanglanté.
« Je dois faire quoi pour que vous partiez ? Car là, dans cinq minutes vous sortez du SGC les pieds devant … »
« Le Général Landry avait prévu que vous disiez ça, il m'a donc demandé de vous dire que si vous ne veniez pas, il allait vous ordonner de partir en mission avec Teal'c le Jaffa. »
« D'accord j'arrive. »
Ce fut tout ce qu'il dit. Il détestait les jaffas plus que tout, alors rien que l'idée de faire équipe avec le shol'va lui donnait la nausée. Il partit d'habiller de sa tenue militaire habituelle et se rendit à la salle de briefing. Il entra en trombe, tous virent qu'il était de sale humeur.
« Eh bien Miles ! C'est une surprise de vous voir parmi nous ! »
« Merci Hank, mais finit les sarcasmes, sinon je m'y mets aussi et on est pas sorti de si tôt de cette salle habituellement ennuyante à mourir. »
Miles coupa un bout de sa pomme avec un couteau puis le mit dans sa bouche, montrant qu'il n'avait rien à faire de cette réunion qui commençait déjà à lui taper sur les nerfs.
« Je te remercie pour ton attention Miles. »
« Mais le plaisir est pour moi mon Général. »lui répondit machinalement Quaritch sans lever ses yeux de sa pomme.
Landry roula les yeux et reprit :
« Nous avons un problème av... »
« Un problème ? Eh bien, j'aimerai être à votre place … moi des problèmes je peux vous en sortir à la pelle ! »
« Ferme là Miles. »
« Bien patron. »
« Bien, maintenant que Miles a bien voulu garder ses commentaires pour lui, nous allons pouvoir avancer. Donc nous avons, parmi bien d'autre, un problème. Cela te convient Miles ?
Miles passa sa main sur ses lèvres pour dire qu'il devait garder la bouche cousue.
« Donc SG-12 revient de sa mission sur P4x-855 et ils ont trouvé des informations comme quoi un commandant Luxien, Lerio, chercherait à vendre au plus offrant des Antiquités goa'ulds... dont des armes rares. Selon nos sources et il est possible qu'elles soit très dangereuses car estampillé Ba'al. »
« Et bien bravo pour eux, mais j'en ai légèrement rien à faire de leurs palmarès ... »
« J'y viens, et bien, c'est là le souci... Nos sources n'ont pas pu nous donner plus de renseignements. Où se déroulera la vente ? Y en a-t-il vraiment une ou est-ce des paroles en l'air? Un piège... Nous ne savons rien, sauf que ces armes sont bien réelles. Donc, on ne sait pas par où commencer les recherches. Donc je vous envois avec un archéologue dénicher ces objets. »
« Vous m'envoyez avec Jackson et SG-1 avec moi ? Vous voulez ma mort ou quoi ? Vous savez bien que j'ai un problème avec le jaffa ! »
« Vous n'irez pas avec SG-1, mais avec Cerise. »
« Ah, ouf … hein ? Quoi ? Avec barbie ? »
Miles se cogna la tête contre la table et dit :
« Donc si je résume, j'ai le choix entre la peste et le choléra ? »
« Non, on vous donne le choléra sans que vous puissiez discuter. »
« Merci bien, je vous redevrai ça Hank ... »
Le Colonel se releva et partit rassembler ses affaires. Il alla chercher son équipement spécialement préparé pour la mission. Comme arme il prit son 9mm magnum et un berreta, tous deux placés dans des holsters sous ses aisselles. Il emporta deux couteaux à lancer, dissimulés dans sa ceinture dans son dos ainsi qu'un couteau de chasse.
Lorsqu'il revient, il vit Miss Lafont, assise devant Hank. La fillette dit :
« Miles. Par contre, Général vous n’aviez pas parlé d'« Infiltration ? » et de...discrétion? Juste pour être sure.. »
« Ne vous inquiétez pas! le Colonel Quaritch sera tout à fait a même de mener cette mission et de veiller à ce que vous rentriez entière. Après tout, vous êtes dans la même équipe. »
« Ne t'en fait pas Barbie, je serai pas loin de toi. » lui dit Miles en riant jaune. Il détestait quand on l’appelait par son nom.
Cerise le fixé, il savait pourquoi. Elle se demandait comment elle allait lui pourrir la vie, mais il comptait pas se laisser faire.
« Bon ...bon ...ben... Et bien, on va se préparer ? »
« Au cas où vous l'auriez pas remarqué, Barbie, vous êtes la seule à ne pas être prête … je vous donne … dix minutes pour me rejoindre à la salle d'embarquement. Après je vous y traîne à coup de pied dans l'oignon. C'est pas plus simple que ça. »
Miles la vit partir en courant. Elle savait qu'il le ferai sans hésiter. Lui se rendit devant la porte des étoiles, l’œil fixé sur sa montre. Lorsqu'elle revint, ils passèrent la porte ensemble, pour le meilleur comme pour le pire … surtout pour le pire ...
Cerise:
Cerise fusilla Miles du regard avant de partir en courant presque chercher ses affaires… le truc c’est qu’ils n’étaient pas les seuls à avoir besoins de vêtement pour passer inaperçu. La conséquence fut que Cerise se retrouva toute de cuir vêtue : jupe taille basse noire mi-cuisse avec cuissardes et une veste ¾ sobre assortie. Seul son corset était beige, ce qui était dommage, elle aurait préférée du bleu. Cerise sortit de sa chambre 10 minutes plus tard, en prenant tout son temps pour s’habiller et réfléchir a ce qu’elle devait prendre, et puis, perdre du temps ca aller bien enquiquiner son Colonel, et elle se savait. Elle se regarda dans la glace et en profita pour se maquiller un peu les yeux, ca ferait plus ton sur ton. Elle se fit un chignon lâche et partit de ses quartiers avec une Besace qu’elle avait récupérée et qui irait tons sur tons. Elle passa chercher un zat à l’armurerie et deux trois grenades incapacitantes, ça servait toujours. Elle s’arrêta aussi prendre un vocum dans son bureau et s’en allât en maugréant vers la salle d’embarquement. Elle ajusta la bretelle de son sac est sentait que Miles allait piquer une crise elle entendait déjà les paroles : « Barbie ? Tu nous fais quoi là ? C’est pas halloween. » Mais non, il ne dit rien et après le feu vert, ils passèrent la porte vers une planète nommé Petrara par ses habitants.
Cerise et Miles se retrouvèrent alors prés d’un village animé, et pour ne pas paraitre suspect, Cerise décrétât qu’il allait aller voir l’antiquaire de ce village. Ça lui permettrait aussi de peaufiner son rôle. Au début, elle avait pensé qu’ils pourraient se faire passer pour des marchands d’arts, ou des chasseurs de trésor, mais vu le colonel et son caractère au bout d’une heure elle pensa qu’il valait mieux se la jouer mercenaire, ça collait mieux au personnage. Au bout de 15 min de transaction ou Cerise testait ses talents de roublarde, elle souffla d’entendre Miles meumeumer dans son dos.
--Nan mais c’est fini oui ?! Vv..T’as finit de ronchonner ?
Cerise vit Miles s’arrêter et la fusiller du regard et elle lui fit un grand sourire en contre-partie.
-Votre partenaire n’est pas patient. - Lui ? naann, il a la gâchette légère, surtout quand il voit qu’on essaye de m’escroquer outre mesure, surtout pour de simples babioles. -... ?! Hrff.. Bon, 50 dira ? -Là c’est déjà mieux, mais 30 ça serait encore mieux.. Et il n’est vraiment pas patient hein …. Marcus ?!
Cerise lui tapota le bras, ce qui eut le don de l’agacé au plus haut point, et regarda le vendeur d'un air entendu.
Elle donna 30 dira a l’homme pour le lot de bijoux qu’elle enfourna rapidement dans son sac. Une fois hors du local ils prirent une allée bondée de passants qui fessaient leurs emplettes sur des étales.
- Maintenant, faut que je trouve un autre vendeur... Car ces petites "babioles " valent juste 4 fois ce qu’il m’en demandait a la base… Ah ahhh! On voit qu’il ne savait pas ce qu’il vendait. ... Et non, ce n’est pas pour m’amuser mais nous allons avoir besoin d’argent pour manger non ? Et prendre une chambre a l’auberge. Bref, la suite c’est par là.
Cerise partit faisant claquer ses talons sur les pierres de la rue, elle ne se retourna pas mais espéra que Miles était bien derrière elle, sinon, elle était mal. Vingt minutes plus tard, Cerise ressortait avec de l'argent plein les poches, et elle embêta Miles pour obtenir une chambre dans l'auberge à l'orée du village.
- Alleezzzz… Allez et je suis gentille le temps de la mission… enfin, autant que possible. Allez Miles déridez-vous un peu merde.
Ils finirent dans une auberge et commencèrent a manger, avant même le dessert l’atmosphère se fit tendue et Cerise regarda doucement au dessus de l’épaule a Miles en face d’elle avant de se penché vers lui.
- Euh…Colonel ? je crois qu’on a un pitit soucis. Ya 5 mecs qui viennent de rentrer dont un que j’ai vu chez le dernier marchant… et il me regarde bizarrement. Je crois qu’on ferait mieux de filer non, ou ils vont essayer de nous détrousser? On s’éclipse discrètement ?
Cinq minutes plus tard, Cerise marchait dans une ruelle sombre, au sortir de l’auberge, il faisait un un peu froid, alors elle frissonnât et marchât d’un air de flâner tout en prenant la direction de la sortie du village. Elle les entendit avant même de les voir .
-Salut beauté. Tu sais c’est pas prudent de sortir comme ça, seule la nuit. Y a des dangers…
Cerise serra son sac en bandoulière et fit une moue inquiète en les regardant puis, elle fit trois pas en arrière…
Miles:
La mission débutait mal, très mal ... Cerise commençait déjà à me casser les noix ... on était à peine partie qu'elle s'était mi en tête de faire les boutiques. Une perte de temps énorme et pourtant, à mon plus grand des regrets, elle avait raison. Nous allions avoir besoin d'argent pour terminer cette mission, c'était sur. J'ai prit mon mal en patience et j'ai suivi cette petites pestes dans tous les recoins de ce village merdique. Elle m'avait choisi pour prénom Marcus ... nom merdique, tiraillé entre sa stupidité d'ordre général et son étonnante inaptitude à faire quoi que ce soit. Moi, je savais comment me venger d'elle.
Puis elle se mit en tête d'aller dans une auberge ... Pourquoi faire ? Je vous le demande tiens ! Lorsque cinq hommes sont rentrés dans le bar, Madame avait les chocottes, elle me dirait :
- Euh…Colonel ? je crois qu’on a un pitit soucis. Ya 5 mecs qui viennent de rentrer dont un que j’ai vu chez le dernier marchant… et il me regarde bizarrement. Je crois qu’on ferait mieux de filer non, ou ils vont essayer de nous détrousser? On s’éclipse discrètement ?
J'étais bien évidement en mesure de leurs réglés leurs comptes, mais la chipie ne voulait pas. Il ne fallait pas tuer des innocents sur une simple supposition ... Depuis quand on réfléchie avant de tirer ? Moi je tire puis je me pose des questions. Si il s'avère que je me suis trompé, je présente mes excuses ou je cache le corps ... les deux même. Mais avec l'autre vieille peau, pas moyen de faire quoi-que ce soit sans risquer la cours martiale ! C'est un démon, à chaque fois que je la regarde, je me demande comment elle fait pour cacher ses cornes ainsi que ses pattes.
Quelques minutes plus tard, nous marchions dans une ruelle. Personnellement, je ne trouvais pas qu'il faisait froid, mais la chochotte frissonné ... J'ai utilisé le peu de galanterie qu'il me restait pour me décider à me dépêcher à nous débarrasser de ces gêneurs. Silencieusement, j'ai bifurqué dans une ruelle adjacente, sans avertir ma partenaire. Lorsqu'elle fut vers la porte, j'entendis : - Salut beauté. Tu sais c’est pas prudent de sortir comme ça, seule la nuit. Y a des dangers…
J'avais les nerfs ... cette journée c'était montré affreuse, il ne me manquait pas grand chose avant d'exploser et les voilà ! Ils n'auraient pas pu trouver un meilleur moment. Courant silencieusement entre les ruelles, j'essayais de les apercevoir. L'un d'eux s'approcha de Cerise, du moins il essaya de l'attraper après avoir reçu un couteau à lancer dans le dos, j'ai continué ma guérilla, restant en constant mouvement. L'un d'eux partit en courant alors que je tirais avec mon 9mm équipé d'un silencieux sur mes adversaires. Cette bataille était terminé mais d'autres allaient revenir. J'ai attrapé Barbie par les bras et je partis vers la forêt en la tirant. Alors qu'on marchait, on entendit un hurlement puis un aboiement. Ces enfoirés avaient rameutés des chiens. Cherchant un moyen de leurs échappés, une idée l'illumina la cervelle. Affichant un sourire pervers, car j'allais pouvoir me venger,
Nous repartîmes en courant, jusqu'à ce que nous trouvions un arbre géant. J'ai placé mon arme sur la tempe de Barbie puis je lui ai assené un coup de crosse pour l’assommé. Une fois que j'eus mit cette emmerdeuse K-O, je l'ai ligoté à un arbre alors que je lui avais promis de le faire. Elle se réveilla quelques minutes plus tard. Ruminant et m'injuriant. J'étais seulement en embuscade et j'attendais l'arrivé des bandits qui nous retrouveraient grâce à l'odeur du sous-vêtement et des chiens. Sept bonhommes arrivèrent par notre sentier.
- Alors ma jolie ? Ton copain t'a trahi ? C'est bête tu trouves pas ? Euh ? C'est quoi "Barbie" ?
Pour en finir avec ma vengeance, j'avais écrit au feutre sur le front de Cerise : "Barbie". Puis l'un d'eux s'approcha avec un couteau, je ne savais pas ce qu'il comptait faire, mais je m'étais décidé à le laisser faire. Question de vengeance enfaite. Il commença à découper les vêtements de la jeune femme. La suite fut légèrement morbide. Caché par les fougères, J'ai tué tous les bandits sans exception. Une fois le ménage terminé, Je partis détacher Cerise.
- Désolé ma vieille mais j'avais pas trouvé mieux ...
J'avais dit ça en riant, je savais qu'elle allait se venger très méchamment, mais j'avais pas pu résister.
Cerise:
Cerise éprouvait une douleur extrême. Sa tête, ses bras, son ventre tout lu faisait mal. Et tout tournait aussi, c'était comme si elle avait voulu descendre d'un tourniquet pour aller jouer avec un kaléidoscope et elle se retient de vomir. Elle voulut porter sa main à sa tête, mais impossible de bouger le bras et pour cause, une fois qu'elle réussit à faire le point avec ses yeux, elle se rendit compte qu'elle était ficelée comme un saucisson à un arbre. Elle essaya en vain de se libérer, mais le colonel Quartich semblait s'être bien assuré qu'elle n'y parviendrait pas.
-Oh... Oh non ! Mais il a pas fait ça le con ! REVENEZ ! QUARITCH ! ESPECE DE TARE ! MILITAIRE RATE ! JE VOUS PROMETS QUE CA VA SE SAVOIR ! .... MILLLES !..... MILLLLLEEESSSS REVENEZ DE SUITE ME SORTIR DE LA, OU SINON, SINON RAAAAAH ! ... ABRUTI ! DEGENERE !.... PERVERS ! DETACHE MOI DE SUITE ! JE SAIS QUE VOUS ETES PAR LA ! Oh.... Oh non ... ?Nooonnn.... milleeess...
- Alors ma jolie ? Ton copain t'a trahi ? C'est bête tu ne trouves pas ? Euh ? C'est quoi "Barbie" ?
Cerise regarda l'homme sans comprendre... Enfin, si elle n'était pas bête, elle savait bien que Barbie c'était elle, mais elle se demanda comme eux pouvait le savoir. Puis, son sang se glaça, Miles n'aurait quand même pas osé la leur filer pour assurer sa tranquillité ? Des larmes de rages perlèrent au coin de ses longs cils. Le général lui avaient dit que Quaritch la ramènerait entière, pas intacte...mais quand même, elle n'arrivait pas à croire qu'il avait pu faire cela, c'était si ignoble et elle ravala un sanglot.
- Ne t'inquiète pas trésor on va te tenir compagnie. Tu ne te sentiras pas seule, hein les gars.
-Miles... si je vous retrouve je vous jure que je vous tue de mes propres mains ou pire. Vous me le paierait au centuple....Aah ! Cerise siffla cette phrase entre ses dents avant de fermer les yeux.
La lame d'un couteau tout contre sa poitrine la fit frémir de peur, puis d'un coup sec son propriétaire le tira vers lui, déchirant ainsi le haut de son corsage. Cerise tenta de se débattre, encore, mais c'était tout bonnement impossible et son impuissance lui fit de nouveau monter des larmes de rage dans ses grands yeux bleus ciel. Il entailla consciencieusement son haut, révélant toute le haut de son superbe soutien gorge hors de prix en soie bleue, et il lui sourit avant de reprendre son couteau pour en couper une bretelle. Cerise n'avait qu'a baisser les yeux pour se rendre compte que le décolleté était nettement plus agrandit qu'a la base, mais elle ne quitta pas son bourreau des yeux. L'homme approcha alors la lame de ses cuisses et commença à ouvrir une fente le long de sa cuisse droite tout en savourant le spectacle. Cerise se dit en ironisant que ces pauvres mecs n'y connaissaient rien, il y avait des vêtements bien plus provocateurs sur Terre, mais bon elle n'allait pas lui faire remarquer: elle n'allait pas l'inciter non plus, déjà que là elle nageait en plein cauchemars.
-Alors Poupée, tu vas gentiment nous dire où et le pognons que tu nous as extorqué, ou sinon, je m’attaque à la jupe. Et au reste après...éhéhéh...
Cerise avait très bien comprit, surtout en voyant le regard mauvais et pervers que les autres lui lançait. Elle lui aurait donné tout l'argent qu'elle possédait, sa vertu en valait bien plus à ses yeux, mais elle n'avait plus son sac et quelques choses lui disaient qu'ils n'allaient pas apprécier cela. Finalement elle regretta d'avoir accepté cette mission.
Il leva la main pour toucher son visage et Cerise essaya d'esquiver en fermant les yeux. Mais elle les rouvrit vite en entendant un râle. L'homme glissa à terre les yeux exorbités et elle referma ses grands yeux bleus en chouïnant.
Elle ne les re-ouvrit qu'après que tout soit finit : les hurlements, les bruits de course, bref, quand tout ne fut plus que silence.
Une ombre s'approchât d'elle et elle reconnue vite la stature de Miles. Il s'approcha et elle le vit devenir plus net au clair de lune, puis, il la détacha. Miles avait un sourire au coin de lèvres et Cerise le regardât sans un mot, se demandant comment il pouvait être ainsi.
- Désolé ma vieille mais j'avais pas trouvé mieux ...
//SPAFF//
Dans le silence de la nuit, la gifle sembla encore plus retentissante qu'elle n'était, et Cerise garda sa main prête pour un revers. Miles ne méritait que cela à ses yeux d'être frappés encore et encore, mais la frustration et tout le reste la firent trembler et elle ne put que tomba a genoux les larmes aux yeux.
- Ça se saura, je dirais tout... Vous...vous n'aviez pas le droit, pas le droit de me faire ça à moi.Comment... Comment avez vous put? Que vous soyez odieux, c'est une chose, mais là... là... snif snif. Et s'ils m'avaient...
Même si Cerise ne hoquetait pas beaucoup, elle sentait la brulure des larmes sur ses joues et ça la faisait rager de pleurer à cause d'un homme comme Miles. Elle se releva maladroitement et avança de quelques pas à travers les cadavres.
- Je rentre. Démerdez-vous sans moi. Cerise serra ses bras contre les lambeaux de son vêtement.
- Vous n’êtes qu'un crétin qui pense être plus fort que les autres. Vous êtes arrogant, Ignoble, dénué de compassion… Ça ne m’étonne pas que vous soyez seul. Tout seul. Et vous savez quoi ? Le jour de votre mort, il n’y aura personne pour vous regretter. snif... Moi... moi j'avais confiance en vous moi.
Une larme perla sur son visage ou se lisait tristesse et déception et glissa jusqu'à son menton. Sans attendre plus longtemps, Cerise pivota et partie sans un regard en arrière.
Encore toute tremblante de cette histoire, elle se dit qu'elle devait se calmer pour aller vers la porte des étoiles qui devait se situer si elle se rappelait bien a moins de deux kilomètres au Nord. Elle avait du mal à bien voir où elle mettait les pieds, sa jupe maintenant fendue sur le coté lui permettait de mieux bouger ses jambes certes, mais elle était encore perturbée par ce qui s'était passé et vexée d'avoir été ainsi utilisée. S'il lui avait demandé elle aurait servit d'appât d'elle même, a contrecœur, mais elle l’aurait fait mais là... Cerise s'essuya les yeux: ses larmes n'arrangeaient rien : elle était partagée entre l'indignation, la peur et la rage, mais la déception se faisait la part belle.
Entre elle et Miles, cela n'avait jamais été l'amour fou, loin de là. Au début, Miles avait râlé comme pas permit d'avoir une archéologue dans son équipe, car c'était une civile et non une militaire et elle avait subi sans mot dire. Mais depuis qu'elle était rentrée vivante de sa mission avec SG-4, elle mettait même un point d'honneur à ne plus se laisser faire. Elle n'était jamais irrévérencieuse, non, son père l'avait bien éduquée, et elle respectait l'autorité pour avoir vécue les quinze premières années de sa vie dans la caserne du régiment de son père. Mais lui... LUI ! Et bien puisque Miles avait mis tan d'entrain à être dédaigneux envers elle, elle ne voyait pas pourquoi elle n'aurait pas fait de même, et puis ça mettait du piment dans sa vie. Enfin ça n'allait jamais loin, c'était des boutades, des piques, en gros elle l'enquiquinait dès qu'il commençait à trop la prendre de haut, ce qui, il fallait le reconnaitre arrivait malheureusement bien trop souvent, comme si justement il le faisait express. Elle se demandait même des fois s'il ne faisait pas expert de la taquinait ainsi, et si n'aimait pas cette tension et ses joutes verbales entre eux plus que ces séances de musculation, ou tout autant. Comme elle regrettait de s'être ainsi fourvoyée sur le compte de son colonel, enfin, DU colonel Quaritch, maintenant c'était clair, pour lui avoir fait endurer cela, il devait véritablement la détester. Malgré leur sale manie de s'envoyer paitre régulièrement, Cerise avait toujours eu confiance en lui: elle savait qu'elle faisait partie de son équipe, c'était son colonel comme elle disait, et pour elle il était comme un bouclier infranchissable, elle ne risquait rien. Mais ça, jamais elle ne l'aurait dit, il aurait prit la grosse tête et là, elle n'aurait jamais finit d'en entendre parler. Miles l'avait déjà sauvée de la mort et ils étaient toujours rentrés en vie des missions, n'est est-ce pas qu'il était bon chef? Pas obligé qu'il soit un bisounours pour être apprécié pour ses compétences de chef, enfin de l'avis de Cerise et puis, les bisounours, ce c'était bien qu'en peluches: en version hommes ça avait tendance à l'exaspérer au possible elle aimait un peu de "sport" c'était bien plus marrant, ce qui expliquait pourquoi a 30 ans elle était encore célibataire, elle n'aimait pas les hommes mous comme des guimauves, et qu'ils lui passaient tout, sans dire qu'elle aimait les salop machiste, il y avait quand même un juste milieu, qui n'était pas très peuplé a son gout... et elle devait avoué que Miles avait un petit quelque chose qui l'attirait un peu, un je ne sais quoi entre leurs jeux de mots et son physique, et elle avait plus d'un fois imaginé que... Ô comme elle s'était fourvoyé sur son compte, et elle s'en voulait.
Un sanglot s'étouffa dans sa gorge et elle s'arrêtât deux secondes le temps de s'essuyer les yeux sur sa manche. Elle avait vraiment été sincère quand elle lui avait dit qu'elle avait eut confiance en lui mais là, elle se dit qu'il avait dut la trouver bien débile et pathétique, alors qu'elle l'avait vraiment dit du fond du cœur.
- M'en fout de ce qu'il pense. Je m'en fout de se que tout le monde pense... Mais sans confiance... Sans confiance il n'y a plus d'équipe... c'est...c'est impossible.
Miles:
J'eus à peine le temps de finir ma phrase que je pris une baffe dans la face. Heureusement, pour elle, elle ne me mit pas le revers. Finalement, la jeune fille tomba à genoux. Peut être avais-je abusé, mais c'était nécessaire. Ils avaient des chiens, le nombre et des armes. De plus, je laisse jamais d'ennemi derrière moi. Telle est ma vision de la guerre. Quelque soit la situation, la fin justifie les moyens.
- Ça se saura, je dirais tout... Vous...vous n'aviez pas le droit, pas le droit de me faire ça à moi.Comment... Comment avez vous put? Que vous soyez odieux, c'est une chose, mais là... là... snif snif. Et s'ils m'avaient...
Tout de suite … les femmes imaginent toujours les pires scénarios, j'étais tout de même là … j'ai peut être aucune morale mais quand même …... Mais que dire … son raisonnement n'est pas spécialement faux … La confiance … ce n'est qu'une illusion. La confiance mène à la trahison, la souffrance et au final, la mort. Et maintenant elle veux partir … que faire … allez mon petit Miles, récupère la situation, montre tes talents en diplomatie.
- Euh …. vous êtes à moities nue …
* Bravo Miles ! Vraiment ! Bravo ! Si tu la fais pas fuir c'est que tu as de la chance *
Je me suis empressé de ramasser la veste d'un des cadavres et de la lui tendre.
- Vous savez quoi ? Vous avez raison. Dénoncez moi. Peu importe. Après les choses affreuses que j'ai pu commettre durant ma carrière, je ne mérite que ça. Seulement, savez-vous pourquoi j'ai fait ça ? Bien sur que non. Personne le sait. Personne comprend. Ces actions ont fait de moi un être froid, égocentrique et sarcastique. Je l'ai fait pour la nation. Et uniquement pour elle. Pendant que ta mère te donnait le seins et que ton père te racontait des histoires, il y en avait d'autres qui combattez pour les états unis, pour le monde. La guerre froide, le Vietnam. J'ai vu et réalisé des choses que personne n'aurait cru possible de l'homme. Et pourquoi ? Car il fallait des hommes comme moi, des bonne poires. Sacrifiant leurs vies privés, leurs avenirs et leurs passés. Comment pouvons-nous reprendre une vie normal après tout ça ? C'est impossible, personne le peut. On laisse défiler les années sans jamais oublier ce qu'on a fait et ce qu'on a vu. La seule chose qu'on espère, c'est que le destin nous soit favorable et nous retire la vie pour service rendu. Vous pouvez demander à O'neil ou n'importe qui. Et le pays nous a donné quoi ? Une médaille pour avoir tuer d'autres gens …. J'ai été contraint de faire des choix qui m'ont poussé à me détester. Pour que les États Unis ne souffrent pas, nous autres, loyaux soldats, nous avons tout donné pour des civils comme vous. Alors oui, j'estime être supérieur aux civils qui vienne me faire la morale. Alors oui, je mourrai seul car j'ai préféré donner ma vie à la Terre plutôt que de la vivre. J'ai vécu bien pire que ce que je vous ai fait. Pourquoi je ne vous ai pas consulté ? Car je n'avais pas le temps de me jeter dans un débat et une discutions sans fin. N'oubliez jamais que la fin justifie les moyens. J'ai promis de vous ramenez entière, mais je peux pas faire de miracle si vous me laissez pas faire ce qui me semble bon. Vous savez assez me faire la morale lorsqu'il s'agit de négociation, je vous ai même prévenu que ces … achats nous attiraient des ennuis. Mais vous avez pas voulu m'écouter. J'ai été contraint de réagir au mieux. Ils avaient des chiens, nous aurions pu courir des jours sans qu'ils perdent notre trace. Et en les laissant en vie, nous aurions prit le risque de nous faire encercler pendant la nuit. La première règle de survie c'est de jamais laisser d'ennemis derrière soit. J’admets être allé loin, mais c'était pour notre bien à tous les deux. Maintenant prenez cette veste, vous allez attraper froid. Maintenant faites votre choix, j'ai une mission à terminer, que vous soyez avec moi ou non. Dépêchez vous, il me reste encore à cacher les cadavres avant que quelqu'un les trouves.
Miles avait ouvert son cœur, chose qu'il n'avait pas faite depuis plusieurs années.
Raymond "Red" Reddington
Colonel ~ SGC
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Messages : 137 Date d'inscription : 29/11/2012 Age : 29 Feuille de personnage Affectation: VOIE LACTEE Equipe: Equipe SG-4 Gène:
Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:14
Cerise:
- Euh …. vous êtes à moities nue …
Cerise était perdue dans ses pensée et sursautât en entendant la voie de Miles, mais elle ne se retourna pas encore trop furieuse. Elle essayait en vain de savoir dans quelle direction était la porte des étoiles. Elle finit quand même par jeter un coup d’œil sur sa tenue.... A bien regarder ses fripes, Cerise se dit qu'elle aurait put aller faire le tapin, elle aurait certainement eut beaucoup de succès et elle renifla. Elle frissonnât et sentit quelques chose lui toucher le dos et comprit que Miles venait de lui poser une veste sur ses épaules. Elle était perplexe, ne comprenant pas ce qu’il avait en tête des fois. Mais elle n'arrivait pas a réfléchir, toujours perdue dans un enchevêtrement complexe de stress, peur, culpabilité, colère et autres.
- Vous savez quoi ? Vous avez raison. Dénoncez moi. Peu importe. Après les choses affreuses que j'ai pu commettre durant ma carrière, je ne mérite que ça. Seulement, savez-vous pourquoi j'ai fait ça ? Bien sur que non. Personne le sait.
-…?
Cerise resta sans voix et se retourna silencieusement pour regarder Miles. Elle le vit très sérieux et là, entourée de cadavres, elle fut saisie et se tut pour l’écouter ayant l'impression que le colonel aller parler franchement et sans détour.
- Personne comprend. Ces actions ont fait de moi un être froid, égocentrique et sarcastique.
*Ah ça, je confirme que des fois, il est gratiné mon colonel quand il s'y met.*
- Je l'ai fait pour la nation. Et uniquement pour elle. Pendant que ta mère te donnait le sein et que ton père te racontait des histoires, il y en avait d'autres qui combattez pour les états unis, pour le monde.
*Le sein ?! Han... j'ai pas l’âge d’être sa fille quand même …Il est pas si vieux si?!*
- La guerre froide, le Vietnam. J'ai vu et réalisé des choses que personne n'aurait cru possible de l'homme. Et pourquoi ? Car il fallait des hommes comme moi, des bonne poires. Sacrifiant leurs vies privés, leurs avenirs et leurs passés. Comment pouvons-nous reprendre une vie normal après tout ça ? C'est impossible, personne le peut.
Cerise le regarda et ne savait que dire... Ce qu'il disait n'était pas faut, et ça la rendait un peu triste. Elle nota que les mots étaient lourd surtout dans le silence de la forêt, et elle resserra ses petites mains sur la veste histoire de se protéger un peu du froid qui commencer à lui donner la chair de poule.
- On laisse défiler les années sans jamais oublier ce qu'on a fait et ce qu'on a vu. La seule chose qu'on espère, c'est que le destin nous soit favorable et nous retire la vie pour service rendu. Vous pouvez demander à O'neil ou n'importe qui. Et le pays nous a donné quoi ? Une médaille pour avoir tuer d'autres gens …. J'ai été contraint de faire des choix qui m'ont poussé à me détester. Pour que les États Unis ne souffrent pas, nous autres, loyaux soldats, nous avons tout donné pour des civils comme vous.
Cerise baissa les yeux, bizarrement ça lui rappeler les remontrances de son père à l’époque et là, elle se sentait merdeuse. Elle ne s’était jamais demandé pourquoi son colonel était si… si...si lui quoi. Elle s’en moquait en fait, car le passé ça ne l’intéressait que si ça concernait des artefacts anciens ou des civilisations disparues, pas des humains vivants. Elle considérait qu'on devenait ce qu'on voulait, et se disait que des fois, c'était un choix difficile a assumer... Peut être que c'était ça en fait? Le colonel se détestait peut être vraiment, mais il avait "sacrifié " sa vie pour les autres.. Elle l'avais toujours vu comme un sale con, mais peut être qu'il ne savait plus comment faire pour être autrement.
- Alors oui, j'estime être supérieur aux civils qui viennent me faire la morale. Alors oui, je mourrai seul car j'ai préféré donner ma vie à la Terre plutôt que de la vivre. J'ai vécu bien pire que ce que je vous ai fait. Pourquoi je ne vous ai pas consulté ? Car je n'avais pas le temps de me jeter dans un débat et une discutions sans fin. N'oubliez jamais que la fin justifie les moyens. J'ai promis de vous ramenez entière, mais je ne peux pas faire de miracle si vous me laissez pas faire ce qui me semble bon. Vous savez assez me faire la morale lorsqu'il s'agit de négociation, je vous ai même prévenu que ces … achats nous attiraient des ennuis. Mais vous n’avez pas voulu m'écouter. J'ai été contraint de réagir au mieux. Ils avaient des chiens, nous aurions pu courir des jours sans qu'ils perdent notre trace. Et en les laissant en vie, nous aurions prit le risque de nous faire encercler pendant la nuit. La première règle de survie c'est de jamais laisser d'ennemis derrière soit. J’admets être allé loin, mais c'était pour notre bien à tous les deux. Maintenant prenez cette veste, vous allez attraper froid. Maintenant faites votre choix, j'ai une mission à terminer, que vous soyez avec moi ou non. Dépêchez vous, il me reste encore à cacher les cadavres avant que quelqu'un les trouves.
Cerise pinça ses lèvres et passa les bras dans les manches de la veste sur ses épaules et la boutonna maladroitement. Le silence était pesant et lui faisait presque mal aux oreilles après le long monologue de Miles. Cela semblait avoir jaillit tout seul, et Cerise se dit que Miles n’avais peut être jamais dis cela à personne. Elle lui en voulait encore certes, mais elle était perdue dans des émotions contradictoires et ne savait plus quoi dire, quoi faire… Elle avait de la peine pour tout ce qu’il venait de dire… Il avait été façonné comme il était maintenant et il ne pensait pas pouvoir faire autrement, il pensait ne pas avoir le droit de vivre normalement et ça lui donnait un coté "Wolverine", ce héros en marge des autres, un gentil "méchant" comme elle disait , bourru mais diablement attirant malgré tout ... Tout ça la rendait triste et ça lui rappela ça aussi son père: lui aussi tenait le même genre de discourt, surtout après les guerres d’Afrique qu’il avait vécues. Et le regard que Miles avait, elle devait être franche, oui, elle l’avait déjà vu à O’neill et à d’autres aussi, comme si quelques chose étaient brisés, ou était passé... enfin c'est ce qu'elle ressentait elle.
Cerise leva ses deux billes yeux encore un peu rouges vers Miles et se pinça les lèvres, en se disant qu’on réagissait tous différemment aux épreuves de la vie, et qu'elle aurait peut être fini pareil a sa place... Était elle donc si parfaite qu'elle pouvait se permettre de le juger? Il manquait cruellement de tact, c'était surtout ça qui la crispait. Elle se dit même qu'avec son comportement, il devait pas avoir beaucoup de relations avec la gente féminine, et le déplorât, au moins, ça l'aurait déridé un grand coup. Elle revient a l'instant présent et se dit que si elle réussissait a lui faire comprendre qu'il devrait se montrer un peu moins bourrin avec elle, peut être que ça irait mieux et qu'elle pourrait rester car elle voyait mal Miles finir la mission seul. Se faire engagé chez les luxiens peut être, et peut être même qu'il préfèrerais rester la bas que de revenir sur Terre, mais jamais il ne trouverait ce qu'ils étaient venus chercher, il avait besoin d'elle, et ça elle le savait, il ne pourrait pas faire son job a elle, "A chacun ses capacités" comme disait son vieux père. Elle choisi de faire un geste vers lui après ce qu'il venait de dire, elle pouvait faire cet effort, mais elle ne voulait pas qu'il la prenne pour une débile non plus, alors elle resta sur la défensive.
-Mouaais… mouais, bon, OUI ! Je veux bien reconnaitre que c'était pas malin malin pour ces achats, on aurait dut direct se tirer sur une autre planète... OK! Mais dites moi" Monsieur j'ai des muscles mais pas de vaisseau" comment vouliez-vous faire sans argent et ni vaisseau justement pour avoir l’air de mercenaires ? Il aurait fallut m'en toucher deux mots avant. Là je voudrais pas être méchante, mais je fais plutôt fille de joie que mercenaire. Quoiqu'il est surement vrai qu'ainsi j'aurais peut être plus de chance d’approcher les luxiens ainsi... Mais ya un hic, c'est que je ne refile pas ma vertu au premier venu… ou j’aurais un tas d'amants au SGC. Et encore désolé mais j’ai eut si peur que vous me laissiez là et que justement ils me… Enfin merde mon colonel! Je suis une femme quand même! Vous imaginez tout ce qui m'est passé en tête là?! et je suis civile "c.i.v.i.l.e", je n’ai pas votre sang froids ou vos couilles bon sang ! Je veux bien vous laisser faire ce que bon vous semble. OK! Mais pas avec mon corps! ou alors faut que je soit sure que je garderais mon intégrité physique! Vous comprenez ? Vous imaginez si... je sais pas, s'ils avaient tardé a arrivés et que vous vous étiez endormis.. ou autre! J'ai vraiment crus que vous me détestiez tellement que vous les auriez laissez me...
Cerise serra les bras contre sa poitrine et jeta un regard de cocker à Miles. Elle ouvrir la bouche pour parler mais se retient. Elle avança vers lui prenant sur elle, ravalant un peu sa fierté, car ils étaient si têtus tous les deux que si l'un des deux ne choisissait pas de "laisser passer" ils n'arriveraient a rien,e t se braqueraient l'un l'autre ad vitam éternum. N’avez t'il pas dit qu'il avait fait cela pou eux deux? et n'avez 'il pas reconnu qu'il était allez trop loin? Cerise fit une moue boudeuse en se disant qu'elle était peut être trop gentille des fois, mais bon, elle était ainsi, et puis... a être franche, elle s’ennuierait de lui s'il n'était pas là pour la taquiner.
Cerise s'approcha de Miles en essayant de le jauger: énervé? tendu? Elle se mordit la lèvre nerveusement.
- Je suis désolé, mais les tords sont partagés. Enfin mon colonel, qu'on se chamaille, qu'on s’engueule.... Allez! avouez que vous aimez ça autant que moi! sinon, vous auriez déjà demandez ma mutation dans une autre équipe. C'est un petit sport entre nous, ça met un peu de piment non?!...mais Miles? Il y a des limites que je ne pourrait pas franchir moi...ne l'oubliez pas, je ne suis pas comme vous.
Cerise tendit la main et enleva une grosse brindille qui s'était accroché dans le T-shirt de Miles et lui sourit d'un air entendu style : "On fait la paix?"... Non, elle n'était pas une simple d'esprit même si on la disait ingénue, et non, là elle ne s’aplatissait pas devant lui, car celle ne voulait plus se laissait marcher sur les pieds par un homme, mais il n'avait pas tord: il y avait une mission a mener à bien: la Terre comptait sur eux. Alors, elle voulait bien tenter de nouveau, mais cette fois, elle ferait attention a ne plus dépasserait plus les bornes de son coté, enfin ou juste un chouïa, alors elle espérait que Miles aurait assez de jugeote pour comprendre qu'elle lui laissait une chance, et qui se conduirait un peu mieux envers elle. Qui sait peut être qu'a travers cette missions ils réussiraient a trouver un compromis pour travailler ensemble sans se faire trop de sale coups: tout était une question de rodage, Jackson lui avait bien dit que c'était tendus avec O'neill au début, a elle donc de faire des efforts, vu que les militaires étaient tous des bœufs à oeilléres.
