William était en train de tourner en rond dans ses quartiers. Il attendait le départ de sa prochaine mission. Plusieurs heures plus tôt, le briefing de la mission avait eu lieu. Le Sergent s'était étonné du fait qu'il n'y avait que lui ainsi que deux autres marines. Le Général O'Neill avait expliqué qu'il dirigerait lui-même la mission. L'ancien agent du FBI avait été un peu surpris par cette annonce, le commandant de la base qui allait diriger une autre mission. Peut être en avait-il marre de rester à la base pendant que les autres s'amusaient ? Le terrain devait sans doute lui manquer. Dans tous les cas, cela ne le dérangeait pas plus que ça. Après, O'Neill avait dirigé la meilleure équipe du SGC pendant de longues années et il était militaire tout comme les membres présents dans la salle de briefing.

Toujours était-il que le briefing avait été assez court. En effet, le Général expliqua rapidement les objectifs de la mission. Le MALP envoyé sur l'une des planètes avait transmit des informations intéressantes qui venaient confirmer les recherches d'un archéologue du SGC. La porte semblait être située dans une infrastructure des Anciens, sous terre d'après les données enregistrées par l'appareil de reconnaissance. William avait entendu parlé de ces êtres puissants qu'étaient les Anciens. Ces derniers étaient d'ailleurs à l'origine de la création de la cité d'Atlantis, où une expédition terrienne était à l'heure actuelle. La plupart des informations les concernant restaient tout de même assez flous. Ce point était sans doute dû au fait qu'ils n'étaient pas très bavards, préfèrent rester en dehors des affaires des «simples» mortels.

Mais, le souterrain des Anciens avait, semblait-il, était conçu dans l'optique des créer des E2PZ, les fameux Extracteurs de Potentiel du Point Zéro. Cette énergie était indispensable au bon fonctionnent de la plupart des appareils des Anciens, dont le siège des Anciens en Antarctique faisait partie. Si l'équipe parvenait à mettre la main dessus, cela permettrait de se défendre d'une potentielle attaque par voie spatiale.

L'ancien agent du FBI arrêta de faire les cent pas pour regarder sa montre. Le départ de la mission se ferait très prochainement. William était déjà habillé pour la mission, il ne lui restait plus qu'à prendre son équipement. Il quitta donc ses quartiers pour rejoindre l'armurerie. Une fois sur place, il s'équipa en prenant un M4, quelques grenades explosives et aveuglantes. La seule chose que le Sergent ne prit pas était son arme secondaire qu'il avait déjà sur lui, son 9mm du FBI.

Une fois équipé, William se rendit en salle d'embarquement. Il arriva à l'instant où les anneaux de la porte des étoiles commencèrent à tourner afin d'activer les chevrons. Les deux marines étaient déjà présents, ainsi que le Général O'Neill.

«Mon Général, Messieurs. C'est un plaisir de vous voir en tenue de combat mon Général.»

Le Général O'Neill semblait particulièrement ravi de partir explorer une autre planète. Ou plutôt un souterrain situé sur cette planète. Il était d'ailleurs impossible de déterminer ce qu'il y avait en surface étant donné que la porte des étoiles donnaient immédiatement dans le complexe. Les derniers chevrons de l'engin extraterrestre s'activèrent, pour finir par faire apparaître le vortex. William sourit à la petite plaisanterie de son supérieur concernant l'absence de prise de poids. O'Neill donna ses instructions, lui et l'ancien agent du FBI allaient passer devant. Ce dernier acquiesça seulement.

William emboîta le pas à son supérieur. Une fois ce dernier passé, le Sergent pointa son M4 devant lui avant de lui-même traverser la porte des étoiles. Comme on lui avait conseillé, il n'oublia pas d'inspirer, le premier réflexe en arrivant de l'autre côté étant d'expirer. Une fois de l'autre côté, l'ancien agent du FBI balaya le côté opposé à ce de O'Neill afin de s'assurer qu'il n'y avait pas de danger. Mais, pour l'instant, il n'y avait rien à signaler. Les seules choses qui étaient présentes dans la pièce était la porte des étoiles et son DHD ainsi qu'une unique porte en face d'eux. Les deux attendirent que les deux autres Marines traversent le vortex. Une fois tout le monde réunit, le Général O'Neill donna de nouveaux ses ordres.

