Houston on a un problème !

Sujet: Re: Houston on a un problème ! Mar 31 Mar 2015, 21:38

Bon il semblerait que mes talents en plomberie ont fait preuve d’une quelconque utilité pour changer

« Non en principe on devrait être de retour avant que ça devienne une absolue nécessité, dans l’invraisemblable éventualité où ça ne serait pas le cas je crois que je n’aurais pas d’autre choix que de faire appel au dieu Bob le bricoleur, enfin pour ainsi dire »

Disais-je sur un ton plaisantin en m’étirant un peu, fatigué de toutes ces péripéties

« Non pas forcément, enfin c’est plus une habitude, une contrainte qu’autre chose mais sinon c’est vrai que ça ne fait jamais de mal de profiter des bonnes choses de temps en temps. En l’occurrence un bon bain c’est vrai que ça serait pas vraiment contre-indiqué selon moi »

Puis vint la question du fameux plan barbecue, j’étais apparemment inspiré ce soir là

« Oh ça ce n’est pas un problème doc, ne vous en faites pas pour ça je suis sûr qu’on pourra s’arranger avec les athosiens ou avec des fournisseurs locaux si on ne peut pas en obtenir de la Terre »

C’est vrai qu’avec le budget que nous accordait la CIS on pourrait au moins avoir des grillades non ? Enfin c’est ce que je pensais et puis bon il y avait toujours moyen de s’arranger. Enfin bref on était tous deux fatigués et on avait du chemin à faire demain alors j’avais intérêt à me bouger pour en finir rapidement.

« De rien doc. je ne fais que mon travail après tout »

Puis il semblerait que notre chère doc a fini par trouver le sommeil, ne serait-ce qu’un instant, tout du moins assez longtemps pour que je finisse de terminer mon bricolage qui semblait être solide d’après ce que j’ai pu constater.

« Pas de problème, bon allez inutile de vous fatiguer plus que ça, au lit ! »

Disais-je en souriant, amusé de la situation, ça n’était pas sans me rappeler quelques vieux souvenirs. Bref voyant qu’elle était en train de vaciller je me suis permis d’être un peu cavalier : Tandis qu’elle semblait lutter tant bien que mal contre le sommeil je me suis permis de la prendre dans mes bras pour ensuite l’installer sur la plateforme construite ultérieurement.

« Désolé de me montrer si cavalier mais bon au point où nous en sommes autant vous éviter le moindre effort inutile et ne vous en faites pas normalement c’est du solide. Ça vous évitera par ailleurs tout dérangement éventuel de la faune locale. Bon sur ce, Bonne nuit Doc »

Disais-je en m’écartant du pseudo nid douillet que je lui ai fabriqué pour ensuite m’installer confortablement contre un rocher prêt du feu de camp, la nuit allait être longue …

Jennifer luttait pour rouvrir les yeux. Elle se sentit coupable quand Tom lui dit de ne pas se fatiguer plus. Elle n'avait as l'habitude de se faire materner et elle se demandait si c'était ce que ressentait les patients de l'infirmerie.

Jennifer se sentit soulever et fut surprise, mais trop fatiguée pour réellement réagir : elle était lus dans un état second qu'autre chose. Elle entendit vaguement un bonne nuit et tenta de répondre mais ce fut une sorte de grognement qui sortit de sa bouche au lieu d'un bonne nuit, puis, elle s'enfonça dans le sommeil.

Ce fut la douleur dans son dos qui la réveilla : Jennifer n'avait pas l'habitude de dormir à même le sol, mais sur un matelas bien douillet. Elle grimaça en grognant et se tourna sur le coté puis se leva en passant une main dans son dos courbaturé.

Elle écarquilla les yeux avant de tomber à la renverse de la petite plate-forme en voyant une sorte de serpent, reptile... bref quelque chose de reptilien qui la regardait en tirant son hideuse langue découpée en deux. Un petit cri de surprise passa ses lèvres et un autre suivit quand elle tomba a la renverse sur le dos.
Couchée au sol, complètement réveille par la sécrétion d'adrénaline, Jennifer regarda Tom et lui sourit complètement gênée. Tellement même qu'elle se mit a rougir.

-"B... Bonjour... Désolé...."

Après que le Docteur Keller se soit endormis j’ai dû rester éveillé quelques heures afin de s’assurer qu’on aurait pas de visiteurs inattendus ou inopportuns, fort heureusement on a pas de meutes de loups de l’espaces, de bestioles bizarres ou d’autres mauvaises surprises durant la nuit, J’ai bien eut l’occasion de remarquer la présence d’animaux mais ils étaient tous plus inoffensifs les uns que les autres.