-Humm! Sinon... Je veux bien leur faire les poches... mais vous vous débrouillez tout seul pour le reste.
Elle le planta là pour aller voir si elle trouvait des trucs à piquer aux cadavres, qui n'en aurait plus besoins après tout, puis, son racket auprès des mort finis, elle chercha son sac et finit par le trouver assez loin.
Quand elle revient sur place elle, ne trouva plus de trace de combat, enfin trace de tuerie car les pauvres n'avait pas vraiment combattus. Ne voyant Miles nulle part, elle s'emmitoufla comme elle pouvait dans la veste , et se laissa aller sur un tronc d'arbre renversé. Là, elle réfléchit maintenant calmée, et tout ce qui s'était passé semblait être une mauvaise farce. Elle respira a fond plus souffla en se disant qu'elle avait froid et qu'elle espérait bien que Miles lui apporterais un peu plus de crédit a l'avenir. En pensant à l'avenir, Cerise se demanda en baillant à s'en décrocher la mâchoire ce qu'ils allaient faire justement. Retourner en ville lui paraissait inconcevable si les voyous étaient en bandes, c'était cuit. Dormir ici à la belle étoile? Pas si prés du lieux du "drame", ça lui semblait impossible malgré ses paupières lourdes de sommeil. Elle se dit qu'elle éviterait de faire des nuits blanche dorénavant car c'était moins marrant quand on enchainait une mission dessus, surtout quand le trop plein d’adrénaline descendait, on se sentait si exténué... Peut être allez jusqu’à la porte des étoiles et passé à la planète suivante de la liste? Cerise renifla un peu, se courba histoire de perdre moins de chaleur et se demanda ce que fessait Miles, car en n'en pas doutait, elle se dit que Miles lui avait surement un plan en tête.
- Gne gnegn...Je suis qu'une civile c'est vrai., ok.. Mais ... mais je fait des efforts quand même...n'est ce pas suffisant...gnegne? Cerise meumeuma ses derniers mots dans un état semi-commateux. Son esprit embrumé par le sommeil luttait pour rester réveiller, mais cela ne dura pas, et elle glissa au sol, le dos appuyé au tronc d'arbre en somnolant...
Miles:
Cette fille était spéciale … affreusement spéciale. Il est impossible d'avoir le dernier mot avec elle, Miles l'avait compris depuis qu'il l'avait rencontré. Le soucis, c'est qu'elle a le plus souvent raison et c'est ce qui irrite Miles. Il déteste qu'on conteste son autorité ou qu'on mette sa parole en doute. Cette fille … cette femme … a le don ou la motivation d'enfreindre toutes les règles qu'il impose lorsqu'on sert sous son commandement. C'est une plaie, mais c'est aussi une personne de valeur qui n'hésite pas à le remettre à sa place lorsqu'il dépasse les bornes. -Mouaais… mouais, bon, OUI ! Je veux bien reconnaitre que c'était pas malin malin pour ces achats, on aurait dut direct se tirer sur une autre planète... OK! Mais dites moi" Monsieur j'ai des muscles mais pas de vaisseau" comment vouliez-vous faire sans argent et ni vaisseau justement pour avoir l’air de mercenaires ? Il aurait fallut m'en toucher deux mots avant.
* Je confirme, c'était même stupide … m'enfin … on ne doit pas trop en demander aux civils non plus … Pfff …. facile, j'en vole un vaisseau … je suis pas ici pour acheter quelque chose qui me servira à rien plus tard … Bah voyons, et nous serions parti sur un débat épuisant et inutile …. non merci, je préfère faire mes choix seul … *
- Là je voudrais pas être méchante, mais je fais plutôt fille de joie que mercenaire. Quoiqu'il est surement vrai qu'ainsi j'aurais peut être plus de chance d’approcher les luxiens ainsi... Mais ya un hic, c'est que je ne refile pas ma vertu au premier venu… ou j’aurais un tas d'amants au SGC.
* Personnellement je vais pas m'en plaindre … et puis il faut voir le côté utile de la chose, les mercenaires seront plus concentré sur tes formes plutôt que sur moi. La vertu … jolie mot qui ne signifie rien ici … dans le monde du crime, tout a un prix … mais elle va vite s'en rendre compte j'imagine … et puis … c'est le cas, j'ai entendu pas mal de mes collèges disant qu'ils vous étaient passés dessus … réalité ou fiction ? L'avenir nous le dira hahaha *
- Et encore désolé mais j’ai eut si peur que vous me laissiez là et que justement ils me… Enfin merde mon colonel! Je suis une femme quand même! Vous imaginez tout ce qui m'est passé en tête là?! et je suis civile "c.i.v.i.l.e", je n’ai pas votre sang froids ou vos couilles bon sang ! Je veux bien vous laisser faire ce que bon vous semble. OK! Mais pas avec mon corps! ou alors faut que je soit sure que je garderais mon intégrité physique! Vous comprenez ?
* Une femme … elle qui était la première à défendre l'égalité homme et femme … voilà qu'elle vient de se piéger elle même ! Et oui, j'ai peu de mal à m'imaginer ce qui t'es passer par la tête car c'est l'une des raisons qui m'a poussé à vous attacher à cette arbre plutôt qu'ailleurs, mais passons. Je confirme, personne n'a mes couilles. Et, au cas om tu l'auras pas remarqué, je fais déjà ce que je veux, quand à votre intégrité physique, j'y repenserai … à l'occasion … héhé. *
- Vous imaginez si... je sais pas, s'ils avaient tardé a arrivés et que vous vous étiez endormis.. ou autre! J'ai vraiment crus que vous me détestiez tellement que vous les auriez laissez me...
* C'est vrai que ça aurait été dommage … m'enfin, dans ce malheur j'aurai eu le droit d'entendre le silence plutôt que votre voix stridente … *
Elle l'épuisait … elle le fatiguait … alors il avait décidé de faire la paix, pas question qu'elle reparte dans un monologue ! Ha non ! Il n'y survivrait pas …
- Je suis désolé, mais les tords sont partagés. Enfin mon colonel, qu'on se chamaille, qu'on s’engueule.... Allez! avouez que vous aimez ça autant que moi! sinon, vous auriez déjà demandez ma mutation dans une autre équipe. C'est un petit sport entre nous, ça met un peu de piment non?!...mais Miles? Il y a des limites que je ne pourrait pas franchir moi...ne l'oubliez pas, je ne suis pas comme vous.
* Bah voyons, sa va être ma faute maintenant … bon ok ... mais juste un petit peu alors … * Mais elle avait raison, il ne pouvait pas le reconnaître devant elle mais il aimait qu'elle lui tienne tête alors que d'habitude il terrorise tout le monde. Bref, il avait du boulot. Alors que Barbie faisait les poches, Miles cacha les cadavres en quelques minutes puis s'éloigna légèrement du lieu du drame. Puis il commença à préparer un campement, il avait vu son regard exténuer, elle avait besoin de repos. Ainsi elle ne pourra pas aller bien loin et puis c'est une manière de se faire pardonner. Lorsqu'il revint vers elle il entendit :
- Gne gnegn...Je suis qu'une civile c'est vrai., ok.. Mais ... mais je fait des efforts quand même...n'est ce pas suffisant...gnegne?
- Non, c'est pas suffisant Barbie. Alors, vous venez ? Oh pardon, je ne pensais pas que vous dormiez pendant le service … Alez venez … Miles la releva et l'emmena en direction du campement tout en lui faisant croire qu'ils repartaient en mission ...
Cerise:
Cerise avait froid, et cela lui rappela les dernières fouilles auxquelles elle avait participé avant de passer son diplôme. C’était dans le nord de l’Allemagne, un campement antique romain… Il faisait froid, c’était dans une forêt sombre… tout comme aujourd’hui. Mais son directeur de doctorat, ce cher Victor,ne serait pas là pour la réchauffer cette fois-ci.
- Non, c'est pas suffisant Barbie. Alors, vous venez ? Oh pardon, je ne pensais pas que vous dormiez pendant le service … Allez venez …
- [FR] Humm ? namémoizesuibienla… humm… maiss eeeuh... ze ve z've dormiir… Humm C'pavrai... vouetesuntyran Miiiless…
Cerise chouïna un peu alors que Miles la trainait derrière elle. Elle se mit a marcher comme elle pouvait mais avait diablement envie de se laisser aller a dormir ou elle était pour retourner dans son rêve-souvenir. Elle le laissa la guider et fit par s’appuyer plus ou moins sur lui : elle n’en pouvait plus, entre sa nuit blanche et les évènements récents, il lui était difficile de rester lucide.
* Mais oui il m’emmène encore...? Pfff ...Han mais j’en peux plus…je suis trop fatiguée moi… Il a qu’à me porter merde. C'est finit, je vais m’écrouler là… tans pis. Que les loups me dévorent s'ils veulent mais j’en peux plus… dorrm…miiiirrrrr*
Ils s’arrêtèrent et Cerise se laissa aller au sol, et après avoir baragouiné à moitié endormie, elle se coucha sur le coté. Elle repliât ses jambes prés de son buste puis s’endormit en réchauffant de son souffle chaud ses mains qu’elle serrait devant son visage.
Lorsqu’elle se réveilla plus tard, transit de froid, Cerise chouïna un peu: Ou était son lit chaud, confortable et moelleux du SGC ? Ou était les toilettes et sa salle de bain, et surtout… Ou était sa couette qui lui tenait si chaud, à elle si frileuse.
Il faisait noir, il y avait plein de bruits bizarres et elle ne se sentait pas fière ni sure d’elle et elle fit une moue boudeuse et renifla. Elle regarda devant elle et ne vit rien et se demanda si Miles l’avais abandonnée à son triste sort, elle s’assit et regarda de l’autre.
* Ah bah non tiens! il est là.. Mais... Mais on est ou au fait??*
Cerise regarda les environ mais ne distingua rien a par la forêt a perte de vue, puis, elle regarda la veste que Miles avait récupérée sur un cadavre pour lui mettre. La veste était largement entrebâillée, car c’était une veste d’homme, et Cerise grimaça a la vue de son décolleté dorénavant bien pigeonnant. Elle frissonnât en se disant qu’il fallait qu’elle se réchauffe un peu, car après la chair de poule se serait les frissons, et là, sur qu’elle risquait de tombé malade... Et Miles n’apprécierait pas de se coltiner une Cerise malade... Déjà qu'une Cerise en bon état ça avait l'air insurmontable pour lui, alors autant pas pousser le bouchon plus loin.
*En parlant de Miles…*
Cerise avait une idée bien précise en tête et lui jetât un coup d’œil. Elle épia sa respiration: il avait l’air de dormir certes, mais pour l'idée qui lui avait traversé la tête, mieux valait en être sure et certaine.
- Miles ?…miiiless ?.... vous dormez ?
Cerise murmura ces mots tout en s’approchant à quatre pattes sans faire de bruits. Arrivée prêt de lui, elle s’arrêta et s’assit quelques instants.
* Comment qu’il est calme et paisible quand il dort… ça change. C’est même bizarre ! Ah lala… s’il pouvait dormir plus souvent, on respirerait tous bien mieux. Quoiqu'il ne m’effraye pas, non... c'est un homme rustre, ultra orgueilleux et chiant au possible...mais avec la longue vie de militaire qu'il traine c'est logique... ça me rappelle le général du régiment à papa ça...
Bon… Par contre il fait vraiment froid!! Alors, à la guerre comme à la guerre Miles... désolé!*
-Désolé mon cher Miles... ♪ mais vous allez payer de votre personne ♫
Tout en murmurant ces mots, Cerise ne put s’empêcher de sourire et se pinça la lèvre du bas en imaginant la tête que ferait le colonel s'il savait ce qu'elle s’apprêtait a faire, puis décidant qu'elle n'en avait rien a foutre de ce qu'il penserait, elle se coucha et se blotti contre le son dos.
* Ahhh… Ça va de suite mieux. Ahhhh.... qu'est ce qu'il est chaud Miles. C'est agréable tel un chauffage, Aaaaahhhhh ... N’empêche qu'il a une très bonne condition physique malgré son âge*
Cerise se serra encore plus, jusqu’à être le plus collé possible contre Miles. Elle ne se sentait absolument pas coupable ou autre, après tout elle avait froid et devait se réchauffer pour être opérationnelle non?... Elle espéra juste qu'elle ne se mettrait pas le serrer dans ses bras cette nuit, car là, il ferait surement une crise cardiaque. Cerise pouffa en se demandant si ça serait par ce que c'était "elle" qui le ferait, ou par ce que ça devait bien faire longtemps que cet énergumène avait pas approcher de femme vu son comportement, puis, elle ferma ses grands yeux saphirs, un grand sourire aux lévres et se rendormie pour de bon en se sentant au chaud et en sécurité. Elle dormit d'un sommeil lourd et réparateur, et c'était tans mieux, car a n'en pas douter, le lendemain serait chargé. En attendant Cerise retourna a ses rêves et ne put s’empêcher de murmurer dans son sommeil.
- [FR] Hum...Victor, hummm...oh ... oh non…
Miles:
Lorsque Miles l'emmena, Cerise recommençait à chouiner. Depuis le début de la mission elle lui avait tenue tête et avait encaisser toutes ses méchancetés, elle avait vraiment évolué. D'une certaine manière, Miles avait fini par avoir du respect pour elle, ainsi que de la fierté. Bien sur, il ne lui montrait pas, il était un militaire arrogant et méprisable. C'est pour cette raison qu'il avait décidé de faire une halte. En tant normal ils auraient continué, mais elle était bien trop épuisé, cette marche forcé n'aurait servi à rien. Il avait donc fait un geste, il ne savait pas ce qu'il trouvait de si attrayant chez elle mais elle avait raison, il adorait leurs disputes et leurs coups bas.Puis elle se laissa tomber au sol. Elle se roula en boule. Miles la laissa faire et se coucha pas très loin d'elle, pour qu'en cas d'attaque il puisse rapidement la protéger. Il dormit très peu, comme toujours, hanté par de vieux cauchemar, cadeau des hommes qu'il a tué. Pour protéger ses arrières il faisait semblant de dormir, réglant sa respiration; Ainsi, si ils étaient épiés, personne pourrait le soupçonner d'être réveiller. Puis il entendit Cerise bouger, elle semblait s'être réveiller par le froid probablement.Puis elle l’appela :
- Miles ?…miiiless ?.... vous dormez ?
Les yeux de Miles s'ouvrirent d'un coup. Heureusement, il lui tournait le dos et elle ne put rien voir. C'était pas l'heure de débattre, taper la discute ou même parler de chauffage ! Il choisit d'ignorer son appelle par pure précaution. Ce fut une erreur malheureusement ... La suite de ce qu'il entendit le choqua légèrement sur le coup.
-Désolé mon cher Miles... ♪ mais vous allez payer de votre personne ♫
Que faire ... partir sur un débat qui dura probablement la moitié de la nuit ou la laisser faire ... Il n'eut pas le temps de choisir qu'il sentit quelqu'un se coller à lui. A ce moment là il n'osa plus bouger.
Une bonne heure passa lorsqu'il la sentit trembler. Inquiet, Miles se retourna doucement, prenant soin de ne pas la réveiller. Il prit sa main dans la sienne, elle était douce, bien au contraire de la sienne. En même temps, c'était une jeune fille qui n'avait pas connu la guerre et les blessures ... heureusement pour elle. Il hésita quelques minutes, il ne voulait pas passer pour un vieux pervers, mais il ne voulait pas non plus se traîner une malade. Finalement, il se décida. Il passa un bras sous sa tête, l'autre bras rejoignit l'autre. Il approcha sa tête contre son torse, l'endroit le plus chaud du corps humain. C'était certes une position ambigüe, mais il ne tenait pas à se trainer une malade. De plus, sans qu'il sache pourquoi, il en avait envie. Elle était si belle endormi, elle paraissait si innocente ... que c'était difficile d'y croire quand on la connait vraiment. C'est donc dans cette position qu'il passèrent le restant de la nuit. Deux ou trois heures heures avant le matin, il entendit :
- [FR] Hum...Victor, hummm...oh ... oh non…
Ce fut automatique, il ne put empêcher l'érection dont il fut prit. Ne voulant pas la réveiller et passer pour un pervers, il recula son bassin ... par mesure de sécurité. Il se sentait mal, peut être même vexé ... pourquoi ? il ne savait pas ... il se sentait ... jaloux. Depuis qu'ils travaillent ensemble, il a toujours veiller sur elle, discrètement naturellement, mais il était toujours sur le qui-vive. Il tenait beaucoup à elle. Elle apportait du soleil dans sa tête quand il faisait tout noir et surtout elle n'hésitait pas à l'engueuler. C'était nouveau pour lui mais il adorai ça, enfaite ... il l'adorait tout simplement. Il resta contre elle jusqu'à l'heure de levée. Lorsqu'il la sentit bougé légèrement, signe qu'elle était peut être réveillé, il décida d'aller préparer le déjeuner. Il alla donc vers les sacs et prépara le semblant de nourriture qu'ils avaient emporter. Il reporta son regard sur elle et pensa :
* Elle est vraiment magnifique ... *
Cerise:
Cerise avait toujours eut le sommeil lourd, petite déjà son père disait tout le temps qu’on aurait put faire exploser une roquette au pied de son lit que ça ne l’aurait pas réveillé. Cette nuit là ne dérogeât pas a la règle et Cerise n’eut pas conscience que Miles l'eut déplacé contre sa poitrine, ni qu'elle s'était largement blotti dans ses bras, mélangeant ses sensations a celle de son rêve. Ce fut les rayons du soleil qui la firent émerger: elle grognât un peu de mécontentement et bougea pour leur échapper car ils lui chauffait ses paupières encore lourdes de sommeil. Quand Cerise se réveilla complètement, et seule, elle s’assit avant de porter les mains à ses yeux pour les frotter et s’étirer. Elle sourit alors avec un air béat tout en soufflant de satisfaction: elle était de super humeur aujourd'hui, reposée et d’attaque pour la nouvelle journée à venir. Peut être est ce dut au rêve de cette nuit : les bras de son ancien amant. Leur histoire ne s'était pas bien terminée du tout, et c'était aussi a cause de lui qu'elle ne voulait plus s'attacher a un homme, mais elle devait s’avouer que cette nuit là en Allemagne avait été ô combien agréable. C’était étrange, mais elle avait presque l’impression de ne pas avoir rêvé : cette sensation de chaud et de sécurité, cet apaisement... Elle leva les bras au ciel en se disant qu’elle avait vraiment la sensation d’avoir réellement passé la nuit lovée contre lui, c'était étrange... *Drôle de sensation.* Un bruit attira son attention et elle posa son regard bleu sur Miles et les ouvrit très grands en se souvenant qu'elle avait dormit tout contre lui et qu'il devait surement l'avoir vu a son réveil. Elle se mordit la lèvre inférieure pour s’empêcher de sourire nerveusement, mais n'avait pas l'intention de s'en excuser.
*Oups…Miles. Mince, ça aurait été bien que je me réveille avant lui… Aahhh.. Je sens que je vais prendre cher pour cette nuit.*
Cerise regarda Miles de dos et se trouva un peu déstabilisée et embarrassé de s’être laisser aller a s’endormir contre lui si facilement. Elle avait eut si froid et puis, il était le seul « chauffage » à la ronde, mais... Elle souffla en s'avouant que ca avait été bien agréable, et que si elle s'était laissée allé c'était à cause... * ... de son dos si large et musclé, de sa chaleur, de son odeur... *
Cerise sentit ses joues la picoter un peu et elle leva rapidement les mains a ses joues, et essaya de chasser très vite ses pensées de son esprit.
*Reprend toi! Tu es en mission et ... et ... et tu es en train de baver sur ton colonel ... le seul homme qui ne te porte aucun un crédit ma belle. Ça va pas non?! *
Assise en tailleur, elle regarda la forêt qui les entourait espérant trouver quelque chose avec un quelconque intérêt pour penser à autre chose qu’a Miles. Ou alors, elle devrait trouver une bonne raison pour lui expliquer pourquoi elle rougissait au réveil. Celui-ci se retourna alors vers elle, leur regard se croisa et un silence flotta alors entre eux. Cerise toujours avec ses idées en arrière fond ne put détacher son regard de lui, et un sourire tout gêné flotta sur ses lèvres. Elle se demanda que dire.*Bonjour, passez une bonne nuit ? * Non, elle sentait qu’elle allait s’en prendre plein la poire...* Bien dormit?... peut être?* Il allait la trouver mesquine et elle n’avait pas envie de gâcher sa bonne humeur si tôt le matin en se mettant à devoir lui tenir tête. Elle n’était pas assez réveillée pour ça, et n’avait pas envie de discuter ni de se disputer. Ne sachant que dire qui ne marquerait pas le début des hostilités, Cerise attrapa une mèche de cheveux qui lui tombait sur les yeux, et la ramena derrière son oreille droite. Elle optât pour un joker.
Cerise se leva et s'approcha de lui toujours souriante: elle n'avait pas envie de se laissé aller aujourd'hui a la morosité. Elle fit un "O" de la bouche en voyant que Miles avait préparé un semblant de collation, mais ne dis rien. Tout en s'approchant elle força les sourcils en essayant désespérément de retrousser les manches de sa veste, mais le tissus était épais et la gênait plus qu'autre chose, alors Cerise se défît de la veste et s'assit face à Miles, les jambes repliées sur le coté. Elle leva les yeux au ciel et mis la main pour se protéger du soleil: il était tôt mais il fessait déjà bon, c'était déjà ça. Elle attrapa une barre alimentaire américaine annonçant sur l’emballage "chocolat", et entreprit de la déballer et de la mastiquer. Elle prit le temps de bien mâcher pour augmenter sa satiété d'un et surtout pour ne pas pouvoir répondre aux quelconque questions ou provocations que Miles ne manquerait certainement pas de lui faire. Après avoir fini la barre Cerise prépara du café avec la ration de survit, comme Juno lui avait montré et en proposa a Miles. C'était bizarre, mais elle éprouvait une sorte de gêne ou d'appréhension entre eux…mais elle ne savait pas pourquoi. Peut être a cause de ce qui s'était passé hier, ou même cette nuit? Elle eut un petit sourire crispé. Elle sentit une miette sans son décolleté et le passage de sa main lui rappela que son haut était lacéré et avait perdu une bretelle, tout comme son soutien-gorge hors de prix. Elle souffla en se disant qu'elle allait devoir aller racheter un vêtements, et qu'il lui faudrait convaincre Miles d'abord. Elle pensa alors à son sac et a son contenu. Cerise se leva et alla vers son sac pour justement vérifier que tout y était quand elle fut éblouie par un reflet devant elle. Elle fit quelque pas dans cette direction et sourit.
-Ooh... un point d'eau!
Elle se mordit les lèvres et se retourna vers Miles, aussi contente qu'une gamine qui venait de découvrir que le père noël existait vraiment…
-Colonel? Il y a une rivière à 30,40 m... Hum…je vais aller me débarbouiller de toute cette terre d’hier soir.
Puis, avant qu'il ne puisse dire non, elle attrapa une serviette en microfibre dans son sac, un bout de savon d’Alep qu'elle gardait toujours avec elle, son zat puis le gratifia d'un merci sonore avant de descendit vers la rive. Elle s’arrêta aux abords d'un large arbuste et attendit d'être sur que c'était dessert. Un bruit d’oiseau l'attira à sa gauche et elle découvrit une marre dans un bras mort aux larges galets. L'endroit caché par une bonne barrière végétale était paisible et elle s'en approcha. Elle commença à se laver le visage, l'eau était un peu froide, mais elle avait connu pire en camping. Elle souffla un peu et se recoiffa les cheveux en une queue de cheval, et regarda tour a tour l'eau puis son savon avec grand intérêt. Ni une ni deux, elle dé-zippa ses bottes, plongeât les pieds dans l'eau et fit attention a ne pas glisser sur les pierres. Elle enleva les trace de terre, d'humus, brindille et autres poussières qui lui collait à la peau: elle sentait la terre fraiche et elle n'aimait pas ça. Elle leva les yeux au ciel tout en remuant ses jambes appréciant le contact de l'eau. Une idée germa dans sa tête et elle se demanda si elle valait le coup d'être tenté, elle se dit que Miles allait encore piquer une crise, mais tans pis, la tentation fut trop forte. Ne résistant pas, Cerise retourna sur la berge, s'effeuilla et retourna dans l'eau savon a la main, en se disant qu'il lui suffisait de juste de pas être trop longue. Elle se lava minutieusement mais assez rapidement pour ne pas que Miles ne lui fasse remarquer la longueur de son absence puis, elle attrapa sa serviette et épongea son corps tout en se félicitant de cet achat utile et peu encombrant. Elle se rhabilla ensuite, tout contente d'être propre et maintenant bien réveillée, puis reprit la route de leur campement de fortune en laissant échapper un soupir de satisfaction non feinte. Arrivée sur place, et la tête dans la lune, elle rangea ses affaires dans son sac en se demandant ce qu’ils allaient faire maintenant...
Miles:
Lorsque leurs regards se croisèrent, un flots de souvenir défila sous ses yeux. Il était encore en URSS, à l'école des officiers du KGB. Son père lui avait donné le meilleur entraînement militaire au monde, il fut initier aux méthodes de combat des agents soviétique, puis aux méthodes militaires de l'armée américaine. C'était à Moscou, il était tombé fou amoureux d'une femme russe, ils s'étaient rencontrer dans la rue, elle ramassait ses affaires par terre après s'être fait bousculer par un moins que rien. Miles était à ce moment là bien différent ... et bien plus jeune aussi. La guerre ne l'avait pas encore rendu impossible à vivre. A cette époque, il était rieur, fêtard et charmeur, et non sarcastique, froid et antipathique.
Il ne vivait que pour elle, il n'avait d'yeux que pour elle. Elle était sa raison de vivre, son avenir ... du moins, c'était ce qu'il croyait aveuglément. Les sentiments sont pour les hommes leur plus grande faiblesse même si ils s’efforce désespérément de le cacher. Miles se sentait surveillé, en même temps il était américain, c'était prévisible. Un soir alors qu'il rentrait chez lui,il fut frôler par un tir de sniper, il se mit rapidement à couvert. Son agresseur prit la fuite en courant sur le toit dont il avait prit position, Miles le suivit de loin, courant dans la rue. Ils se trouvèrent face à face dans une ruelle, Miles fut le moins rapide des deux, mais fut le plus précis. Il fut touché à l'épaule alors que son agresseur fut mortellement blessé à la poitrine. Le futur Colonel retira la cagoule de son agresseur et découvrit que c'était pas un agresseur mais une agresseur, c'était sa petite amie ... En regardant Cerise, il la voyait s'étouffant dans son propre sang[/color], la respiration saccadée, les yeux rouges -car les vaisseaux avaient pétés-. Il se souvenait de chaque détail, de chaque mots qu'elle prononça et qui devinrent sa devise il se revoyait, les larmes aux yeux, pleurant tout ce qu'il avait ...
- P....pourquoi ? Pourquoi tu as voulu me tuer ?
- Tu es américain, je me suis sacrifié pour ma nation, mon pays et Staline. ma dévise c'est que la fin justifie les moyens. J'ai fait ce que je devais faire, j'ai même couché avec toi, un sale bâtard d'américain. Et tu as trouvé le moyen de survivre et me tuer après tout ce que j'ai enduré pour pouvoir te tuer avec facilité. J'ai profané mon corps pour rien. J'espère que tu vas crever sale ordure. Va en enfer.
Puis il la voit fermer les yeux puis ... mourir. Avec tout ses espoirs, avec ce qui lui restait d'âme. Il comprit que tout ce qu'ils avaient vécus n'étaient qu'illusion et qu'il avait été le seul à éprouver de véritable sentiment. Il découvrit qu'elle était une agent du KGB chargeait de l'espionner et, si nécessaire, l'éliminer. Quaritch quitta l'URSS et repartit aux États Unis. Miles changea à partir de cette instant et probablement pour toujours. Les blessures du cœurs cicatrices rarement, si ... elle cicatrice lorsque la mort vous prend.
Cerise la lui rappelait d'une certaine façon, part sa force d'esprit, son caractère et sa beauté aussi. Étrangement il se sentait prêt à faire confiance ... et peut être même à aimer. Il fut sorti de ses rêveries par une petite voix qui lui dit :
-Bonjour mon colonel.♥ Vous... vous avez besoin d’aide. Miles lui adressa un petit sourire vague, il était toujours "rêveur", pour faire simple, il planait. Il avait passé de nombreuses années à essayer d'oublier et lorsqu'il était sur le point d'y parvenir, voilà que Cerise apparut dans sa vie. Il prit sa tête dans ses mains et se frotta les yeux.
*Allez ... reprends-toi Miles ... elle a l'âge d'être ta fille ... et la regarde pas comme ça crétin ...*
Pendant sa rêverie, l'archéologue avait eu le temps de prendre son petit déjeuné et de préparer un semblant de café. Son regard s'attarda sur son décolleté, la veste était si grande qu'elle la gênait, alors elle s'en était débarrassée ... ce qui ne déplaisait pas Miles outre mesure. Miles avait étonnamment pas envie de la charrier, du moins pas encore ... Lorsqu'elle lui tendit une tasse de café, il accepta avec plaisir, tout en la regardant discrètement. Elle était décidément très belle. Puis il l'entendit s’exclamer :
- Ooh... un point d'eau! Sur le coup il ne comprit pas et n'y porta pas d'attention, puis elle l'appela :
-Colonel? Il y a une rivière à 30,40 m... [/color]
Ni une ni deux elle s'élança vers l'eau avant qu'il ai pu rouspéter. Il ne compris pas tout de suite, se disant :
* Elle est parfaite ... magnifique ... Quoi ? Mais ... c'est pas possible ! Elle recommence à ignorer mes ordres ! Parfaite mon cul oui ! Elle est belle mais diablement conne par moment ! Et si on nous surveille ! Mais elle va me rendre fou ! je vais l'étrangler cette petite peste ! Enfant gâté ! Non mais ! Elle est impossible ... * Il se leva puis eu une idée tordu certes, mais drôlement amusante ... Il s'empara de l'appareil photo de l'archéologue et partit en direction du plan d'eau. Caché dans un buisson, il prit des photos de Cerise nageant et se lavant. C'était tordu, mais il allait se venger héhé. La fifille allait avoir une surprise, lorsqu'elle sortit de l'eau, il prit une dernière photo et partit en courant vers le camp. Lorsqu'elle revint et qu'elle rangea ses affaires dans son sac, Miles apparut adossé à un arbre, faisant sautiller la carte mémoire où étaient stocké les photos dans sa main.
- Barbie ? Devines ce que j'ai fait ... [Lorsqu'il la vit se diriger dans sa direction furieuse, il partit en courant, riant dans tout le camp, tournant autour des arbres pour lui échapper, une vraie partie de "chat"; On aurait dit deux gamins. Résigné à se laisser attraper, il ralentit volontairement et fit mine de trébucher, entraînant l'archéologue au sol avec lui ...
Raymond "Red" Reddington
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Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:14
Cerise:
Cerise était encore dans les nuages : beaucoup de pensées parasitaient son esprit: comment trouver les luxiens et les infiltrer, comment faire en sorte que Miles accepte qu'elle s’achète de nouveaux vêtements et pourquoi diable avait elle passé la nuit a rêver de Victor alors qu'elle avait fait une croix sur lui depuis belle lurette. Elle se demanda si c'était d'avoir dormit contre Miles qui lui avait repensé a lui ou son célibat. De dépit, elle souffla et détachât ses longs cheveux, puis elle y glissa ses doigts pour les coiffer et les remettre en place en se disant qu'elle devrait peut être se trouver rapidement un mec pour éviter de tomber dans d’inutiles regrets.
- Barbie ? Devines ce que j'ai fait ...
Cerise leva les yeux au ciel en soufflant.
* Barbie ?! Et ça y est nous y voilà...Pffff ! Il aura tenu quoi ?... Une heure ?! Et encore a tout casser ? Et c'est repartit pour un tour…"Youpiii!" Pffffffff. Enfin, c’était prévisible avec lui vu c’est le pro des coups tordus. Mais je vais vraiment finir par croire que je suis son bouc-émissaire personnel… ou son souffre-douleur peut être? Quoique les deux se rejoignent... *
Cerise eut un petit sourire en coin en se disant que Miles ne pouvait s’empêcher d’être ainsi avec elle. - Quoi mon colonel? Pfff…Vous croyez avoir une érection avant de vous rendre compte que c'était votre stylo??!
Elle avait sortit ça au tac-o-tac et grimaça en se disant qu'elle était peut être allé trop loin, mais avec Miles des fois, il valait mieux prévenir que guérir, et puis, personne ne saurait a part eux. Accroupie prés de son sac, Cerise leva la tête vers lui et se demanda ce qu'il avait encore fait. Elle fit de petits yeux car à voir la tête d’imbécile heureux qu'il faisait là adossé contre son arbre avec un superbe sourire victorieux, ça devait être du lourd. Elle se pinça les lèvres en le voyant faire sauter quelque chose dans sa main : une seule certitude, cela devait lui appartenir. Perplexe, elle se demandant ce que cela pouvait bien être, à ce qu’elle voyait de là ou elle était, c’était petit, plat carré et noir… et ça lui rappela vaguement quelque chose. Elle plongeât ses main dans son sac, en sortit son appareil photo et vu que la carte mémoire manquait, et tout en le rangeant au fond du sac, elle regarda Miles se demandant a quoi cela rimait.
- Ooh.. Vous avez prit des photos de vous en train de vou…
Cerise se décomposa avant d’avoir finit sa phrase en ouvrant grand la bouche et se leva comme un ressort pour lui faire face en faisant des yeux exorbités.
- Haaaaannh ! Oh.. oh noonnn... Ne me dites pas que... Vous … Vous n’avez pas osez faire ce que je crois… si ?! Oh non Miles! Miles! Miles là … Là vous dépassez les bornes! Millesss? on est deux adultes …et … en mission en plus ! Alors vous allez me donnez cela, et fissa ! MILESSSSS !
Quand elle le vit s'éloigner a grandes enjambées en riant, elle ne se fit plus d’illusion sur ce qu’il y avait sur la carte et s'en offusqua. Elle se mit à lui courir derrière outrée, même en sachant très bien qu’elle ne faisait pas le poids contre lui, mais s’il avait prit des photos d’elle alors elle devait les récupérer coute que coute. Elle ne voulait pas se retrouver en vedette au SGC, elle n’en avait pas besoin : elle avait suffisamment de succès comme cela.
- Allez, rendez-moi ça espèce de détraqué… Maaaiiss... espèce de pervers ! J’espère que vous vous êtes bien rincez l’œil et que ça en valait le coup au moins ! Car je vous promets que si vous diffusez ça, je vous émascule et ferais de votre vie un véritable enfer !!
Cerise couru et couru et a un moment faillit l’attraper mais le manqua de peu à cause d’un arbre. Elle s’y appuya un instant pour reprendre son souffle, et l’image des jeux de chats de son enfance lui revint en mémoire. Elle partit d’un grand éclat de rire. Adossée à l’arbre un instant Cerise ne put s’empêcher de sourire malicieusement. Elle se disait que si elle racontait à Lana, sa collègue et meilleure amie, qu’elle avait joué a chat avec le capitaine, celle-ci ne la croirait tout simplement jamais.
- Miles !! Rendez moi ça bon dieu... Ça rime a quoi hein j’vous jure?!
Cerise courue et sautilla pour attraper la carte dans la main de Miles puis partit de nouveau d'un éclat de rire.
*Pas un pour rattraper l’autre en fait XD*
-Oh?!! Faites attention quand même, à votre âge, vous exciter comme ça c’est pas bon pour votre cœur...
Elle repartit à la poursuite de Miles, sourire aux lèvres et finit par pouffer de rire à lui courir après comme ça. C’était certes stupide, mais c'était d'un comique de situation. Elle avait beau tourner, virevolter en essayant vainement de réussir à lui reprendre la carte, elle n'y arrivait pas. Elle se demandât alors s’il ne valait mieux pas le laisser faire et lui piquer la carte plus tard...
* Allez ma fille...tends le bras et tache de récupérer ta carte, tu peux y arriver. Il en va de ton honneur en plus! Déjà s’il gagne il se sentira plus après et tu le sais, mais si en plus il a se genre de photos… *
Cerise s'amusait bien, même si elle fessait tout pour paraitre mécontente.
*N’empêche que… Miles tiens vraiment la forme…*
Cerise tendit le bras, sentit le contact du tissus et sourit allégrement d’y arriver enfin: même si elle ne remporterait peut être pas cette manche contre Miles, elle aurait le mérite d’avoir fait de son mieux.
- Et voil…àaaAAHH !!
Cerise se sentit tomber et ne put rien faire: elle trébucha entrainée par Miles. Elle ferma ses yeux par réflexe car se sentit tomber ainsi lui rappela alors la mauvaise chute dont elle avait été victime au SGC. Elle ne put s’empêcher d'avoir peur et elle se crispa d'angoisse, levant ses petites mains devant son visage pour illusoirement se protéger et s’accrocha au t-shirt de Miles de toutes ses forces. Mais finalement, le choc ne fut pas aussi dur qu’elle le crut… Cerise mit de longues secondes à comprendre qu'elle n'était pas blessée. Son cœur s’était mit à battre fort sous l’émotion et elle s’était mise a trembler. Elle finit par ouvrir un œil, timidement, puis le second et se trouva nez à nez avec Miles. Elle resta bouché bée d’être dans cette position et si prés de lui. Elle le regarda fixement de ses grand yeux bleu en battant des cils avec un regard candide et surtout étonné alors que leurs souffles de mélangeaient. La situation avait prit une tournure à laquelle elle ne s’était absolument pas attendu et surtout pas avec lui. Cerise ne savait pas comment réagir. Après quelques secondes d'hésitations, elle prit réellement conscience qu'elle reposait sur son torse, et se dit que la première chose a faire était de se relever avant que Miles ne la vanne. Tout en ramenant sa jambe droite vers son buste pour prendre appui sur son genou et se relever, Cerise lâcha le t-shirt de Miles pour prendre appuie sur ses pectoraux et se dégager. Quand elle sentit qu’elle touchait l’entre jambe de Miles avec sa jambe, elle se sentit d'un coup horriblement gênée. Ne savant plus où se mettre et quoi faire pour ne pas compliquer encore plus la situation, elle reprit sa position originale et fut de nouveau tout contre lui. Cerise ferma ses grands yeux quelques secondes et, sourire crispé aux lèvres et souffle court, se dit quelle n'aurait pas dut entrer dans son jeu car ça allait encore lui retombé dessus... *Comme toujours d’un coté, ça me retombe toujours dessus de toute façon. Mais je ne peux pas le laisser avec des photos … compromettantes... S'il les diffusaient !*
Cette proximité la mit quelque peu mal à l'aise et confuse qu'elle était, elle finit par relever ses grands yeux bleus vers lui. Elle ferma les yeux quelques secondes pour reprendre contenance, et déglutit en réfléchissant à la situation. Ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans les bras d'un homme, mais… mais là c’était son colonel, son supérieur, et ce genre de position était quand même ambigüe et laissait place a une part d'imagination... Mais il passait son temps a la rabrouer, en fait, ils passaient leur temps a s’envoyer paraitre tout les deux …
* Alors pourquoi mon cœur s’emballe t’il autant ? *
Elle essaya de trouver une logique dans tout cà, mais ce qui lui vint en tête ne l'aida pas le moins du monde à reprendre le dessus: Victor dans son rêve, le dos large et chaud de Miles cette nuit, sa tenue maintenant si provocante ... et le buste de Miles qui se soulevait à chaque respiration ainsi que les pulsassions de son cœur battant sous sa main droite, la perturbèrent encore plus et son souffle se fit court. Elle essaya de reprendre assurance sans grand succès et passa sa langue sur ses lèvres sèches avant de les mordre en se renvoyant en collégienne effarouchée.