«A vos ordres.»

Le Sergent suivit son supérieur vers la porte de sortie. Alors qu'ils venaient tout juste de passer le pas de la porte, des lumières s'allumèrent tout le long du couloir jusqu'au bout. Bout que l'on ne pouvait d'ailleurs pas vraiment observer. Le couloir faisait en effet plusieurs centaines de mètres. William déduisit que le complexe était pourvut de détecteurs, soit de mouvements, soit du gène des Anciens. Pendant que les deux hommes avancèrent, O'Neill tenta de briser un peu la glace. William sourit.

«Je pense qu'on peut toujours rêver pour une belle blonde qui nous confierait une demie-douzain d'E2PZ. Mais, j'aime beaucoup l'idée de la pêche. Moi non plus je n'ai pas ma canne à pêche. On pourra toujours essayer de pêcher à la grenade...»

Bien entendu, pêcher à la grenade posait plusieurs problèmes. D'une part, les poissons risquaient de terminer pulvériser, d'autre part ils fuiraient. Sans oublié que des éclats seraient incruster dans les poissons. William aimait bien pêcher, mais au calme. Rester au soleil pendant plusieurs heures à siroter une boisson, que demander de plus ?

L'ancien agent du FBI observa les murs de chaque côté. Ces derniers semblaient être transparents. William vit quelque chose de jaune bouger. Au début, il pensa que cela était dû à son imagination, mais le mouvement se reproduit. Le Général O'Neill sembla l'avoir également remarqué car il s'approcha de la paroi afin de donner quelques coups pour observer une réponse. Une réponse qui ne vint jamais.

«Peut être en lui demandant poliment ? Ou sinon, ce truc est sourd ou muet. Ou encore les deux.»

Le fond du couloir était dorénavant visible. Une sorte de boule rouge bipait au fur et à mesure de l'avancée des deux équipiers. Cela ne rassura pas William, d'après son expérience, ce qui faisait « bip bip» finissait pas exploser. Sur un des murs, une sorte de carte semblait être affichée. Les Anciens avaient-ils enfin fait preuve de bons sens et ils avaient mit une carte avec une indication «Vous êtes ici.» William s'approcha de la carte afin de l'observer plus précisément, tout en commentant le petit bruit.

«Je suppose que ce n'est pas le bruit d'un micro-ondes ?»

Une chose était certaine, les Anciens n'étaient vraiment, mais alors vraiment pas doutés pour faire des cartes. William ne comprit que très partiellement les indications trouvées sur le panneau. A vrai dire, il ne trouva que le couloir où ils étaient, rien d'autre.
L'ancien agent du FBI tenta d'identifier le... truc, à défaut d'avoir une meilleure définition, mais il n'y parvint pas plus que le Général O'Neill. D'ailleurs, il était bien d'accord avec les paroles de ce dernier, tant que ce truc n'était pas une menace, cela lui convenait très bien.
Les deux militaires continuèrent donc leur progression dans le couloir. Plus ils avaient vers la porte, plus le bruit était rapide. Cela ne rassurait vraiment pas William qui enleva la sécurité de son M4.

«Dommage... Au moins, on aurait su de quoi il s'agissait.»

