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En réalité, Bastet est une goa’uld et en cela elle ressemble à ces pairs : sa forme est serpentine, ressemblant à une anguille d’une trentaine de centimètre avec des nageoires piquantes, et un faciès peu attirant. Mais elle se distingue des autres de son espèce, car étant une reine, elle a la possibilité de produire une excroissance informe qui lui sert à pondre: une matrice enfermé dans l’abdomen de son hôte, voilà pourquoi elle choisie des femmes pour hôte, et de préférence, de grande beauté.

Mais pour tous, Bastet à maintenant l’apparence de la belle Aya des plaines, qui fut sa plus fervente prêtresse. Bastet avait déjà pensé posséder son corps, après tout, la jeune femme était splendide : svelte, approximativement 1m 70 pour 50 kg, un corps entretenu par la pratique régulière de danse et d’art martiaux et donc la peau douce était décorée de somptueux tatouages.
Et cela ce n’était que son corps, que dire de son visage à part que la déesse l’avait toujours trouvé superbe avec son front haut, ses sourcils bien dessinés et son nez fin et gracieux tout comme sa bouche, toujours légèrement rieuse par ailleurs. Et puis ses grands yeux verts transcendent le tout, et de magnifiques cheveux bruns extrêmement bien entretenus finissent de compléter le tableau de l'avatar de Bastet.

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Bastet et née, comme bien d’autres, d’Egéria la première reine de Râ. En ce sens, lorsqu’elle fut assez âgée et résistante pour prendre une hôte sans en mourir, elle fut considérée comme l’une des enfants du maître suprême. Son hôte fut une femelle puisqu’elle-même en était une.

Bien que née avec toutes les connaissances qu’Egéria lui avait transmises, elle dut « apprendre » à jouer son rôle de fille du dieu, car cela était inconnue d’Egéria. A l’époque, il n’y avait pas grand-chose à faire sur la Tau’ri ou même dans la galaxie, et Bastet apprit donc à divertir son père par des danses et musiques. Bien que cela lui plaisait énormément, ce n’était pas suffisant pour elle, et rapidement, elle se prit à reprendre ouvertement des jaffas ou des esclaves sur leurs comportements plutôt que de les tuer sans prévenir. Quand Râ lui demanda pourquoi elle tenait à intervenir dans leurs pratiques, elle lui dit qu’il fallait que leurs esclaves apprennent l’obéissance d’un et que surtout, ils devaient respecter des règles dictées par les dieux qu’ils étaient. Râ fut étonné et lui demanda lesquelles, ce a quoi elle lui répondit :

«  - Père, ce ne sont que des…Chal'tiis ! Nous devons les guider, pour eux… et surtout, pour nous!
-Je me disais aussi...Ahaha
-Bah... Oui. Si nous les laissons faire, ils risquent de diminuer leurs quotas par des comportements barbares... Eduquons les! Obligeons les à suivre nos règles, pour maintenir d’un un groupe fort et nombreux et de deux une cohérence qui les uniras sous notre joug. Un jour, cela paiera père…
-Peu être, mais je n’ai pas envie! Qu’ils se déchirent, ces… primitifs ne sont que des Kil'Nas !
- Oui, ô Meta Satak Râ. Vous avez raison, et j’ai tord, je...
-Tu n’as peut être pas tord... Qui sait? Va! Je t’autorise à « éduquer »... les jaffas de la Tau’ri en ce sens, et si ça ne marche pas, tu auras alors apprit la leçon Rin Kol-mah.
Je sais tout et rien ne m’échappe! Mais va et apprend de tes erreurs. »


Bastet dés lors autorisée à agir librement par Râ, resta sur la Tau’ri lorsque celui-ci partit visiter son royaume. Mais elle n’en resta pas moins dans l’ombre de son père et imposa des règles de vies aux jaffas et aux esclaves, mais cela Râ l’ignora, jusqu’au jour ou, plusieurs centaine d’années plus tard lorsqu’il revint avec son Ha’tak, il apprit que les humains de la Tau’ri lui dédiaient un véritable culte avec des prières et autres louange adressées au dieu des dieux.
Il sourit à l’audace de Bastet mais son égo ainsi flatté le retient de la punir, surtout que les croyants en questions étaient plus productifs et plus soumis. Râ décida d’appliquer ce système dans ton son empire et de nombreux Goa’ulds firent de même, cela leur permit d’avoir plus de troupes et surtout des croyants étaient plus facile à manipuler.