* Je... je me sens toute chose ou… ou je rêve ? Je dois, je dois me reprendre ! Mais depuis quand je vire midinette moi ? Et… Et si ca continue je vais me mettre a rougir et à bégayer aussi ? Hannn… Non... Je vais passer pour une sotte. N’empêche que ça fessait bien longtemps que je n'avais pas ressenti ce genre cette petite gêne malicieuse, sournoise et diablement tentatrice... *
Cerise vrilla ses yeux dans ceux de Miles en repensent à la relation qu’ils entretenaient tout les deux : entre clash, rapport de force et coup foireux, c’était toujours tendu a l’extrême… mais là, la situation était… * Ambigüe ? *
Elle chercha désespérément une vanne à sortir à Miles histoire de briser cette ambiance, mais c’était le vide sidéral dans sa tête. Elle décida de lever de nouveau ses yeux vers lui, mais n'en trouvant aucune. Cerise se contenta de lui sourire au travers des longues mèches brunes qui lui tombaient un peu sur le visage. Son sourire était certes mutin, malicieux aussi, mais un peu gêné quand même. Cerise se dit que de toute façon dans les 30 secondes Miles allait surement lui dire d’arrêter de sourire bêtement et de se rouler sur le coté pour le laissé respirer et ne plus manger ses cheveux. Elle se redressa sur les coudes et ouvrit la bouche pour parler, essayant d'éviter de sourire comme une gourde, mais un doux sourire ne quittais pas ses lèvres elle en était consciente.
* Rou.. rouler ?Aahh... j’y avais pas pensé mince, ou alors si mais peut être que.. *
- Je... Désolé mon collooonellll... Je... Je vais...Je vais vous soulager de mon poids...
Miles:
Ils étaient tombés l'un sur l'autre, la jeune brune était étalé sur son torse. Elle avait la tête posé sur son torse, des mèches de cheveux dans les yeux et ... sa jambe contre son entrejambe. Habitué à cacher ses émotions, Miles cacha facilement sa gêne. Il fit semblant d'être exténué et ferma les yeux, la tête posé contre le sol. Elle l'avait écrasé littéralement lorsqu'elle lui ait tombé dessus, et Miles ne put s'empêcher de regarder sa poitrine lorsqu'elle essaya de se relever. La jambe de Miss Lafont toucha encore plus son entrejambe, si cette situation continuait, il allait avoir du mal à cacher son ... excitation. Seulement, cette fille était véritablement belle, c'était un rayon de soleil sur sa vie pathétique. Elle était l'une des rares à lui tenir tête et étrangement, il adorait ça. Il adressa à Cerise un sourire sournois et glissa la carte mémoire de l'appareil photo dans son caleçon en se disant :
* Là au moins, elle ira pas la chercher !* Étrangement, il aimait cette situation, mais Dieu sait qu'il ne pouvait pas l'avouer, oula non, jamais ! Il devait être fidèle à sa réputation quoi qu'il en coûte. Ses faiblesses, il devait les garder pour lui.
- Je... Désolé mon collooonellll... Je... Je vais...Je vais vous soulager de mon poids...
Avant qu'elle ait pu faire quoi que ce soit, je l'ai saisi par les épaules puis je l'ai poussé sur le côté sans aucune délicatesse.
- Merci Barbie, vous ne pouvez pas savoir le bien que ça fait de ne plus avoir à manger vos cheveux ou de sentir ses côtes ne plus céder sous le poids d'un camion ... ah oui, au-faite, vous devriez vérifier si vous n'avez pas de sangsue entrain de vous pomper le sang, les eaux de ce genre ne sont pas toujours ... aussi rafraichissante que l'ont le croit ... Il lui adressa un petit clin d’œil et la regarda attentivement :
- Vous cherchez vos lentilles ? Allez ! Levez vous ! C'est pas l'heure de dormir ! Un peu de nerf ! Quand à la carte mémoire ... il va falloir être sage ... hein ? Il lui sourit et lui glissa à l'oreille :
- Il faudra être très gentille moi ... Quand à l'érection ... ce n'était pas mon stylo et sur ces photos ... ce n'est pas moi entrain de me ... mais plutôt de vous entrain de vous laver ... Alors soyez sage, hein ?
Miles lui attrapa la main et l'aida à se lever ....
Cerise:
Cerise vira au rouge carmin et attrapa la main que Miles lui tendait, se redressa et se cala tout contre lui un sourire mesquin aux lèvres et son genoux contre son entrejambe.
- Mon "cher" colonel. A moins que vous ne souhaitiez chanter tel Farrinelli, et ce dans très peu de temps, je vous conseille fortement d’arrêté de me chercher des noises.
Cerise appuya d'avantage.
- Ne me faite pas regretter de ne pas vous avoir émasculer quand j'en avait l'occasion... quoique je sais pas ou je les mettrait, surement dans ma boite a lunettes, et j'aurais surement même la place des les ranger encore dedans.
Cerise se serra plus fort en appuyant encore, glissa prestement sa main et récupéra sa carte mémoire. Elle prit une moues boudeuse en levant la carte a hauteur des yeux...
-Franchement? Vous croyez vraiment que ça me ferais peur? 'Fin ... si on considère que je n'ai rien croiser là en bas , oui un peu... mais bon, les hommes ne sont pas tous aussi bien gâtés les uns que les autres. Alors, maintenant, arrêtez votre char! Oh!? Et je suis sure que vous m'avez assez mater tout a l'heure pour savoir qu'il n'y à aucune sangsue sur mon corps de rêve! Et la prochaine fois que vous me redite que je suis "lourde", je vous promet que je vous arranger un plan cul avec Berthe... la russe du SGC avec ses "petits" 95 kg, on verras qui rigolera après!!
Cerise s'écarta enfin laissant Miles respirer et récupérer son entre jamb surement quelque peu douloureuse. Elle s'éloigna et dit sans se retourner:
- Maintenant quand vous aurez reprit votre souffle, on retourne en ville que je m'achète des vêtements et... juste pour info, au moindre coup fourré de votre part, je me démerde seule pour la mission, ou pire... je rentre au SGC et je vous détruit corps et âme. Hum? On s'est comprit♥? Bien alors prenez vos affaires et en route.
Cerise attrapa son sac, le mit en bandoulière et fit un gros sourire super hypocrite a Miles.
- Et le tout, bien sur, dans la joie et la bonne humeur ♥!
Cerise savait qu'elle avait été sarcastique en disant cela et elle s'en foutait. Miles cherchait la merde? et bien , il allait la trouver et puissance mille. Cerise se dit qu'elle avait été stupide de croire qu'il pouvait changer, c'était un beau salop, et elle, elle était vraiment des fois trop crédule. Qu'a cela ne tienne, on ne l'y reprendrais plus.
Raymond "Red" Reddington
Colonel ~ SGC
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Messages : 137 Date d'inscription : 29/11/2012 Age : 29 Feuille de personnage Affectation: VOIE LACTEE Equipe: Equipe SG-4 Gène:
Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:15
Miles:
Miles vit Cerise virer au rouge carmin lorsqu'elle lui attrapa la main qu'il lui tendait. Se croyant victorieux de cette "escarmouche" psychologique, il n'anticipa pas la suite. Elle se colla contre lui avec un petit sourire mesquin, le genoux pressé contre son entrejambe. Cette situation aurait pu être très excitante ... si elle ne lui brouillait pas les boules ...
- Mon "cher" colonel. A moins que vous ne souhaitiez chanter tel Farrinelli, et ce dans très peu de temps, je vous conseille fortement d’arrêté de me chercher des noises.
Décidément, il était en très mauvaise posture, et Cerise appuya d'avantage. Il échappa une plainte et la regarda droit dans les yeux. Elle le tenait par les ... couilles ... c'était le cas de le dire ... et non ... il ne voulait pas devenir eunuque, non merci vraiment, il tenait à ses bijoux de familles, héritage de son père.
- Ne me faite pas regretter de ne pas vous avoir émasculer quand j'en avait l'occasion... quoique je sais pas ou je les mettrait, surement dans ma boite a lunettes, et j'aurais surement même la place des les ranger encore dedans.
Cerise se mit à lui broyer ses testicules encore plus fort, il gémissait légèrement, un mélange d'excitation et de douleur ... Puis soudain, la garce lui glissa la main dans le caleçon et récupéra la carte mémoire. Elle avait osé ! Le Colonel n'y croyait pas ...
-Franchement? Vous croyez vraiment que ça me ferais peur? 'Fin ... si on considère que je n'ai rien croiser là en bas , oui un peu... mais bon, les hommes ne sont pas tous aussi bien gâtés les uns que les autres. Alors, maintenant, arrêtez votre char! Oh!? Et je suis sure que vous m'avez assez mater tout a l'heure pour savoir qu'il n'y à aucune sangsue sur mon corps de rêve! Et la prochaine fois que vous me redite que je suis "lourde", je vous promet que je vous arranger un plan cul avec Berthe... la russe du SGC avec ses "petits" 95 kg, on verras qui rigolera après!!
Soudain elle relâcha la pression et Miles échappa un soupire de soulagement. C'est vrai qu'elle avait un corps de rêve mais bon ... Il se malaxa brièvement l'entrejambe afin de vérifier que tout était en ordre ... et en place aussi ... qu'elle lui en ait pas chouré une au passage non plus ... on sait jamais .. si elle en avait prit une pour la carte mémoire ... Puis elle s'éloigna et lui dit :
[/color]- Maintenant quand vous aurez reprit votre souffle, on retourne en ville que je m'achète des vêtements et... juste pour info, au moindre coup fourré de votre part, je me démerde seule pour la mission, ou pire... je rentre au SGC et je vous détruit corps et âme. Hum? On s'est comprit? Bien alors prenez vos affaires et en route.
Cerise attrapa son sac, le mit en bandoulière et fit un gros sourire super hypocrite a Miles. Elle recommençait ... il devait reprendre les rênes sinon il allait se faire bouffer tout crue par cette peste ... mais elle ajouta :
- Et le tout, bien sur, dans la joie et la bonne humeur !
Elle le rendait fou ... a la fois d'amour et de rage. Il arriva à son niveau et lui glissa :
- Au-faite, merci pour tout, vous avez vraiment un magnifique doigté ...
Il la dépassa et ils retournèrent en ville pour qu'elle puisse faire ses achats.
Cerise:
Cerise regarda Miles avec son sourire hypocrite aux lèvres.
- Oui, je sais... Aucun de mes amants ne sait jamais plein au contraire.
Puis le laissant un peu derriére elle s’avança le pas léger vers le village. Elle avait enfiler la veste de hier soir pour ne pas se faire trop remarquer et avancé gaiement: c'était une petite victoire sur Miles certes, mais elle se sentait délivré d'un poids. Ça n'effacerais pas ce qu'il avait osé faire en l'attachant contre un arbre, et en la laissant ainsi a la merci d'hommes peu ragoutant, même s'il était pas loin, mais ça diminuait son envie de vengeance.
Arrivée en ville, et toujours flaqué de Miles elle entra dans la première boutique qu'elle vu qui vendait des vêtements, et chercha quelque chose qui ne faisait ni grand mère, ni femme soumise à son mari, et c'était dur. Elle se demandait ou les mercenaires trouvait leur vêtement quand elle vit au fond dans un coin des vêtements remisés, elle en tira un et sourit avant de se reprendre.
-Impeccable pour faire des bouts de chiffons. Vous en voulez combien? Cerise ressortit 2 minutes plus tard avec son tas froissé sous le bras et avec Miles ils repartirent vers la porte des étoiles. Sur le chemin, elle repéra un coin buissonneux pas trop mal, et jeta son sac a Miles.
-Je me change j'en ai pour deux secondes ... Voilà, avec ces rubans ça sera pas difficile de l'ajuster.
Cerise ressorti dans un combi pantalon très fluide et bien agréable a porté et elle resserra les lacets du corsage en haut pour que le vêtement ne flotte pas trop. Puis heureuse d'être vraiment a l'aise, elle reprit son sac des mains de Miles et lui lança un regard en coin, car elle avait l'impression qu'il était médusé.
-Ouff!! C'est agréable. Je me sent aussi a l'aise que dans mon pyjama et c'est peu dire. Miles? Aurais-je trop appuyé tout a l'heure que vous sembliez manqué d’oxygéné?
Bon... Je devrais être désolé, mais soyons réaliste, vous l'aviez cherché.
*Personne de censé ne dis a une jolie fille surtout quand elle est sur vous a moité déshabillé qu'elle est lourde! A mois... A moins que je ne soit pas du tout son genre et qu'il préfère les femmes de son age... Mais même! un peu de galanterie et de flatterie non mais!*
Cerise regarda Miles attendant un peu puis ajouta...
- Bon bon bon... Et maintenant chef? On fait quoi? on va ou?
Miles:
Il vit Cerise le regarder avec un sourire hypocrite, Miles tenait vraiment à ses couilles, il fallait pas déconner non plus quoi ... c'est pour cette raison qu'il se protégea aussitôt l'entrejambe. On est jamais assez prudent ... chanter farrinelli ? Beuh ... nan ... sa lui disait rien du tout, absolument rien.
- Oui, je sais... Aucun de mes amants ne sait jamais plein au contraire.
Miles la regarda avec étonnement et roula de grand yeux. Maintenant elle essayait de lui faire croire qu'elle avait eu de nombreux amants ... HAHA ! Il le savait ! Cette rumeur qui courrait actuellement au SGC n'était pas fausse ! Il allait en avoir des choses à raconter à son retour ... (Même pas besoin de la carte mémoire ! Nah ! ) Le Colonel la trouvait étrange mais surtout fière. Depuis le début de la mission ils enchaînent les bonnes blagues, pour l'instant Miles gagne ... et avec le coup de l'arbre ... il avait une sacré avance ...
Puis la jeune femme essaya de le semer ... il manquait plus que ça. Elle désirait qu'une chose, changer de fringue ... une fille quoi ... maintenant ils allaient passer plusieurs heures à chercher des vielles guenilles alors que la tenue actuelle est parfaite ... de plus ... elle permet au corps de respirer ... à défaut de la cacher. Miles commençait à ce dire qu'elle avait peut être honte de son corps ... après tout ... elle est une femme assez ... souple et très disponible à ce qu'on lui avait dit. Es-t-es-ce des canulars de petits vantards ? Il n'en savait rien ... mais il comptait bien verrifier par lui même. Après tout ... après tout ce qu'elle lui faisait vivre ... il avait le droit à une compensation ... (Oui Namour, c'est très hypocrite car enfaite c'moi qui abuse )
Lorsqu'ils arrivèrent en ville, Cerise ne lui avait toujours pas radresser la parole ... elle boudait ... fin ... elle faisait ce que les filles savent le mieux faire quoi. Faut pas trop leurs en demander ... après tout ... c'est que des filles ... (C'est ce que Miles pense hein Pas taper ) Ils entrèrent dans une boutique ressemblant à un taudis ... ou alors une maison close, Miles ne savait pas quoi en penser. Cette femme bien trop gâté allé vider leurs bourses ... lui qui avait tant participer à la remplir ... en regardant certes, mais quand même quoi ! Faut arrêter de nous piquer tout notre argent ! Le mariage c'est un piège à con, vous voulez savoir pourquoi ? Et bah j'vais vou'l'dire ... lorsqu'elle demande le dévorse, elle nous prend la moiter et nous qu'es-ce qu'on gagne ? On gagne la pension ... mais c'est nous qui la payons ...
Elle acheta son affaire, en voyant le prix, Miles manqua de s'étouffer mais Cerise le rassura avec un de ses petites sourires charmants ... qui donnait toujours à Miles une envie étrange de l'envoyer dans un mur ... Mais que faire ... c'était une peste. Il la regarda donc faire, il était en mode zombie ... dans tout le magasin il croisait d'autres zombies qui eux aussi suivaient une femme. C'était le destin de tous les hommes ... car enfaite ... c'est les femmes qui commandent ... car après un bon mois d’abstinence forcé, on ouvre beaucoup moins notre gueule pour contester sa femme par peur de prolonger cette merveilleuse période où l'on est comme des cons devant notre femme à moiter à poil sans pouvoir la toucher ... c'est vraiment vicelard mais sa marche ... chienne de vie. Naturellement, Miles n'était pas dans ce cas là, mais la technique de la castration marche très bien elle aussi ... Miles préféra sortir pour prendre l'air, il en avait ras le bol.
Cerise ressortit 2 minutes plus tard avec son tas froissé sous le bras ... au début Miles pensa à un tas de chiffon ... mais non ... c'était des lambeaux de tissu ... elle avait décider de faire de la couture ou quoi ? Et elle commençait à se dire que Miles allait la masser pendant ce temps ? Oh ! C'pas possible ... A ce moment, Miles commença à se dire que le suicide était la seule échappatoire à son malheur. Mais entre nous, le suicide c'est une vengeance personnelle et lui personnellement, il ne s'en veut pas. Si il pouvait choisir, il aimerait bien mourir de son vivant ... enfin si son cœur lâche pas avant quoi ... avec toute la pression qu'elle lui met ... sa l'étonnerait pas ... Sur le chemin, elle repéra un coin buissonneux pas trop mal, et lui jeta un sac. Maintenant elle croyait qu'il était son boy ... de mieux en mieux. Après avoir servi d'air d'autoroute pour camion, il servait de porte manteau ... il y avait du progrès, au moins elle pouvait plus s'essuyer les pieds sur lui quoi ...
-Je me change j'en ai pour deux secondes
Voilà, avec ces rubans ça sera pas difficile de l'ajuster.
Hahahaha deux secondes ... sachez que les femmes n'ont pas la notion du temps lorsqu'elle s'habille et font leurs maquillages. Elles peuvent rester là'dans pendant une heure et te dire qu'elle a fait vite ! Comme si on savait pas ce que sa cache tout ce maquillage ... () Puis elle sortit avec un très belle combi-pantalon ... puis ce fut instinctif. Si vous aviez vu la tronche de Miles. Le dos voutait la bouche ouverte et le chapiteau monté ... il aurait presque pu déambuler dans la ville en criant : "Cornet deux boules ! Qui en veut ? C'pas cher ..." Là il y avait pas de soucis, il avait levé sa béquille ... et sans le vouloir ! La classe non ? Enfin bref, cette fille était tout simplement magnifique ... diablement conne mais magnifique ! Miles se demanda si à la base elle était blonde ... Cerise ressorti dans un combi pantalon très fluide et bien agréable a porté et elle resserra les lacets du corsage en haut pour que le vêtement ne flotte pas trop. Puis heureuse d'être vraiment a l'aise, elle reprit son sac des mains de Miles et lui lança un regard en coin, car elle avait l'impression qu'il était médusé. Soudain elle lui dit :
-Ouff!! C'est agréable. Je me sent aussi a l'aise que dans mon pyjama et c'est peu dire.
Et maintenant elle se fichait de lui ... enfin ... non. Mais c'est ce qu'il voulait pensé, comprenez, il n'était pas vraiment attentif à ce qu'elle pouvait bien lui dire ... enfaite il s'en fichait même, il préférait simplement regardé son magnifique corsage. Donc forcément ... il n'écoutait pas ...
Miles? Aurais-je trop appuyé tout a l'heure que vous sembliez manqué d’oxygéné?
Là ce fut automatique, au mot appuyé il se protégea instinctivement les parties génitales. Il y tenait à son héritage non mais ! Mais il reprit ses esprits et dit intelligemment.
- Qwa ?Namaiseuhnonpastouchelà ...
Effectivement, c'était vraiment limpide ce qu'il dit. Comme de l'eau de roche ... d'ailleurs on pouvait se demander si un rocher ne lui était pas tombé sur la gueule quand il était petit ...
- Bon... Je devrais être désolé, mais soyons réaliste, vous l'aviez cherché.
Lui ? Nooooon ... il avait juste parlé d'un poids lourd ... rien de bien méchant. Mais mettez vous à sa place, il devait trouver une excuse pour ne pas craquer ... il était tombé amoureux mais ne voulait pas l'avouer ... même pas à soit-même.[/color] [/i][/color] - Bon bon bon... Et maintenant chef? On fait quoi? on va ou?
Miles sortit de ses rêveries. Il était vraiment amoureux de cette fille, mais la différence d'âge, le fait qu'elle le déteste, il n'y était pas pour rien m'enfin. C'était un amour impossible malheureusement. Il avait besoin de boire ... et de se reposer dans un lit bien douillé.
- J'ai vu une auberge tout à l'heure. Nous y passerons la nuit. Après la fabuleuse journée que nous avons passé, nous avons besoin de repos pour repartir sur les chapeaux de roues. Et peut être qu'on découvrira certaines choses laba.
Ils se dirigèrent vers l'auberge, en entrant, un vieux disait à voix haute :
- ... parce que les mômes maintenant ... ils lisent, ils lisent et résultat ? Ils sont encore puceaux à 10 ans !
Un autre lui répondit :
- Je suis d'accord, la taverne c'est un lieu convivial, alors que la lecture c'est un truc de solitaire ... alors comme le disait Papy ... à 10 ans ils sont encore puceaux ...
Miles ne put s'empêcher de rire lorsqu'il croisa le regard gêné de Cerise ... elle avait du en lire des bouquins elle ... Miles se dirigea vers le comptoir et demanda deux chambres.
- Malheureusement, il ne nous en reste plus qu'une avec un grand lit ? Miles réfléchit un instant, il était à deux doigts de dire que sa "fille" dormirait par terre, mais il se dit que sa ferait mauvais genre ...
- C'est pas grave, nous la prenons. On se débrouillera. Miles retourna voir Cerise et lui dit :
- Il ne restait plus qu'une seule chambre ... il faudra donc qu'on se supporte. Je dormirai parterre, vous prendrez le lit. Il nous reste une bonne petite heure avant le couché du soleil, on va rester ici ... pour écouter les conversations bien sur ... peut être qu'on apprendra quelque chose d’intéressant. Serveuse ? Servez nous deux pintes je vous pris. Bah quoi ? J'vais pas attendre comme un con sans consommer non plus ? Miles remercia la serveuse et commença à boire.
Cerise:
- J'ai vu une auberge tout à l'heure. Nous y passerons la nuit. Après la fabuleuse journée que nous avons passé, nous avons besoin de repos pour repartir sur les chapeaux de roues. Et peut être qu'on découvrira certaines choses laba.
Cerise regarda Miles d'un air frustré:Alors c'était comme ça?! elle elle repérait une auberge et elle pouvait faire une croix dessus, et lui non?!
- " Oh? Vraiment? Et bien... Hum! si vous êtes trop fatigué alors, c'est peu être mieux comme ça... Allons-y! Ah la la, c’est ça de se trainer des vieux en mission... Ça tiens pas la distance."
Cerise avait avancé d'un bon pas et dis la dernière phrase comme si elle se parlait à elle-même, mais assez fortement pour que Miles l'entende. C'était certes pas grand chose, c'était même mesquin, mais ça la détendait.
Elle ralentit un peu, faisait semblant de s’intéresser à de vielles ruines sur le bord de la route, puis sans un mot elle suivit Miles mais à quelques mètres derrière lui. Cerise observa le dos du grand militaire devant elle et sourit: elle était assez fière d'elle et contente, car depuis qu'elle avait manqué de l'émasculer, et bien... ça allait bien mieux entre eux. Peut être qu'elle aurait dut appliquer plus tôt ce procédé que Miles: son père lui avait toujours dit: "Quand un homme te les brise chérie, brise les lui! Et tu verras c'est radical, il sera plus doux qu'un agneaux après". Mais pour elle, c'était bien trop radical, mais là, elle avait vraiment l'impression qu'elle avait marqué Miles sur ce coup, et qu'il se montrerais plus coopératif. Elle espéra seulement que ça allait durer.
Elle suivit Miles jusqu’à non pas un bouge comme elle avait craint un instant, mais plutôt une gargote, alors elle ne dit mot, et lui sourit même quand en ouvrant la porte il se retourna et lui jeta un coup d’œil.
- ... parce que les mômes maintenant ... ils lisent, ils lisent et résultat ? Ils sont encore puceaux à 10 ans ! - Je suis d'accord, la taverne c'est un lieu convivial, alors que la lecture c'est un truc de solitaire ... alors comme le disait Papy ... à 10 ans ils sont encore puceaux ...
Cerise ouvra grand ses deux billes bleues, et les leva au ciel comme si elle n'avait pas entendu: *Mais qu'est ce qu'il faut pas entendre comme conneries des fois franchement !* Encore, s'ils l'avaient dit sur le ton de la rigolade... mais non, les deux hommes avaient l'air tout ce qu'il y a de plus sérieux. Et quand Miles partit d'un grand rire sonore elle soupira totalement exaspérée. Cerise avait du mal des fois à comprendre des dégénérés pareils. C'est vrai car par exemple, son père était un militaire pur et dur, mais il l'avait quand même orienté et obligé à faire des études, et elle ne s'en sortait pas mal dans la vie! Elle était encore célibataire certes, mais elle n'avait besoin de personne pour s'en sortir et veillé sur elle, elle avait déjà donné et elle n'avait plus envie se laisser faire par les hommes.
Miles se retourna visiblement aux anges et, en voyant son air crispé et coincé, il se paya sa tête. Elle sut alors que ce soir, elle allait s'en prendre plein la poire.Elle se promis cependant de l'étouffer avec un oreiller si jamais il osé se moquer trop d'elle et de l’émasculer pour de bon.
* Déjà, vu le niveau de la clientèle, on va évité de ramener sa fraise ma fille. Passons pour une blonde ça vaudrait mieux.*
Elle regarda Miles, à son aise, rejoindre le comptoir et le suivit docilement, alors que l'un des deux hommes les détaillaient avec attention.
- Malheureusement, il ne nous en reste plus qu'une avec un grand lit ...
- C'est pas grave, nous la prenons. On se débrouillera.
Miles se retourna une clé à la main.
- Il ne restait plus qu'une seule chambre ... il faudra donc qu'on se supporte. * C'était trop beau pour être vrai...*
-Je dormirai parterre, vous prendrez le lit.
* Ah? ... Ah! Il dit ça juste par ce que l'aubergiste est a coté, sur qu'arrivé en haut, il se vautre sur le lit et a moins le sol dégeu. et plein de puce..."YOUPI" Pff... Je sais pas si je préférais pas la forêt tout compte fait...*
- Il nous reste une bonne petite heure avant le couché du soleil, on va rester ici ... pour écouter les conversations bien sur ... peut être qu'on apprendra quelque chose d’intéressant. Serveuse ? Servez nous deux pintes je vous pris. Bah quoi ? J'vais pas attendre comme un con sans consommer non plus ?
- " J'ai rien dit je vous... "TE" signale. Par contre faite attention que ça te tabasse pas Miles... On est pas censé boire en "mission".
Cerise le suivit à une table et demanda à la serveuse si elle pouvait avoir à manger, des truc bien cuit de préférence, histoire d'éviter les bactéries. Miles remercia la serveuse et commença à boire. *Et en plus c'est un poch'tron... j'ai gagné le gros lot.* Cerise après avoir grignoté une sorte de pot aux feux local, attrapa la deuxième pinte: et but: c'était fort mais ça allait, c'était pas pire que la gnôle que son père et ses amis faisaient. Ils restèrent assez silencieux au final, buvant principalement et écoutant les habitués parler et raconter des blagues.. mais c'était plutôt des conneries plus grosses qu'eux décréta Cerise. C'était des arriérés, et ça lui tapait sur le système. Mais à un moment ils parlèrent de truc bizarre: quelqu'un embauchait des mercenaires, enfin c'est ce qu'elle crut entendre, car elle en avait tellement marre de les entendre dire n'importe quoi, que l'alcool aidant elle n'avait aucun mal à s'imaginer passant une journée à la mer, avec le bikini, la serviette, l'huile de monoï, la farniente... Bref Cerise était loin, très très loin de cette petite auberge.
Quand la nuit fut tombée et qu'elle avait un mal de tête carabinée à cause de l'ambiance festive de l'auberge et de l'alcool, elle se dit alors que Miles avait vraiment bien fait son coup. Tout le monde était copain comme cochon, et les discutions allaient bon train dans une bonne ambiance. Elle soupira la tête lourde et décida que la fête était finie pour elle et elle décida de gagner la chambre.
- Miles? Je suis fatiguée, je monte, on se retrouve là-haut?
Elle monta donc au premier étage et gagna la chambre: elle avait peur de ce qu'elle allait y trouvé mais finalement cette auberge ne payait pas de mine certes, mais ce n'était pas un taudis. Elle fut même surprise de trouver des draps propre qui sentait même encore le soleil: ils avaient du être étendu dehors l’après midi même pour sentir si bon. Elle se laissa aller sur le lit, les bras en croix et resta un moment étendue comme ça, puis sourie: finalement le mal de tête passait, mais elle se sentait bien et détendue, mais ça, c'était dut a l'alcool: elle était pompette. Surement la bière locale qui la détendait et c'était pas du luxe, car passer 48h00 avec Miles s'était vraiment du challenge. Elle se retourna sur le dos et pensa justement à lui,en posant son bras sur son front un sourire triste sur les lèvres. C'était bizarre: il était méchant, sournois et blessant... et elle essayait de lui rendre la pareil autant que possible, car elle ne voulait plus qu'on la prenne pour une conne, non mais. Mais alors pourquoi elle avait l'impression qu'elle ne le détestait pas autant que ça? Pourquoi elle s'était sentie toute chose ce matin alors qu'elle était vautrée sur lui. Elle secoua sa tête brune en se disant que cette situation l'avait rendue toute chose et qu'elle avait eut des idées lubrique uniquement car la position avait été très subjective, et aurait put être érotique si Miles était moins... moins Miles quoi. Elle souffla sur sa frange: pourquoi c'était si dur de savoir ce qu'on ressentait vraiment? Car oui, il l'exaspérait au possible, et elle se disait que c'était surement un con finit même hors du boulot, mais bon, elle ne pouvait s’empêcher de se dire que peut être que non. Et ne disait on pas qu'entre l'amour et la haine il n'y avait qu'un pas? Elle battit des pieds et des mains dans le lit en signe de protestation: Oui, il l'attirait elle ne pouvait le nier mais quand même!
-[FR] Non! T'as déjà donné avec les connard finis, possessifs et misogynes.. T'as vraiment envie de remettre le couvert? Et recommencer a être malheureuse comme du temps de Victor? Non, hors de question...Donc les plans culs oui ... le reste c'est ... c'est .. c'est pas pour toi. La liberté à malheureusement un prix ma fille... ne l'oublie pas.
Cerise renifla peiné: elle se sentait dépressive et si seule: elle se dit que ce soir, elle avait l'alcool triste. Elle finit par se rouler en boule sur le lit, comme si cela pouvait un peu la "protéger", puis après avoir regarder un temps la lune par la fenêtre, elle finit par s'endormir dans le noir.
Miles:
- " J'ai rien dit je vous... "TE" signale. Par contre faite attention que ça te tabasse pas Miles... On est pas censé boire en "mission".
Miles et Cerise partirent s’installer à une table, la belle était toujours collé à ses baskets, un vrai pot de glue ... il n'arrivait pas à s'en défaire ! C'était pas croyable ... il pouvait pas diriger l'équipe sans qu'elle lui casse les pieds, il ne pouvait pas s'exprimer sans qu'elle lui casse ... les noix ... pour le coup c'est au sens propre et il pouvait pas boire maintenant ! Et baiser ? Il avait le droit ? Il fallait qu'il demande la permission à "Mademoiselle" ?! Elle ne lui laissait même pas le temps de respirer. Cerise le suivit à une table et demanda à la serveuse si elle pouvait avoir à manger, des truc bien cuit de préférence, histoire d'éviter les bactéries. Miles remercia la serveuse et commença à boire. Miles regardait discrètement Cerise, après qu'elle eut grignoté une sorte de pot aux feux local, elle attrapa la deuxième pinte: et but. Elle semblait même pas devenir pompette ...
* Tsss ... et il fallait que je tombe sur une pochetronne ... () *
Le silence était maître dans la salle, tout deux buvaient principalement et écoutaient les habitués parler et raconter des blagues.. C'était des conneries amusantes, digne d’intérêt ainsi que des blagues salaces par exemple. Enfin bon, le genre de discutions qu'adore les hommes. Miles s'amusait comme un fou à les écouter en revanche, la fille coincé en face de lui semblait bien s'emmerder.
Mais à un moment ils parlèrent de truc bizarre: quelqu'un semblait chercher des mercenaires. Miles les écouta attentivement car contrairement à ce qu'il donnait l'impression, il savait être sérieux et professionnel. Là était peut être leur chance, il se dit qu'il s'informerait plus tard. Cerise ne semblait pas aller bien, elle devait être fatigué. Malgré tout Miles la surveillait, ce lieu était assez insolite ... un viol pouvait vite se produire.
- Miles? Je suis fatiguée, je monte, on se retrouve là-haut?
Miles se contenta acquiescer, que pouvait-t-il dire d'autre ? Il la regarda monter au premier étage puis la suivit. Il voulait savoir si elle allait bien. Après ce qu'il lui faisait vivre, il devait reconnaître qu'elle avait du cran. Il la regarda donc gagner sans chambre, tout en restant dans l'ombre du couloir. Miles en-trouva la porte et regarda. Il voulait savoir à quoi elle pensait, et si possible la voir toute nue ... m'enfin c'était un bonus ça ... La chambre était pas mal foutu ... la fille aussi d'ailleurs ... fin lui il regardait surtout la fille ... la déco il en avait rien à branler ... Mais alors rien du tout.
Elle se coucha sur le lit, elle semblait assez triste et fatigué. Elle était visiblement préoccupé et troublé. Elle devait hésiter entre plusieurs choix ... probablement si elle continuait la mission où si elle rentrait au SGC le laissant dans la merde. C'était compréhensif, il pouvait pas le nier.
-[FR] Non! T'as déjà donné avec les connard finis, possessifs et misogynes.. T'as vraiment envie de remettre le couvert? Et recommencer a être malheureuse comme du temps de Victor? Non, hors de question...Donc les plans culs oui ... le reste c'est ... c'est .. c'est pas pour toi. La liberté à malheureusement un prix ma fille... ne l'oublie pas.
Miles ne comprit pas tout ce qu'elle dit. Mais globalement, il sut qu'elle le comparait à ce Victor et qu'elle le critiquait ... il comprit "culs" aussi ... ce qui le fit sourire. Mais globalement, il ignorait ce qu'elle pensait de lui, il savait juste ou croyait juste qu'elle le détestait. Il l'entendit renifler, elle était seule et dépressive. Ça lui fendait le cœur, mais qu'y pouvait-t-il ... il devait être la dernière personne qu'elle veulent voir. Il referma silencieusement la porte. Il descendit au bar et aborda l'homme qui cherchait des Mercenaires. Après plusieurs minutes de discutions, il parvint à se faire embaucher. Il se présenta comme Monsieur Kennedy et Cerise comme Madame Barbie Kennedy, sa femme et partenaire en Mercenariat. Il oublia malencontreusement de se choisir un nom ... il allait probablement le regretter le lendemain ...
Une fois cette tâche accomplie, c'est donc fier de lui qu'il remonta à l'étage. Miles est déjà fier de lui quand il sert à rien ... imaginez comment il est lorsqu'il se rend utile et arrive à faire un semblant de diplomatie. Il rentra doucement dans la pièce éclairé par la lune. Il vit Cerise recroquevillé en boule sur le lit et tremblante. C'était vrai que la nuit était fraiche, très fraiche ... Miles lui retira ses chaussures et la regarda dormir quelques instants. A ses yeux, elle était parfaite ... je précise sur le plan physique ... car mentalement ... l'eau chaude n'est pas dans toutes les pièces () Le Colonel attrapa délicatement l'archéologue, prenant soin de ne pas la réveiller, pourquoi ? Pour pas se faire castrer et engueuler ... manquerait plus que ça ... Puis il glissa doucement ses jambes dans les couvertures jusqu'à ce qu'elle soit sous le drap et toucha sans le vouloir le bout sa poitrine. L'effet fut immédiat ... le chapiteau fut monté en quelques secondes. Miles lui mit aussi la petite couverture qui servait surtout de décor ... le drap était surement plus épais qu'elle ...
Miles prit un oreiller et se coucha à même le sol. Il sut tout de suite que la nuit allait être trèèèèèèès longue. Le sol était froid, la température dépassait pas les 5°C et les deux "touristes" tremblaient de froid aussi bien l'un que l'autre. Puis Cerise se mit à bouger ...
Raymond "Red" Reddington
Colonel ~ SGC
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Messages : 137 Date d'inscription : 29/11/2012 Age : 29 Feuille de personnage Affectation: VOIE LACTEE Equipe: Equipe SG-4 Gène:
Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:15
Cerise:
- Atcha!... Snif...
Cerise éternua encore et grelotta de froid. Elle ouvrit les yeux et se demanda ou elle était. *Ah oui, l'auberge... mais ma parole, ils n’ont pas le chauffage ou quoi?* Elle se redressa et vit qu'elle était sous les draps... sauf qu'elle se rappelait pas s'y être glissé et qu’elle n’était pas assez bourrée pour pas s'en rappeler. Perplexe, elle tourna la tête et vit Miles allongé par terre frissonnant de froid lui aussi, surtout qu’il n’avait que ses vêtements sur le dos et prise de pitié elle se dit qu’elle allait lui dire de se mettre sur le lit, à condition qu’il reste de son coté. Elle s'assit au bord du lit et posa un pied au sol avant de le relever les yeux grands ouverts.
- Ma parole on est en Sibérie ou quoi? C'est quoi ce bled. Bon, aux grands mots les grands remèdes!
Elle s’accroupit sur le lit et chercha ses bottes. Quand elle les trouva posées aux pieds du lit, elle jeta un œil vers Miles un petit sourire aux lèvres. Elle se dit que c'était surement lui qui l'avait mise au lit, et elle soupira : elle ne savait vraiment pas sur quel pied dansé avec lui… Elle repensa a leurs dispute d'hier soir et à tout ce qu'il lui avait dit. Certes, il se montrait désagréable la plupart du temps, mais il était aussi capable d’avoir des attentions, comme quoi, il était pas si bourru.. Peut être qu’il se donnait un genre ? L’image du vieux militaire détesté de tous pour qu’on ne le fasse pas chier? Ou peut être pas, allez savoir, peut être qu’il était vraiment con, ou peut être qu’il ne savait pas surtout pas comment être autrement? Sur ces pensées Cerise haussa les épaules et attrapa ses bottes. Elle les enfila en faisant le moins de bruit possible, se leva et se dirigeât vers la porte. Elle attrapa le Zat dans son sac, et entrebâillât la porte: elle n’entendit que des bruit venant de la salle, rien de plus. Elle passa alors la porte, la referma et glissa le zat. dans son dos, puis descendit les marches sans se faire voir. Comme elle ne vit que la serveuse râlant d'être laissée seule à bosser si tard, elle sourit et descendit.
- Je peux vous aider?
- Oui. Il fait froid, on peux avoir des couvertures.
- Oui, en cette période de l’année les nuits sont fraiches . Mais…Euh, elles n'était pas sur le meuble à coté de la porte?
- Hum… non!.
Oh pardon ! S’'il vous plait ne dites rien au patron ou alors, il va encore me battre.
- C’est promis, mais… je peux les avoir, il caille là.
-Oui oui….Les voila ! Et présentez aussi mes excuses à votre mari!
-Mon … ma ?... Oh oui oui, bien sur!
-... ?!
Il y eut un blanc et Cerise se demanda si la jeune femme ne la jaugeait pas là. Comme elle ne savait pas ce que Miles avait raconté, elle joua le jeu en espérant qu'elle n'avait pas fait de bourde en hésitant
- Il est terrible lui : Il dort lui là ! C’est fou, rien ne l’empêche de dormir à lui. Bonne nuit.