Maintenant, la seule solution afin d'en savoir plus était de continuer de s'approcher de la porte, en espérant que cet espèce de détecteur de mouvement n'allait pas décider d'activer une quelconque sécurité qui les ferrait rôtir, exploser ou toute autre réjouissance du même genre.
Alors que William avait aux côtés de son supérieur, il fut prit par surprise. En effet, il fut stopper par un mur invisible. Un champ de force ? Le bip de l'appareil au dessus de la porte avait tellement accéléré que l'ancien agent du FBI crut qu'il allait exploser. Mais, le bruit continua à s'intensifier pour devenir un long sifflement. Deux rayons rouges sortirent de l'appareil pour passer sur les deux membres du SGC. Il n'était pas nécessaire d'être une lumière pour deviner qu'il s'agissait d'une sorte de scanner. Entre temps, William réussit à trouver ce qu'étaient les trucs dans les murs. En effet, deux d'entre eux étaient maintenant ciblés sur le Général O'Neill et le Sergent. Ce dernier reconnut des drones Anciens pour en avoir vu sur le rapport de la bataille de l’Antarctique. La lecture de ce rapport lui permit de prendre une décision : ne rien faire. Si ces drones étaient capables de détruire toute une flotte Goa'uld, il ne donnait pas cher de la peau des deux équipiers.

«Et moi je n'ai même pas pris ma carte d'identité...»

Le scanner dura quelques secondes de plus avant qu'il ne se désactive. William regarda des deux côtés. Les drones ne semblaient vouloir sans prendre à eux deux. La sécurité avait-elle décidée de se désactiver ? A priori, pas totalement puisque le Général O'Neill reçut une légère décharge lorsqu'il tenta de passer le champs de force.

«Heu... pas vraiment. Sésame, ouvert-toi ! Non ? S'il te plaît ?

Le champ de force ne broncha pas. Décidément, même en étant poli le bouclier ne voulait pas entendre. En plus, il devait avoir l'air malin. William tenta de trouver une solution plus sérieuse afin de passer le champs de force pour continuer leur exploration. Mais, il ne trouva rien. Peut être que le scanner avait décidé qu'ils ne pourraient pas poursuivre plus loin et qu'ils ne disposaient pas de la technologie nécessaire pour passer le bouclier.
Alors que William commençait à désespérer, quelqu'un apparut de l'autre côté du champs de force. Visiblement, il s'agissait du répondeur.

"Si vous êtes parvenus jusqu'ici, c'est que l’œil de Merlin vous a reconnu comme ceux précisés dans la prophétie et dans nos écrits. Malheureusement, nous ne serons plus là pour le voir, la voix de nos ancêtres vous guidera pour trouver la connaissance. Seul ce qui a été hérité de nos ancêtres vous permettra de passer la barrière vers notre monde. Bonne chance amis voyageurs."

Il était visiblement question d'un héritage qui permettrait à toutes les personnes en leur possession de poursuivre le progression afin de mettre la main sur une certaine connaissance.

«Je suppose que ce ne serait pas très drôle pour eux d'en haut s'ils nous donnaient toutes les réponses. En tout cas, ce répondeur high-tech parle d'une espèce de prophétie. Vous pensez quel porte nos noms ?»

Ce n'était pas vraiment le bon moment pour parler de cela, mais William trouvait cela assez cool d'être cité dans une prophétie, comme dans certains romans qu'il lisait. Le Général O'Neill lui demanda son opinion. Comme à l'habitude qu'il avait prit au bureau fédéral, l'ancien agent réfléchit à voix haute pour exprimer son hypothèse. Cela permettait de mettre ses idées en place, et de se rendre compte de la stupidité d'une réflexion.

«Et bien, le répondeur parlait d'un héritage. Il disait «ce qui», cela signifie que c'est un objet... Ou autre chose. Mis à part la technologie, il y a autre chose qui a été transmit. Vous disposez du gêne des Anciens non ? Je pense qu'il parlait du gêne. Si c'est le cas, peut être qu'une petite goutte de votre sang suffira à faire baisser le bouclier. L'idée dont vous parliez, c'est celle-ci ?»

Si c'était la solution, William n'était pas très rassuré, mais il n'en dit pas mot. En effet, son anxiété venait du fait qu'il ne possédait pas le gêne des Anciens, peut être que le système de sécurité allait réagir à cette absence, et ce de manière expéditive...