Quelles conclusions tirer de cela ? Et bien de deux choses l’une, l’absence de prédateurs dans les environs impliquait peut-être la proximité d’un chemin ou même d’une zone fortement fréquentés par les hommes, donc on ça pouvait considérablement accélérer notre progression ensuite on aurait plus trop de soucis à se faire au niveau d’éventuels problèmes de prédateurs, si il y en avait la lumière du feu de camp aurait attiré leur attention et j’en aurait probablement vu, encore que rien n’est sûr. Bref notre situation s’améliorait et quelque chose me disait qu’on n’aurait pas à passer beaucoup plus de temps sur cette planète.

Le lendemain, allez savoir pourquoi mais je me sentais d’humeur à me lever aux aurores malgré la courte nuit que j’avais passé. Après m’être levé du coin dans lequel je m’étais installé et avoir bien pris le temps de m’étirer afin de véritablement me remettre sur pied, je me suis permis d’aller faire un petit tour dans les environs histoire d’aller chercher des fruits pour avoir un petit dej’ convenable à proposer et de quoi grignoter sur la route éventuellement.
Le problème étant que je ne savais lesquels étaient comestibles et lesquels ne l’étaient pas, après une ou deux secondes de réflexion j’ai regardé les alentours désespéré par le manque de moyens que j’avais à disposition pour m’en assurer, quand tout à coup la réponse se manifesta d’elle-même par un bruit venant de sous mes rangers, en fait je marchais sur un fruit à moitié mangé, probablement par la faune locale, j’avais donc ma réponse, enfin à moitié mais je priais pour que ça soit aussi comestible pour nous autres humains.

J’ai donc ramené au camp ses fameux fruits jaunes qui ressemblaient un peu à des mangues en terme de forme, des mangues jaunes de l’espace donc, et pendant que le doc dormait encore je me suis permis d’en goûter un pour m’assurer de pas la tuer à cause d’une erreur de jugement stupide, au goût ça ressemblait un peu à du melon, enfin je crois.

Quelques heures plus tard alors que je réglais quelques détails pour m’assurer de la direction dans laquelle nous devrions repartir, je fus surpris par un cri qui venait derrière moi je me suis donc retourné en catastrophe, fausse alerte, c’était apparemment juste Keller qui avait eu droit à un réveil un peu brutal et à un visiteur inopportun. Bref un super début de journée qui me fit afficher un sourire, rassuré que ce n’était rien de trop grave.

« Ah ! Bonjour Docteur, je suppose qu’il est inutile de vous demander si vous avez bien dormis non ? Bon et bien en tous cas j’ai de bonnes nouvelles à vous annoncer le tout accompagné d’un bon petit déjeuné en plus, bon par contre vous m’excuserez mais j’ai dû en goûter un pour vous éviter une potentielle indigestion malencontreuse durant le peu de trajet qu’il nous reste à faire »

Dis-ai-je en lui souriant

HRP :

Jennifer se releva péniblement et très embêtée par la situation.

-"Euh... Bien.Bien. Compte tenue de la situation, je suis dire..."

Jennifer se releva et se dirigea vers Tom en grimaçant.

-"En fait, je crois que je suis tombé comme une masse, pardon. Mais entre le stress de l'accident, de se retrouver bloqué ici, d'avoir tan marché...."

Jennifer se tue en se perdant un instant dans ses pensées, puis vit un de ses fruits jaunes que Tom avait trouvé.

-"J'allais justement vous demander si c'était comestible."

Jennifer s'installa et regarda les fruits, en attrapa un pour le sentir. En tout cas, ça sentait bon. Elle le griffa d'un ongle et le porta a sa bouche : il n'avait pas de goût amer, piquant, acide ou autre... ça n'avait donc pas l'air toxique, mais ce n'était que des test rudimentaire et pas très sur...

Après lui avoir passé un fruit et avoir laissé un peu près le temps au Doc de se remettre en selle je me suis lancé dans un petit briefing de début de journée :

« Bon ! Primo, on a dépassé notre horaire de retour de quelques heures donc ça m’étonnerait pas que le comité d’accueil soit déjà sur place et progresse dans notre direction, ce qui est pour le coup, et je pense que vous serez d’accord avec moi, une excellente nouvelle. Ensuite, le grand méchant loup semble être parti en vacance avec toute sa petite famille, cette nuit on n’a pas eu de visiteurs inopportuns enfin mis à part votre ami le lézard bien évidement qu’il faudrait peut-être que je ramène sur Atlantis pour une … expérience que je veux faire avec une certaine personne dirons-nous, enfin bref je m’égare »

Dis-ai-je sur un ton amusé avant de reprendre :

« Donc pour revenir à notre affaire de prédateurs, de toutes évidences on aura plus à s’en soucier si je ne trompe pas et là vient la très bonne nouvelle si il n’y a pas de créatures du genre dans la zone ce qui est parfaitement improbable sauf exception ça veut aussi dire qu’il y a des chances pour qu’on soit à proximité d’une zone ou d’une route fréquemment empruntée par les hommes sauf erreur de ma part, donc … si je ne me plante pas, et ce n’est que de la spéculation pour l’instant, on pourrait retrouvé une de ses routes, faciliter grandement notre trajet et multiplier nos chances de retrouver les secours avant la nuit. »

Concluais-je assez enthousiaste à l’idée de retrouver mon lit et la cité avant de revenir à la réalité.