Elle tourna les talons avec la grosse couverture qui tenait plus d’une couette qu’autre chose, et remonta l'escalier anxieuse du lourd regard de la serveuse. Arrivée à l’étage elle ne put s’empêcher d'avoir un sourire tordu: Alors Miles les avait présentés comme mari et femme? Ça promettait. Une relation père/fille aurait été bien plus simple, ils auraient put s'envoyer chier constamment, tout en disant qu’ils restaient ensemble car ils étaient une famille malgré tout... Mais le coup des époux… Enfin elle mariée à Miles? Et ben... Ça promettait d’être comique, surtout pour lui car il allait falloir être crédible ! Non de dieu, elle se demanda ce qui lui était passé par la tête encore à celui-là. Elle refit le chemin en sens inverse, et re-rentra dan la chambre. Il lui fallut quelques secondes pour s'habituer au noir, puis elle vu Miles bouger toujours par terre et elle avança vers lui en faisant claquer ses bottes sur le parquet.
-Ô amour de ma vie?! Et si tu dormais "DANS" le lit... ça ferait plus crédible non?
De plus il n'y a qu'une couverture épaisse vu qu'il n'y a qu'un lit... et comme je ne compte pas dormir par terre, "TU" ferais mieux de venir "te" coucher avant que je change d’avis et "te" laisse tomber malade comme un chien galeux.
En attendant que Miles la rejoigne avec son oreiller, elle enlevât ses bottes, puis elle jeta la couverture sur le lit et la défit avant de se glisser dessous avec délice.
- Bon, là on devrait se sentir mieux non? ... Et donc... c'est quoi cette histoire de "Madame Quartich"? J’ai dut trop picoler hier soir, mais je ne me rappelle ni d’avoir dit oui, ni d'une cérémonie… Et si "ça", c'est une suite nuptiale.. je crois que je demande le divorce direct!
Cerise lui tournait le dos, et se dit que là, il devait surement être estomaqué et elle attendit d’arrêter de sourire comme une abrutie avant de se retourner. Non, il n’y avait pas à dire, Cerise s’amusait bien à l’enquiquiner son colonel, mais il fallait dire pour sa défense qu’il ne marchait pas le bougre: il courrait, et ça, ça n’avait pas de prix. Une fois son sérieux reprit, Cerise se retourna, la couverture relevée sur ses fines épaules et regarda Miles de ses grands yeux bleus avant de s’approcher de lui pour qu'il puisse lui expliquer tout en murmurant : il fallait être le plus discret possible non ? Imaginez s'ils étaient surveillés...
- Ooh... ?! Donc… il va falloir jouer au couple mercenaire? Et ben... On n’est pas sortit de la merde (XD).
Non mais sérieux Miles! :Il va "vraiment" falloir ressembler à un couple. Vous savez quand deux personnes qui se marient, il y a forcement une raison et une entente, sinon ils se marient pas quoi. Donc, vous avez quand même conscience que vous allez devoir vous montrer gentil," très gentil" même, avec moi? Et vous êtes sur que vous allez y arriver? Car j'ai pas envie qu'ils flinguent notre couverture rapidos car étonnamment je tiens à ma vie moi...j'ai encore plein de choses a faire.
Cerise regarda Miles, attendant de voir s'il lui répondait ou non.
- Enfin bon. On verra ça demain matin, quand on sera plus réveillés… Mais va falloir qu’on passe un accord tout les deux, un accord de "bonne conduite"....Oouaaaahhhhh!
Cerise baillât et frissonna un peu.
-Hummm… je suis vraiment fatiguée moi... ATCHA! Et gelée en plus…Elles tiennent pas si chaud ces couvertures!!!
Mileeees…??! Cerise le regarda en faisant une moue, et se mordit les lèvres, puis elle s'agita dans le lit en se replaçant confortablement pour dormir et se rapprocha insidieusement de Miles, jusqu'à le frôler, pour avoir chaud.
- Humm Vous étes un radiateur mon coloneeell...
Bonne nuit.
Miles:
- Atcha!... Snif...
Lorsque Cerise éternua encore et grelotta de froid, elle réveilla le pauvre Miles qui poussa un soupir intérieur. Même la nuit elle lui brisait les boules ... encore heureux qu'ils ne soient pas dans le même lit ... vous imaginez ... pour le déjeuné on saurait tous ce qu'il y aurait au menu : Purée de compote ... Elle les lui aurait littéralement pressé. Miles n'osa même pas bouger ... tu m'étonnes, il étais terrifier à l'idée qu'elle sache qu'il est réveillé. Cette fille est un monstre ... et malheureusement, c'est pour ça qu'il l'adore. Il ne pouvait pas rester avec elle plus de quelques minutes sans avoir terriblement envie d'elle, de ses lèvres, de son corps ... mais pas de son cerveau en revanche ... il a jamais bien aimé les petits pois ... Il l'entendit se relever, il fit semblant de dormir ... comment allait-elle réagir lorsqu'elle verrait qu'il s'est permit de la toucher alors qu'elle ne voulait même plus le voir. Le Colonel sentit un regard posé sur lui, c'était comme un sixième sens. De plus, il détestait être épier. Il l'entendit s'assoir au bord du lit et se mit à paniquer. Que préparait-elle ... encore ... Une farce pour le lendemain ? Elle comptait le réveiller à coup de pied ou le castrer en plein nuit ? Elle en serait bien capable tient !
- Ma parole on est en Sibérie ou quoi? C'est quoi ce bled. Bon, aux grands mots les grands remèdes!
Et c'était elle qui disait qu'elle avait froid ... lui grelotait de froid par terre et elle se plaignait ... si elle voulait échanger, il serait pas contre ! En y repensant, c'est même pas sur qu'elle soit en mesure de le castrer ... non ... son digne héritage de son père était bien trop gelé, la pauvre petite fille n'aurait jamais assez de force pour couper ou même transporter son engin ! Il est bien trop gros ! (Pas prétentieux du tout le mec )
Faisant semblant de dormir, il se retourna et ouvrit légèrement un œil .Elle s’accroupit sur le lit et chercha ses bottes. Quand elle les trouva posées aux pieds du lit, Miles sentit son regard se poser une nouvelle fois sur lui et ferma instinctivement les yeux. Puis il entendit un petit soupire ... qu'es-ce qu'elle avait encore la mère tape-dur ? Elle avait pommé son dentier ? Elle avait pas à se plaindre, on lui avait volé son sonotone !
Puis elle sortit. Miles ne savait pas où elle allait mais il s'en fichait sur le coup. Elle l'avait tellement excité ... surtout quand elle est tombé sur lui et avait touché son entrejambe. A chaque fois qu'il y pense il a une érection ... Miles poussa un soupir et se mit sur le dos, les mains derrière la tête. Qu'allait-il faire ? Demander une mutation ? Il ne pouvait pas rester avec elle ... elle le mettait dans tout ses états déjà ... c'était qu'une gamine à ses yeux ... mais une gamine diablement bonne ! Et si elle se faisait capturer ? Comment réagirait-il ? Jusqu'où serait-il prêt à aller pour elle ? Sacrifier la terre ou la sacrifier elle ? Il ne pouvait pas choisir ... il ne savait pas ce qu'il ferai et ça lui faisait peur.
Ensuite Miles refit semblant de dormir en l'entendant re-rentrer dans la chambre. Elle avança vers lui en faisant claquer les talons ... décidément ... elle voulait vraiment l'emmerder aujourd'hui ...
-Ô amour de ma vie?! Et si tu dormais "DANS" le lit... ça ferait plus crédible non?
Miles manqua de s'étouffer. Amour de ma vie ? En quel honneu... oh merde ! Elle avait appris pour "eux" ... Et qu'elle se rassure, il n'y a pas que DANS le lit qu'il mourait d'envie d'aller ...
- De plus il n'y a qu'une couverture épaisse vu qu'il n'y a qu'un lit... et comme je ne compte pas dormir par terre, "TU" ferais mieux de venir "te" coucher avant que je change d’avis et "te" laisse tomber malade comme un chien galeux. Miles la regarda un instant pesant le pour et le contre. Il semblait s'être calmé ... que dire ... il était vrai que si quelqu'un venait à rentrer, il trouverai la situation bizarre et leur couverture serait péter. Il poussa un soupir, se levant et rejoignit Cerise dans le lit.
- Bon, là on devrait se sentir mieux non? ... Et donc... c'est quoi cette histoire de "Madame Quartich"? J’ai dut trop picoler hier soir, mais je ne me rappelle ni d’avoir dit oui, ni d'une cérémonie… Et si "ça", c'est une suite nuptiale.. je crois que je demande le divorce direct!
Cerise lui tournait le dos, et il se dit que là, elle se foutait de gueule ! Mais elle avait raison ... il n'avait pas réfléchi sur le coup ... Cerise se retourna, la couverture relevée sur ses fines épaules et le regarda de ses grands yeux bleus avant de s’approcher de lui pour qu'il puisse lui expliquer tout en murmurant.
- Euh ... eh bien ... j'ai discuté avec le gars qui cherchait des mercenaires et je nous ai fait passé pour un ... *tousse* ... couple de mercenaire ...
- Ooh... ?! Donc… il va falloir jouer au couple mercenaire? Et ben... On n’est pas sortit de la merde (XD).
Non mais sérieux Miles! :Il va "vraiment" falloir ressembler à un couple. Vous savez quand deux personnes qui se marient, il y a forcement une raison et une entente, sinon ils se marient pas quoi. Donc, vous avez quand même conscience que vous allez devoir vous montrer gentil," très gentil" même, avec moi? Et vous êtes sur que vous allez y arriver? Car j'ai pas envie qu'ils flinguent notre couverture rapidos car étonnamment je tiens à ma vie moi...j'ai encore plein de choses a faire. Oh ! Elle avait qu'a dire qu'il était insociable et un bel enfoiré tant qu'elle y était ! Non mais oh ! C'est pas vrai ! Elle pousse trop loin là, il est le meilleur, elle devrait le savoir ... elle avait qu'a lui dire qu'il avait l'âge de son père et que jamais elle voudrait se marier ou se taper un vieux tant qu'elle y était .... hein ... oui ... bon c'est vrai qu'on se moment elle le tenait par les boul ... oh et puis zut ! Arrêtez avec ça ! Le pauvre, laissez les lui là où elles sont ! C'pas un joué !
- Enfin bon. On verra ça demain matin, quand on sera plus réveillés… Mais va falloir qu’on passe un accord tout les deux, un accord de "bonne conduite"....Oouaaaahhhhh! Cerise baillât et frissonna un peu.
-Hummm… je suis vraiment fatiguée moi... ATCHA! Et gelée en plus…Elles tiennent pas si chaud ces couvertures!!!
Mileeees…??! Lorsqu'elle miaula son prénom ... Miles sut tout de suite qu'il allait le regretter ... et pas qu'un peu. La jeune femme le regarda en faisant une moue, et se mordit les lèvres, puis elle s'agita dans le lit en se replaçant confortablement pour dormir et se rapprocha insidieusement de Miles, jusqu'à le frôler, pour avoir chaud. Elle l'avait frôler là où vous pensez oui ! Elle a pas frôlé ses pieds c'est sur ! En tout cas, il sentit une érection lui prendre d'un coup. Il avait jamais bandé autant ... et la fillette qui le collait ... ça n'arrangeait en rien les choses.
- Humm Vous étes un radiateur mon coloneeell...
Bonne nuit.
- Bonne nuit. Miles ne savait pas comment réagir, il l'embrassa sur la joue et passa un bras autour d'elle pour la serrer contre lui. Elle voulait avoir chaud ? Elle allait être servie. Miles sentait son parfum avec envie ... il était dans tout ses états ... la nuit allait être longue ... très longue ... et elle n'arrangeait rien ... la petite Cerise ...
Cerise:
Cerise était bien au chaud là: elle était un peu recroquevillée, les mains sous la couverture et relevées devant sa poitrine, oui elle était bien et elle se prit à imaginer être dans son lit moelleux au SGC. Soudain, elle sentit quelque chose de chaud sur sa joue, et son cerveau qui se paralysa sur l'instant n'arriva a percuter que Miles venait de l’embrasser quand il la prit dans ses bras: réaction conne, vous direz-vous, mais la miss se contracta et ouvrit grand ses yeux en faisant un O de la bouche, totalement stupéfaite. Cerise n'osa pas bougée cherchant ce que.. ce qui.. bref essayant de savoir le pourquoi du comment de la chose. Elle se demandait ce qui se passerait si quelqu'un ouvrirait la porte et les trouvaient ainsi...
*Oh?! Oh! Mais oui... Il m'a prit au pied de la lettre, c'est ça! C'est pour qu'on nous croit ensemble.... bien sur! Mais.. Mais moi là... Je.. je vais pas réussir a dormir.. Et.. et s'il allume la lumière et me trouve toute rouge de confusion?Je fais quoi? Oh lalalalalaaaa......
En plus, elle n'était pas à l'aise là: elle avait mal au cou, elle n'en pouvait plus, il fallait qu'elle se dégage de là, ou alors c'était le torticolis assuré.
*Ou alors.. J'en profite et je me fais plaisir... genre comme hier soir. Sauf que là, il sera réveillé et que bon... Bon bon bon... Et puis Zut! C'est lui qui a commencé non?! *
Cerise bougea pour se mettre à l'aise, elle se retourna vers Miles leva sa tête et la posa sur la clavicule de Miles et se blotti contre lui. Puis, elle ferma les yeux tout en souriant bêtement et n'osa plus bouger en priant pour ne pas se faire jeter par terre. Elle fini par poser son bras, l'air de rien, sur le torse de Miles et se mordant les lèvres.
Là.. oui LA elle était bien, et c'était quand même dur a admettre. Miles était un vrai radiateur, et il sentait si bon, et son cœur battait si fort que ça la détendait autant que les ronrons des chats. Elle hésita elle devrait dire quelque chose non? mais pour lui dire quoi? Et puis, elle se dit que franchement elle n'était pas sur de vouloir cassé l'instant, c'était si inattendue. Certes, Miles n'avait pas fait ça car il était attiré par elle, non c'était purement professionnel après tout, mais elle elle arrivait pas a pensé a autre chose qu'a cet après midi quand elle lui était tombée dessus et à ce moment de flottement ou des idées avaient insidieusement fait leur chemins dans sa tête... mais il l'avait traité de camion! ELLE!
- Hummm.... Millees? Ça va, je vous fait pas trop mal... Je voudrais pas vous "écraser" de nouveau.
Cerise ouvrit ses grand yeux et le regarda avec une certaine douceur. De le sentir là si prêt d'elle alors qu'elle nourrissait quand même des sentiments à son égard, avec son odeur, sa musculature, elle se sentait de nouveau comme une collégienne. *Oh... Oh non, j'étais sur pourtant que j'en avait finie depuis Victor...*
Cerise bougea un peu et sentit quelque chose, et elle rougie en se disant que ce n'était surement pas un stylo cette fois ci, mais elle espéra que la nuit aidant Miles ne le remarquerais pas ...
Miles:
Miles et Cerise était dans une position assez embarrassante. Lorsque Miles embrassa Cerise, il comprit immédiatement qu'il faisait une bêtise ... lui qui faisait tout pour lui cacher son attirance pour elle, il venait de l'embrasser sur le front et de la prendre dans ses bras. Le seul point positif, c'est que maintenant il avait chaud ... Il sentait son parfum dans ses narines, son excitation ne retombait pas ... malheureusement.Il ne savait pas comment réagir, devait-il lui dire ce qu'il ressentait pour elle ? Ou tout simplement essayer d'oublier ? Les effets de l'alcool lui embrouillait la tête ... il n'était pas vraiment en mesure de prendre un décision intelligente.
Puis Cerise bougea pour se mettre à l'aise, elle se retourna vers lui, leva sa tête et la posa sur sa clavicule. Puis elle se blottit contre lui. Miles la contemplait, elle avait les yeux clos, tout en souriant bêtement. Honnêtement, Miles faillit la jeter par terre, simplement parce qu'il est con ... je sais je sais, c'est une excellente raison ... Mais Miles ne pouvait pas faire ça ... non non, c'était parce qu'il ne le voulait pas, car il ne se serait pas gêné, c'est principalement car il était tout simple ... trop bourré quoi ... le plus dur n'aurait pas été de l'envoyer chier, mais plutôt de l'empêcher de l'étrangler ... après ... lorsqu'elle se serait relevé. Évidement, il aurait parlé de routier, plus précisément de camion, prétextant qu'il avait senti sa clavicule craquer sous le poids, mais c'était un jeu dangereux avec cette Furie dans les parages ... Puis elle posa son bras sur son torse, l'air de rien, tout en se mordant les lèvres. Il manquait plus que ça ... maintenant elle allait faire ses griffes sur lui ... tigresse de malheur ! En revenant au SGC, il verra pour la faire piquer ... Non mais c'est vrai ... il a l'impression de servir d'oreiller là !
Enfin, c'est ainsi qu'il aurait pensé et réagi si il n'était pas complètement péter ... là il voulait une seule chose ... se la faire ... mais c'était pas convenable ... elle avait l'âge de sa fille et il pourrait passer sous la cours martial pour une action de ce genre. Leurs frottements lorsqu'ils étaient par terre l'avait largement excité, il en avait presque honte.
- Hummm.... Millees? Ça va, je vous fait pas trop mal... Je voudrais pas vous "écraser" de nouveau.
La garce ... pourquoi n'arrêtait-elle pas de lui rappeler ce moment douloureux à la fin ! Pas touche à ses bijoux de famille ! Soyons sérieux quoi ... laissez les là où ils sont et puis c'est marre ... Soudain Cerise ouvrit ses grand yeux et le regarda avec une certaine douceur. Miles y lut dans son regard de l'excitation ... une véritable chaudière ... lui était pas mieux ... il avait même monté le chapiteaux ... mais il était bien trop bourré pour retenir ce détail insignifiant ()
Miles sentit Cerise bouger mais ne la vit pas rougir. Il était bien loin de remarquer qu'elle avait vu ... son excitation ... Miles pencha sa tête de façon à ce quelle touche la sienne et l'embrassa sur la joue avant de lui dire :
- Bonne nuit et pas de bêtise hein ...
Miles la serra contre lui et sans le vouloir, effleura un des seins de Cerise en posant sa main juste au dessus des fesses de l'archéologue. Il la voulait contre lui ... et pas seulement parce qu'il avait froid ...
Cerise:
Au lieu de lui répondre, Miles l’embrassa de nouveau sur la joue et la serra contre lui, et elle resta dubitative : le faisait-il pour l’embêter ? Pour la faire râler ? Ou par ce qu’il était trop bourré ?
- Bonne nuit et pas de bêtise hein ...
Cerise se demanda ce qu'il entendait par là: il pensait qu'elle allait jouer la nuit au justicière masquée peut être? Ou qu'elle allait le castrer? Mais elle n’osa pas bouger quand quelques minutes plus tard, Miles se repositionna avec elle dans ses bras.
* Comment il veut que je fasse une bêtise… Faudrait déjà que j’ose bouger, et c'est pas gagné...*
Elle faillit se redresser pour lui dire de pas pousser le bouchon trop loin quand elle sentit sa main lui effleurer les fesses avant d'aller se poser sur ses reins, mais il la serrait là sans trop de pression, juste ce qu’il fallait là contre son torse puisant et... et... et elle n’avait pas envie d’en bouger.
Elle se demandait quelle serait la tête du colonel, s’ils passaient tout deux la nuit ainsi lovés l’un contre l’autre et que le matin les trouvait ainsi, surtout si monsieur avait trop but et ne se rappelait plus trop des événements… Elle pourrait même lui faire croire qu’ils avaient passé une nuit torride, ça serait bien comique de voir la tronche qu'il allait tirer. Elle soupira en se disant que non, c’était bas,et méchant... puis, à choisir elle préférait que ça soit vrai. C’est a ce moment précis que Cerise sut qu’elle en pinçait vraiment pour lui : il la poussait toujours a bout, mais elle aimait bien ça et ça la poussait a se surpasser, fallait le reconnaitre. De plus, il n’était jamais loin et veillait sur elle. Tout ça sans compter cette tension entre eux… Elle se dit qu’elle avait vraiment le chic pour son type d’homme, vraiment. Mais il n’était pas question qu’elle vende la mèche non, ça devait rester comme c’était, car de toute façon, qu’en penserait-il après tout ? Elle n’était qu’un bébé à ses yeux, même pas une femme potable, et attirante. Même si elle avait bien sentit qu’elle lui fessait un effet non négligeable ce soir, elle se dit que là, même Berthe et ses 95kg ferait peut être tout autant l’affaire pour un homme bourré. Elle eut un pincement au cœur et s’appuya plus fortement contre lui. Non, elle aurait voulut être l’objet de son désir, même si c’était con et inexplicable, tout en Miles l’attirait : son physique, son odeur, même son mauvais caractère, enfin, surtout ça. Elle se sentit mal là finalement blotti contre lui, et en sentant que le cœur de Miles s’était ralenti, elle leva son bras posé contre lui, pour le poser sur son flanc et le serrer un peu : là, ainsi blotti contre lui, elle avait l’impression qu’ils se serraient vraiment l’un contre l’autre, mais pour elle, c’était surtout difficile, comme dans ces histoire d’amour impossible : ce serait jamais possible et ça blessait. Alors elle se consola un peu comme elle le pouvait et finalement de pouvoir là se serrer contre lui la rassurait un peu. Elle se dit qu’elle était quand même bien capricieuse des fois, mais elle était comme ça. Cerise finit par s’endormir bercée par le rythme lent de la respiration de Miles, et dormit même mieux que d’habitude, comme si les bras de son colonel étaient des écrins la protégeant du monde extérieur.
Lorsqu’elle se réveilla, le soleil s’était levé depuis peu et réchauffait peu à peu l’air de ses rayons. Elle s’étira, toujours dans les bras de Miles, et laissa un peu sa tête sur les pectoraux de son partenaire. Elle se dit que sa vessie allait exploser et qu’elle devrait vite aller se soulager avant d’aller se laver le visage et se recoiffer vu qu’il y avait une petite salle de bain dans le couloir. Mais voilà : c’était dans le couloir et elle était à moitié rassurée, elle se dit qu’elle devrait récupérer son Zat au cas où, sait-on jamais. Les activités reprenaient peut à peu et Cerise entendait déjà des bruits venant de la salle de l’auberge. Cerise leva la tête et repéra le ZAt sur la table du coté de Miles.
*Merde, je suis cruche… quand est-ce –que je l’ai posé là-bas ? Ah oui… Quand je mettais la couette…*
Elle leva doucement le bras de Miles posé sur ses fesses en roulant des yeux et le fit glisser de l’autre coté du lit. Puis, elle se releva doucement et a quatre patte elle essaya de l’atteindre, mais pas moyen. Elle souffla sur sa frange, puis passa une jambe entre celles écartée de Miles et recommença, mais c’était toujours trop loin, alors elle s’étira comme elle pouvait en essayant de l’attraper du bout des doigts. Mais c’était sans compter Miles qui bougea alors et elle tomba à moitié à califourchon sur Miles se rattrapant de ses bras de chaque coté de lui.
Bien sur c’est là qu’il ouvrir se grand yeux gris… et Cerise était là au dessus de lui, des mèches de cheveux tombant de part et d’autre de son visage étonné et quelque peut rouge et ô combien prêt de celui de Miles. Elle allait parler et s’expliquer quand on tambourina à la porte avant que celle-ci ne s’ouvre brusquement sur deux hommes qui les regardèrent avec de grands yeux et un sourire en coin.
- Oh ohhh... Je crois qu’on les dérange.
- J’crois aussi… Bon! On vous laisse un quart d’heure pour finir votre affaire va ! On vous attend en bas éhéhéh !
L’homme regarda Miles, un large sourire aux lèvres, avant de lui faire un clin d’œil. Puis il referma la porte et lui et son comparse dévalèrent les escaliers et apostrophèrent bruyamment la serveuse pour avoir de quoi déjeuner. Cerise était restée coite et avait regardé fixement les inconnues sans sourciller tout du long. Mais là, maintenant qu’ils s’étaient éclipsés elle se demandait qui ça pouvait bien être. Puis elle eut une illumination et d’un coup elle imaginât bien la scène qu'ils avaient crus voir, et elle vira au rouge carmin. Toujours à quatre pattes au dessus de Miles, elle ferma les yeux en se mordant la lèvre et posa sa tête sur le plexus de Miles…
*Et… Merde... merde … merde et remerde!*
Miles:
Miles la regarda s'endormir ... tout en se demandant ce qu'il avait fait ... Avait-il craqué ce soir ? Oui, complètement ... Il ne pouvait pas se contenir ... il l'aimait ... trop à son goût d'ailleurs. Il était un vieux militaire, hypocrite, cynique, sadique et immoral. Un vieux con célibataire en gros ... qui n'avait plus aucune chance de fonder une famille. Un rebut de la société. Que pouvait-il espérer sinon mourir seul ? Il avait passé toute sa vie à mentir, se battre et tuer ... il est bien loin d'être une homme sociable ... il est tout juste supportable lorsqu'il est de très bonne humeur ... le reste du temps tous le déteste. Aucune femme sera assez conne pour s'attacher à lui et encore moins Vlui faire des enfants ... surtout pas Cerise. vous imaginez un peu la "bête" ? Une erreur de la nature ... imaginez il nait tout fripé comme un vieux, avec un cynisme pas possible doté ,de la part de Cerise, d'un QI de moule et en chialant en permanence ... un vrai calvaire quoi ! Enfin ... Miles finit par s'endormir sur toutes ces pensées très ... positives ...
Miles sentit tout d'abord qu'on lui déplaçait le bras, mais il avait mal au crâne et ne souhaita pas ouvrir les yeux, si il y avait un soucis, Cerise l'aurait réveillé. dérangé par le lit qui commençait à branler ... lui n'en était pas très loin non plus vous me direz mais c'est pas le sujet. Tout d'abord, il sentit un frôlement sur ses jambes, par flemme, il n'ouvrit pas ses yeux. Puis il bougea un peu et fut réveillé par un poids sur lui, au niveau du ... zgeg. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il contempla le doux visage de Cerise, à quatre patte sur lui. Pour être franc, aucun homme de normal peut rester de marbre devant ça ... leurs lèvres étaient à quelques centimètres l'une de l'autre.
Miles allait l'embrasser lorsqu'on tambourina après la porte juste avant qu'elle se fasse défoncer par deux hommes qui les regardèrent stupéfait.
- Oh ohhh... Je crois qu’on les dérange.
- J’crois aussi… Bon! On vous laisse un quart d’heure pour finir votre affaire va ! On vous attend en bas éhéhéh !
L’homme regarda Miles, un large sourire aux lèvres, avant de lui faire un clin d’œil. Puis il referma la porte et lui et son comparse dévalèrent les escaliers et apostrophèrent bruyamment la serveuse pour avoir de quoi déjeuner. Miles reporta son attention sur elle. Il ne pouvait pas faire ce qu'il avait tellement envie, elle était jeune, elle avait la vie devant elle et l'utiliser comme ça en profitant de la situation n'était pas digne de lui. Certes la fin justifier les moyens, mais à quelle fin justement ? Juste pour le plaisir de la tringler ? Nan non, c'est pas son genre ... enfin sa l'aurait été si c'était pas elle, mais il la respectait et l'aimait bien trop. Le visage de Cerise passa au rouge, lorsqu'ils croisèrent leurs visages, le sien en fit de même. Il se sentait gêné mais affreusement bien.Toujours à quatre pattes au dessus de lui, il la regarda fermer les yeux en se mordant la lèvre et la laissa poser sa tête sur son plexus. Il n'avait pas envie que ce moment finisse. Et il ne pouvait plus résister, ses nerfs lâchaient ... mais il se contint tout de même un peu ...
- Je ne vous pensais pas comme ça ... heureusement que je vous connais et que je sais que vous avez fait ça lorsque vous les avez entendu arriver. Beau réflexe Miss Lafont ...
Miles posa sa main sur les fesses de Cerise et lui caressa le visage de l'autre.
- On reste ici encore six minutes puis on s'habille. On sait jamais. Donc je vous laisse profiter de ma gentillesse passagère pendant ce laps de temps ...
Miles l'embrassa sur la joue et ferma les yeux ... imaginant des choses pas très ... catholique ... heureusement, il était athée.
Raymond "Red" Reddington
Colonel ~ SGC
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Messages : 137 Date d'inscription : 29/11/2012 Age : 29 Feuille de personnage Affectation: VOIE LACTEE Equipe: Equipe SG-4 Gène:
Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:15
Cerise:
Cerise ne savait plus ou se mettre? Que faire? Que dire? Comment allez t-il le prendre? Bref, trop d'explications hasardeuses à imaginer.
- Je ne vous pensais pas comme ça ... heureusement que je vous connais et que je sais que vous avez fait ça lorsque vous les avez entendu arriver. Beau réflexe Miss Lafont ...
Cerise releva la tête et ouvrit de grands yeux.
*Mais oui, c'est ça, j'ai...j'ai qu'a dire ça! Attends! Mais pourquoi je mentirais d'abord? J'ai rien fait de mal, je voulais juste récupérer mon Zat pas lui sauter dessus non plus!*
- Hh....!? Alors qu'elle allait parler pour lui dire d’arrêter de se faire des films, Miles posa sa main sur ses fesses et elle le regarda gênée tout d'un coup et ne sachant plus trop quoi faire. Avant qu'elle reprenne ses esprits, il lui caressa le visage de l'autre.
- On reste ici encore six minutes puis on s'habille. On sait jamais. Donc je vous laisse profiter de ma gentillesse passagère pendant ce laps de temps ...
Cerise se demandait s'il existait une couleur pour décrire la chaleur qu'elle ressentait: elle devait être encore plus rouge que rouge. Elle ne savait plus quoi faire, et miles la prit en traitre en l'embrassant sur la joue. Il relâcha la pression, les yeux fermés dans ses pensées . Elle en profita alors pour attraper son cousin et lui coller dans la tête, forte de ses parties de bataille de polochon avec sa coéquipière Lana. C'était plus pour la forme que pour le fond, car les oreillers étant en plume, il risquait pas d'avoir mal.
- Oh! ça suffit! Arrêtez donc de vous moquez de moi! Votre... votre gentillesse passagère?! Vous pouvez vous la mettre ou je pense! Si.. S'il n'y avait pas cette mission et cette couverture a tenir, j'y aurait pas droit!
Cerise se rendit compte que leurs mouvements faisait grincer le lit alors elle les accentua: tans qu'a faire, les deux d'en bas en aurait pour leur idée!
Et.. Et s'il n'y avait pas cette mission et cette couverture a tenir! ...
Mais arrêtez de vous débattre non mais!
J'y.. j'y aurait pas droit! C'est pas comme si vous pouviez être attiré par moi et me comprendre et... Ahhh!
Cerise chuta alors sur Miles et couinant quand il attrapa l'oreiller qu'elle lui balançait dans la tête et l'envoya valser de l'autre coté de la pièce en faisant tombé un pot métallique au sol. Cerise resta tétanisé, tremblant un peu de peur que Miles ne devienne vraiment méchant.
- M...Milllesss...? Hhhh... Je... je...
Cerise n'osait pas relever la tête du buste de Miles, elle savait qu'il allait être méchant et que ça risquait de barder pour son matricule. Mais ils pouvaient pas rester là éternellement , alors, après un petit silence pesant, elle releva sa tête doucement avec un petit air conciliant, mais le hasard, ou sa maladresse, fit que leurs bouches se frôlèrent quand elle essaya de se relever...
Miles:
Miles vit Cerise passer à tous les rouges avant qu'il ne ferme les yeux, elle semblait bien excité aussi, mais probablement par lui, c'est surement dut à la position ainsi qu'a Victor ... Puis il fut drôlement re-réveiller. Il reçut un truc dans la tronche, puis un autre puis un autre. Lorsqu'il ouvrit les yeux, ce fut pour voir l'oreiller lui tomber sur la gueule. Au début, il crut que le ciel lui tombait sur la tête ... mais non ... c'était que Sœur Cerise qui lui massacrait la tronche. Franchement, il ne savait plus quoi faire d'elle ... la Nonne commençait à l'énerver, elle avait besoin d'un bonne leçon. Soudain elle fit une crise d'hystérie ... normal venant de la part d'une hystérique ... décidément, il avait de la veine avec les femmes.
- Oh! ça suffit! Arrêtez donc de vous moquez de moi! Votre... votre gentillesse passagère?! Vous pouvez vous la mettre ou je pense! Si.. S'il n'y avait pas cette mission et cette couverture a tenir, j'y aurait pas droit!
* C'est vrai ... si il y avait pas la mission ça ferait longtemps que je vous aurai plaqué contre un mur ... ou alors j'aurai demandé une mutation pour ne plus avoir à vous entendre chouiner ... j'arrive pas à me décider ... le cul ou la sauvegarde de mes oreilles ? Sans parler qu'il y a des chances que j'y laisses ma bourse et ses deux belles pièces ... *
Le mouvement de Cerise contre son ... bassin, ne faisait que l'exciter, il avait beau ne pas s'être encore décidé, son sexe lui, avait choisi depuis bien longtemps.
Et.. Et s'il n'y avait pas cette mission et cette couverture a tenir! ...
* C'est la deuxième fois que vous le dites ma chère, je commence à me dire que je suis pas la seule personne sénile dans cette pièce ... *
Mais arrêtez de vous débattre non mais!
* Bah voyons, vous voulez pas une pelle non plus histoire de m'endormir un peu plus ? ... *
J'y.. j'y aurait pas droit!
* Qu'es-ce que je disais ... halala ... elle perd la boule la mère supérieur du couvent ... *
C'est pas comme si vous pouviez être attiré par moi et me comprendre et... Ahhh!
* Je dois vous plaquer à un mur et vous déglinguer pour vous convaincre ? Dans ce cas, je suis belle et bien attiré par vous ... *
Cerise chuta alors sur Miles en couinant quand il attrapa l'oreiller qu'elle lui balançait dans la tête et l'envoya valser de l'autre coté de la pièce en faisant tombé un pot métallique au sol. Cerise resta tétanisé, elle semblait terrifié à l'idée qu'il s'énerve ... il décida donc de profiter de l'occasion pour renforcer leur couverture.
- M...Milllesss...? Hhhh... Je... je...
Cerise avait toujours sa tête contre son buste, elle n'osa plus bouger. Miles était amusé. Lorsqu'elle se releva doucement, leurs bouches se frôlèrent, Miles dut se retenir pour ne pas succomber à la tentation de prendre possession de ses lèvres. En voulant la pousser à la renverse, il posa sans le vouloir ses mains sur ses seins. Elle tomba sur le dos, Miles se jeta sur elle avant qu'elle puisse se lever. Ils roulèrent et tombèrent hors du lit, Cerise était sous lui, dans une position plus que délicate. Il était sur elle, cette fois-ci, la tête contre sa poitrine ... Miles rougit comme une pivoine et se releva en prenant appuie sur le sol. Il l'aida à la relever et lui mit un coup de pied aux fesses lorsqu'elle sortit de la chambre.
* Ça, c'est pour les apparences ... *
Miles sortit derrière elle et la suivit à l'étage du bas. Lorsqu'ils arrivèrent, l'un des hommes rigola en voyant Cerise se masser les fesses.
- Je vois que vous vous êtes bien amusé ...
- C'est vrai qu'elle n'est pas prêt de s'assoir ...
Miles pencha sa tête vers Cerise et l'embrassa. Il lui murmura tout bas :
- Petit plaisir personnel ...
Miles lui adressa un petit sourire pervers et reporta son attention sur les deux autres gugusses.
Cerise:
- Je vois que vous vous êtes bien amusé ...
- C'est vrai qu'elle n'est pas prêt de s'assoir ...
Miles se pencha vers elle ...
- Gne!?HHH(smack)Hummm!!
Cerise ne savait plus quoi faire, quoi dire, quoi penser alors que Miles l'embrassait devant les mercenaires. Certes, la mission était prioritaire bien sur mais là... Là?! Et bien s'en était trop: Miles se jouait d'elle, maintenant elle le voyait bien.
- Petit plaisir personnel ...
Cerise le regarda un instant de ces yeux papillonnants, alors qu'il lui fessait un sourire affiché: Il avait gagnait croyait-il?! Cerise se dit qu'il l'emporterait pas au paradis et se demanda comme réagirait une femme mercenaire... Elle se colla contre lui, l'embrassa longuement pour lui rendre son baiser, après tout fallait être crédible, et en profita pour lui serrer l'entre jambe avec une de ses cuisses, et lui murmurât entre les dents. - "Milleees... Ô mon "amour"? Tu l'emportera pas au paradis... Crois moi!
Elle relâcha la pression sur son entrejambe et prit la direction du comptoir d'un air un peu maussade pour demander un truc a manger: au moins elle aurait la bouche pleine et ça lui passerait l’envie de lui envoyer des fions. Il avait osé la frapper quand même! Un coup de pied au cul? Même son père avait jamais osé. Et pour l'embrasser juste après? Si ça portait pas a confusion tout ça... L'un des mercenaires la reluqua quand elle passa devant lui et fit un geste a Miles pour dire qu'elle était canon. Ni une ni deux, elle envoya son pied dans le barreau de la chaise et le fit tomber: cerise était d'humeur massacrante.
- Quoi?!! t'a jamais vu de femme?! Ou t'as pas ce qu'il faut ou il faut pour jamais en avoir eut une? Oh? Et rassure toi, j'ai pas besoin d'un couteau pour te faire passer l'envie de te foutre de ma gueule Ducon! Alors?!!
- Nan... mais.. rien rien m'dame...
- J'préfère!
Cerise croisa les bras, un air pas commode du tout sur le visage, les lèvres pincées et les sourcils froncés. Elle tourna les talons reprenant sa marche vers la serveuse qui en avait pas raté une miette. L'homme se releva sous les ricanements de son collège et se retourna vers Miles, avec un air un peu gêné et sous le charme de la brunette.
-Waouh.. quel tempérament (siffle)... vous devez pas vous ennuyer tout les jours.
Cerise resta debout, nonchalamment appuyée au bar et attendit que la serveuse lui ramène de quoi manger. Elle tourna la tête et fit un sourire hypocrite à Miles avant de refixer la porte de la cuisine. Au comble de l’énervement elle marmonnait dans sa barbe, en se remémorant tout ce que son chef d'équipe lui fessait subir depuis 72h00.
-[FR] Pff! Non mais j'hallucine... schreugnegne... Un coup de pied au cul... schreugnegne...Alors que c'est quand même lui qui arrête pas de me tripoter en plus. Je vais finir par croire que c'est pas des accidents et même que... Oh??...ooohhh.... Elle tourna la tête de nouveau vers les trois hommes assis en pleine discussion et se dit qu'en fait, elle se fessait peut être pas de film et bizarrement ça lui rafraichit les idées. Miles ne pouvait pas être si bon comédien,non, ou elle ne devrait pas s'amuser a rattraper ses bourges en négociations, mais alors, pourquoi hésitait-il?
*Alors le coup de pied aux fesses, c'était peut être pour se donner contenance, car tout a l'heure...* Cerise se rappela qu'ils avaient faillit s'embrasser, puis qu'ils étaient tombés par terre quand, en voulant la repousser, il avait peloté sa poitrine et que, justement, il s'était trouvé la tête en plein dedans quelques secondes plus tard. Dieu qu'elle n'avait plus sut ou se mettre à ce moment là...c'était agréable certes, mais quelque peu gênant. Mais il n'y avait pas que ça: les photos, le jeu de chat, les bisous, les "calins"... Cerise fit un grand O de la bouche qui se transforma en un grand sourire.
*Ohhh... Peut être... *
D'un coté, elle se dit qu'elle devait être myope et avoir une moitié de cerveau pour être passé a coté: il venait de l'embrasser devant les 2 autres mecs pour assoir son autorité de mâle alpha certes, mais peut être pas que pour ça.... Et pas un petit bisous du bout des lèvres non non un vrai baiser.