A première vue, William était parvenu à la même conclusion que son supérieur. Il était sans doute nécessaire, d'une manière ou d'une autre, d'utiliser le gêne des Anciens. Il sourit à la remarque du Général O'Neill concernant certaines parties de son esprit qu'il souhaitait garder confidentielle.

«Ne vous inquiétez pas, je connais le refrain : dans le cas contraire vous devrez m'éliminer. Je suis sûr que cela ne vous arrange pas plus que moi, la paperasse tout ça...»

Et voilà, telles seraient les dernières paroles prononcées par notre ancien agent du FBI. Brillant, n'est-ce pas ?
Le Sergent attendit que le commandant en chef de la base face sa petite expérience avec un peu de sang. Il sortit son couteau avant de s'entailler le bout d'un doigt. Puis, le Général O'Neill approcha son doigt du champ de force avant de l'y déposer.

William se demanda si cela allait vraiment faire quelque chose. Pendant quelques secondes il en douta. L'hypothèse avancée par les deux militaires était sans doute erronée, cela aurait était un peut trop facile. Mais, quelque chose se produisit. L'ancien agent du FBI n'était pas certain d'avoir bien vu. Non, il n'était pas fou. Du moins, pas plus qu'un autre. Des fins et longs filaments blancs convergèrent vers l'emplacement où O'Neill avait déposé son doigt. Puis, une intense lueur blanche s'empara de tout le bouclier avant que ce dernier ne disparaisse comme par enchantement. Voila une bonne chose de faite.

Le super répondeur des Anciens était toujours au même endroit, mais cette fois il désignait une porte située un peu plus loin tout en ajoutant quelques mots d'encouragement... Et, il disparut ainsi que la lumière rouge flippante au dessus de la fameuse porte.. Décidément, c'était la mode dans ce laboratoire.

«J'espère qu'il n'y aura pas d'interrogations à la fin de la visite. Je détestais ça en classe après une visite....»

Le Général O'Neill prit la tête du petit groupe de deux. William lui emboîta le pas, l'arme pointé devant lui, on était jamais assez prudent. L'ancien agent du FBI se questionnait sur ce qu'ils allaient découvrir. Il fut presque déçu par la réponse. La porte donnait sur un embrochement, un long couloir de chaque côté. Le couloir de gauche s'illumina, comme pour indiquer le chemin. S'ils avaient été autre part que dans un laboratoire inconnu sur une autre planète, le Sergent aurait bien prit l'autre chemin, juste pour voir. Il n'appréciait pas vraiment ce genre de situation. Et puis, si on voulait vraiment qu'ils prennent ce couloir, pourquoi avoir fait un second couloir ?!

Les deux militaires s'engagèrent donc dans ce couloir qui parcoururent sur environ deux cents mètres avant de tomber de nouveau sur une porte. Cette dernière s'ouvrit automatiquement pour dévoiler une pièce où les lumières s'allumèrent. La pièce ressemblait à un laboratoire avec plusieurs consoles, des écritures anciennes, des cercles au sol.

Alors que le Général commentait un pari perdu avec le Colonel Carter, William remarqua quelque chose apparaître sur un mur. C'était un immense objet noir qui était accroché au mur, un objet assez étrange avec un emplacement en son centre. A peine le Marine avait-il fait un pas en sa direction que le Général lui déconseilla fortement de s'approcher de l'appareil. Sauf bien sûr s'il souhaitait avoir le cerveau grillé avec des centaines de milliers de millions d'informations Anciennes.

William fit donc deux pas en arrière. C'était un appareil Ancien, peut être que lui il n'avait rien à craindre étant donné qu'il ne le possédait. Mais, l'ancien agent du FBI n'était pas très chaud pour tester cette théorie, il avait encore besoin de son cerveau.

«Merci mon Général.»

Ce dernier proposa de s'amuser un peu avec les consoles. William n'était pas certain que ce soit une bonne idée, mais c'était très tentant. Et puis, zut...

«Et bien, je prendrais bien ce....»

Le Sergent n'eut jamais le temps de terminer sa phrase, une communication radio vint l'en empêcher à jamais. L'un des Marines qui était en faction devant la porte des étoiles indiqua que cette dernière venait de s'activer.