C’est à ce retour de Râ que Bastet eut sa première déception en une désagréable surprise : son père c'était choisie une nouvelle reine : Hathor.
Ra lui expliqua qu’Egéria l’avait trahit en mettant au monde des "Tok’ras", des Goa’ulds auxquels elle n’avait pas transféré toute sa conscience et qu’elle avait crée dans le but de le détruire lui et son empire.
Bastet prit peur, après tout n’était elle pas la fille d’Egéria?, mais son père ne la considéra pas comme une Tok’ra potentielle, car depuis longtemps elle gérait une partie de son royaume et même si elle s’appliquait à « éduquer » leurs esclaves, ce n’était que dans le noble dessein d’améliorer l’empire de Râ.

- Bastet... Tu es bien une vraie goa'uld de cela je ne doute pas, tes actes parlent pour toi mais....

Lorsqu'elle demanda alors pourquoi son choix était allé à Hathor, Râ lui apprit alors une effroyable vérité: Il regrettait son caractère si calme, si docile, car bien qu’il l’appréciait, il n’aurait jamais eut envie de la prendre pour reine, et par son fond si dépendant. Bastet, fut extrêmement choquée d'apprendre cela mais ne montrât rien. Cela la rongeât tellement qu’elle laissa par la suite éclater une colère noire et démesurée: lors d'une séances de doléances un peu tendue, elle fit tuer la majorité des protagonistes et ceux qui restèrent  prirent peur et comprirent alors que Bastet était comme l’eau, souvent belle, douce et désaltérante, mais qu’il ne fallait pas oublier qu’elle était sauvage et indomptée, et en se sens pouvait devenir bien violente et cruelle.
A partir de là, de nombreux croyant lui attribuèrent comme emblème le chat, un animal qui existait déjà à l’époque. Mi-sauvage, cet animal supportait la présence de l’homme et ses attentions, mais sans crier gare il se retournait contre lui sans aucun regret ou scrupules. Ainsi naquit la déesse chat Bastet, au caractère aussi changeant que son animal-totem.

N’appréciant absolument pas Hathor, mais tolérant sa présence par respect et dévotion pour son père le Distra Râ, celle-ci fut de plus en plus proie à des changements d’humeurs violent, qui finirent par la caractériser injustement aux yeux de tous. Le comportement plus que hautain, égocentrique et surtout injustifié d’Hathor, qui n’était après tout que l’épouse du grand Râ, ainsi que la fourberie et sournoiserie dont elle n’hésitait pas à se servir en plus de ses phéromones  pour arriver à ses fins exaspéra Bastet, à un point tel que dégoutée de tout cela, elle accepta sans sourcillé lorsque Râ lui ordonna d’aller sur Bubastis pour y créer un culte généralisé pour tous les Goau’lds, et de faire en sorte de le répendre et tout centraliser dans le but que sa grandeur et sa toute puissance surpasse les autres: ceux-ci ainsi devrait rester à la place qui leur serait dédié et lui seraient à jamais inférieur.



Ainsi Bastet partit créer Bubastis, sur un monde lui rappelant son Egypte adorée, ou elle était née il y a longtemps. Elle y bâtit une civilisation d’adeptes et de dévots, ainsi qu’un temple à l’honneur de son père, ou elle consignât, telle la gardienne de leur histoire, tout ce qui concernait les dieux qu’ils étaient, car ils n’étaient que des parasites certes, mais du moment où humains et jaffas croyaient en eux et les vénéraient comme des dieux... N’en étaient-ils pas devenus ?

Elle apprit rapidement que Râ avait abandonné la Tau’ri: le peuple avait finit par se soulever contre son oppression. Elle souffla alors ennuyée: elle l’avait pourtant prévenue, il fallait le jouer finement, leur imposer des décisions avec sagesse et justesse et jamais trop au dessus de leurs faible possibilité, ou la foi se retournerait contre lui.