*Alors? Serait-il possible qu'en fait... *
Elle se mordit les lèvres en fessait un sourire coquin en regardant Miles. Elle attrapa le pain qui ressemblait plus à des galettes qu'autre chose, en fourra un bout dans sa bouche et se dirigea vers les hommes assis et discutant à voix basses tels des conspirateurs. Miles lui fessait face et elle riva ses yeux dans les siens en prenant un air ingénu et en se déhanchant intentionnellement pour mieux faire claquer ses talons sur le parquet. Arrivé a la table, Cerise posa sa main droite sur l’épaule de Miles et *tourna nonchalamment derriére la chaise du colonel sans se presser. Au lieu de s'assoir, Cerise posa ses coudes sur le dossier de la chaise a Miles, se pencha sur lui pour poser le pain sur la table et en profita pour effleurer le coup de son colonel de son souffle chaud, si prêt que les mercenaires en face crurent qu'elle y déposait un baiser et les regardèrent en silence. Ils étaient en missions certes, mais ça n’empêchait pas Cerise de vouloir vérifier un truc.... Et puis, il fallait être crédible dans leur rôle de couple dans le métier comme dans la vie après tout. Puis, elle attrapa le dossier de la chaise a coté de lui s'assit et croisa ses jambes tout en faisant son maximum pour avoir l'air froide et calculatrice.
- Bon alors et ce travail?
Miles:
[justify]Miles croisa le regard papillonnant de Cerise alors qu'il lui adressait un petit sourire de victoire. Cette fois-ci il l'avait eu ! Haha ! Et en beauté de plus ! Il lui avait mit littéralement dans l'arrière train ! Là dans ces conditions, elle n'allait plus pouvoir d'assoir de sitôt, il en était persuadé. Soudain, elle se colla contre lui, l'embrassa longuement pour lui rendre son baiser et en profita pour lui serrer l'entre jambe avec une de ses cuisses, et lui murmurât entre les dents.
- "Milleees... Ô mon "amour"? Tu l'emportera pas au paradis... Crois moi!
- C'est ce que nous allons voir Barbie, c'est ce que nous allons voir ...
Puis elle relâcha la pression sur son entrejambe, au plus grand déplaisir de Miles qui en voulait plus ... tout naturellement. Là, c'était lui qui l'avait dans le fion. Puis la peste prit la direction du comptoir d'un air un peu maussade pour probablement demander un truc a manger ... et le régime dans tout ça ?
* Arff ... du camion on va passer au porte avion .... elle pourra même plus passer par la porte ... il faudra qu'on défonce le toit et qu'on la soulève avec une grue ... que Dieu me protège ... pourquoi je lui parle à lui d'ailleurs ... je sais très bien qu'il est sur répondeur ce crétin ... oh et puis ... elle dira moins de connerie la bouche pleine, c'est toujours ça de prit ... *
Néanmoins, Miles était super fière de son fameux 48 dans le derrière de Cerise, sa l'avait même propulsé vers les escaliers. Et comme prévu elle s'était massé les fesses ... la pauvre ... elle avait rien vu venir ! Puis il lui avait roulé une grosse galoche ! Hahaha ! Ça non plus elle l'avait pas vu venir la chouineuse ! Puis un des mercenaires la reluqua quand elle passa devant lui et fit un geste a Miles pour lui dire qu'elle était canon. Bah évidement ... il allait pas sortir avec la grosse allemande ... fallait pas déconner non plus ! Berthe était en plus de moche et puant, littéralement imbaisable ... c'était la spéléologie avec elle ... il vomissait rien que d'y songer. Puis sans crier gare, elle chouta dans une chaise ... elle aurait pu péter les couilles de ce couillon, mais non, la castration c'était uniquement pour lui on dirait ... il en avait de la chance ...
- Quoi?!! t'a jamais vu de femme?! Ou t'as pas ce qu'il faut ou il faut pour jamais en avoir eut une? Oh? Et rassure toi, j'ai pas besoin d'un couteau pour te faire passer l'envie de te foutre de ma gueule Ducon! Alors?!!
- Nan... mais.. rien rien m'dame...
- J'préfère!
Miles éclata de rire, Cerise jouant aux gros bras, c'était à voir. Soudain il voulut lui demander comment allez ses arrières trains après ce qu'il lui avait mit, mais n'osa pas, elle était bien fichu de foutre en l'air leur couverture ... Il la regarda, croisant les bras avec un air de bulldog. L'homme se releva sous les ricanements de son collège et se retourna vers Miles, avec un air un peu gêné et sous le charme de la brunette.
-Waouh.. quel tempérament ...(siffle)... vous devez pas vous ennuyer tout les jours.
Miles hocha de la tête. Il n'avait pas idée de ce que c'était, ni comment il adorait ça. Cerise resta debout, nonchalamment appuyée au bar et attendit que la serveuse lui ramène de quoi manger. Elle tourna la tête et fit un sourire hypocrite à Miles avant de refixer la porte de la cuisine. La petiote semblait vraiment hors d'elle, ça la rendait encore plus sexy. Il voulait qu'une chose ... oui c'est ça ... vous avez bien deviné.
-[FR] Pff! Non mais j'hallucine... schreugnegne... Un coup de pied au cul... schreugnegne...Alors que c'est quand même lui qui arrête pas de me tripoter en plus. Je vais finir par croire que c'est pas des accidents et même que... Oh??...ooohhh....
Miles ne comprit pas tout mais il n'était pas stupide, elle râlait. Comme toujours d'ailleurs, elle n'était pas française pour rien après tout. Miles ne la vit pas le regarder avec étonnement, il avait reporté son attention sur les deux Mercenaires. Ensuite il vit son magnifique sourire coquin. A ce moment là, Miles paniqua. Qu'allait-elle encore inventé pour se venger ? Bonne question ... elle était imprévisible et prête à tout, elle allait se venger, c'était tout vue. Miles lui fessait face et elle riva ses yeux dans les siens en prenant un air ingénu et en se déhanchant intentionnellement pour mieux faire claquer ses talons sur le parquet. Depuis le coup de la carte mémoire, elle le tenait pas le sexe, enfin façon de parler, elle avait de bien trop petite main la pauvre ! Enfin, Miles était complètement fou d'elle, en quelques jours elle était devenue sa bouteille d'oxygène ... toujours sur son dos ... un peu trop lourde, enfin en même temps porter un 5 tonnes, .... mais indispensable à sa survie. Bah quoi, on a toujours besoin d'une gourde quand on traverse le désert ! Bah avec la vie c'est pareil, il nous faut une gourde pour nous suivre de partout ... même si pour ça il faut supporter qu'elle te casse les noix tous les kilomètres pour te dire qu'elle doit faire une pose ... Enfin, c'est la vie !
Arrivé a la table, Cerise posa sa main droite sur son épaule et tourna nonchalamment derrière sa chaise sans se presser. Ça lui donnait un air encore plus sexy, un peu comme une col-girl ... Au lieu de s'assoir, la belle posa ses coudes sur le dossier de la chaise du Colonel, qui lui se tenait plus, que pouvait-elle lui réserver, elle se pencha sur lui pour poser le pain sur la table et en profita pour effleurer le coup du Colonel de son souffle chaud, si prêt que les mercenaires en face crurent qu'elle y déposait un baiser et les regardèrent en silence. Il était dans tout ses états ... il en pouvait plus ... si les deux autres clowns n'étaient pas là, il s'en serait passé des choses dans cette pièce. Puis, elle attrapa le dossier de la chaise a coté de lui s'assit et croisa ses jambes tout en faisant son maximum pour avoir l'air froide et calculatrice., ce qui n'était pas gagné d'avance entre nous.
- Bon alors et ce travail?
Miles la regarda dans les yeux avec un regard de braise. Il posa sa main sur la cuisse de Cerise et se mit à la caresser sous les regards envieux des deux autres voyeurs qui n'en manquaient pas un bout.
- Nous allons suivre ces deux hommes jusqu’à leurs planques. Ils vont nous présenter au Chef de l’Alliance Luxienne de cette planète. Ce sera lui qui nous dira si il a un job pour nous ou pas.
Miles continuait ses caresses, mais maintenant les deux hommes ne pouvaient plus voir les gestes puisqu'il s'était rapproché de la table. Mais alors, pourquoi faisait-il ça ?
Cerise:
Alors que Miles posa sa main sur sa cuisse et commença à la caresser sous le regard avide des deux hommes en face d'eux, Cerise sut qu’elle avait touché juste.
*Jackpot ma fille... On dirais bien que mister bloc de glace en pince pour toi, ou alors, c'est un comédien de génie...mais bon, faudrait pas trop lui en demander*
Elle quitta des yeux le mercenaire en face d'elle qui allait presque finir par se mettre a baver et les roula doucement vers Miles. En voyant son regard elle ne put que sourire: d'un coté, c'était un homme et elle une femme qui, sans être égocentrique, savait qu'elle avait un bon sexappeal, alors qu'il la regarde si intensément n'avait rien de surprenant... mais c'était quand même son colonel de malheur ( ).
* Ben ça explique certaines choses en fait: le fait qu'il est rien dit quand je me suis couché contre lui, les photos, le câlin de hier soir.. et le fait qu'il nous fasse passer pour mari et femme, ses réactions corporelles... Mais il a pas l'air très doué, comme je lui ai déjà fait remarquer... Oh! a moins que ce soit pour ça qu'il se soit énervé sur ce sujet? Bref... Ça a pas finit d'être comique cette mission... m'enfin, ça doit être purement un attrait physique vu comment il passe son temps a me mettre plus bas que terre... Ou alors il s'est pas s'y prendre. A moins que ce ne soit la différence d'age? Mais bon, je connais pas beaucoup d'homme qui aurait cette considération.*
- Nous allons suivre ces deux hommes jusqu’à leurs planques. Ils vont nous présenter au Chef de l’Alliance Luxienne de cette planète. Ce sera lui qui nous dira si il a un job pour nous ou pas.
- Hum? Oui, tu as raison... Donc finies les vacances? Dommage... J'aimais bien ces vacances moi... ça faisait longtemps qu'on en avait pas prit... Cerise dis cette derniére phrase d'un air boudeur, et sur un ton légèrement enivrant sans quitter Miles des yeux.
A vrai dire, elle jouait son rôle là, mais aussi un peu plus car Miles, malgré le fait que les deux autres ne pouvaient plus voir ce qui se passait sous la table, n'en avait pas pour autant arrêté ses caresses. Cerise se demandait bien pourquoi il avait fallut tan de temps pour s'en rendre compte et aussi pourquoi c'était maintenant qu'il se mettait a faire se genre de chose: la mission surement? ou le fait d'être seuls ... et cela lui fit rosir ses joues. Puis, elle se passa la langue sur les lèvres, se retourna vers les deux mercenaires tout en mettant sa main sur celle de Miles en mêlant leurs doigts pour doucement la faire glisser sur le bord de la chaise: il fallait qu'il arrête là car sinon, elle allait plus vraiment réussir à rester concentrée elle.
- Mais bon, faut bien manger, hein mon amour... Bref! Vous avez prévenus votre supérieur de notre visite je suppose? Alors c'est partis, on vous suit.
Alors que les mercenaires se levèrent, Cerise fit de même et lâcha finalement la main de Miles pour pouvoir attraper son sac et le passer en bandoulière.
Et ils partirent alors rencontrer le chef de la branche luxienne de la planète: la mission en elle même commençait...
Miles:
[justify]- Nous allons suivre ces deux hommes jusqu’à leurs planques. Ils vont nous présenter au Chef de l’Alliance Luxienne de cette planète. Ce sera lui qui nous dira si il a un job pour nous ou pas.
- Hum? Oui, tu as raison... Donc finies les vacances? Dommage... J'aimais bien ces vacances moi... ça faisait longtemps qu'on en avait pas prit...
Miles regarda la visage boudeur de Cerise ... il ne saurait l'expliquer, mais à ce moment là ... il eut un drôle d'envie. Cette moue ridicule et son regard suppliant lui donnait qu'une envie : Lui donner un aller-retour. La première pour lui remettre les idées en place, la deuxième pour la forme. Après tout, il ne doit pas perdre le coup de main hahaha. Mais il se contenta de rouler les yeux et de lâcher un profond soupir de désespoir. Comment peut-on penser qu'a soit comme ça ... les vacances ... les vacances ... elle avait passé son enfance en vacance ! L'école c'est pas le vrai travail ! C'est le club med ! Rhaaaaaah ! Qu'elle idiote celle là !
Ensuite Cerise devint rouge écarlate, surement à cause de ses caresses. Alors pas fou, il redoubla d'effort ... vous imaginez bien que de la voir en mauvaise posture ne faisait que l'amuser. Il ne fallait pas se voiler la face, il adorait l'emmerder. Puis voulant la déconcentrer encore plus et évidement profiter de la situation, il voulut se rapprocher de l'intimité de la belle, seulement Cerise mêla ses mains avec les siennes, cela avait-il une signification ?
- Mais bon, faut bien manger, hein mon amour... Bref! Vous avez prévenus votre supérieur de notre visite je suppose? Alors c'est partis, on vous suit.
Alors que les mercenaires se levèrent, Miles et Cerise firent de même et lâchèrent finalement la main de l'autre. Alors que Cerise se pencha pour pouvoir attraper son sac et le passer en bandoulière, Miles passa derrière elle et lui mit une petite claque sur les fesses et lui dit :
- Plus vite Barbie ... hahaha
Il suivit donc les autres Mercenaires en riant, heureux de lui avoir mit la honte. Alors oui, vous allez dire qu'il lui en faut peu, mais j'ai envie de vous répondre que c'est un homme, qu'il ne lui faut pas grand chose pour être heureux et qu'il ne faut pas trop lui en demander. Puis il tapa la discute avec les deux autres débiles afin de se rapprocher d'eux. Pour faire simple, il pouvait pas les blairer, plus raciste que lui, tu meurs. Mais il lui fallait des "parrains" pour se faire intégrer à l'Alliance Luxienne, ces deux corniaud semblaient bien débiles et idéal pour ce job.
Ils arrivèrent vers une sorte de campement de fortune, assez bien gardé. Il s'agissait principalement de tentes et il y avait quelques baraquements, mais rien d'extraordinaire. Il était envisageable que la vente est lieu pas très loin d'ici. Il ralentit, attendit que Cerise soit à son niveau et la prix dans ses bras.
- Faites comme si je vous disais des mots doux. Je pense que vous devriez mener la diplomatie ... je risquerai de tout foutre en l'air moi ... Courage. Miles lui roula une grosse pelle et lui murmura à l'oreille :
- Cette mise en scène commence à me plaire ... vraiment ... bon allez, au boulot ma vieille. Miles la laissa passer devant et ils rentrèrent dans une grande tente. On les mena à un anneau de transport et ils furent téléporter sur un vaisseau en orbite. C'était une couverture ... ils avaient intérêt d'être convainquant sinon ils étaient morts.
Raymond "Red" Reddington
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Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:15
Cerise:
Cerise suivit les trois hommes en faisait sa rêveuse… d’un coté ce n’était pas dur, on avait tout le temps l’impression qu’elle était tête en l’air : c’était son expression naturelle, mais il n’en était pas moins vrai qu’elle écoutait attentivement les mercenaires. En voyant Miles, faire des pieds et des mains, pour faire ami-ami avec les gugusses mais en bons gros bourrins qu’ils étaient ça avait l’air de marcher et Cerise leva plusieurs fois les yeux au ciel. Elle se serait bien moqué de lui, mais le pire dans cette histoire c’est qu’ils y croyaient à leur histoire de mercenaires, alors soit ils étaient crédules, soit avec Miles ils les avaient convaincus qu’ils dignes de confiance.
Quand elle vit qu’ils le menaient vers un campement de fortune, elle prit un air contrit : Au vue des informations de Reynols, ce qu’elle avait sous les yeux n’était pas possible, alors soit ils s’étaient trompé d’hommes, soit ce n’était qu’une façade. En y réfléchissant elle se dit que ça devait être une façade, car l’alliance se voulait présente mais discrète. Le colonel ralentit et elle se porta a son niveau en lui faisant un regard qui en disait long sur ce qu’elle pensait : on voulait les piéger ou les tester. Elle cherchait comment lui en faire part quand il la prit et la fit glisser dans ses bras en l’enlaçant. Elle savait bien qu’il fallait jouer au couple oui, mais rien ne disait couple modèle ou jeune mariés après tout, elle allait lui signifier que ce n’était pas du tout le moment quand…
- Faites comme si je vous disais des mots doux. Je pense que vous devriez mener la diplomatie ... je risquerai de tout foutre en l'air moi ... Courage.
- Je me disais de même .
Cerise lui sourit amoureusement tout en lançant discrètement des œillades aux alentours.
- Au vue des informations que nous a fournir Reynols, ce camps ne peut pas être leur QJ… Donc soit c’est un piège, et on va être en infériorité numérique… soit on nous teste. Je préférais vous prévenir mon col… namour
Elle allait se dégager de ses bras, pour continuer car ce n’était pas du tout le moment de roucouler quand Miles l’attira à lui et l’embrassa tout en la serrant fort contre lui: Cerise se crispa sur le coup, prise en traitre qu'elle avait été mais ne résista pas. Puis il la regarda et murmura.
- Cette mise en scène commence à me plaire ... vraiment ... bon allez, au boulot ma vieille.
Elle se dégageât de ses bras et le poussant et le regarda d’un air narquois avant d’avancer vers la tente.
-Vielle ? Oh.. Moi, je vois qu’un seul débris ici… OOoohh Bonjour vous Cerise fit un sourire charmeur à l’homme qui lui ouvrir la tente : autant les deux premiers mercenaires n’étaient franchement moches, autant elle se disait que si la moitié des autres mercenaires était aussi canon que lui, elle voulait bien se reconvertir de suite. Elle se racla la gorge un grand sourire aux lèvres et se reconcentra sur la mission, mais en se retournant elle se trouva face à face avec Miles et ça lui remit les idées en place. - Quoi ? J’ai encore le droit de regarder non ? !
Le beau gosse de l’espace activa des anneaux de transport et Cerise se dit qu’elle avait vu juste au final. Ils arrivèrent dans une pièce fermée et Cerise sut qu’ils étaient dans un hatack. L'homme fit un grand sourire mais leva un sourcil en voyant qu'ils n'étaient pas surprit.
- Hum ?!Vous croyez qu'on était des bleues? Vous croyez que je sert juste de décoration aussi? XDDD Bref, et si nous rejoignons votre chef... C'est quand même pour ça qu'on est là.
L'homme ouvrit le chemins et ils discutèrent: il leur posa des qui auraient put être anodines mais ou il y avait des pièges, et Cerise les esquiva toutes: elle était fière de ses connaissances des mondes goa'ulds et des cultures actuelles.
L'homme les conduisit à leur chef et les présentât.
- Bonjour... C'est vous les indépendants? Les Kennedys? Barbie et...?
-... Gr...Oui, Barbie pour vous servir, et lui c'est Ken ().
- Soit mes hommes m'ont dit que vous étiez reglo ?
- Logique, du moment ou l'argent suit.
Par contre, désolé mais vous avez pas trop la carrure pour ce métier ma belle... Alors on va jouer franc jeu...
Vous faite quoi avec lui?
- Ooh? Tiens. Pour une fois on est tombé sur un malin. J'vois qu'on vous la fait pas a vous hein? Alors d'un je fais ce que je veux. De deux, mon physique est justement un bon attout je dois dire, et de trois...je suis une excellente faussaire. Et nous nous somme rencontrer Ken et moi, sur un gros coup ya 2 ans non mon ange? C'était avec... Ric'doros sur Eudoran... des bijoux a récupérer dans...
L'homme la regarda avec un œil nouveau avant de regarder Miles... - Une... pilleuse de tombe.... Oui, j'ai entendu parler de cette chasse au trésor. Vous fesiez parti de l'équipe de Ker'nar...?
- Ker'nane! Et oui... Mais bon, il est mort et...
- Vous êtes au chômage? ... Ok, ca me vas. Bon, j’aurais besoin de bonnes mains ça tombe bien. Vas y avoir une "vente" privée bientot , et je n'aime pas me faire avoir. Vous serez nourris, logés, et bien sur payés au final. On commence par un contrat et on verra après. Bien sur vous avez le droit a vos armes, et vous vous démerdez avec les autres mercenaires, mais on vous a a l’œil. Et si ça marche peut être qu'on trouvera un arrangement pour une collaboration future
- Ça me semble juste.
- Bon. Nimar? Montre leur leur quartiers. Désolé, mais j'ai du travail.
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Miles:
-Vielle ? Oh.. Moi, je vois qu’un seul débris ici… OOoohh Bonjour vous
Miles regarda Cerise séduire les hommes qui leurs ouvrirent la tente. Il roula des yeux et la maudit en silence. Elle le faisait passer pour quoi là ? Un cocu ? Miles poussa un profond soupir et la regarda sévèrement dans les yeux.
- Quoi ? J’ai encore le droit de regarder non ? ! Bah ... techniquement oui ... mais c'était aussi prendre le risque de se prendre une mandale dans la tronche ... mais bon ... c'pas grave hein ... Puis le bonhomme activa les anneaux et ils arrivèrent dans une pièce fermée d'un hatack. L'homme fit un grand sourire mais leva un sourcil en voyant qu'ils n'étaient pas surprit.
- Hum ?!Vous croyez qu'on était des bleues? Vous croyez que je sert juste de décoration aussi? XDDD Bref, et si nous rejoignons votre chef... C'est quand même pour ça qu'on est là. Bah ... moi oui en tout cas ... couleur schtroumpf même ! Ah ! Coté décoration là je suis forcé de confirmer, elle représente un vase vide : Fragile mais qui sert à rien ... L'homme les conduisit à leur chef et les présentât.
- Bonjour... C'est vous les indépendants? Les Kennedys? Barbie et...?
-... Gr...Oui, Barbie pour vous servir, et lui c'est Ken ().
- Soit mes hommes m'ont dit que vous étiez reglo ?
- Logique, du moment ou l'argent suit.
Par contre, désolé mais vous avez pas trop la carrure pour ce métier ma belle... Alors on va jouer franc jeu...
Vous faite quoi avec lui?
DU TOURISME ! C'est ce que voulait tant hurler Miles. Elle décorait les murs, lui cassait accessoirement les noisettes et l'emmerdait à toute heure, que ce soit le jour ou la nuit attention, ça ne lui faisait pas peur, loin de là ! Non mais ! Ken ! C'est une blague ! Et pourquoi pas Calimero ?! Ou Pikachu ! Ou la mère Denis même !
- Ooh? Tiens. Pour une fois on est tombé sur un malin. J'vois qu'on vous la fait pas a vous hein? Alors d'un je fais ce que je veux. De deux, mon physique est justement un bon attout je dois dire, et de trois...je suis une excellente faussaire. Et nous nous somme rencontrer Ken et moi, sur un gros coup ya 2 ans non mon ange? C'était avec... Ric'doros sur Eudoran... des bijoux a récupérer dans...
L'homme la regarda avec un œil nouveau avant de regarder Miles... - Une... pilleuse de tombe.... Oui, j'ai entendu parler de cette chasse au trésor. Vous fesiez parti de l'équipe de Ker'nar...?
- Ker'nane! Et oui... Mais bon, il est mort et...
- Vous êtes au chômage? ... Ok, ca me vas. Bon, j’aurais besoin de bonnes mains ça tombe bien. Vas y avoir une "vente" privée bientot , et je n'aime pas me faire avoir. Vous serez nourris, logés, et bien sur payés au final. On commence par un contrat et on verra après. Bien sur vous avez le droit a vos armes, et vous vous démerdez avec les autres mercenaires, mais on vous a a l’œil. Et si ça marche peut être qu'on trouvera un arrangement pour une collaboration future
- Ça me semble juste.
- Bon. Nimar? Montre leur leur quartiers. Désolé, mais j'ai du travail.
Elle s'en était plutôt bien tiré, il devait l'avouer. Mais le coup de Ken, il pouvait pas le digérer ... non vraiment. Ils déposèrent les affaires dans leurs chambres et Miles annonça à Cerise qu'il allait se souler la gueule ... enfin, il lui dit plutôt qu'il allait "faire connaissance" avec les autres, et quoi de mieux qu'un bar qui est un lieu convivial et non solitaire. Il suivit l'appel de la boisson et laissa Cerise en plan.
Après plusieurs bières ils se sentit plus ... détendu. Il s'approcha d'un groupe de mercenaire et j’assis à leur table. Il passèrent plusieurs heures à rire, raconter des blagues salaces et même jouer aux cartes. Puis Cerise vint le chercher sous prétexte qu'il était deux heures du matin ... rabat joie ... En fidèle et tendre époux ... pléonasme ... Miles lui ria au nez et la tira vers lui pour l'assoir sur ses genoux. Elle finit par le convaincre d'y aller et lorsqu'elle se releva, un débile la bouscula. Miles se leva, à moitié ivre et lui dit en se mettant entre lui et Cerise :
- Euh... Dis donc, Machin-là ! J'ai rêvé ou t'as bousculé ma femme, là ? Il poussa le gars et se retourna vers Cerise :
- Laisse, Barbie ! Alors Qu'est-ce-que t'as ? T'es bigleux ? Tu veux mes lunettes ? Sur la gueule ! Elle est trop petite, t'as pas fait gaffe ! T'as marché d'ssus non ? Le pauvre qui était en vérité une grosse baraque tenta de s'excuser afin d'éviter la casse.
- Comment ? Elle est largement assez grosse ? Ma femme est grosse ? Laisse Barbie ! Alors pour marcher d'ssus on est sympa, mais alors après pour dire pardon on ferme sa gueule ! Comment ? Le pauvre homme qui l'avait pas fait exprès tanta de s'excuser mais avec un Miles bourré, c'était pas gagné. Cerise tentait de le raisonner mais bon ... parler à un mur était plus constructif que de lui parler à lui ...
- Excusez-moi, madame ! Ah, ah, ah ! Mais il répond, l'effronté ! Miles lui montra sa main et lui dit d'un air menaçant ... et sans articuler aussi ....
- Mais tu joues avec ta santé, là ! C'est ta vie que t'as entre tes doigts... T'as vu combien ça pèse ça ? Je vais te l'envoyer à travers la gueule, ma parole, si j'te rate, rien qu'avec le vent j't'enrhume, là ! Miles le poussa une fois de plus, l'autre homme commençait à s'énerver et Miles n'était pas en mesure de penser par lui même.
- Allez, casse-toi. Casse-toi p'tit mec. Tu m'énerves là. va-t'en ! Attention, tu marches sur ton short ! J'suis pas grand non plus ? Miles regarda Cerise avait un air ahuri.
- Mais ma parole, Il insulte ma mère ! T'es fou ou quoi ? C'est ta vie que t'as entre tes mains là ! J'vais t'rentrer dans la gueule, va vite te faire photographier, tu vas pas te reconnaître après ! J'vais t'envoyer une patate, le nez va t'rentrer dedans ! Il faudra que tu passes la main dedans pour te moucher après ! Le Mercenaire perdait patience et le poussa à son tour.
- Hé. qu'est-ce que t'as là ? Qu'est-ce que t'as à m'énerver là ? Alors... tu m'as poussé là ? J'ai pas rêvé ? Tu m'as poussé là ? Alors tu veux me frapper avec tes petits poings ? Ben on va jouer aux osselets après ! Alors hein ... Cette fois-ci, il lui mit une claque, Miles hurla :
- Oh, il m'a frappé ! Jusque-là, j'avais été gentil, mais maintenant ça y est ! J'ai les abeilles là hein ! Là ça va être ta fête ! J'vais te plier en quatre, tu vas tenir dans ta poche toi hein ! Barbie là, tiens-moi là. Retiens-moi là. Me lâche pas toi hein ! J'vais faire un malheur ! T'as de la chance que ma femme me r'tienne, me lâche pas toi hein ? L'agressait lui mit trois droites, Miles tomba dans en arrière et tomba dans les bras de Cerise.
Oh ... qu'est-ce qu'il m'a mis là ! Il m'a frappé ! Et l'autre andouille qui m'tenait là ! Hein ! Finalement l'autre homme partit, et il rentra avec Cerise qui le sermonnait ...
Cerise:
A peine arrivé dans la chambre que Miles se tira. Cerise elle resta là un moment. Elle profita de ce moment calme pour prendre soin un peu d'elle et c'était pas du luxe. Après avoir prit une bonne douche brulante, et s'être savonner jusqu’à être sure d'être propre de chez propre, Cerise se laissa aller quelques minutes sur le lit: elle n'en revenait pas d'avoir si bien réussit à mentir. Alors qu'elle se tournait sur le coté avec l'envie folle de dormir pendant 24h00, on tapa à la porte.
- "Deux minutes, j'arrive." Elle fila dans la salle de bain pour repasser ses vêtements et attacha ses longs cheveux. Une fois habillée et chaussée elle revint et ouvra la porte à Nimar.
- "Oui?... Nimar un soucis?."
- "Le chef vous demande... et votre mari?"
- "Partit voir les autres employés..."
- Nous avons une salle de repos qui fait office de bar."
- Oh bah je m’inquiètes pas alors, il a facilement du la trouver... et doit picoler comme un trou..." Cerise poussa un soupir et leva les yeux au ciel, puis elle attrapa son sac et le passa en bandoulière. - "Bon ben c'est pas tout, mais on y va?"
Et Cerise suivit Nimar. Il en profita pour lui donner des indications, car le hatack était grand et aménagé de différentes façon que tu temps ou il servait aux goau'lds. Ils arrivèrent dans une salle dans les niveaux intermédiaires et Dorin, leur "patron" était là, assis devant différentes caisses. Il avait l'air en affaire avec deux hommes face a lui.
- "Barbie?! J'avais demander a Nimar d'aller vous chercher car j'étais SUR que cette négociation prendrait moins de temps... Si vous voulez bien patienter."
Cerise s'assit sur une caisse en bois prêt d'elle et sourit à Nimar tout en regardant autour d'elle d'un air absent. Au bout de quelques minutes, elle comprit qu'ils en auraient pour des heures et souffla: les hommes ne voulaient pas baisser le prix et comme ils étaient réglo, Dorin ne pouvait surement pas se passer d'eux. Elle porta son attention sur la cargaison devant eux : des statuettes goa’ulds qu’ils avaient volés dans un temple, et qui, selon eux, valaient leur poids en naquadah. Elle s’étira comme pour regarder par-dessus de l’épaule de Dorin, qui en voyant que les deux autres l’observait se retourna et vit une Cerise non pas tout sourire, mais drôlement sérieuse.
- "Un souci ?"
- "Moi non… mais vous oui, si vous achetez ça."
-"… ?"
- "Je peux "? Dorin l’invita d’un geste a faire selon ses envie et elle sauta de sa caisse. Elle s’approcha, attrapa une des statuettes et la tourna entre ses doigts dans tout les sens, touchant la pierre. Elle attrapa un petit canif dans son sac et gratta a la base et fit une moue septique. Puis, écarta ses doigts et laissa choir la statuette. Comme au ralentit elle vit les deux revendeurs ouvrir la bouche et lancer leurs mains pour rattraper l’objet mais bien sur ils n’y arrivèrent pas.
Dorin fessait de gros yeux quant a lui et ouvrit la bouche un énervé pour lui faire sa fête mais... - "Comme vous pouvez le voir… c’est un faux. Et pire !!! la statuette était marquée : regardez là ,sur ce fragment. Bref, débarrassez-vous de la cargaison vitesse grand V avant d’être prit sous le feux d’un goau’lds pas content… et débarrassez- vous d’eux aussi, car s’ils ne sont pas capable de voir qu’ils volent des objets tracés… c’est le comble." Cerise croisa les bras et le regarda le plus sérieusement du monde : alors oui, elle n’était pas une mercenaire, mais ça il ne le savait pas, mais elle était assez bonne archéologue pour passer pour une faussaire et le subterfuge était vraiment grossier pour qu’elle ne le voit pas. Elle reculât de quelques pas quand l’ambiance chauffa, mais ne dit rien et resta stoïque, imaginant que là, elle était dans son rôle et qu’elle ne devait pas être autrement. Bien sur ça partit en vrille, les deux revendeurs voulant s’enfuir, mais Cerise ne s’inquiéta pas plus que ça, ils étaient 5 contre 2… au final, les deux hommes furent attrapés et mis en cellule, pour « interrogatoire ». Cerise regarde Dorin, et il la regarda un instant, la jaugeant, puis sourit.
-"Puis-je vous offrir un verre en remerciement."
- "Sans drogue oui."
Il rit de bon cœur et l’invita à le suivre. Ils allèrent dans un bureau et s’assirent autour d’un meuble antique, que Cerise identifia de suite, il en fut aise, puis il lui parla de ce qui lui tenait à cœur.
-" Il va y avoir une vente… Ce sont des objets ayant soit disant appartenu a Noum."
- "Hum ... hum … Et c’est du sérieux vos sources? "
- "C’est pour ça que je vous ai engagée madame Kennedy."
- "Je vois. Par contre… si c’est un sommet ou un truc comme ça, je demande le double de la paye… car le tiens à mes fesses."
-" Je vois ça…"
- "Oh, et bien sur; mon homme sera là, c’est obligatoire… personne ne me protège mieux que lui. "
- "Ah… Je n’en doute pas… Et il est où justement là ?"
- "Il avait envie d’une promenade. Il ne tient pas en place…. "
-" Lui, les muscle et vous le cerveau…"
- "Oooh... et bien oui, mais ne lui dites pas il le prendrais mal."
- "Accepté. Après l'affaire, vous aurez double prime."
Dorin rit fortement avant de vider sa coupe, la regarda et recommença a rire, ce qui la fit sourire. Puis après avoir papoter un moment, tout en cassant un peu de sucre sur le dos de son mari, comme la gentille épouse pas très modèle qu'elle était censée être, et qui avait été diablement crédible, Cerise se résolu à retourner dans ses quartiers. Seul hic? Et bien, elle ne savait plus trop ou elle était dans le vaisseau, et quand elle entendu du bruit provenant d'une grande salle, elle s'y dirigea avec espoir qu'on la renseigne.
- "[Fr] 'de Dieu..."
Cerise repéra Miles assit a une table complétement a l'aise et elle sourit en se demandant si elle ferait pas mieux de se démerder toute seule, mais il fallait qu'elle lui parle de la mission.
- Allez c'est finit la picole très cher, il est 2h00 du mat... Ah moins que tu dormes ici ce soir?
Miles lui rit au nez et la tira vers lui jusqu’à ce qu'elle se retrouva assise sur ses genoux, enserrée dans ses bras. Mais elle n'avait pas vraiment envie de ça, en plus il puait l'alcool et une espèce de cigarette locale, et elle souffla. Elle se demanda comment faire pour le forcer a bouger ses miches de là... quand elle eut l'idée du siècle, après tout, ils étaient mariées non?
- "Oh, dommage, alors je vais rentrer seule. Mais je vais me sentir très très seule, a moins que toi, ou un charmant garçon, ne vienne me tenir compagnie pour..." Puis elle murmura ensuite des mots coquins, juste assez fort pour que ceux a leur tables ne les entendent par "inadvertance" et soufflent en regardant Miles. Elle lui sourit et se leva, sachant qu'il la suivrait là sans discuter. Après tout il y avait des allusions auxquelles aucun homme ne résiste non? Elle se releva et fut bousculer. Elle ne dit rien, après tout, ça arrivait non? Mais Miles ne l'entendait pas de cette manière, et Cerise se demanda si c'était dans son caractère de chercher des crosses a tout le monde, ou si elle avait trop poussé avec ses mots doux... S'en suivit une altercation, que Cerise essayât de minimiser, mais c'était peine perdu avec Miles, et au final, il s'en prit plein la face et elle se le récupéra dans les bras. Énervée elle l’engueula royalement, puis lui attrapa le bras et l'entraina avec elle.
Elle réussit à retrouver le chemin de la chambre, et une fois arrivé elle avait pensé installer Miles sur une chaise pour tenté de le raisonner et de lui parler de ce qu'elle avait apprit, mais peine perdu: il avait l'air vraiment bourré, et il saignait aussi... Lasse, elle ouvrit la porte de la chambre et l'orienta vers la salle de bain, puis elle l'entraina vers la douche, alluma l'eau sur lui et se planta devant en croisant les bras.
- Voilà! Alors maintenant tu sort de là que quand tu te sera calmé, et que tu aura un peu dessaoulé ! Non mais j’hallucine, Miles!!! Mais... mais qu'est ce qui t'as prit franchement... Heureusement que j'ai fait du social... "encore". Bref! T'as pas l'air frais, alors on verra ça quand tu décuvera un peu pour parler de notre travail. Pfff! Cerise sortit de là les larmes aux yeux, mais avait tout fait pour ne pas le laisser voir. Que Miles se soit mis dans un état pareil alors qu'ils étaient en mission, elle le prenait mal: sur qui pouvait elle compter si lui n'était pas là pour la protéger elle et assurer ses arrières... Elle s'assit par terre au pied du lit et prit ses genoux entre ses bras avant de cacher sa tête dedans. Depuis le début de cette mission, elle avait l'impression que son moral jouait au yoyo à cause de Miles: Dieu que c'était dur pour ses nerfs. Elle releva la tête en prenant que c'était peut être pareil pour Miles après tout: Peut être qu'il n'arrivait pas a l'apprécier? à bosser avec elle? Peut être qu'ils ne s'entendrait ni se comprendrait jamais.... Elle avait crut ce matin même qu'il en pinçait un peu pour elle, et bizarrement ça l'avait plus que flattée, mais là...Là, elle ne savait plus quoi penser et se disait qu'elle se faisait des films toute seule.
- Pourquoi tout et si difficile...
Elle entendit une porte s'ouvrir et leva lentement la tête vers Miles. Elle ne put s’empêcher de lui lancer un regard de chien battu... Pourquoi avait elle envie là d'un câlin et de lui:c'était perturbant. Surtout que lui se fichait bien d'elle... Il aurait put lui en arrivé des choses pendant qu'il était au bar, et elle aurait même put mourir après tout...
Miles:
Miles suivit Cerise, il était tellement bourré qu'il ne pouvait plus marcher droit, c'est donc épaulé par sa "femme" qu'il regagna la chambre à leurs dispositions. Miles la suivait aveuglément, il avait confiance en elle ... pauvre âme abattu ... avoir confiance en Cerise c'est comme attendre et demander quelque chose de Dieu, on tombe sur un répondeur. Enfin ... il la suivait aveuglément, on peut facilement dire qu'il avait de la merde devant les yeux car lorsqu'elle le traîna sur la douche, il ne percuta même pas ce qu'elle comptait faire. Enfin ... que dire de plus sinon qu'un homme n'est déjà pas très malin mais lorsqu'il est bourré ... il bat des records.
Et pour le réveiller, je suppose ... sauf si c'est par méchanceté ... ce qui n'est pas non plus impossible venant de la part de cette sorcière, elle alluma l'eau de la douche et le laissa là ... en croisant les bras alors qu'il se gelait les coucougnettes sous cette putain d'eau gelé, le rêve quoi ... Elle souhaitait avoir son attention ? Ah bah on pouvait dire qu'elle l'avait ! C'moi qui peut vous l'dire !
- Putain c'est quoi ce bordel ?! C'est tout ce qu'il fut capable de dire ... ou plutôt de hurler ...
- Voilà! Alors maintenant tu sort de là que quand tu te sera calmé, et que tu aura un peu dessaoulé ! Non mais j’hallucine, Miles!!! Mais... mais qu'est ce qui t'as prit franchement... Heureusement que j'ai fait du social... "encore". Bref! T'as pas l'air frais, alors on verra ça quand tu décuvera un peu pour parler de notre travail. Pfff!