«Mince, moi qui espérais que vous aviez commander une pizza...»

William attendit les instructions de son supérieur et le rapport des hommes qui étaient devant la porte des étoiles.

William doutait qu'un jour il puisse y avoir une quelconque bonne nouvelle qui traverserait la porte des étoiles. Une gentille race extraterrestre qui souhaitait les aider dans leur lutte face au Goa'uld, des Anciens venant s'excuser de cette passivité dont ils faisaient preuve, ou même une pizza. Malheureusement, ce ne fut rien de tout cela. En effet, une seconde communication radio parvint dans leurs radios annonçant l'arrivé de troupes Jaffas. De nombreux tirs et cris se firent entendre en fond, la bataille faisait rage. Il crut entendre le nom de Ba'al dans la communication du Marine, mais il n'en était pas certain. Par contre, le Général O'Neill semblait bien avoir comprit le message. Il ne semblait d'ailleurs pas vraiment ravi de cette surprise et il ordonna le replis des troupes.

L'ancien agent du FBI se demanda s'il s'agissait des troupes de Ba'al ou ce dernier était bien présent en chair et en serpent. William ne tenait pas vraiment à vivre sa première rencontre avec un Goa'uld, loin de là, surtout s'il s'agissait de Ba'al.
Son supérieur demanda à William s'il possédait des explosifs et il ordonna de les disposer sur les consoles Anciennes afin que ces dernières ne tombent pas aux mains du Goa'uld. Personne ne tenait à ce qu'une technologie Ancienne tombe entre les mains. Le militaire ouvrit les deux poches de son treillis et en sortit du C4.

«J'ai deux charges de C4.»

William se dirigea vers la première console afin d'y déposer l'explosif, puis il se dirigea vers une seconde console pour refaire les mêmes gestes. Pendant qu'il installait les charges, il se demanda si c'était une coïncidence que les Jaffas débarquaient juste après que les deux membres du SGC n'ait désactivé les sécurités. Il voyait en effet mal leurs ennemis passer les drones et le bouclier, notamment lorsqu'ils ne possédaient pas le gêne.

Une légère exposition se fit entendre au loin. Une grenade de l'un des Marines ? Ou peut être que les drones se réactivèrent. Quelques secondes après, les deux soldats firent irruptions dans la pièce en annonçant qu'ils avaient fait sauter le passage derrière eux. William ouvrit grands les yeux, ils étaient maintenant piégés avec une salle remplie d'explosif. Le pied. D'ailleurs, le Général O'Neill en profita pour passer un petit savon aux deux Marines. S'ils s'en sortaient tous, ils allaient avoir le droit à une sacré engueulade une fois de retour à la base.

«Je pense qu'ils nous préfèrent saignants. Bien qu'on risque d’être carbonisés en leurs armes et les explosifs présents...»

En effet, ce n'était qu'une question de temps avant que les Jaffas n'arrivent à se dégager un passage dans les décombres. Pour le moment, William n'avait pas vraiment de solution miracle, ils étaient pièges dans la pièce et leur seule sortie était maintenant détruite.

«Il faudrait réussir à réactiver les sécurités de cette base Ancienne, notamment les drones. Ou trouver quelque chose dans les consoles. Mais personne ne lit l'Ancien...»

Le Sergent savait qu'il y avait bien une solution pour avoir un cours expresse de langue Ancienne : mettre sa tête dans cette chose qui était attachée au mur. Et il semblait que le Général ait eu la même idée. D'ailleurs, son supérieur se portait volontaire. Cela paraissait le plus logique, il était le seul à disposer du gêne des Anciens. William avait bien entendu dire que certains appareils ne nécessitait qu'une activation pour fonctionner avec tout le monde, mais dans la situation actuelle ne le permettait de faire des expériences.
Pour toute réponse, il hocha la tête. Il savait très bien ce que cela impliquait.

«A vos ordres mon Général.»