Elle fut extrêmement heureuse d'apprendre que la belle Hathor ayant essayé de détrôner son époux Râ, avait été emprisonnée à jamais, mais elle n’alla pas voir Râ, après tout, sa rancœur envers Hathor et Râ était telle qu'elle ne voulait pas passer après Hathor. Mais elle regretta ensuite, bien plus tard dans sa vie, de ne pas l’avoir revue avant que les terriens ne le tuent sur Abydos...

Bastet vécue longtemps recluse dans le calme et la sérénité du temple de sa chère planète. En vérité, elle ne la quittait que rarement, préférant éviter ses pairs.
Elle administrait ainsi son royaume, et se consacrait à l'étude de divers végétaux pouvant servir d'aliments ou de poison, qu'elle développa par la suite. Cela ne l’empêcha pas d'aller aux grandes assemblée, mais elle était discrète, et préférait éviter de sombrer dans des crises de colères destructrice à la moindre dispute. Elle rencontrât de nombreux dieux lors des conciles  tels que Morigan, Olokun, Amaterasu, Isis, Ba'al, Zypacknar... Elle choisie même de s’allier un temps avec Kali, Goa’uld préférant les hôtes féminins par choix, et avec qui elle s’entendait plutôt bien. Ensemble elles s’emparèrent du domaine de Sobek lorsqu’il essaya de les trahir, et par pure vengeance, Bastet qui l'avais tuer de ses propres mains,fit empailler la tête de l’hôte de Sobek qui orna longtemps l'un des murs de la salle de son trône avant qu’elle ne s’en lasse, sa colère enfin apaisée.
Bastet ne prit pas part à la guerre contre les Tau'ris : cela d'un était bien trop loin et ne la concernait pas, et de deux, du fait des attribues de déesse, sa planète devient le refuge de nombreux réfugiés ou humains croyant aux dieux, dont beaucoup de femmes et enfants, dont elle dut gérer l'arrivée ainsi que la répartition sur la planète.
De plus elle devait veiller à ce que l'histoire des dieux soient apprise par cœur, et que ses fidèles soient les meilleurs: parmi eux se détacha une jeune fille Aya des plaines dorées, orpheline en se temple qui lui voyait un culte sans égal. Bastet trouva que la petite aux yeux pétillant d’intelligence  pourrait bien lui être utile et fit tout pour l'encourager dans sa voie. Seule sa beauté aurait put faire rager la déesse si celle-ci n'avait sut qu'Aya n'avait d'yeux que pour ses dieux, et se moquait bien des hommes, et surtout qu'elle ne voulait nullement se retrouver à devoir perdre son statut de prêtresse pour ne devenir qu'une simple femme juste bonne à enfanter, non, Aya voulait plus, et Bastet  le lui permit.  



Après de nombreuses années de paix et de douceur sur sa planète sanctuaire, voici qu'elle dut repartir en guerre, une nouvelle fois, et contre Ba'al qui voulait tous les anéantir pour prendre le pouvoir absolue. Bien qu’elle n'aimait pas passer pour une faible aux yeux des autres - quoiqu'au final, leurs avis lui importait peu car étant la gardienne de leur histoire, elle trouvait toujours moyen de s'arranger- Bastet comprit qu'il ne satisferait pas de quelques planètes et choisit de se porter au devant pour éviter un conflit sur son domaine.
La bataille fut rude, et au final, Bastet perdue.
Bastet fut gravement blessée par l'un des soldats Kull de Ba'al, et elle se fit passer pour morte, enfin, passer elle faillit quand même y rester.

Le sol était si froid contre son dos, ou était-ce son corps qui devenait froid alors que la vie quittait son hôte. Elle trembla en hoquetant de peur et de la panique. Une larme coula alors qu'elle avait l'impression d'étouffer.
Elle avait été blessée au dos, a la nuque et pas que son hôte, elle aussi ! Et son sang était en train de tuer son hot aussi surement que la blessure au ventre la vidait.