Miles bloqua sur le mot travail ... il s'était mit par terre pour oublier qu'il était en mission dans un coin grouillant de mercenaire, accompagné par une casse burne de première faisant aussi office de chouineuse et elle ... elle voulait causer boulot ? Hors de question, pas possible, elle peut toujours courir. Sans parler qu'elle passait son temps à le chauffer et le provoquer ... halala ... c'est vraiment une chaudière ... ()
Puis elle sortit brusquement. Honnêtement, Miles aurait été super content de cette décision à ses yeux très éclairé car en faisant ça, elle lui fichait la paix, mais elle avait malheureusement omit de couper l'eau cette petite saute ... qu'il voulait accessoirement sauter ... mais pas dans le cadre de son travail, c'est pas professionnel ... enfin peut être que si mais on s'en fiche. Enfin ... avec tout ça il allait attrapé la crève. Il faut dire que c'est très amusant de regarder quelqu'un de bourré de pressé de couper l'eau. Pendant l'action on va dire, il se cogna la tête contre la pomme de la douche, il se cogna le gros orteil contre le rebord de la baignoire, tomba à la renverse en se fracassant le dos. Lorsqu'il réussit finalement à couper l'eau, en voulant sortir, il se prit la "cage" vitrée dans la face et hurla en se tenant le nez qui heureusement saignait pas. Enfin ... il s'était fait plaiz là ... vive Barbie !
Il passa la tête par l'embrassure de la porte et la trouva assit par terre, à la tête du lit.
- Pourquoi tout et si difficile...
Elle entendit une porte s'ouvrir et il la vit lever lentement la tête vers lui, avec en cadeau un regard de chien battu. Il voulut avancé mais fit demi-tour pour dégueuler dans le chiotte. Puis il revint et la prit dans ses bras. Il ne savait pas quoi dire, ni quoi faire. Alors il resta collé à elle en attendant une réaction de sa part. Voyant qu'elle n'était pas décidé. Il l'attrapa dans ses bras et essaya de la porte. Mais porter un camion tout en étant bourré, ce n'est pas simple ... pas simple du tout. Finalement ils tombèrent à la renverse sur le lit. Leurs visages étaient à quelques centimètres l'un de l'autre ... ivre comme c'est pas permis ... il l'embrassa sans s'en rendre compte et lui dit gêné et rougissant :
- D...Désolé ... c'est l'alcool ...
Cerise:
Cerise vit Miles apparaitre à la porte, ça n’aurait pas dut la surprendre mais pourtant si. Elle se demanda s’il l’avait entendu et si même bourré il captait qu’elle était dépressive et perturbée… Oui car c’était ça en fait : cette mission la perturbait : être sur le terrain à jouer un rôle de mercenaire, alors que ce n’était pas sa tasse de thé avec en plus un Miles des grand jours, ca avait de quoi perturbé plus d'une personne non? Et encore... si celui-ci ne la faisait pas douter sur les sentiments qu'elle éprouvait pour lui... Elle ne savait pas, ne savait plus… Cerise était perdue. Mais quand Miles repartit sur ses pas, elle entendit pourquoi et fit une moue de dégout.
- Errrkkkk….
Puis elle entendit l’eau couler et elle se demanda ce que c’était puis comprit qu’il se rinçait la bouche (oui, c’est plus hygiénique XD) Elle se frotta les paupières de ses mains pour effacer les traces de larmes, et voulut se lever mais elle était démotivé totalement. Elle pencha la tête en arrière en fermant les yeux, tentant avec la méthode Coué de se redonner du courage.
* Ça va aller, t'es la meilleure, tu va tout gérer et la mission passera crème. ♫ Ça va aller, t'es la meilleure, tu va tout gérer et la mission passera crème. ♫ Tu verras... Tout ira bien et bientôt tu seras de nouveau au SGC avec ton équipe, tes petites habitudes, tes... GNE???!*
- Gloups...
Cerise resta coïte alors que Miles s’était assis prêt d’elle et encore plus quand il la prit dans ses bras, non pas qu'elle y était mal, bien au contraire. Son cœur battait si vite et elle se sentait rougir et se mordit la lèvre en se demandant quoi faire : elle resta complètement figée dans son indécision sans vraiment savoir quoi faire, alors qu'elle avait ce qu'elle voulait là! Justement... ce qu'elle voulait. Elle avait le souffle court mais au bout que longues secondes ou il ne se passa absolument rien à part cette étreinte, elle se décontracta doucement et allait la lui rendre quand il décida de se relever en la portant dans ses bras. De peur, car d’expérience Cerise savait qu’un homme bourré présume de ces forces et de sa vue, elle s’accrocha à son coup et couina. Et se qu'elle craignait arriva : ils tombèrent sur le lit dans une série de longs grincements et un POC - POC – POC contre le mur. Cerise s’était encore par réflexe collée contre lui. Elle re-ouvrir ses grands yeux bleus quand elle sentit son souffle sur son visage : Il n’avait pas une forte odeur d’alcool certes, mais ça sentait quand même et ça lui plaisait qu’à moitié. Ne sachant que faire là, à cette situation encore inattendue et ne voulant pas encore s'en prendre plein la tête, comme avec cette histoire de camion, Cerise fit sa mécontente et allait lui dire de se bouger car il était en train de l’écraser avec son poids quand il l’embrasa. Pendant 1 ou 2 secondes elle resta figée contre lui, puis elle lui rendit doucement son baiser, au début, puis ils s'embrassèrent plus passionnément. La température montait, peut être du à l’ivresse de Miles et a tout ce qui leur était arrivé jusque là, et Cerise serra le t-shirt de Miles de ses petites mains l'obligeant ainsi à se pencher plus encore sur elle. Puis elle cessa le baiser et le regarda dans les yeux, si prêt que leurs souffles se mêlaient et elle s'est là qu'elle se mit a réfléchir vitesse grand V.
- D...Désolé ... c'est l'alcool ...
– Hhh??? * Mais... mais je fais quoi moi là...*
Elle le repoussa alors très brutalement, avec une force qu’elle croyait ne pas avoir, en relevant sa jambe droite entre les siennes, histoire d'appuyer ses arguments quitte à lui faire mal si besoin et d'un coté il était bourré non? Elle réussit à s’extirper de dessus lui, et s’éloigna du lit avant de faire volte face, rouge de confusion et d'envie, mais cela pouvait passer pour de la colère, surtout vu comment elle pinçait les lèvres.
–C’est ... c'est... c'est pas une raison non mais!! ( ) Fin… c’est bien pour ça que je ne vous gifle pas. Vous n'avez pas les idées claires!
Cerise attrapa une couverture sur le lit et s’enroula dedans, plus pour sa cacher qu'autre chose et s’approcha d’une banquette damassée de l’autre coté de la pièce, sous le grand hublot. Elle fit son maximum pour avoir l'air énervée et vexée, mais quand elle lui parla ce fut avec une voix plus douce qu'elle ne le voulu et quelque peu compatissante.
– Miles....essayez de dormir un peu ok?...
Elle se tourna vers lui à moitié chemin, et sa silhouette se découpa dans la clarté de la nuit à la fenêtre.
- .. Moi je prend le canap, au moins "MOI" je risque pas de le péter en me couchant dessus vu que je suis menu et j’y dormirait bien. Cerise se retourna après avoir regardé Miles. Elle avait le feu aux joues, mais peut être qu’il ne le voyait pas… Elle se roula comme un suchi dans la couverture même s’il ne faisait pas froid dans le vaisseau et se tourna contre le mur pour ne plus le voir et essayer de casser l'ambiance qui s'était installer.. * .. Alors... Mais.. Mais qu'est ce que je fais? Il est bourré en plus a moins que je n’ai raison ?! Que le colonel, "Mon" colonel aurait des sentiment pour moi ou ...?*
-"Mon…. Co.lo.nel ?…"
Cerise ne put s’empêcher de sourire en se disant que malgré tout, elle aimait bien cette tension entre eux.... Enfin, maintenant restez à voir ce qu’elle allait faire. Elle savait ce que elle elle voulait et se dont elle avait envie, mais bizarrement ça ne se passait jamais comme on le voulait… Mais après tout, quel mal y avait-il à jouer un peu avec lui ? Histoire d'être fixée...
* Après le jeu du chat et chien, le jeu du chat et de la sourie. Mais dans l’histoire moi… Je me choisis quel rôle ? Je ne sais pas ce que je vais faire mais je trouverais bien, en attendant...*
- "Hrummm! Hurm!! Dors bien mon amour"
Cerise porta un doigt à ses lèvres en souriant bêtement et s’endormit rapidement en regardant l’espace infini par le hublot. Elle se réveilla le lendemain matin, fraiche et de bonne humeur quand le hatack se trouva en face du soleil. Elle leva un peu la tête pour regarder la planète autour de laquelle le hatack orbitait par la vitre et sourit en voyant qu'il n'y avait pas trop de nuage sur le continent d’où ils venait: ça serait une bonne journée ensoleillée comme elle les aimait. Elle se leva, s'étira puis allât dans la salle de bain sen faire de bruit et se lava le visage pour enlever les traces de sommeil. Puis elle se maquilla un peu avec ce qu'elle avait emmené: rouge a lèvres, mascara et crayon khôl noir: une base pour elle. Elle se coiffa les cheveux en une queue de cheval haute et sortit de la salle de bain. Elle regarda Miles dans le grand lit en se demandant si elle devait le réveiller ou non... Et décida en souriant de le laisser dormir et d'aller profiter pour se dégourdir les jambes dans les couloirs et peut être même a la surface de la planètes si elle le pouvait. Elle sortit avec son sac en bandoulière, et marcha d'un bon pas dans les couloirs, l'air dans la lune mais se repérant très bien, et repérant de même les lieux. Elle suivit une agréable odeur de pain frais jusqu’à la "taverne" d'hier soir, qui avait été nettoyer des frasques de la veille et servait de "cantine". Elle se frotta les mains en songeant que ça avait l'air d'être délicieux tout ça, et se dirigeât vers le comptoir quand Dorin la héla de l'autre bout de la salle.
- "Bonjour chef. Bizarre, je me serait attendu a vous voir manger dans votre cabinet privé. " -" J'aime pouvoir entendre ce que mes hommes pensent, et qu'il sachent que je suis là... Alors, je préfère manger ici." - "Hum♫ Huuumm♪... Et comme ça, vous êtes au courant de tout aussi. " -" Vous avez oubliez d'être bête vous.... Votre mari?" - "Il arriva dés qu'il aura réussit a mettre ses pieds dans les jambes de son pantalon..." -" Ah ah! L'alcool fait souvent plus de ravage qu'une femme." - "Si vous le dites ^^". " - " Ah... Il semblerait que je ne puisse vous réinvitez a me tenir compagnie..."
Cerise se tourna pour voir Miles apparaitre a l'entrée de la salle. Elle vrilla les yeux dans les siens, et les baissa rapidement en repensant à hier soir, ce qui la fit sourire largement. Tan dis que Miles s'approchait, Dorin se leva et s'approcha d'elle avant de lui parler d'un ton bas. - " Ma soirée en votre compagnie à était des plus charmantes... Au plaisir Barbie"" Cerise le regarda et vit du coin de l’œil que Miles était près, assez prêt pour avoir entendu même, et elle fronça son petit nez en grimaçant: Pourquoi fallait-il que Diran dise ça là comme ça: ça portait à confusion, on pouvait croire qu'ils avaient... bref, elle s'éclaircit la gorge, lui souhaita une bonne journée et s'assit a la table la plus proche en laissant tomba sa tête dans ses bras croisés sur la table. - "[FR] Nan mais pourquoi pourquoi pourquoi ça se passe toujours comme ça... ça fait genre fille facile quoi... Il pouvait pas dire " merci pour le coup de main vis a vis des statuette et sympa le verre de vin... Non hein?!... et merde!" Cerise savait qu'elle n'avait rien a se reprocher et mais elle se demandait ce que Miles allait en penser... étonnamment, c'était surtout ça qui lui importait.
Miles:
- D...Désolé ... c'est l'alcool ...
– Hhh???
Soudain elle le poussa comme un malpropre ... et pourtant ... il s'était rincé la bouche merde ! Elle sait pas ce qu'elle veut la mère machin, elle lui roule une pelle à son tour avant de l'envoyer bouler comme un trou du cul quoi ... alors que lui il voulait quoi ? Pas grand chose, juste tirer un coup ... vider les cartouches ... lâcher les douilles. Car pour un homme, c'est très important de tirer ... ils sont de grand chasseur. Mais là non, elle voulait pas. Elle l'avait poussé par terre, comme un vieux chiffon utilisé. Sans parler que dans l'action elle lui avait brisé les noisettes en passant, tout allez bien ... au moins, demain matin ils auraient du beurre de cacaouette ... A force elle allait finir par le castrer ... pour changer.
Elle s'éloigna de lui, comme si il était un vieux pervers violeur ... depuis quand était-elle aussi observatrice ? Enfin, elle était vraiment folle de rage, son teint écarlate en témoigné. Miles utilisa sa main droite pour se tenir les noix et avec sa main gauche il choppa l'oreiller et se cacha la tête derrière, laissant dépasser ses yeux et le haut de sa tête.
–C’est ... c'est... c'est pas une raison non mais!! ( ) Fin… c’est bien pour ça que je ne vous gifle pas. Vous n'avez pas les idées claires!
Ah bah maintenant c'est pas une raison ... et c'quoi qui serait une raison valable ? Ce genre d'information peut être ... utile. Puis elle tira la couverture du lit et le fit tomber par terre. Elle se fichait de sa gueule ? Non mais ! Et il pouvait pas la frapper ... oh non ... pas entouré de tout ces mercenaires et puis c'était pas son style, il allait se venger de façon bien plus perverse ... oh oui ... elle allait le regretter la sœur Thérèse.
Au final elle s'enroula dedans comme un rouleur de printemps ... normal ... très utile. Il allait se les geler pour rien ... enfin vous allez me dire au point où en sont ses parties génitales ... on peut difficilement faire pire. Elle s'approcha d'une banquette comme pour le fuir. Il était bourré .... il était pas responsable à ses yeux ... enfin un peu mais il prétendait le contraire. Puis elle lui dit avec une voix suave :
– Miles....essayez de dormir un peu ok?...
Quand il entendit les premiers mots, il voulut se jeter sur elle pour l'embrasser ... mais quand elle lui dit d'aller se coucher et de finalement fermer sa gueule ... sa libido ... se vit ... stoppé net. A ce moment il voulait simplement la bâillonner pour qu'elle ferme sa jolie petite gueule. Ou alors de se servit de sa tête comme bélier pour enfoncer une porte, au choix. Elle se tourna vers lui à moitié chemin, et sa silhouette se découpa dans la clarté de la nuit à la fenêtre.
- .. Moi je prend le canap, au moins "MOI" je risque pas de le péter en me couchant dessus vu que je suis menu et j’y dormirait bien.
Le fait qu'elle insiste sur le "MOI" voulait tout dire : "Donne moi des baffes j'adore ça ...". Elle le cherchait ! Sisi ! Elle le cherchait ! Eh bien elle allait le trouver et c'est pas ce qu'elle aura fait de mieux, ça, je peux vous l'dire. Miles ne remarqua pas qu'elle était gêné, non, là il fulminait. C'est vrai quoi, il était pas gros, musclé et puissant comme un taureau mais pas obèse merde ! Mais il allait avoir sa revanche, oh oui. Miles s'endormit comme une masse, ronflant à en faire trembler les murs. Sachez une petite chose, Miles est contre le mariage. Pourquoi ? Simplement qu'après cet acte ridicule avant tout religieux et d'une inutilité sans nom, à ses yeux, les femmes ne font plus de fellation. En effet, les femmes veulent mettre au monde des enfants ... elle ne veulent pas les boire ... Mais c'est complètement hors sujet, cette remarque est encore plus débile que le mariage je crois ...
Lorsque Miles se réveilla, il avait la petite gaule matinal, rien de bien méchant. Lorsqu'il regarda dans le fauteuil pour, qui sait, se donner de l'inspiration, il remarqua un lit vide. Elle s'était encore fait la malle. Honnêtement, elle l'épuisait ... elle le saoulait encore plus que l'alcool. En parlant de ça, il avait tellement mal au crâne qu'il avait l'impression qu'on avait sauté dessus. Le Colonel marqua un arrêt et imagina Cerise lui sautant sur le crâne : C'était effectivement envisageable. Cette peste en était capable. Il mit simplement un peinoir, il était en caleçon dessous ... simplement. Il enfila ses godasses et partit à la recherche de ... sa gourdasse pour rester dans le thème ... car on a toujours besoin d'une gourde pour traverser le désert ... même si elle est toujours sur ton dos.
Lorsque Miles déboula enfin dans le réfectoire, il beuga. Ce crétin de Luxien draguait la femme qui n'était pas avec lui ! Il draguait sa femme qui ne l'était pas en réalité alors qu'il aimerai beaucoup que cette réalité soit vrai alors que dans la vrai réalité ... oula .. j'ai mal au crâne >_<. Enfin, si ils avaient été seul, il aurait taper dessus. Quand il regarda Cerise, il vit sur son visage un sourire niais ... elle était naturelle ... il lui avait demandé de jouer un peu la gourdasse, mais en fait, elle n'avait même pas besoin de jouer la comédie ... désespérant ... et il fallait qu'il tombe amoureux de cette catastrophe sur patte ... En s'approchant, il entendit :
- " Ma soirée en votre compagnie à était des plus charmantes... Au plaisir Barbie""
Miles devint tout rouge, si on avait été dans un dessin animé, de la fumé sortirait de ses naseaux ainsi que de ses oreilles. Elle s'approchant d'elle, il la serra contre lui, l'embrassa et lui dit pour qu'elle arrête de parler français :
- "[FR] Nan mais pourquoi pourquoi pourquoi ça se passe toujours comme ça... ça fait genre fille facile quoi... Il pouvait pas dire " merci pour le coup de main vis a vis des statuette et sympa le verre de vin... Non hein?!... et merde!"
- Arrêtez de parler le français, je pige rien à cette langue ridicule. Sinon, c'quoi cette histoire ... en me trompant, tu peux mettre notre couverture en danger tu sais ? Tu as fait quoi exactement là ?
Miles était terriblement jaloux. Ce débile l'avait peut être tringlé alors que lui il s'était fait rembarrer après l'avoir embrassé. Puis il l'attrapa par les pieds et la passa par dessus son épaule. Alors qu'il tapait en vain contre son dos, il la traîna jusqu'à la chambre où il la balança comme une vieille chaussette sur le lit.
- J'attends les explications.
Pendant ce temps il retira son peignoir et s'habilla devant Cerise ... alors qu'une bosse déformait son caleçon.
Dernière édition par Miles Quaritch le Dim 02 Déc 2012, 00:53, édité 2 fois
Raymond "Red" Reddington
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Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:15
Cerise:
Cerise se demandait si la situation pouvait être pire… Et il semblait bien que Oui. Miles avait prit la mouche pour les paroles de Dorin et s’était montré très possessif et jaloux, enfin c’est ce que se dit Cerise en son fort intérieur quand Miles, son « mari », vient s’assoir à ses cotés très, très énervé à en jugé par son superbe teins cramoisi. Cerise eut le temps de penser que Miles avait décuvé et était conscient de tout, enfin, peut être pas d’être en pyjama, avant qu’il ne la serre fort contre lui et ne l’embrasse sous le regard envieux de certains.
- Arrêtez de parler le français, je pige rien à cette langue ridicule. Sinon, c'quoi cette histoire ... en me trompant, tu peux mettre notre couverture en danger tu sais ? Tu as fait quoi exactement là ?
- "Ouuuh.. Je « te » défends d’insulter ma langue… Oki "sale ricain" ok ?! (è_é)
Et je ne t’ais pas trompé non plus. Huff ! Depuis le temps tu devrais avoir confiance en moi!! Et puis… franchement, à le faire, ça serait surement pas avec lui, non…
Cerise se mordit les doigts intérieurement, sachant qu’elle en avait trop dit et qu’elle allait le payer. Ses craintes se confirmèrent quand Miles l’attrapa et la jeta sur son épaule sans ménagement, pour la ramener dans la chambre. Alors qu’il la baladait sur son épaule, Cerise essayât dans un premier temps de se débattre, mais en vain, alors, elle finit par se redresser un peu sur l’omoplate de son porteur et se laissa faire sans résister et se perdue dans ses pensées. Elle commença à réfléchir à beaucoup de choses, et elle eut un déclic vis a vis de leur comportements respectifs: n’étaient-ils pas bien trop différents pour passer pour un vrai couple même s'il semblait que leur attirance respective soit bien visible? Au vu de leurs comportements: une confiance presque inexistante, de l’agacement, de la jalousie, elle se dit qu'ils ne passeraient surement jamais pour un couple modèle, et même s’ils n’avaient absolument pas cette prétention, ont aurait plutôt un couple au bord de la rupture qu’autre chose, ou un couple que sur le point sexuel, ce qui n’était, bien sur, pas le cas. Cerise soufflât en se disant que cette position était des plus inconfortable et qu'elle avait du mal a respirer ainsi. Elle se demanda alors comment faire pour améliorer leur rapport, mais elle savait que Miles ne lâcherait rien : c’était un con finit aussi têtu qu’une mule, arrogant, méprisant... Et elle ? Et bien elle ne lui rendait pas la vie facile, certes, mais étonnamment elle n’avait ce comportement qu’avec lui. Peut être par ce qu’elle était aussi têtue et bornée que lui ? Elle devait reconnaitre aussi qu’elle était passablement devenue chieuse envers lui et ne laissait plus rien passé depuis qu’elle avait rencontré Juno, une militaire du SGC. Cerise cherchait a s’affirmer, et surtout elle ne supportait plus les remontrances en boucle que Miles lui assenait à longueur de temps : s’il n’était pas content il n’avait qu’a la virer de son équipe non mais… Voilà comment avait débuté leur petit jeu, mais le souci était que leur amours-propres respectifs étaient tels que Cerise savait que ça finirait surement mal, très mal, et elle voyait très bien Miles l’étrangler un jour lors d'une mission, ou pire... Elle sortit de ses pensées quand Miles balança son chargement, donc elle, sur le lit. Elle couina de surprise puis de douleur quand elle atterrit sur le lit en se faisant mal au poignet. Elle jeta alors un regard noir sur Miles en se massant son poignet douloureux.
- J'attends les explications.
–" Vous êtes un gros con ! C’est suffisant comme explication ou je développe ? "
Elle soutint son regard et ne bougea même pas quand il s’habillât devant elle. Elle tiqua mais ne sourcilla pas en remarquant que son caleçon était renflé. Elle repensait a ce qu'elle se disait sur le chemin: A savoir comment faire pour améliorer leurs relations, surtout s'ils éprouvaient une attirance réciproque mais ils étaient bien trop bornés l'un comme l'autre pour lâcher quoique ce soit.
* Pfff… Et même ? ça nous mènerait où hein ? Je ne le comprends pas... Il attend quoi de moi? Il veut quoi au juste! Je n’y arrive plus. C’est... Ce serait vraiment si con ? Si… si seulement l’un de nous deux pouvait seulement laisser sa fierté au vestiaire 5 min … *
Cerise se leva du lit et tourna le dos à Miles, trop blessée intérieurement pour le regarder en face. Elle avança vers le hublot comme plongée dans l’observation méticuleuse de la planète devant eux.
- " Pour votre gouverne, si vous n’étiez pas partit picoler hier soir, je ne me serais pas retrouvée seule dans une vente qui à « mal tournée ». C’est pour cela que Dorin me remerciait, car je l’ai empêché d’acheter des objets tracés… J’ai fait ce pour quoi on est là. Je nous ait rendu crédible pour que nous puissions mener notre mission à bien."
Elle était en train de s’énerver, elle le sentait… Ca allait péter et se n’était pas bon, dire les vérités aux gens n’était jamais bon… Elle devait faire un geste, se calmer, et tans pis, le laisser faire ses conneries et ses blagues vaseuse, l’ignorer et se démerder toute seule… comme une grande… Comme toujours. C’était ainsi qu’elle conservait la vie : pour elle, s’était soit une symbiose, un tout qui était fait de confiance mutuelle, soit chacun pour soit. Cerise serra ses bras autour de sa taille en se disant que quand on était seule, au moins, on ne s’en prenait qu’a soit même car on ne comptait que sur soit : pas de déception possible.
- " Et…. Et que vouliez-vous que je fasse quand il m’a proposé un verre pour faire affaire… HEIN ? J’AURAIS DUT REFUSER PEUT ÊTRE?! DIRE : "OH NON, JE PRÉFÈRE ALLEZ PICOLER AVEC L’AUTRE DÉBILE AU BAR" !? "
Cerise tremblait de rage et ses yeux avaient presque virés au noir. Tout ce qu’elle ruminait contre lui remontait à la surface: Il aurait dut être là pour la protéger hier soir ; il ne lui accordait aucun crédit ; il la méprisait même ! Alors que d’un coté elle avait l’impression qu’il tenait à elle non ? Sinon pourquoi ces bisous ? Ces câlins ? Ces petites attentions même maladroites qui lui avaient tans fait plaisir à elle ? Pourquoi… pourquoi est ce qu’elle tenait tans a lui finalement ? Pourquoi elle fallait-il qu’elle l’aime ? A cette certitude, une larme roula sur sa joue et elle leva une main pour la chasser, elle, et le désespoir qui la saisissait là.
- " Oh et j’en ai profité pour renégocié le contrat ! Le double. Après…Fin désolé, mais ce n’était pas crédible que je nous fasse passer pour un couple en lune de miel, vous en êtes conscient ? "
Elle le regarda dans les yeux sans cacher combien elle était peinée.
- " Comment … comment voulez-vous passez pour un couple ? On n’est même pas capable de donner cette illusion. Faut toujours que vous poussiez le bouchon trop loin Miles, c’est votre jeu c’est ça de me sortir de mes gonds ? Et bien voilà : vous avez réussit. "
Cerise sentait les larmes couler sur le bord de son visage et s’en foutait : les essuyer n’aurait servit a rien.
- " On…Pfff… snif… Nous n’avons pas confiance l’un en l’autre, ça ne marchera jamais. "
Cerise craquait, et elle se dit que Miles devait être content : il avait gagné. Elle se mit à pleurer pour de bon, et alla s’assoir par terre le dos contre la banquette. Tout se brouillait dans sa tête, c’était tellement plus simple au SGC, quand elle ne devait pas être 24h/24 avec lui. Elle se demanda comment elle pouvait être amoureuse d’un con pareil, car c’était bien ça non ? Si elle se foutait de lui, elle ne chercherait pas de reconnaissance de sa part non? Il avait beau avoir un sale caractère, c’était ça aussi qui lui plaisait. Après tout, elle ne se voyait pas en mère de famille modèle, s’occupant des gosses et portant son mari à bout de bras tout sourire. Non, ce n’était pas vraiment elle ça, elle ne se voyait pas engluer dans ce genre de relation mielleuse : Elle, elle avait ce besoin de complicité certes, mais aussi de sport, de repartit, d’audace.
Elle cacha sa tête sur ses genoux pour se calmer et elle mis sa fierté de coté se disant qu'elle pouvait bien essayer de mettre du siens pour une fois : - " Pardon...D… Désolé, j’ai… j’ai besoin de cinq minutes… juste cinq minutes pour reprendre mon calme…" Elle prit de longues respirations en essayant de se vider la tête.
- " Je crois qu’on va avoir besoin d’un conseiller conjugal si vous voulez mon avis…Pfff ( XDDD)"
Cette petite pique sarcastique eut le mérite de la faire rire et déstresser un grand coup. Elle releva la tête et le regarda en souriant : Oui, après tout, elle était Cerise et Miles était Miles, c’était ainsi et personnellement elle n’avait pas envie de le changer même s’il la faisait tourné en bourrique. Elle appuya sa tête sur la banquette derrière elle, un petit sourire affectueux sur les lèvres.
- *Peut être qu’on va trouver un moyen de s’entendre, après tout, va falloir qu’on apprenne à se comprendre … Et je devrais aussi peut être me montrer plus gentille et patiente, car j’ai l’impression que Miles ne sais pas comment s’y prendre… Ou alors je me goure et c’est juste un gros con. *
Miles:
- Arrêtez de parler le français, je pige rien à cette langue ridicule. Sinon, c'quoi cette histoire ... en me trompant, tu peux mettre notre couverture en danger tu sais ? Tu as fait quoi exactement là ?
- "Ouuuh.. Je « te » défends d’insulter ma langue… Oki "sale ricain" ok ?! (è_é)
Miles la dévisagea. Il l'avait rarement vu dans cette état, et surtout, surtout ! Elle avait dit qu'il était sale ! Non mais c'est impossible, il sort d'une douche forcé quoi ! Pour vérifier, le Colonel se sentit les dessous des bras et haussa les épaules. Elle disait n'importe quoi ... comme toujours ... et comme toujours, il avait rien pigé .. ou il ne voulait rien pigé ... lui même n'en savait rien, il était trop con.
Et je ne t’ais pas trompé non plus. Huff ! Depuis le temps tu devrais avoir confiance en moi!! Et puis… franchement, à le faire, ça serait surement pas avec lui, non…
Confiance ? Rien que le mot le faisait rire ! Confiance en qui ? En Cerise ? Bah tient ! Vous voulez pas non plus le pendre en passant ? La confiance ça se mérite quoi, faut pas exagérer ... que lui a-t-elle apporté sinon des emmerdes ? Pas grand chose. Si, c'est vrai, elle lui a apporté un mal de testicule ... enfin, c'est le cadeau bonus de la mission quoi ... M'enfin, Miles devait avouer qu'il était assez jaloux. Puis Miles la porta jusqu'à la chambre.
- J'attends les explications.
–" Vous êtes un gros con ! C’est suffisant comme explication ou je développe ? "
Beuh ... non ? Sérieusement, vous trouvez Miles con ? Bon ok il l'est, mais quand même quoi ! Ce mec a autant de classe que l'école au mois de juillet ! C'est à dire aucune ... c'est navrant ... mais bon ... il est comme ça et amoureux. En même temps il est dingue de cette fille, mais alors ... qu'es-ce qu'il la trouve conne. Dans le genre grosse cruche, elle tient le rôle d'une barrique ! Miles n'était pas Chrétien (Ou Crétin, au choix) mais là, il avait envie de prier, c'moi qui vous le dis. Vous auriez vu son visage ! Elle rageait ! Que c'était beau ... ça lui donnait un petit air niais mais que c'était beau ! Sans parler qu'elle regardait sa bosse ... et après c'était lui le pervers ? Bah tient ... Miles ne voyait qu'une seule façon de les rabibocher ... mais bon ... c'était presque de l'inceste ... car elle aurait pu être sa fille. Puis Cerise se leva du lit et lui tourna le dos. Elle enchaina pour son plus grand déplaisir.
- " Pour votre gouverne, si vous n’étiez pas partit picoler hier soir, je ne me serais pas retrouvée seule dans une vente qui à « mal tournée ». C’est pour cela que Dorin me remerciait, car je l’ai empêché d’acheter des objets tracés… J’ai fait ce pour quoi on est là. Je nous ait rendu crédible pour que nous puissions mener notre mission à bien."
Et maintenant elle faisait sa maline ... elle avait choppé la grosse tête ... et le gros cul mais c'est de naissance ça ... Miles se demandait si elle allait finir par la boucher, sa voix ressemblait à un cri strident, en gros quelque chose de très désagréable quoi.
- " Et…. Et que vouliez-vous que je fasse quand il m’a proposé un verre pour faire affaire… HEIN ? J’AURAIS DUT REFUSER PEUT ÊTRE?! DIRE : "OH NON, JE PRÉFÈRE ALLEZ PICOLER AVEC L’AUTRE DÉBILE AU BAR" !? "
Ben ... ouai ? C'est pas comme si Miles acceptait un verre de n'importe qui ... *renifle* bon ok si, mais c'est pas une raison. La taverne ou le bar, c'est un lieu de fraternité et il n'y a pas de mal à boire à se mettre par terre. Après tout, il était la brute et elle le cerveau. Cerise tremblait de rage et ses yeux avaient presque virés au noir.En revanche Miles était ému en la voyant pleurer. Mettez vous à sa place ... il avait ENCORE réussi à la faire pleurer ! Et un point de plus pour lui ! Hahaha ! Quand au débile, il l'emmerde et l'aime à la fois ... drôle de situation.
- " Oh et j’en ai profité pour renégocié le contrat ! Le double. Après…Fin désolé, mais ce n’était pas crédible que je nous fasse passer pour un couple en lune de miel, vous en êtes conscient ? "
Bah ... c'est bien ... sachant qu'on va pas gagner un rond, c'est très ... utile. Travaillant pour le SGC, ils gagneront rien, donc on peut multiplier zéro par ce qu'on veut, on a toujours zéro. Pour s'en souvenir, il n'osa pas lui suggérer de prendre pour exemple son nombre de neurone.
- " Comment … comment voulez-vous passez pour un couple ? On n’est même pas capable de donner cette illusion. Faut toujours que vous poussiez le bouchon trop loin Miles, c’est votre jeu c’est ça de me sortir de mes gonds ? Et bien voilà : vous avez réussit. "
Là sortit de ses gonds ? Mais c'est super ça ! Il pouvait prendre la porte alors ! Miles se souvenait qu'une fois O'neill lui avait dit de prendre la porte, alors lui pas fou ! Il avait dégondé la porte et était parti avec dans sa chambre. Quand à cette histoire de couple ... ils ne faisaient même pas lit commun ...
- " On…Pfff… snif… Nous n’avons pas confiance l’un en l’autre, ça ne marchera jamais. "
Puis elle éclata en sanglot. Elle cacha sa tête sur ses genoux alors que Miles la regardait sans savoir quoi faire. Il aimait gagner ... mais là ... peut être avait-il été trop loin. Mais bon, c'pas grave vu qu'il a gagné ! héhé !
- " Pardon...D… Désolé, j’ai… j’ai besoin de cinq minutes… juste cinq minutes pour reprendre mon calme…"
Si elle arrêtait de parler, il lui en donnerait même 10 minutes ...
- " Je crois qu’on va avoir besoin d’un conseiller conjugal si vous voulez mon avis…Pfff ( XDDD)"
Puis elle éclata de rire ... Miles n'avait pas compris la blague car il était probablement trop con pour en comprendre les subtilités, mais supposa qu'elle essayait de se rassurer. Miles s'approcha d'elle et l'attrapa. Il la porta jusque sur le lit et l'embrassa sur la joue. Il se glissèrent tous les deux sous les couvertures, la pressant contre lui. Contre le chagrin, rien ne valait mieux qu'un gros câlin. Même avec sa petite érection, Miles l'embrassa à plusieurs reprises sur la joue et une fois sur le coin de la bouche, la pressant contre lui avec son bras droit. Décidément, il était vraiment amoureux.
Cerise:
Cerise était toujours assise au sol, contre la banquette, entre ses pleurs et un fou rire nerveux. Elle rouvrir ses grands yeux bleus quand elle entendu Miles s’avancer vers elle, et le regarda un peu tendue quand il se tins droit devant elle. Elle se demanda encore qu’est ce qu’il allait lui faire et lui lança un regard entre celui du chien battu et du « Allez y, je m’en fou qu’on en finisse ». Quand il l’attrapa et la souleva du sol aussi simplement que si elle n’était qu’une enfant, elle le laissa faire un peu dubitative en espérant qu’il ne compte pas de nouveau la balancer quelque part. Quand il ajusta sa prise sur elle, la faisant tanguer contre lui, Cerise s’accrocha à son cou et y enfoui sa tête. Comme elle aurait voulu que le temps s’arrête: elle était si bien là, contre cet homme viril, emprisonnée dans ses bras, sentant son cœur si fort battre tout contre elle... Elle se sentait apaisée, protégée, et loin, très très loin de leurs disputes mesquines. Cerise ne savait plus où elle en était et se rendit compte que malgré tout ce qu'elle disait sur lui, elle lui faisait terriblement confiance. Elle ne savait plus quoi faire, quoi penser, car bien qu'à la merci de Miles, elle sentait que pour une fois qu'il ne lui ferait pas de mal (Oui oui, pour une fois => )
* Ce n’est pas désagréable de se laisser faire finalement.*
Miles la posa sur le lit, doucement cette fois-ci et elle le regarda intensément une drôle de lueur dans les yeux en rougissant légèrement: Il était capable de passer d’un extrême à l’autre en moins de 5 secondes top chrono. C’était déstabilisant parfois, mais très attrayant. Cerise déglutit et leva les yeux vers lui de grands yeux interrogateurs après qu’il eut déposé un baiser sur sa joue.
- " M….Miles ?"
Cerise chercha dans ses yeux s’il se moquait d’elle ou non. Elle était si émotionnellement fragile déjà en temps normal, elle ne se laissant pas « apprivoiser » facilement par les hommes, mais en plus, d’avoir passé autant de temps et en non-stop avec lui avait finit par affaiblir sa pshychée. Elle se sentait si démunie, si à vif… Quand Miles rabattu les couvertures sur eux en l’enserrant fortement de son bras contre lui,Cerise fondit et se laissa finalement aller à ce câlin certes inattendu mais si agréable en caressant d’un doigt la joue de Miles sans mots dire. Elle ne savait pas sur quel pied danser avec lui: un pas en avant, 5 en arrière… Riens que d'essayer de comprendre elle en avait mal a la tête.
Cerise avait l’impression d’avoir le visage en feu, mais c’était si agréable qu’elle avait l'air heureuse, ou peut être stupide aller savoir, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Elle se rendit compte à cet instant de l’absence de bruit : Le silence régnait en maître pour une fois et là, tout contre Miles, un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’elle effleurait de nouveau doucement son visage, plongeant dans ses yeux gris en se disant qu’il était vraiment imprévisible.
Miles finit par déposer de nouveau un baiser sur sa joue, et cette tendresse maladroite mais délicate la rendit bizarrement heureuse. Puis un deuxième suivit et Cerise se mordit la lèvre inférieure se demandant si elle ne devait encore le repousser comme hier soir... Mais quand Miles l’embrassa sur le coin de la bouche, elle glissa finalement ses bras autour de son cou inconsciemment pour le retenir et chercha son regard, plus très sure de ce qu’elle faisait. Après de longues secondes indécises ou leurs souffles se mêlèrent, elle finit par l’embrasser timidement, et se sentant si bien dans ces bras puissants, elle se serra encore plus contre lui et leur corps entiers se touchèrent. A ses début un câlin timide et maladroit, leur étreinte se fit plus précise à mesure qu'ils s'apprivoisaient l'un l'autre, et sous les draps de ce lit d'emprunt, Cerise se laissa aller dans les bras de Miles en profitant de chaque seconde et caresses, oubliant complétement à cet instant la mission ...
Miles:
Lorsque Miles la déposa sur le lit, il remarqua le teint écarlate de sa partenaire, peut-être se doutait-elle de son affection pour elle, peu importe, Miles n'avait pas envie de se prendre la tête. Puis elle posa sur lui ses yeux de cocker, cette petite expression débile l'exitait pas mal, il avait une véritable attirance physique pour elle, mais es-t-es de l'amour ? Miles n'en savait rien, il voulait simplement coucher avec elle. Elle l'avait poussé dans ses limites, elle devait payer ... de sa personne.
- " M….Miles ?" Il fallait qu'elle l'ouvre ... a force de parler, elle allait gâcher ce moment, ne pouvait-elle pas la mettre en veilleuse ? Il allait tout de même pas lui retirer ses piles ... il voulait pas embrasser une zombie ... enfin son regard croisa celui de Cerise qui visiblement se demandait si il était sincère dans ses gestes ou pas. Puis le Colonel rabattit les couvertures sur eux et la pressa contre lui. C'était pour se faire pardonner ce câlin, après tout, après tout ce qu'il lui avait fait endurer, elle le méritait. A sa plus grande surprise, elle lui caressa la joue avec un doigt. Cela signifiait quoi ? De plus, elle avait le visage écarlate et ses yeux brillaient. Elle semblait heureuse ... c'était rare qu'il ne la rende pas triste. D'ailleurs Miles était étonné. Il entendait le silence alors que d'habitude, il entendait seulement Cerise entrain de râler. C'était bluffant ! Le Colonel l'embrassa une fois de plus sur le visage, en plus de vouloir l'apaiser, il voulait lui faire comprendre qu'il l'aimait bien plus qu'il le montrait où le disait.