Elle ne pouvait pas les sauver, elle n'était même pas sure de pouvoir se sauver a vrai dire. La dure réalité la saisie alors qu’étrangement aux portes de la morts elle portait jugement sur sa triste vie.
Mais elle ne mourra pas, non, son prima était arrivé à temps, avec Aya et celle-ci l'avait exhorté à se sauver. Elle avait alors quitter son hôte, blessée , humiliée d’apparaître si faible, mais sa survie passait avant non ?
Les mains tremblante de sa lothar au contact de son sang visqueux l'aurait fait rager sur l'instant si elle ne se sentait pas à la limite de l'inconscience, de la mort même.
Humiliation, rage puis.... étonnement et espoir.
Les mains se levèrent tout autant que la voix paniquée mais forte d'Aya alors que celle-ci la levait vers son beau visage.
Elle hésita un instant en voyant la bouche ouverte d'Aya mais finalement s'y engouffra.

Puis se fut le noir, le néant.

Elle avait passé des mois à dormir, se réveiller, se rendormir,  à moitié paniquée de ne pouvoir reprendre le contrôle de son hôte, et en même temps si fatiguée, dépitée, lasse.
Elle avait conscience qu'Aya ne jurait que par elles, que celle-ci e faisait passer pour elle, alors elle avait finit par se laisser aller, sans lutter,  épuisée...
C'était si écœurant non ?
Et en même temps, c'était si dur de reconstituer tout son corps et pas que la partie simple du symbiote en lui même.
Très dur, long et lent, et puis le sarcophage avait ses limites, et pour cela il ne pouvait l'aider.

Maintenant de retour chez elle, dans un nouvel hôte, Bastet est encore faible: elle doit récupérer ses forces, et n'a pas encore le contrôle total sur son corps, mais chose étonnante qu'elle ne s'explique que par le fanatique et la dévotion de son hôte, Aya fait tout ce que sa déesse lui ordonne, lorsque celle-ci ne peut contrôler son corps.
Il reste à voir maintenant comment se passeront les retrouvailles avec les autres goa’ulds, et comment Bastet decidera de son futur après avoir été laissé pour morte... Seul le futur nous le dira.

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Bastet est multiple, mais dispose d'un caractère très fort, et d’une grande dualité. De base, comme tout les Goa'ulds, Bastet est égocentrique et manipulatrice. Mais elle est surtout bienveillante et accueillante grâce a Egéria, c’est pourquoi Bastet est le symbole de la féminité, la protectrice du foyer et la déesse de la maternité et de la joie et la musique. Mais toujours en elle, sommeille le félin, et il ne fait pas bon le réveiller. Car elle est aussi lunatique et réputée pour ses terribles colères.
Elle se montre intransigeante et animé d'une volonté sans égale, et n'aime pas les menteurs: Il vaut mieux pas la trahir sans peine. Mais en contrepartie, Bastet s'est être séduisante, douce et compatissante mais le montre rarement, car elle ne veut passer ni pour faible, ni pour une Tok'râ, car même si c'est une personne calme et qui n'aspire qu'a la paix, selon ses propres critères, elle n'en reste pas moins une goa'uld qui aime les richesses et la dévotion de ses sujets.

Comme elle est fragilisée il lui arrive de dormir pour se remettre mais ce n'est pas un soucis car son hôte, Aya, fière de son rôle compense en se fessant passer pour la belle déesse. Bastet en joue, imitant aussi quelques fois Aya, ce qui fait que leurs psychés se confondant souvent a un tel point qu'on pourrait penser à un dédoublement de personnalité

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- Qui est la personne qui a donné son image pour votre avatar : Megan Fox
- Votre âge : 30 et toutes mes dents ( presque)
- Combien de temps de Rp derrière vous/ Votre niveau en Rp :Bon
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Mes autres persos sont :  Aya / Cerise
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Re-bienvenue Aya

Que dire de ta fiche mise à part que j'ai envie de rejouer Jason là et qu'elle est parfaite ! Agréable à lire, ça m'a fait ma petite lecture du matin Donc je valide