Mais il merda ... et pas qu'un peu. Il posa une belle bouse en effet ... il était tellement attiré par elle, qu'il l'embrassa une nouvelle fois, mais cette fois-ci sur le coin de la bouche. Alors qu'il s'attendait à prendre une claque, elle passa son bras autour de son cou. Leurs visages étaient à quelques centimètres, Miles pouvait sentir le souffle de Cerise s'écraser littéralement sur son visage, en effet, le pot d'échappement d'un camion dégage pas mal ... () Leurs regards se croisèrent, Cerise semblait déboussolée, elle ne devait même pas savoir ce qu'elle faisait ... Miles se demandait qui dans cette histoire était vraiment bourré ...
Finalement, ce qui devait être arriva, leurs bouches se mêlèrent, leurs langues aussi ... la bave aussi ... le vomi aussi ? Non non, Miles n'avait pas envie de vomir, il l'avait déjà fait ... Puis leur baisé se prolongea alors que Miles commençait à caresser l'archéologue.
- Après ça ... tu pourras plus t'assoir ...
Puis ils s'emballèrent et firent ce qu'ils avaient à faire ... c'est à dire qu'il s'envoyèrent en l'air. Après avoir fait son affaire, Miles la regarda dans ses bras et l'embrassa une nouvelle fois ...
Cerise:
Blotti contre Miles, Cerise somnolait en savourant la tranquillité de l'instant. Elle était en pleine béatitude et à des kilomètres de là où son corps se trouvait. Elle avait du mal à récupérer en fait, et elle se dit que ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas fait autant d'exercice, mais ça, elle ne le dirait pas à Miles non. Les yeux fermés, elle soupira d'aise en se replaçant dans ses bras: elle était tout simplement "bien" et ne voulait pas bouger de là, du moins, pas avant d'avoir reprit son souffle et ses esprits. Dans un état second elle sentit un baiser et y répondit en se lovant dans les bras de son amant. Ils recommençaient a se chauffer et étaient en train de repartir pour un tour quand on frappa à la porte, et ce avec insistance, ce qui la fit grogner de contrariété: non, elle voulait pas bouger, alors ils pourraient se brosser sévère. Mais cette tactique marchât bien car elle fut vite délaissée et soufflât en se renfonçant dans son oreiller alors que Miles allait ouvrir la porte à Dorin.
* Ohhh?! Bon ben... je crois qu'il n'y a plus trop de soucis à ce faire pour notre couverture. Tiens, en parlant de couverture...*
Cerise sortie du lit en se drapant dans la couverture, attrapa ses affaires éparpillées autour du lit et s'en alla dans la salle de bain, non sans jeter au passage un regard coquin à Miles, regard qui n'échapperait surement pas à leur "chef".
- Je me douche et j'arrive... pas de bêtises Ken hum??
Elle referma la porte derriére elle, puis laissant choir a au sol ses vêtements et la couverture, elle se glissa sous une bonne douche bien chaude. Elle n'arrivait pas à entendre la discussion d’à coté, mais tout semblait aller bien: après tout Dorin était seul c'est donc qu'il avait confiance. Après s'être lavée le corps de la sueur, Cerise se lava les cheveux en réfléchissant à la suite, mais pas la suite de la mission, car ça c'était facile à savoir: Si Dorin était là c'est qu'il allait avoir besoin d'eux, donc qu'ils allaient surement être briefés sur la vente. Non, elle se demandait ce qu'elle allait faire avec Miles.
- "Huumm…" *Lui dire que c'était une erreur peut être? Qu'étant de la même équipe on ne devrait pas et qu'on se doit de s’arrêter là de suite... Bien que je ne soit pas concernée par les règles de l'armée étant civile? Ou... Lui dire qu'il a été décevant? Humm...Pas sur qu'il me crois vu comment j'ai fini, non... *
Cerise se dit qu'elle allait attendre de voir s'ils abordaient le sujet déjà, mais elle ne voyait pas trop Miles lui dire vouloir entretenir une relation stable avec elle... Elle souffla et se mordit la lèvres en se demandant que faire. Au besoin, elle lui signifierait que ce n'était qu'un plan cul comme on disait. Vu sa réputation sulfureuse au SGC, c'était plus plausible que de dire que, le contexte aidant, elle s'était laissée allée sans vraiment y penser et qu'elle le regrettait, en plus elle n'avait aucun remord donc....
* Depuis le temps que je bavais dessus, je peux pas dire que j'en avais pas envie... Et puis, depuis qu'on est sur cette mission on a pas arrêté de se chercher mutuellement donc... *
Elle sentit un regard sur elle et se tourna pour river son regard dans celui de Miles. Elle allait lui dire qu'elle lui laissait la place dans quelques secondes quand il lui dit la raison de la visite de Dorin: les informer du départ dans deux heures pour la vente.
- "Ok, de toute façon j'ai fini, tu peux y aller." Elle s’essora les cheveux, sorti de sous l'eau, récupéra ses affaires et évacua la salle de bain: Après leur partie de jambe en l'air, elle ne savait plus trop comment se comporter envers lui et avait encore besoin de réfléchir.
Cerise se laissa tomber sur le lit et repassa les évènement dans sa tête en se disant qu'en plus, il lui semblait bien que c'était elle qui avait commencée dans cette histoire, en allant se blottir la nuit contre lui la première nuit. Et lui avait enchainé en la matant dans son bain...etc Cela lui arracha un large sourire et elle se dit qu'ils étaient tout les deux majeurs et vaccinés et surtout entre adultes consentants. Ils devaient juste veiller déjà a pas mettre la mission en l'air avec leurs conneries et rentrer au SGC entier... Elle pourrait toujours voir une fois sur place pour mettre les choses au point.
Elle prit sa serviette et se sécha. Arrivé aux cheveux, elle voulu les brosser et se rappela avoir oublier sa brosse dans la salle de bain, elle s'y dirigea donc le plus naturellement du monde. Elle ouvrit la porte et entendit des bruit d'éclaboussures: Miles était en plein lavage, elle pourrait donc entrer et ressortir sans être vue peut être.
*Comme un ninja O.O*
Elle entra doucement sans faire de bruit attrapa sa brosse et tan qu'a y être elle en profita pour se rincer l'oeil, après tout, il n'y avait pas de mal si? Cerise observa donc Miles de ses belles billes bleue, un large sourire aux lèvres en le détaillant. Elle leva les yeux au ciel, juste avant de laisser sa serviette glisser au sol, en se disant qu'elle était vraiment irrécupérable et se glissa derrière la vitre pour aller rejoindre Miles sous la douche. Elle attrapa le savon et commença par lui savonner le dos, puis elle laissa ses mains se balader sur le corps musclé de son amant, un large sourire aux lèvres. Ils s’embrassèrent, puis leurs corps s’enlacèrent alors qu'elle s'appuyait contre le mur, et une chose en entrainant une autre, ils remirent de nouveau le couvert sous l'eau ruisselante de la douche.
Une heure plus tard, Cerise peinait à avaler le repas servit a la cantine, et touillait dubitativement la chose dans son bol. -" C'est vraiment censé être un... pot-au-feux?! Beurk...hurm! Au fait Ken? je te déconseille de toucher au pain... ou tout autre chose qui puisse contenir du maïs ou de la farine de maïs a moins que tu ne veille devenir dépendant du kassa...
Elle le regarda manger un espèce d’entrecôte avec des frites et regretta de pas avoir prit pareil. Mais après avoir tant insisté pour manger des légumes cuits, elle se voyait mal aller échanger son plat. Elle se leva pour aller chercher une cruche de vin, tans qu'a faire autant boire un peu, et au retour elle eut une idée. Elle s'appuya sur le dos de Miles, posa la cruche et lui fit de petits bisous dans le cou, pendant que de sa main droite elle alla piocher dans son assiette quelques frites bien grasse et bien appétissantes qui finirent rapidement dans son estomac.
....
Le temps de se préparer et de rejoindre le teltak affrété pour la vente, ils furent dans les temps et retrouvèrent Dorin juste devant l'ouverture du cargo avec 5 autres hommes armés. Cerise commençait a stresser un peu et se retourna vers Miles et se glissa dans ses bras, après tout quoi de plus naturel pour un couple marié ? Elle en profita pour murmurer a Miles alors qu'elle lui faisait un câlin, ce qui ne l’empêchait pas d'observer les allées et venues autour du teltak.
- Et bien voilà.. On va vite être fixé... non? Hum...hum♫ les caisses là semblent lourde... peut être du naquadah?
Elle leva ses billes bleues ciel vers Miles en quête d'un hypothétique soutient pour se rassurer et se donner plus de courage qu'elle n'en avait, car lui, elle était certaine, il en avait pour deux.
Raymond "Red" Reddington
Colonel ~ SGC
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Messages : 137 Date d'inscription : 29/11/2012 Age : 29 Feuille de personnage Affectation: VOIE LACTEE Equipe: Equipe SG-4 Gène:
Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:16
Cerise:
Miles Quaritch a écrit:
C'était contraire au règlement qu'il défiait tant d’ailleurs, mais si cela venait à se savoir il serait radié de l'armée et passerait en cours martial simplement pour avoir tiré un coup. => Non je suis pas militaire mais civil :mimi: je ne suis pas concernée par cela ( c'est comme théoriquement je peux te dire merde ou ne pas t’obéir je passerais pas en cour martiale
- Bordel ... j'ai l'impression de m'être fait roulé dessus par un camion ..." Oops"
Cerise jeta un regard noir à Miles,sortit brutalement de son étreinte et se frottant les main sur son haut, comme s'ils était puant-gluant et fit une moue de dégout. Alors il était de ce genre d’homme? Qui profitait des femmes et s'en foutait par la suite? Elle qui pensait qu’après ces moments intimes, il se montrerais un peu moi con, elle s'était lourdement trompé. Mais si c’était ça, alors ils joueraient aux cons à deux, car elle pouvait être chiante, très chiante même. Elle avança d'un pas vers le cargo en lui faisant dos.
- "Tu le vois ce joli petit cul? Humm? Bah profite, car t'y touchera plus. [FR] J'vais t'en foutre du camion tu va voir!"
Cerise le regarda de haut, le visage fermé: là, il l'avait vraiment gonflé et elle hésitait entre lui faire lourdement payer, ou l'ignorer complétement. Elle refixa son attention sur le cargo et se décida: Elle s'y diriga a grands pas sans lui demander la permission ou le prévenir. *Qu'il se démerde.* Elle arriva à l'entrée du vaisseau, et se trouva nez à nez avec le beau gosse de l'espace, enfin, l'homme super canon qu'elle avait surnommé comme ça, et lui fit un sourire candide.
-Ohh.. [FR] Salut vous Cerise se décala a droite pour le laisser passer, mais il fit de même, idem après a gauche, et ils partirent d'un léger fou rire en se regardant droit dans les yeux. Puis, il reculât, et lui fit un geste du bras l'invitant a entrée, ce qu'elle fit, non sans se retourner pour observer son postérieur de dieux grec.
- Hum... un modèle plus jeune, un corps à croquer, un minimum de galanterie... Je crois que je serais bien tenté par un échange moi.. Le beau gosse l'entendit malgré qu'elle l'avais dit bas et se retourna en la regardant, puis en regardant la dérobade Miles. Et Cerise joua le tout pour le tout.
- Bah quoi? On est un couple libéré et à son age, vous savez ce que s'est. On voudrait, on voudrait et finalement le corps suis plus Elle dodelina doucement la tête, soupira, et lâcha un- " m'enfin ..." , puis elle regarda Miles puis haussa les épaules, et dit d'un ton fatidique:- c'est la vie quoi.
Le beau gosse sourit et alla finir son boulot, quant à Cerise elle regarda Miles, puis lui sourit d'un air obligé. - Ah lala.... Regarde ce que tu m'obliges à faire Ken. J'aime pas être méchante et mesquine mais PUNAISE.... tu le cherches, trop même... Je... Je comprend pas pourquoi. Mais qu'est ce que je t'ai fait franchement? 'Fin, si tu veux plus que je suis odieuse "mon amour", j'te promet arrête de me prendre la tête car sinon tu va rentrer seul à la maison et j'émigre avec le top model galactique!
Sur ce Elle tourna les talons et fessait claquer aux sols ses talons, entra et alla s'assoir, en croisant ses longues jambes, posant son sac sur ses genoux, et en regardant ce qui se passait dehors par le pare brise: elle était bien décidé a faire la tête à Miles. Et si ça lui convenait a lui diriez-vous? Et bien, elle avait décidé de la lui faire éternellement. [FR]- Ya des moments ou faut savoir s’arrêter
Miles:
- Bordel ... j'ai l'impression de m'être fait roulé dessus par un camion ..." Oops"
Il avait merdé ... sans le faire exprès, il avait dit ça sans penser qu'il avait déjà comparé Cerise à un poids lourd ... c'était un regrettable échec ... une erreur monumental car à partit de maintenant ... il allait faire abstinence ... régime sec ... il en était persuadé ... une femme comme elle allait le priver de toute joie alors qu'il s'était simplement ... trompé ... enfin non mais il ne voulait pas l'insulté quoi ! Le pauvre ... il allait devoir renouer des liens avec sa main droite tout en la trompant avec la gauche ... triste vie. Le regard de Cerise le tua sur place, noir qu'il était ... non de dieu ... Miles crut qu'elle allait le tuer et encore ... le mot est faible. Puis elle se dégagea de son étreinte et s'essuya les mains sur le haut de sa tenue ... comme si il avait la galle ... sans rire ... si quelqu'un devait se faire du soucis, c'était bien lui. Vu l'endroit tant fréquenté où il avait mit les pieds ... ou plutôt la béquille, cette nuit ... il pouvait s'en faire du soucis. Puis dos à lui, d'un pas rapide, elle luit dit avec tendresse :
- "Tu le vois ce joli petit cul? Humm? Bah profite, car t'y touchera plus. [FR] J'vais t'en foutre du camion tu va voir!"
Hooooo qu'elle était gentille .... cette garce. Elle le narguait quoi ! Sans parler qu'elle lui montra son cul ... il voulut le palper mais elle se dégagea avant ... c'était parti : La Séance "Abstinence" venait d'ouvrir ses portes ... faisant place à la main droite et la gauche ... hourra ! Puis cette vieille peau le regarda de haut avec un regard fermé ... comme une moule (). D'ailleurs il aimait bien les crustacés mais celui là lui semblait avarié ou périmé ... il savait pas ... peut être que la date de présomption avait été dépassé ... mais il voulait pas toucher à la chose, trop risqué. En effet, elle l'aurait facilement égorgé avec ses talons à aiguilles. Vous imaginez sur le tombe ? "Assassiné en mission par des chaussures à aiguilles Luxienne ... pitoyable. Puis elle l'ignora complètement, comme si il était plus là. Vous me direz que d'un côté il était heureux, et oui ! Maintenant il l'entendait ... le silence ! C'était une grande victoire, il lui avait coupé le sifflé. Ouai ... c'est ça ... elle était bien plus retord et perverse que lui enfaite. Sachez qu'une femme peut devenir un ennemi mortel si vous l'insultez ... Miles allait le savoir.
Puis Cerise se déplaça vers un gars ... un playboy ... un raclure quoi ... un dragueur ... et bien sur, elle alla le voir, quand à être chiant, autant l'être jusqu'au bout.
-Ohh.. [FR] Salut vous
Miles la vit regarder les fesses du garçon quand il passa, perverse cette fille ... jusqu'à l'os. Sans parler qu'elle partit d'un jolie petit rire lorsqu'ils se décalaient mutuellement pour laisser passer l'autre. Vous voyez ? Ce genre de rire niait, complètement débile et ridicule ? Bah c'était ça, Miles avait envie de vomir en voyant cette scène pathétique. Sans parler qu'il était jaloux. Puis d'une courbette, il la laissa passer ... regardez moi ce gros suceur de clown ... pi il pompait l'animal, seigneur ... et il faisait pas ça par charité, il en voulait derrière.
- Hum... un modèle plus jeune, un corps à croquer, un minimum de galanterie... Je crois que je serais bien tenté par un échange moi..
Miles leva un sourcil. De la galanterie ? Bah tient ... il faisait pas ça pour sa tête ... ni pour ses pieds ... mais plutôt pour le juste milieu, si vous voyez ce que je veux dire. En plus le crétin qui la draguait se retourna pour la regarder, il manquait plus que ça ...
- Bah quoi? On est un couple libéré et à son age, vous savez ce que s'est. On voudrait, on voudrait et finalement le corps suis plus
Et elle se permettait d'insinuer des trucs ... vraiment ça allait chier. Vraiment chier. Puis elle le regarda et dit avec déception : M'enfin ... c'est la vie quoi. Puis elle enchaina le massacre ...
- Ah lala.... Regarde ce que tu m'obliges à faire Ken. J'aime pas être méchante et mesquine mais PUNAISE.... tu le cherches, trop même... Je... Je comprend pas pourquoi. Mais qu'est ce que je t'ai fait franchement? 'Fin, si tu veux plus que je suis odieuse "mon amour", j'te promet arrête de me prendre la tête car sinon tu va rentrer seul à la maison et j'émigre avec le top model galactique!
Puis elle tourna les talons sèchement et laissa Miles en plan. Comme un gland me direz vous. Elle lui faisait la gueule ? Bah tant mieux, au moins il sera au calme pendant le voyage. Elle s'assit et l'ignora complètement. Miles vit l'autre débile rire, il s'approcha de lui.
-Qu'es-ce qui te fait marrer le simplet ?
- J'crois que j'ai une touche ... hahaha
Sans prévenir, Miles donna un gros coup de genoux dans les testicules du beau gosse. Puis il enchaina avec un coup de boule pour le terminer.
- Voilà, maintenant tu laisses ma femme tranquille ou je te coupe les boules pour les ranger dans mon étui à lunette ... car à mon avis, la taille est à la hauteur de ton intelligence, c'est à dire très basse.
Miles retourna voir Cerise, leva un sourcil et lui dit :
- Poussez vous c'est ma place.
Sans lui laisser le temps de répondre, il la leva en la tirant par le bras, s'asseya et l'asseya sur ses genoux.
- Maintenant pas bouger. Compris ? è__é
Miles était vraiment furieux, elle l'avait ridiculiser devant tout le monde ... vous me direz, il ne peut pas la taper, mais il aurait pu vous répondre : "Quoi je peux pas la taper, c'est ma femme tu permets ?" Mais il n'était pas comme ça, légèrement con mais pas méchant .... enfin pas trop.
Cerise:
-Qu'es-ce qui te fait marrer le simplet ?
Cerise tourna la tête et regarda Miles et le beau gosse. - J'crois que j'ai une touche ... hahaha
Cerise leva les yeux au ciel : les hommes ! c'est pas par ce qu'on dit qu'ils sont cannons qu'on les mettrait de suite dans son lit franchement ... ils ne comprennent jamais rien aux femmes. Lorsque Miles lui donna un coup de genoux bien placé et que le jeune homme tomba à genoux, Cerise ouvrit la bouche comme un poisson, sidérée. Certes, elle n’aurait pas du être plus surprise que ça, c'était Miles après tout, mais quand même et quand il enchaîna avec un coup de boule, elle fit une moue crispée souffrant intérieurement pour le gamin cloué au sol, un peu par sa faute, même si elle ne se sentait nullement responsable.
- Voilà, maintenant tu laisses ma femme tranquille ou je te coupe les boules pour les ranger dans mon étui à lunette ... car à mon avis, la taille est à la hauteur de ton intelligence, c'est à dire très basse.
Là Cerise se dit qu'il avait tapé bien bas, et ne put s’empêcher de sourire : il avait dit « ma » non ? Il aurait put dire laisse la/ laisse Barbie tranquille, mais il avait dit « ma femme » , et bizarrement elle se sentit contente et sourit, enfin jusqu'à ce qu'il se tourne vers elle très en colère .
- Poussez vous c'est ma place.
Là, elle se dit qu'il était trop en colère pour faire gaffe : il avait dit vous et elle espéra que sur le coup personne ne le remarquerais, puis alors qu'il lui attrapait le bras pour la relever sans douceur elle se demanda comment réagir : la femme outrée ? Pas vraiment,mais la femme contente qu'on se batte pour elle ça pouvait le faire.
*En plus, ça rentrerait dans le schéma du couple de l'age d'âge mur et de la jeunette sexy : un homme qui, la cinquantaine passé, décide de refaire sa vie avec une jeunette, qui soit dit en passant est souvent sexy c'est pour ça qu'il la choisit, pour se donner l'impression de ne pas être à la moitié de sa vie, c'est connu.*
Pendant un instant voir ces deux coqs l'un en face de l'autre.. tout deux intéressé par elle avait drôlement amusée Cerise et surtout ça avait fait du bien à son estime. Elle n'était nullement intéressé par le beau gosse : c'est pas par ce qu'on regarde qu'on le mettrait dans son lit non ? Elle était là avec Miles et n'avait pas envie d'aller voir ailleurs, mais les hommes et leur ego, leur territoire... Puis Miles la sortit de ses pensées en s'asseyant sur la place qu'il venait de la forcer à quitter, en l'attrapant par les hanches pour l'assoir sur ses genoux, montrant bien ainsi qu'elle était SA chose. Cerise sourit, non aux anges mais pas loin, et se dit que malgré son passif, inconsciemment, elle adorait trop les hommes possessifs, elle croisa le regard du beau gosse qui se relevait tans bien que mal et haussa les épaule avec une mine qui disait bien « t'as voulu jouer, mais t'aurais pas put gagné trésor. »
- Maintenant pas bouger. Compris ? è__é
Cerise se dit que si elle ne bougeait pas, ça flanquerait tout en l'air : à jouer un rôle faut le jouer pleinement non ? Alors, elle pivota pour être de profil à lui, et appuya son dos contre le bras gauche de Miles avant de le dévorer des yeux, et de se caler contre lui d'un air complètement subjugué.
« - Comment tu l'a remis à sa place le petit Oh mais.... tu t'es pas fait mal pour moi quand même ? Humm? Voyons... j'ai dis "je crois" pas "j'ai envie" ou "je veux" mon amour... En plus, tu sais que je ne pourrais plus me passer de toi moi» Cerise le regarda de ses grands yeux puis posa ses mains contre le torse de Miles avant de déposa un baiser au coin de sa bouche, d'un air ravie. Elle aperçu alors Dorin du coin des yeux. Il marqua un temps a l'entrée de l'appareil, son regard allant d'eux au jeune homme qui peinait à reprendre son souffle et qui se tenait le nez un peu ensanglanté.
« -Tomid ! Je t'avais déjà dit de pas draguer les femmes mariées, les maris sont pas souvent préteur, surtout s'ils sont plus balèze que toi. »
Cerise pouffa à la remarque et leva la tête vers lui sans quitter l'écrin des bras de son « mari » et jeta un regard à Dorin et entourant le coup de Miles de ses petits bras.
« - Ah ça... ya aucun risque à ce niveau là.»
Dorin souffla mais ne dis rien de plus, et le vaisseau s’élança vers sa destination. Tout se passa bien par la suite. Ils arrivèrent sur un hatack de l'alliance, et à voir le monde présent, Cerise se dit que les ventes devaient être importantes. Comme ils étaient tous de la maison, les allés et venus n'étaient pas plus surveillé que ça, mais Cerise se dit que ça allait quand même être difficile de voir avant la vente les objets et trouver ceux pour lesquels ils étaient là. Les hauts gradés commencèrent a parler entre eux, et leur troupes se dispersaient en attendant que tous soit là. On leur indiqua une salle de repos deux étage plus bas, et on leur confisqua leurs armes aussi. Cerise attrapa négligemment le bras de Miles et l’entraîna vers cette salle. Arrivé sur place, elle alla au bar et demanda deux verres super alcoolisé et se dirigea vers Miles qui avait trouvé, sans mal elle en était sure, une place et discutait avec d'autres luxiens. Arrivée sur place elle déposa les verres devant Miles et se glissa sur ses genoux en souriant juste, puis sirota son verre. Elle ne dit rien, pensant qu'il valait mieux laisser Miles gérer ce genre de rapport. () Au bout d'une demi-heure, ils en avait apprit des choses, certaines peu intéressantes, mais d'autres valait leur pesant d'or : les caisses étaient entreposées dans une salle a coté de là ou aurait lieu la vente : là ou ils avaient laissé Dorin, et Cerise se demandait comment faire pour y aller sans se faire chopper. Elle en avait marre de rester assise et avait pas envie que Miles picole trop non plus, il lui fallait qu'il soit concentré là, alors elle attrapa le verre qu'il portait actuellement a sa bouche, le reposa et tu ses vocifération d'un baiser, avant de lâcher un : « Tu viens, j'ai envie de changer d'air.. » d'un air coquin.
Ils se levèrent et elle le guida l'air de rien jusque là ou était entreposé les caisses en fessant le point sur ce qu'ils avaient apprit, enfin en murmurant pour pas se faire choper.
« - … et donc va falloir trouver comment rentrer, voir les caisses, et repartir avec ce qui nous intéresse sans nous faire chopper... Miles tu m'écoutes ? »
- « C'est là.»
Il virent des gardes qui fessaient des rondes, mais franchement c'était bon enfants car ils papotaient surtout avec les autres luxiens qu'ils n'avaient pas vu depuis un moment. Remarquant un grand blanc, ils entrèrent dans la pièce incognito et Cerise commença ses investigations et trouva son bonheur.
« -Bingo ! Et …. »
Cerise attrapa un objet qui servait d'ordinateur goau'ld et intervertit deux cristaux semblable, mais qui ainsi mis rendrait l'appareil inutilisable.
«- Au cas où, sans ça ça marchera moins bien !
Bon maintenant faut convaincre Dorin d'acheter ça, et comme c'est cassé... on le récupère et on rentre au SGC direction bain chaud, vêtements de sport hyper confortable et verre de vin en bouquinant un bon livre sous la couette.»
Ils entendirent des bruits à la porte:on arrivait, et il n'y avait qu'une seule issue. Cerise se mordit les lèvres et refera la caisse dans laquelle l'objet qu'elle avait trafiqué était puis, elle s'approcha de la porte en se mordant un doigt .
«- Comment on va leur faire croire qu'on est entrés là l'air de rien et qu'on a touché a rien ? » Ils entendirent des mots, et une main qui se trompait de codes pour ouvrir la porte et elle se demanda comment ils pourraient expliquer leur présence ici, elle commençait à paniquer et se tourna vers Miles...
Miles:
Alors que Cerise pensait à des choses pas très gentilles par rapport à son âge, Miles lui ruminait. Pour qui elle se prenait elle aussi ? Elle pensait qu'il était un vieux gâteux incapable de se torcher tout seul ? Incapable d'éprouver des sentiments ? Fière et prétentieux comme un coq avec en guise de cœur une pierre. Il était un homme, certes, un vrai, avec deux doigts dans une /CENSURE/. Elle était pas contente de l'avoir ? Elle préférait le jeunot tireur de gonzesse ? Et bien oui, Miles n'était qu'un idiot, imbu de sa personne et totalement immature, mais il était tombé pour elle ... (Lalalala ) ... c'était comme ça, il y pouvait rien. Mais cette fois-ci, elle l'avait vraiment énervé, vous n'avez même pas idée, là, la bouteille d'oxygène était vraiment trop lourde, il pouvait pas tolérer qu'elle drague un autre mec après la nuit qu'ils avaient passé. Elle avait intérêt de se tenir à carreau, car lui, il allait la zieuter, et pas qu'un peu è__é. Miles ne savait pas quoi faire pour se calmer lorsque Cerise pivota afin qu'elle soit de profile. Elle se cala contre lui. Il allait lui répliquer sèchement qu'il n'était pas un oreiller ou une aire de repos pour les cinq tonnes, mais elle le câlina avant qu'il n'ouvre la bouffe. Dans ces conditions là, il n'était pas vraiment en mesure de râler, premièrement car il ne voulait pas gâcher ce moment, et deuxièmement car il comptait bien retoucher son petit cul. Il lui rendit son câlin et tout deux se dévorèrent des yeux. C'était leurs façons à eux de se réconcilier. Ils s'engueulaient en permanence et se réconcilier aux moments des câlins ... plus ou moins poussé.
« - Comment tu l'a remis à sa place le petit Oh mais.... tu t'es pas fait mal pour moi quand même ? Humm? Voyons... j'ai dis "je crois" pas "j'ai envie" ou "je veux" mon amour... En plus, tu sais que je ne pourrais plus me passer de toi moi» Alors là ... autant vous dire qu'il était fière le Colonel ! Non de Dieu ! Enfin un compliment de Cerise, mais il allait neiger non ?! Puis elle le nargua et il comprit qu'elle s'était moqué de lui et l'avait volontairement rendu jaloux. Lorsqu'elle lui dit qu'elle ne pourrait jamais se passer de lui, Miles comprenait. Bah oui, si il était une femme, il ne pourrait pas se passer de "lui" ! Il est parfait Miles ... avec un gros fusil ... (Prétentieux aussi ). Quand elle posa un baiser sur le coin de la bouche, il aurait voulu la plaquer au sol ... mais il y avait trop de monde ... pour faire "ça". Miles ne porta aucune attention à Dorin et l'ignora complètement.
« -Tomid ! Je t'avais déjà dit de pas draguer les femmes mariées, les maris sont pas souvent préteur, surtout s'ils sont plus balèze que toi. » Ah ça non ! Il était pas prêteur, et il en était loin. Même menacé de mort, il ne prêterait pas la femme qu'il aime, c'est indiscutable. Puis il entendit Cerise pouffer, et bah oui, il était terriblement jaloux mais c'était comme ça. Cerise ajouta en direction de Dorin :
« - Ah ça... ya aucun risque à ce niveau là.» Dorin souffla mais ne dis rien de plus, et le vaisseau s’élança vers sa destination. Ensuite ils arrivèrent sur un ha'tak de l'Alliance Luxienne. Il y avait pas mal de monde ... des pigeons venu acheté des trucs moche à ses yeux et auxquelles tous mes archéologues donneraient leurs vies pour les étudier. Enfin, pour lui sa valait rien cette merde. Puis tout le monde papotait avec son voisin, on se serait cru dans un club med ... On les emmena dans une salle de repos où on leurs demanda de quitter leurs armes. Miles n'eut pas le temps de tout poser que Cerise l'attrapa comme une vieille chaussette et le traina comme le boulet qu'il était. Puis elle l'emmena au Bar ... au BAR ! Elle avait fait une scène comme quoi il buvait trop et maintenant elle voulait qu'il se soule ? Oep ... on dirait que la partie de jambe en l'air l'a un peu secoué ... elle s'est cogné la tête contre la table de chevet ? Elle a prit le mur sous ma douche ? Enfin, Miles haussa des épaules ... elle voulait qu'il boive, il allait pas râler. Miles s'installa à une table profitant qu'une discutions très virile, chacun voulant montrer qu'il avait la plus grosse, alors que c'était Miles le grand gagnant ... quooooiiii ? Non, mais non, il n'est pas prétentieux lui aussi, c'est vrai lui, Cerise pourra témoigner
- Mais si je te le dis que je l'ai baisé la serveuse !
Donc autour de cette table, tous l'avait baiser, enfin tous le prétendait. Mais Miles avait de sérieux doute, lui au moins, il avait sa "femme" ... et ne se sentait pas obligé de mentir. Mais bon ... il était un homme ... alors il dit :
- Bah moi c'est pareil, je l'ai déglingué sur le comptoir même ! Fin il était un mec quoi ... puis il vit sa femme revenir. Non de dieu ! Il devait changer la conversation, elle serait bien capable de croire à ça et de lui faire une scène. Ou même pire, lui casser encore une fois les noix. Elle avait à la main des rafraichissement. Miles demanda d'un coup :
- Aufaite, vous savez où sont stockés les marchandises vous ? Car moi je sais même pas où est ce que je dois protéger ...
Honnêtement, Cerise devait être exaspéré, elle devait espérer qu'il fasse sa discrètement, mais non, il avait bourré dans l'tas comme un crétin. Mais d'un autre côté, il faut se dire que c'est des mercenaires en face, ils ont pas inventé le fil à coupé le beurre et lui, Miles, il n'a pas inventé l'eau chaude. Donc entre primitif, ils se comprennent. C'est le langage primitif qui parle enfaite, si il avait essayé de demandé ça astucieusement, ces débiles auraient trouvés sa louche de sa part. on dit que plus on est prêt de ses ennemis plus on est à l’abri, bah lui il demande bêtement ainsi il est à l'abri.
- B'ah i'm s'emble qu'elles sont dans une soute vers l'aile Est du vaisseau ... sinon vous avez vu la femme vers la porte ? Putain c'qu'elle est ... Puis ils repartirent dans leurs conneries ... encore. Puis au bout d'une demi heure ils partirent au local des caisses. Cerise lui arracha la bouteille des mains quand il se resservit, il grommela et s’apprêta à boire le peu qu'il avait réussi à mettre quand Cerise lui enleva aussi de la bouche et le bue ... la garce ... elle recommençait à l'empêcher de picoler ... elle savait plus ce qu'elle voulait la pauvre, Miles se demandait si il l'avait pas trop secoué cette nuit. Puis elle lui dit : « Tu viens, j'ai envie de changer d'air.. » et ce sur un petit air coquin.
Bien entendu, Miles n'avait pas compris que c'était une feinte. Déjà ajunt il est pas très malin ... mais alors bourré ... c'est pas une flèche. Ainsi donc, il s'attendait à vider ses cartouches ... ouai ouai ... bah non. Elle l'emmena voir des machins qu'il trouvait complètement inutile. Elle lui causait mais lui s'en foutait, il allait baisé ... dans sa tête ... donc il ne comprit que la fin.
- … et donc va falloir trouver comment rentrer, voir les caisses, et repartir avec ce qui nous intéresse sans nous faire chopper... Miles tu m'écoutes ? » Miles hocha de la tête, il n'avait rien pigé mais c'était pas grave ! Elle l'emmenait dans un lieu éloigné ! C'était pas pour jouer aux cartes ! Bah non ... c'était pour retrouver de vieille relique complètement dépassé pour une mission à la con dont il ne se souvenait même plus la contenance tellement il était torché. Si il avait su ... il serait resté joué aux cartes ... avec les Luxiens ... Cerise serait bien capable de tricher pour gagner.
- « C'est là.» Puis il vit des gardes faire la ronde ... haha ... la ronde ... ils se pavanaient dans les couloirs en matant les demoiselles et en les notant avec pour barèmes les fesses et les nibards. Tu parles d'un ronde ... cette base était rempli de pervers ... tient ... peut être qu'ils pourraient lui débarrasser d'un élément encombrant pour une nuit, histoire qu'il puisse boire en paix () Remarquant un grand blanc, ils entrèrent dans la pièce incognito. Ouai ... incognito jusqu'à ce que Cerise hurle de joie en voyant les objets entreposés ... tu parles de discrétions ... sans parler de Miles qui n'arrêtait pas de répéter qu'il avait soif ... enfin tout à coup Cerise hurla son nom. Miles entendit ... comme le cris strident d'une sirène ... ou d'un sirène de pompier ... il ne savait pas. Enfin bref, il avait manqué de perdre ses tympans.
« -Bingo ! Et …. » Cerise bidouilla un truc avec des cristaux, Miles allait lui demander si sa se manger, mais lorsqu'il voulut attraper le machin, elle lui tapa sur les doigts .... alors bon ... rabat joie et compagnie.
«- Au cas où, sans ça ça marchera moins bien !
Bon maintenant faut convaincre Dorin d'acheter ça, et comme c'est cassé... on le récupère et on rentre au SGC direction bain chaud, vêtements de sport hyper confortable et verre de vin en bouquinant un bon livre sous la couette.» Miles n'arrivait pas à reprendre ses esprits ... il était venu pour s'envoyer en l'air ... et il se retrouvait dans une brocante ... trouvez le piège. Donc il réfléchissait, ne comprenant pas où il s'était gouré. Puis on entendit du bruit.
«- Comment on va leur faire croire qu'on est entrés là l'air de rien et qu'on a touché a rien ? » Miles eut une idée de génie. Non c'est pas vrai, c'est la plus débile qu'il n'eut jamais eu, mais elle était infaillible. Il l'embrassa sans prévenir, l'essaya sur une caisse et commença à lui embrasser la poitrine. Puis enchaîna de façon à faire son affaire. Lorsque Durin et les autres ouvrirent la porte, ils trouvèrent Miles en calbut Miles les regarda avec ébahissement et leurs dit :
- Ça va ? On vous dérange pas ? Vous voulez un siège peut être ?
- Qu ... qu'es-ce que vous voutez là ?
- Bah vous voyez bien qu'on tricote ... hein chérie ? Justement, j'allais sortir l'aiguille ... donc sauf si vous voulez que je vous crève les yeux avec, vous feriez mieux de fermer cette porte. Et attention hein ... je peux aussi vous arroser si vous préférez ... sa doit faire trente minute que je picole ... j'ai la vessie pleine ... si je peux pas niquer ma gonzesse en paix ... Disons qu'il y a des risques que je me foute en rogne ...
Cerise:
Cerise était restée un peu conne quand la porte s'était ouverte sur Miles en train de la câliner. A vrai dire, elle n'avait pas du tout pensé à « ça » et avait viré au rouge carmin . Alors que Dorin parlait, elle remit correctement son corsage en place, les yeux brillants entre excitation et indignation: elle était une femme après tout et pas aussi exhibitionniste qu'elle le laissait croire.
- Hrum hrum...?
Cerise fit un sourire crispé à Dorin, attrapa Miles par la main et l’entraîna à sa suite. - ...On... on va retourner sur le Teltak... :roll :
- Non ! Vous vous amuserez plus tard. La vente commence dans 15 min. A moins que vous n'ayez finit avant... ce que je doute. Allez dans la grande salle.
- Ah heu.. oui oui.... c'est, c'est par ou.
Cerise prit son expression la plus ingénue possible, ce qui n'était pas très difficile avouons le. Elle regarda Dorin avec son petit air si naïf qui lui donnait l'air d'être si simplette, et un luxien du vaisseau lui indiqua le chemin, qu'elle s'empressa de prendre en tenant toujours Miles par la main, d'un air gêné, puis ils firent quelques pas, et elle attrapa son bras pour se caler contre lui, les joues toujours rouges. Elle jeta un œil derrière elle et fut étonné que personne ne cherche a les rattraper pour les jeter en prison ou autre, et elle se demanda si c'était si commun.
- //murmures// .... la troisième fois j'te jure Dorin Hahahah! On a l'impression que c'est jour de foire...
- Oh... mon... dieu.... Cerise restât ébahie puis secoua la tête toujours au bras de Miles, en se disant que les Luxiens c'était comme des paysans à peine plus évolués... pas très futfut, accro à l’alcool, aux femmes et aux jeux... Bien triste civilisation selon elle.
Ils virent que tout les pecnauds se dirigeaient vers la même salle et Cerise resta fermement contre Miles. C'était bizarre, après tout, de sa vie elle n'aurait jamais pensé se sentir en sécurité a son bras, et pourtant. En fait c'était surtout leur relation qui était bizarre et elle se demandait ce qu'elle allait faire a se sujet, après tout, elle ne voyait pas Miles lui apporter son café le matin au bureau, ni les bisous de " travaille bien mon amour aujourd'hui "... En fait, elle se demanda pourquoi donc elle pensait a ça là? après tout c'était juste comme d'habitude, une aventure sans lendemain.... C'était le fait de se faire passé pour sa femme, elle en était sure qu'il lui mettait de drôle d'idée en tête.
*Humph! et pourquoi pas la maison avec le gamin et le chien aussi hein?: non mais franchement tu débloque ma belle, c'est les hormones ou quoi?! è.é Tu profite et tu verras mais après! Là tu laisse comme ça le temps de la mission ou tu sera dans la merde...*
Ils arrivèrent dans la salle de vente: il y avait des chaises devant pour les gros bonnets, leurs "gardes" eux se tenaient derrière, ils devaient être une petite cinquantaine, mais Cerise plissa son petit nez a l'odeur d'alcool et de "cigarettes". La vente débuta avec l'arrivée des chefs luxiens, et la présentation des objets. Cerise étaient dans les bras de Miles, avec tout ces rustres de partout, elle ne se sentait pas a l'aise du tout et s'y était logé en catimini ( )... ON demande pas aux hommes d'avoir inventer l'eau chaude... mais de savoir l'utiliser au moins, et eux, elle se demandait s'ils savent tourner un bouton...
Dorin la zieuta et l'appela d'un geste de la tête et elle s'approcha avant de se tenir derrière lui, sous l’œil septique de certains chef, donc celui qui accompagnait Dorin et qui avait reconnu la belle qui avait son corsage là. Elle se pencha pour qu'ils puissent se parler en murmurant et ils parlèrent des objets qui passaient. Pour noyer le poisson Cerise l'orienta sur divers objets, et demanda a Dorin de demander a les voir, puis fit mine de ne pas repéré celui qu'elle avait bidouillé. le voisin de Dorin quand a lui, sembla intéresse et demanda a le voir, là, Cerise croisa les doigts de ne pas s'être planté dans son échange de cristaux, elle avait tellement de malchance des fois, mais non, l'objet refusa de marcher. Deux hommes se penchèrent dessus et au bout d'un moment décrétèrent que c'était bon pour la casse. Cerise dit alors a Dorin que ça pourrait au moins servir de pièce détachée pour son Hatack, car elle pourrait couplé les cristaux sur la mémoire centrale, diminuant le temps de réponse et augmentant les bouclier et il sembla emballé. C'était un énorme mensonge mais sur le coup, elle ne voyait pas comment le forcé à acheter cela.
Il la remercia lui dit de rejoindre son époux, mais de rester attentive, et c'est ce qu'elle fit: elle resta attentive ( )
Le temps passa et Cerise n'en pouvait plus, elle allait explosée de ne savoir si cette arnaque allait marcher, mais la vente se termina, les achats se concrétisèrent et que se profile le retour au vaisseau: direction le hatack de Dorin ...
Miles: Cerise avait fait son œuvre, elle avait piégé Dorin habillement, même Miles était obligé de le reconnaître. La façon dont laquelle il s'y serait prit, lui, aurait probablement été légèrement moins subtil. Pour faire simple : Il aurait bourré dans l'tas. Il aurait probablement tiré sur tout le monde, fait explosé des explosifs et il aurait caché Cerise dans une benne à ordure. Bah quoi ... il devait bien la mettre quelque part ! Et en tant qu'objet de décoration usé, il l'aurait mit à la place qui lui revenait : la poubelle () Enfin il aurait fait le troll quoi, il serait même probablement mort. Cette fois-ci, Cerise avait été brillante, vraiment époustouflante. Elle avait réglé ça par la ruse, avait permis à Miles de se reposer et de glander. Niquel, parfait. Qu'es-ce qui est mieux qu'un boulot où tu laisses faire les autres en te contentant de suivre ? A part s'envoyer en l'air bien sur ...
Enfin, il avait servi de décorateur d'intérieur, pour une fois que Cerise servait à quelque chose, c'était un miracle. Par prudence, Miles se promit de regarder la météo pour demain, on ne sait jamais ... la neige pourrait se pointer. Maintenant le plan c'était de voler le machin que Cerise avait bidouiller. C'était son rayon ça. Il allait y avoir de la castagne, un vol, ce qui est excitant et un machin dont il n'avait rien à faire. C'était le point négatif mais le vol par effraction compensait bien. Miles était content, c'était un homme simple, il se contentait de choses simples.
Le problème, c'est qu'il fallait attendre a fin de la vente. Il devait attendre pour faire le truc le plus amusant de la mission parce qu'une foutu vente d'objet aussi inutile que qu’inintéressant n'était pas terminés. On se fichait de sa gueule non ?! Il allait exploser ... il s'emmerdait grave ... Cerise sautillait sur place tellement elle était impatiente ... ce qui le stressait. Il pouvait pas l'engueulé sans semer la méfiance ... il devait endurer ... Pas l'choix. Miles attrapa une pomme au passage et croqua dedans. Cerise le regardait avidement, mais il s'en foutait. C'était SA pomme, si elle en voulait une elle avait qu'a aller en chercher une. Enfin voilà quoi, il est pas distributeur de pomme, c'est tout.
Soudain un gars le bouscula. Il était ce qu'on pouvait considéré comme un aristocrate, un idiot d'aristocrate, aussi prétentieux que stupide. Miles ne dit rien, mais il nota son visage. Lorsque le bonhomme repassa, sa jambe droit rencontra malencontreusement celle de Miles qui trainait un peu et il s'affala de tout son long sur le sol, les bras en avant. J'peux vous dire qu'il avait l'air d'un con comme ça, pour le finir, Miles se pencha et lui dit :
- Eh bah ? Vous cherchez vos lentilles ?
L'homme hurla de fureur et s'éloigna. Oui, les aristocrates sont très lâche alors ils s'éloignent lorsqu'un gars puis costaud qu'eux est en face. Miles sourit et croqua dans la pomme ... enfin ... là où il devait y avoir sa pomme car elle s'était mystérieusement retrouvé dans la main de Cerise, qui croquait dedans à pleine dent. Et pour bien le dégouter, elle passa un coup de langue dessus et lui tendit avec un grand sourire. Il poussa un soupir, leva les yeux au ciel et grommela. La charogne lui avait piqué sa pitance ! Nah mais oh ! Elle allait le rentre marteau, c'est moi qui vous le dis.
Pour passer le temps, Miles partit chercher une coupe de champagne. Cette fois-ci il demanda à Cerise si elle en voulait une. Contrairement à ce qu'il pensait, elle refusa. Bon ... il en prit donc une seule et vit du coin de l’œil Dorin venir dans sa direction. Il ouvra de grand yeux et partit à l'opposé. Il avait tout sauf envie de discuter avec lui. Mais il le rattrapa et lui dit :
- Miles ! Je dois vous parler ... c'est assez urgent.
Miles ne savait pas quoi dire et trouva une excuse qui lui allait si mal ...
- Excusez moi Dorin, je dois retrouver ma petite femme, j'ai peur qu'elle se perde sans moi. Et puis ... j'aime pas être trop longtemps séparé de sa petite voix mielleuse ...
Hihihi ... Très drôle. Intérieurement, Miles fit une grimace. Une voix mielleuse ... il aimait pas être trop longtemps séparé d'elle ... bah tient. Il n'est jamais aussi heureux que quand il ne l'a pas dans les pattes ... quand à sa voix ... heureusement qu'elle n'est pas chanteuse car les verres exploseraient. Pauvre Miles ... réduit à faire l'éloge de Cerise ... pauvre gars ... il est vraiment désespéré.
- Bah sa tombe bien, je dois vous parler tous les deux.
Là .. là Miles faisait la gueule. Il se retourna, serra les dents ainsi que les poings. Lui, il commençait à lui casser les burnes ... et vu dans quel état Cerise les lui a mit ... c'est pas du luxe alors si on pouvait les lui lâcher, il s'en porterait aussi bien. Tout deux allèrent à l'endroit où elle se trouvait préalablement. Et devinez ... elle n'y était plus.
- Qu'es-ce que je disais ... perdu ...
- Les femmes et le sens de l’orientation ... tient, c'est pas elle là-bas, avec Tomid ?
Miles leva un sourcil, elle se foutait ouvertement de sa gueule ... c'était une déclaration de guerre flagrante. Miles regarda Dorin qui recula d'un pas et passa sa main sur son visage en secouant la tête.
- Vous m’excuserez, j'ai une femme à remettre en laisse.
Tomid tournait le dos à Miles et ne comprit pas ce qui lui arrivait quand un pied faucha les siens et qu'une main lui frappa la gorge. Dorin avait bien anticipé et des gardes éloignèrent Tomid avant que la scène fasse trop de vague. Miles attrapa brutalement Cerise et la plaqua contre lui. Il lui mordilla le lob de l'oreille et lui murmura :
- Alors ? On s'amuse bien sans moi ? On règlera ça un peu plus tard ... comptez sur moi ...
Miles lui pinça les fesses et se retourna vers Dorin. Ils l'écoutèrent et Miles tendit son verre à Cerise pour pouvoir tenir une mallette où était rangé l'objet que le SGC convoitait.
- J'ai décidé de vous laisser la garde de mon bien. Je dois m'absenter quelques heures et je pense qu'il sera en sécurité avec vous. Je le reprendrais lorsque je reviendrai et vous serez libre de partir avec votre salaire. Je pense que ça vous satisfera non ?
- Aucun soucis, on s'en occupe. Cerise s'assoira dessus, comme ça personne ne pourra remarquer la mallette.
Miles sourit à Cerise, sachant qu'elle avait compris qu'il lui disait qu'elle avait un gros cul. Chose fausse puisqu'il était magnifique et bien ferme ... Miles en bavait d'avance. Dorin partit leurs laissant la mallette. Miles tendit la main pour récupérer son verre et retrouva un verre vide entre ses doigts. Il regarde Cerise qui posa sa tête contre son épaule avec un petit sourire provocateur. Miles roula les yeux et râla :
- Rhaaaaaa ! J'en viens à me demander ce que vous avez fait ensemble pour qu'il te fasse autant confiance ... enfin, on dégage.
Miles commença à embrasser Cerise et à la câliner. Sur cette base ils avaient une salle réputation, alors personne ne s'étonnera si ils disparaissent. Le Colonel attrapa la main de Cerise et l'emmena hors de la salle de vente. Une fois hors de vue, ils partirent en courant dans les couloirs déserts du vaisseau. Dans le hangar il n'y avait qu'un garde, les autres étaient affectés à la surveillance du lieu de vente. Miles attrapa le garde par derrière et lui brisa la nuque. Ils montèrent dans un Tel'tak et quittèrent le vaisseau en mettant le leur en furtif. Ils se posèrent sur la planète le plus proche et Miles dit à Cerise :
- Ça y est, on rentre à la maison. Par contre ... on devra cacher notre liaison ... c'est mieux je pense.
Miles l'embrassa pour la réconforter et lui prouver qu'il tenait quand même à elle pendant qu'elle rentrait les coordonnées de la Porte des Étoiles ...
Raymond "Red" Reddington
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Messages : 137 Date d'inscription : 29/11/2012 Age : 29 Feuille de personnage Affectation: VOIE LACTEE Equipe: Equipe SG-4 Gène:
Sujet: Re: Préquelle Miles et Cerise Sam 01 Déc 2012, 23:16
Cerise:
Cerise avait vraiment du mal a tenir en place mais n'en laissait rien paraître il ne fallait pas sembler suspecte après tout. Cette situation l'amusait un peu, elle s'imagina dans un James bond, ou un tomb raider. Elle se voyait bien dans le rôle de la sulfureuse Lara Croft, enfin, elle se dit que celle-ci aurait fini avec un homme jeune et sexy, comme gerald butler, plutôt qu'avec un homme de l'age du major d'homme. A ce moment là, Miles lui demanda si elle voulait une coupe de champagne et elle se retient d'explosé de rire et refusa poliment :elle ne voulais pas boire en mission et si vraiment elle n'aurait qu'a lui piquer son verre, elle l'avait déjà embrassé, ils n'étaient plus a ça prêt.
Puis Tomid vint la voir, et lui demanda comment ça allait, ou était son mari, si l'ambiance n'était pas trop dure... elle avait l’impression de passer un interrogatoire, et surtout elle repensait a fait que Miles l'avait mis KO plus tôt. Il commença a se montrer plus curieux, et elle resta évasive sur la soi-disant vie de couple qu'elle avait avec Miles, .n'oubliant pas de faire sa cruche quand elle vit qu'il n’espionnait pas mais qu'il était réellement intéresse le bougre, fallait dire qu'elle aussi aurait été intéressé vu ses fringues et qu'elle était clairement pas farouche comme fille.
En voyant Miles arrivé avec Dorin, Cerise se sentit soulagée. Dole d'effet de se dire qu'on est soulagé de voir arriver Miles j'en convient, mais faut se mettre à sa place et dans le contexte. Tomid tournait le dos à Miles et quand un pied faucha les siens et qu'une main lui frappa la gorge, Cerise cripa son visage dans une moue qui voulait bien dire que ça allait faire mal, très mal... Mais quand Miles l'attrapa brutalement pour la plaquer contre lui elle ne comprit pas : elle n'avait rien fait de mal si ?
- Alors ? On s'amuse bien sans moi ? On règlera ça un peu plus tard ... comptez sur moi ...
Miles lui mordit l'oreille et elle le regarda outré en portant la main a son oreille et poussa un petit cris quand il lui pinça les fesses. Heureusement que Dorin voulais leur parler sinon là, c'était la fête du colonel, foi de Cerise. Ils l'écoutèrent et Miles tendit son verre à Cerise pour pouvoir tenir une mallette où était rangé l'objet que le SGC convoitait et là... Cerise se fit bien plaisir. L'air de rien, elle sirota le verre de Miles et se promis de le maudire quand il insinua que ses fesses étaient grosses : elles les aimait ses fesses et elle les bichonnaient : les heures de musculation c'était pas pour rien après tout.
Dorin partit leurs laissant la mallette. Miles tendit la main pour récupérer son verre et elle le lui rendit vide après avoir but les dernières gouttes et en le fusillant du regard., puis elle porta allègrement son petit poids contre lui et posa sa tête contre son épaule un sourire de vainqueur au lèvres, car à la tête qu'il tirait, Miles n'aimait pas partager.
- Rhaaaaaa ! J'en viens à me demander ce que vous avez fait ensemble pour qu'il te fasse autant confiance ... enfin, on dégage. - Ah ça....
Elle laissa planer un petit silence, un sourire coquin et sournois aux bouts des lèvres : non elle n'avait rien fait avec Dorin mais bon, si Miles y croyait qu'y pouvait elle hum ? Justement Miles commença a glisser ses mains a sa taille et elle se demanda si c'était pas pour bien montrer sa propriété, puis il l'embrassa et elle repensa a leur étreinte sous la douche.. elle aussi avait commencé ainsi, mais il y avait du monde la, et elle comprit que Miles voulais jute une excuse pour se barrer, alors ils allaient refaire le coup de tout à a l'heure : s'éclipser pour aller se peloter dans un coin. Justement il l’entraîna hors des murs sous l’œil envieux de Tomid . Une fois hors de vue, ils partirent en courant dans les couloirs déserts du vaisseau et Cerise le guida vite fait bien fait vers le hangar, ou Miles attrapa le garde en faction pour libérer le passage. Ils montèrent dans un Tel'tak et quittèrent le vaisseau en mettant le leur en furtif. Une heure plus tard, ils se posèrent sur une planète et ils descendirent pour rejoindre la porte des étoiles. Arrivé sur place elle allât taper les coordonnées.
- Ça y est, on rentre à la maison. Par contre ... on devra cacher notre liaison ... c'est mieux je pense. Cerise n'osa pas le regarder et se mordit la lèvre elle ne voulait pas le blesser mais bon, elle n'avait pas vraiment envie de crier sur les toit qu'elle s'était laissé aller a se taper le vieux colonel Quaritch et encore moins en mission.. Ou alors elle devrait dire qu'elle était bourré, c'était une solution aussi ? Elle fut déranger par Miles, justement que se mit a l'embrasser dans le coup et a la câliner en la prenant dans ses bras alors qu'elle composait l'adresse et elle se demanda comment elle allait faire maintenant... et surtout elle se demandait ce qu'il voulait, quoique ça avait l'air clair, il voulait continuer le bougre, mais elle n'était pas sure de le vouloir du tout, elle s'était laissé prendre au jeu et voilà, elle passa la porte des étoiles et passa a autre chose en voyant qu'on les attendait.
Le général vint les voir et des scientifiques arrivèrent pour les décharger de la mallette et Cerise les arrêta et sortit le cristal de son soutien-gorge en lançant un « Bah quoi ? » au regard sidéré d'O'neill
- Vous auriez préférez allez le chercher vous même général ? Elle lui fit un grand sourire quand il leva les yeux au ciel, puis il leur demanda de les suivre pour le débriefing. Elle paniquait un peu, ne sachant pas ce que Miles allait dire ou pas, et elle se débrouilla pour faire le résumé de ce qui s'était passé, en évitant de parler de l'arbre auquel elle avait fini saucissonné a moitié nue ; ni de leurs ébats chez les luxiens.. en gros elle esquiva tout ce qui concernait leur relation et de temps en temps regardait Miles en disant : Hein mon colonel ? Ou c'est bien ça ? Ou Vous avez autre chose a dire ? Bien sur, s'il l'avait fait elle l’aurait étripé sur place. Maintenant revenue chez elle, elle se sentait de nouveau claire dans sa tête et se demandait comment elle avait put tombé si bas et surtout si c'était pas seulement un mauvais rêve, bien qu'elle sache que non. Après le briefing, elle s'en allât se doucher dans sa chambre de fonction, et ce trois fois d’affilés pour être sure et certaine de plus sentir toute ces odeur, de crasses, d'alcool, de fumées et autre, mais son merveilleux savons à la myrtille et son shampoing assortit. Une fois séchée et peignée, elle enfila une tenue de sport qu'elle adorait : un pantalon droit et une veste, bien sur elle avait un débardeur dessous. Elle attrapa les fripes qu'elle avait ramené et alla les amener au pressing. En revenant du pressing elle pensa qu'il lui faudrait tapé son rapport et que pour ça elle devait bien aller voir Miles, histoire que leur histoire tienne la route de chaque coté. Elle savait ou était sa chambre alors elle s'y dirigea l'air de rien, et fut heureuse de ne rencontrer personne, arrivée devant sa porte elle tapa et comme il ne répondait pas et que des discutions se faisaient entendre a l'angle du couloir elle tourna la poignée et entra avant de se faire voir.
Cerise referma la porte et s'appuya contre en ne voyant pas Miles, elle se demandait ou il était, mais elle voulait lui parler alors elle allait l'attendre, car en plus, elle ne pouvait plus sortir sans risquer de se faire choper. Alors en attendant elle s'assit sur le bord du lit les pieds dansa le vide, puis au bout de 5 minutes elle se laissa tomber en arrière, souffla et ferma les yeux quelques seconde, juste pour reposer ses petits yeux et elle somnola avant de se rouler sur le coté...
Miles:
Miles sortait du débriefing ... je vous raconte pas l’ennui ... il ne s'était pas emmerdé autant depuis très longtemps ... depuis le dernier discours de Cerise enfaite ... qui était il y a quelques minutes. Mhmm ... oui donc, je reprends , Miles ne s'était pas emmerdé ... depuis le monologue de Cerise. Voilà, là c'est juste. Enfin, O'neill les avait lâché en avance pour qu'ils puissent se changer en paix, se laver et tout le reste. Miles profita de ce break pour aller à la salle de gym et faire des haltères, des abdos et plein d'autres choses visant à garder son corps au summum. Il y reste une bonne heure durant laquelle il sua comme un goret. D'ailleurs, par moment il était un vrai cochon, que ce soit pour manger ou ... pour le reste. Un cochon avec Cerise aussi ... qu'il aimait beaucoup plus qu'il ne le disait. Elle comptait énormément pour lui mais il préférait mourir plutôt que lui avouer. Le Colonel Quaritch devait avouer qu'il adorait l’embêter aussi, c'était son côté Russe. Cela faisait plusieurs jours qu'il ne s'était pas purifier le corps, il sortait de la salle de musculature, il était largement temps qu'il aille se laver ... il puait comme un fainec, les gens s'écartaient sur son passage.
- Poussez-vous ! Allez ! Dégagez ! Oui Monsieur, bougez vous le fion ! Attention ! Ça sent le gaz !
Miles poussait les gens et passait de force, il ne savait pas combien de temps il disposerait mais il comptait bien en profiter de chaque minutes. Sans parler qu'il avait les nerfs, les gens étaient très peu réactif ... il faut dire qu'il était dans une infirmerie ... entre les malades et des touriste on avait difficilement la place de circuler. Mais la méthode Miles marchait parfaitement, les gens s'écartaient tout seul, même les aveugles qui se poussaient en se fiant à l'odeur, c'était du jolie ... très propre aussi ... enfin ... c'était du Miles quoi. Toute les conneries à pas faire vous pouvez être sur que tôt ou tard il les fera.
- MILES ! Viens là !
Oula ! Miles ne reconnut pas la voix mais il comprit qu'il devait foutre le camp et plutôt deux fois qu'une ! Il prit ses jambes à son cou et mit les voiles, direction ? Sa chambre. Mais non, pas de chance, les pénibles avaient encore frappé. C'était le Colonel Martof, un idiot qu'il connaissait depuis quelques temps qui le hélait. Il se fit rattrapé ... il poussa un grognement de mécontentement et d'irritation. L'autre mongole se permettait de lui parler comme si il parlait à Cerise, le Chien qu'il n'aura jamais (). Non mais parler comme ça à un gars comme Miles c'est lui déclarer la guerre et je peux vous dire que sa va chier grave !
- Que puis-je pour sa Majesté la Diva ?
- Fermez là Miles, je suis envoyé par O'neill.
- Vraiment ? Comment va cette petite chose inutile ? Toujours à glander derrière un bureau ? Le temps du Grand O'neill est achevé, celle de Quariich est arrivé.
- Vous êtes vraiment admiratif de vous même ...
- Excessivement, vous avez remarqué vous aussi ? C'est fascinant non ?
- Je dirais plus pitoyable ... Vous me dégoutez Miles ... ne vous en faites pas, c'est réciproque. Ah .. oui. O'neill m'a dit de vous dire que vous étiez un idiot ... je vois qu'il a tapé juste ...
- Ces mots doux me vont droit au cœur mais je vais devoir vous laisser. J'espère pouvoir me doucher avant que toute la base tombe dans le coma. C'est donc le cœur légers que je m'en vais chanter mes louanges ... sous la douche.
Le pauvre homme semblait désespéré à la vue de cette parodie de Colonel, Miles était vraiment un idiot, et il allait se passer du message qu'O'neill lui avait chargé de remettre, ça lui fera les pieds. Miles s'éloigna donc en chantonnant une chanson paillarde, il avait rien de mieux à faire. Devant l'odeur, les gens s'écartaient pour le laisser passer, c'était marrant, aucun d'entre eux ne voulait parler avec lui. Imaginez la subtilité de cette technique, il avait toujours la paix ! Personne le dérangeait, non non, jamais ! Il était tranquille, il pouvait se pavaner sans que personne n'ait la volonté ... et de pince nez pour l'approcher. C'était un rêve pour lui. Arrivé dans sa chambre, il entra dans la salle de bain et se dévêtit.
Prenant le soin de se laver dans les moindres recoins, la porte de derrière y comprit, il se mit à chantonner une chanson sous la douche. Chanson paillarde, sans conteste. Miles n'entendit donc pas Cerise rentrée et elle ne put l'entendre car la porte était fermé. Miles finit donc son train train, tout chantant. Il finit par sortir de la salle de bain quelques minutes plupart ... genre trente minutes ... pendant lesquelles il s'est admirer devant la glace pendant facilement dix bonnes minutes. Miles pouvait se montrer très égocentrique par moment ... souvent même.
Le Colonel sortit de la salle de bain, le bas du ventre enroulé dans une serviette et là miracle ... ou manque de bol, suivant le contexte, couché en boule sur son lit : la belle Cerise. Cette fois-ci c'était la Cerise sur le tombeau ! Elle venait squatter son lit et sa chambre pour faire la sieste ! Elle serait venue pour faire un câlin plutôt poussé, il n'aurait pas râler, bien au contraire, mais là c'était du foutage de gueule ! Il avait pas une tête d'aubergiste pourtant ! Et encore moins de touriste ! Cerise part contre était toujours aussi pommé, on change pas une équipe qui gagne ... d'ailleurs Miles pensait lui acheter un GPS pour qu'elle arrête de se perdre en permanence ... par GPS il entendait plutôt une balise radar afin de toujours savoir où elle est, mais c'est un insignifiant détaille qui n'avait pas lieu d'être. Miles la regarda dormir et lui caressa le visage. Il devait reconnaître qu'elle lui plaisait, qu'il était follement amoureux d'elle ... mais comment lui dire sans lui faire peur ? Comment pourrait-elle aimer un vieux crouton comme lui ... et encore, c'est pas le plus tendre du groupe ! C'est le plus dur, le plus rassie ! Un vieux machin délabrait qui dans peur de temps ne tiendra même plus et qui élira domicile au cimetière, et puis c'est tout.
Miles se pencha sur elle et déposa un léger baisé sur ses lèvres puis il la glissa dans les couvertures et toujours nue, il se glissa contre elle, la prit dans ses bras pour lui tenir chaud.
Cerise:
Cerise soupira d'aise dans les bras chaud de son amant et s'y lova de plus belle instinctivement. Elle était bien là, rassuré par son odeur, ses bras, et elle se mit a rêver. Elle se vit se réveiller dans un grand lit, elle s'étira et sortit de la chambre en nuisette et pantoufles, elle descendait un escalier en bois et s’asseyait au milieu des marches pour zieuter Miles qui tentait de faire des pancakes. Bien sur elle se fit vite repérer et elle descendit le rejoindre en riant alors que lui vociférait à mort. Elle attrapa la poêle et finit de les faire alors que Miles râlait en sortant sur une terrasse ou elle amena les pancakes plus tard. Là, il l'attrapait, l'embrassait et elle finissait par s’asseoir sur ses genoux et ils mangeait leur pancakes ainsi. C'était un beau moment mais Cerise sentait comme un truc qui clochait, et cela la fit se réveiller en sursaut. Assise le cœur battant a miles a l'heure Cerise se demandait ou elle était, paniquée il lui fallut de longues secondes pour se rappeler qu'elle était venu trouver Miles. Elle sentit la couverture sur ses genoux et tourna la tête en sentant un mouvement a ses cotés : Miles.
Cerise regarda alternativement la couverture et Miles... Alors il l'avait trouvé et il l'avais mise au lit ? Pourquoi était-il nu ? Ça le la dérangeait pas au contraire, il était tout sauf moche.. enfin pour elle. Elle secouât la tête ne voulant pas se laisser distraire : elle devait lui discuter avec lui, mettre les choses au point, lui dire qu'il y avait pas moyen, que ce rapprochement n'aurait jamais du avoir lieu et que ça devait rester là ou çà en était : une simple aventure sans rien d'autre... Elle ne se voyait pas faire des crêpes quand même
- Mi...Milles ? Cerise murmura ces mots doucement puis se mordit la lèvres. Elle voyait mal dans le noir et chercha un interrupteur, mai il était du coté de Miles, alors elle se redressa , passa par dessus lui pour tenter d'atteindre le bouton, mais Miles bougeât et elle lui tomba dessus. Allègrement vautrés sur Miles Cerise cherchait ses mots : maladroite ? Consternante ? Fatigante ? Désespérante ? Là, en cet instant précis, elle comprenait qu'aucun homme ne lui propose de vrai relation sérieuse, surtout qu'elle mettait toujours en prime une grande distance, un mur infranchissable.
Elle releva la tête et croisa le regard mi-furieux mi-amuser de Miles, et partit d'un grand rire. Oui, Miles était plutôt con, mais elle savait bien qu'il se donnait en genre, c'était a cause de son parcourt, de son passé, et non, elle avait vraiment du mal à se dire qu'il savait faire des pancakes.... mais elle s'en foutait. Là, elle était bien, elle SE sentait bien, et elle avait l'impression de pouvoir être elle même. Oui, il s’énervait, il l'envoyait chier, et elle ne se gênait pas en retour, mais d'un certain coté, n'était est-ce pas de l'acceptation ? Une reconnaissance de l'autre ? Si, c'était par ce qu'il se reconnaissait qu'ils osaient cela. Elle secouât la tête en se disant qu'elle se prenait des fois vraiment trop la tête. D'un coup, oublier sa motivation pour « rompre » et puis.. Elle se dit qu'il s'en foutait, qu'il voulait juste d'elle dans son lit, alors pourquoi se privé d'un amant régulier si elle aussi en avait envie ?
Elle se releva a califourchon, de-zippa sa veste, la laissa aller au sol et bientôt se fut le tour de tout ses vêtements, mais elle n'avait pas froid, pas dans les bras de Miles en tout cas...
Trois mois plus tard...
Cerise se brossait ses longs cheveux de soie devant le miroir de la chambre de Miles. Elle avait passé quinze jours en mission sur un autre monde et avait vraiment eut besoin de retrouver ses bras protecteurs. Le truc, c'est que passé le gros câlin réconfortant, venait maintenant l'heure de lui annoncer une nouvelle. Elle le savait depuis 3 semaines, et elle pensait avoir le temps de le voir et de lui en parler : pas de messages rien que du vive voix, depuis 3 mois qu'ils étaient resté amants ils n'avaient jamais rien laissé paraître, rien dit.. Rien ne laisser imaginer leur relation. Ils se retrouvaient quand ils en avaient envie, enfin surtout quand ils y arrivaient. C'était peut être bizarre et spécial, mais ça leur convenait : pas de contraires, d'obligation, juste du plaisir quand il en avaient envie : une vraie aventure, mais les jeunes d'aujourd'hui disait un plan cul ou un sex-friend... mais le résultat était le même.
Elle se regarda dans la glace et se trouva pâle, ne sachant comme aborder le sujet, lui annoncer et surtout qu'elle serait sa réaction, elle y réfléchit en se rhabillant. Quand on lui avait annoncé cette décision suite à la démobilisation de son chef d'équipe, elle n'avait sut quoi dire pour les forcer à la garder au SGC, et n'avais pas parler non plus de sa relation avec Miles... elle devait donc se résoudre à partir. C’était temporaire, 4 mois tout au plus, mais bon elle avait peur de sa réaction, ne sachant se qu'elle préférait.
- Miles ? Tu dors Cerise se laissa retomber sur le lit et se lova contre lui tendue. - Hum... Je dois te dire un truc. Je... je suis en Russie vendredi. Vu qu'il ne réagissait pas plus que ça, elle s'assit sur le lit, le cœur tambourinant sa poitrine.
- Je suis mutée en Sibérie dans le cadre de l'échange international... pour les 4 prochains mois et....
Miles ??? Tu …. Tu dis rien ?
Miles:
Miles dormait à poing fermé, il faut dire qu'il était assez épuisé après cette dur journée qu'il avait passé. Il venait de rentrer de mission, Cerise et lui n'était pas dans la même équipe ce qui était plutôt bien puisque sa leurs permettait de cacher leur relation plus facilement. Mais Miles ne pouvait faire autrement que de s'inquiéter pour elle. Il était le mieux placer pour savoir à quelle point elle était brello par moment ... et c'est peu de le dire. Elle pouvait se montrer brillante aussi facilement que se montrer complètement conne en un temps record ! Alors comment voulez vous ne pas vous inquiéter pour un cul pareil ! Pour tout vous dire, il était vraiment tombé éperdument amoureux d'elle, il n'avait pas ressenti tant de sentiment pour une personne depuis de très longues années. Il n'avait jamais été aussi bien avec elle que depuis qu'il avait quitté la Russie. A cette époque, sa petite amie avait tenté de le tuer ... il fut contraint de l'exécuter de ses propres mains pour sauver sa vie, depuis, il ne fut plus jamais le même. La dernière chose qu'elle lui avait dit :
- La fin justifie les moyens ...
Depuis cette époque, c'est devenu sa devise, il protégera la terre qu'elle qu'en soit le coup. Mais aujourd'hui ... il ne savait pas ... il ne savait plus ... comment réagirait-il si on s'en prenait à Cerise ? Pourrait-il la sacrifier pour le bien commun ? Probablement pas ... c'était même peu probable. Après ce triste épisode de sa pauvre petite vie, il s'était juré de ne jamais retourner dans ce pays qui avait fait son malheur et sa déchéance. Miles détestait les Russes plus que tout, même les Jaffas ! Ils étaient un poison pour l'humanité, si ça ne tenait qu'a lui, il aurait raser dans ce pays de merde. Enfin ... Miles était heureux maintenant, il avait Cerise qui le comblait largement et il espérait finir ses jours avec elle, même si il était hors de question qu'il lui avoue. Ça non ! Il préférait mourir que de lui avouer qu'il craquait pour elle et qu'il lui décrocherait la Lune. Elle était tout pour lui, absolument tout mais il était si vieux, il se demandait souvent pourquoi elle était avec un vieux débris avec un caractère de cochon, égocentrique, imbu de lui même et pour couronner le tout : Amorale. C'était un vieux con irrespectueux et parfois méchant mais qui bien qu'il lui en fasse baver, adorait sa Cerise.
Puis il sentit que quelqu'un le bousculé, même la nuit il fallait qu'on l'emmerde ... enfin, techniquement c'était le matin mais pour une fois qu'il ne partait pas en mission, il voulait faire la grasse mâtiné ... c'est ça avec le cerisier dans les parages, c'est un miracle si tu arrives à dormir plus de dix heures ... bon okay c'est beaucoup mais il voulait qu'on lui foute la paix lui ! Mais non, il y avait pas moyen qu'on lui lâche le slip ... même si il n'en portait pas à ce moment là. Enfin bref, Miles était à poil dans le lit, il ronflait comme un cyclomoteur à faire trembler les murs, il rêvait et il était pépère ! Que pouvait-il lui arriver ? Bah qu'on vienne le faire chier et qui est mieux qualifié que Cerise pour ça ? Absolument personne. Elle avait le talent de lui casser les noix, au sens propres et figurés.
- Miles ? Tu dors
Miles ne savait quoi répondre ... que pouvait-il faire d'autre ? Tricoter ... jouer au loto ... compter les moutons ? Enfin, il garda les yeux fermés en espérant qu'elle lui foute la paix. Mais quel naïveté franchement ! Comment pouvait-il espérer qu'elle abandonne, ce n'était pas déontologique. Non mais attendez, c'est pas la question débile atypique ? Que pouvait-il faire d'autre bon sang ! Bah non elle insistait et mieux, elle se jeta sur le lit. Aux vues des bruits qu'a fait le lit sous l'impacte, Miles ouvrit grand les yeux tant qu'il eut peur que le lit craque sous le poids. Bien heureusement, il y eut plus de peur que de mal. Cependant, lorsque Cerise tomba sur le lit, elle s'enfonça dans le matelas alors lui .. fut légèrement projeté en l'air et ... tomba par terre. Il remonta dans le lit en râlant alors que Cerise se lovait contre lui ... décidément ... elle avait pas peur la fille ... il était à deux doigts de l'étrangler. Mais il n'en eut pas le temps elle lui annonça de but en blanc ce qu'il redoutait tant.
- Hum... Je dois te dire un truc. Je... je suis en Russie vendredi.
Miles mit quelques minutes à tout retenir. Il était complètement dans la pâté, sa tête ressemblait à une rillettes de porc. Cependant il disait rien ... il ne savait pas trop ce qu'il devait en penser : Qu'allait-il devenir lui ?
- Je suis mutée en Sibérie dans le cadre de l'échange international... pour les 4 prochains mois et.... Miles ??? Tu …. Tu dis rien ?
Que pouvait-il dire ? Qu'il était malheureux ? Qu'il la détestait parce qu'elle réduisait à néant leur avenir ? Sa vie et son bonheur ? Lui qui avait confiance en elle, elle venait lui annoncer qu'elle se barrait dans ce pays de merde sans lui et qu'en plus elle lui demandait pas son avis ? Il devait la fermer et acquiesçait alors qu'elle détruisait tout. C'était classe ... Miles la regarda dans les yeux, soutint son regard et lui dit d'une voix neutre et ferme.
- D'accord, bon voyage alors.
Il n'en dit pas plus, il se recoucha alors que des larmes commençaient à perler devant ses yeux. Il ne comptait pas la retenir, il comprenait qu'elle ne veuille plus d'un vieux comme lui ... mais pourquoi lui avoir fait espérer ? C'était de la méchanceté pur et dur. Elle voulait se venger de ce qu'il lui avait fait ? Elle avait réussi et pouvait même partir avec un bonus.
Cerise:
Cerise resta conne là, assise sur le lit pendant de longues secondes, puis alors que Miles se recouchait après ce dur regard, elle ferma ses yeux bleu très peinée. - Ok. Bah.... ok. Que dire de plus? Qu'elle était désolé? Qu'elle ne voulait pas y aller? Qu'il avait qu'a être moins con et qu'ils avaient qu'a s'afficher? Non, bien sur que non, c'était pas prévu dans leur accord de base ça, absolument pas même. Miles venait de lui donné le coup de grâce, et les larmes coulèrent toutes seules.
- J.... Je vais pas te déranger plus longtemps. Elle se leva et attrapa sa veste au sol et un dossier, c'était souvent un alibi pour venir voir Miles. Elle se retourna et regarda le dos de son amant, enfin de son ancien amant, car là, elle venait de comprendre qu'elle n'tait rien pour lui. Elle croyait non pas qu'il l'aimait vraiment , ça aurait été prétentieux, mais qu'au moins il l'acceptait et la reconnaissait, mais non. Elle s'était fourvoyée, elle n'était qu'un passe temps pour lui et rien de plus. Elle se dit qu'elle se fessait toujours avoir, toujours, et elle ravala un sanglot. Elle se tourna vers la porte, marcha, attrapa la poignée, ouvrit la porte a la volée en l'encastrant dans le mur et la claqua magistralement: elle était énervée, remontée contre Miles, et encore plus contre elle même, elle était en pleur aussi. Un de ses coéquipier sortait de sa chambre et l’aperçut, et la voyant telle une furie il vient la trouver et l’arrêta. -Woooh! Qu'est ce que ce passe cherry? - Rien. Il insista et après plusieurs rien de plus en plus sonore, elle finit par lâcher: - C'est un COOONNN! ... et moi encore plus. -Oh?! Qu'est ce que.. attend? Tu te pointe a 7h30 chez Quartich pour parler boulot et tu te doute pas qu'il va te refouler sévère... Cherry.. le service commence que dans 30 minute... J'y retournerais avec toi si tu veux.. j’aime pas te voir pleurer, t'es drôlement plus jolie quand tu sourit... Fait risette?! Cerise se réfugia dans ses bras, au milieu du couloir: elle se foutait qu'on les voient, elle était civile de toute façon et des après demain, ils seraient en Russie alors... - Merci mais non. Je pense qu'on s'est tout dit... Il la regarda sans comprendre de quoi elle parlait et se dit que Cerise confondait encore ses mots ( français-américain) Il la prit par l'épaule et l’entraîna vers le mess
-Allez ma belle, tu verra après avoir englouti ta dose de cookies journalier et un litre de coca, ça ira mieux... J'te connais non? Cerise rit, mais elle savait que ce n'était pas une forte dose de sucre qui la soulagerait cette fois ci. Elle y repensait encore assise dans l'avion qui l'emmenait loin de l’Amérique, elle regarda en pleurant la piste s'éloigner de dessous l'avion. Bizarrement, ou peut être que c'"tait normal après tout, elle avait été fixé: Miles ne lui avait pas reparler, elle ne l'avait pas recroiser, rien: comme si elle n'était qu'une inconnue. Elle se maudit, encore, et se promit de ne plus offrir son coeur, à personne, c'était bien trop douloureux. Elle ravala un sanglot en se disant que Miles l'aurait vite remplacer, peut être même que c'était pour ça qu'il n'avait pas réagit, il avait une autre maîtresse, peut être même depuis longtemps, après tout, eux, ils ne se voyaient que sur la base, il ne l'avait jamais invité chez lui... peut être car il ne vivait pas seul, et là, en se disant qu'il était possible qu'il l'ai prit pour une grosse truffe elle éclata en sanglot, disant au revoir au SGC, a son boulot qui lui plaisait et a son amour...