« Bon le problème c’est si je me plante on risque de perdre du temps à chercher une route qui n’existe peut-être même pas, du coup sachant qu’elle ne doit pas forcément être située très loin , j’aimerais avoir votre avis sur la question : Vous en pensez quoi vous ?»

Ensuite je me suis mis à remplir mon sac avec les quelques fruits que j’avais cueillis pour l’occasion histoire d’avoir de quoi grignoter sur la route, j’avais prétendu qu’on trouverait la cavalerie avant la nuit certes mais pas avant plus de six heures de marche au pas, il était clair néanmoins qu’avec de l’espoir une volonté de fer et un bon coup de bol l’enfer vert serait du passé. Il n’empêche que ça faisait la deuxième fois qu’on me faisait le coup et je commençais à vraiment en avoir ma claque de ce genre de situations.

« La prochaine fois que je dois me perdre quelque part j’essayerais de m’arranger pour que ça soit à Vegas au moins là il n’y aura pas de problème pour trouver un endroit confortable voir luxueux où passer la nuit en bonne compagnie … »

Disais-je amusé en me redressant et en souriant au docteur Keller

« Non plus sérieusement je m’excuse pour mon sens de l’humour mais pour en revenir à un sujet plus sérieux : Il vous reste de l’eau dans votre gourde ou vous voulez la mienne ? Non parce qu’on va avoir beaucoup de marche à faire et je se serais plus rassuré de vous savoir en forme et bien hydratée vu la distance qu’on aura à parcourir. »

Jennifer regarda le fruit dubitativement avant d'aller chercher quelque chose dans son sac. Faute de couteau, Elle utilisa l'un des scalpels pour découper le fruit, vérifiant au passage qu'il n'y avait pas d'insecte ou autre dedans. D'un geste incertaine elle porta une tranche à sa bouche.
La mâchouillant elle constata que c'était bon et décida d'en recouper dedans.
Elle écouta Tom la sermonner, ce qui la fit sourire.

-"Une expérience ? Vous voulez un iguane pour faire une farce à quelqu'un ? XD."

Elle écouta Tom en mangeant le fruit avant de s’arrêter suspicieuse. Elle n'avait absolument pas comprit ce que Tom avait voulu dire.

-"Euh.. je ne comprend pas ou vous voulez en venir Tom... Il y a ou il y a pas de prédateur ?"

Jennifer fronçant les sourcils totalement perplexe. Il était improbable qu'il y ai ou pas des prédateur et qu'est ce qui était était une bonne nouvelle ?
Jennifer ne comprenait pas ou Tom péchait son enthousiasme... elle elle était désespérée et se croyait dans un cauchemar.

-"Euh... Oui, il fait trouver une route, mais avec cette végétation on pourrait être a deux pas de celle-ci et ne pas s'en rendre compte... vous avez une idée ?
Je dirais bien qu'il nous aurait fallit un GPS mais je doute que ce soit fléchée ici..."

Jennifer haussa les sourcils surprise de la phrase de Tom et répondit du tac o tac amusée.
-"je n'ai pas l'habitude de passer la nuit avec un inconnu, surtout pas la première, désolé lieutenant."

Jennifer attrapa sa gourde et vérifia son eau.

-"Il me reste la moitié de ma gourde. Mais... Ils vont nous retrouver de toute façon rapidement non ?"

Jennifer regarda Tom un peu anxieuse.

-" La... distance ?"

C'était comme s'il venait de dire un gros mot... ou "gros" dans le sans gros. Ils allaient encore avaler des kilomètres. Elle avait un air de chien battu, ses pieds ne lui faisaient plus trop mal, mais ces cuisses si... Vive les courbature. Surtout si elle devait porter son sac a dos si lourd...

Elle lança ses chaussures plus serrées et se leva fataliste quand à la marche a suivre. Marcher, marcher et encore marcher... Elle aurait du signaler lors de son inscription qu'elle détestait les randonnées. Quitté son petit confort Jennifer ne se sentait pas bien.
Elle attrapa son sac a dos et le passa avant de se tourner vers Tom.

-"Bien, on va vers ou ?"

Bon il semblerait que je m’étais un peu emballé et que le doc était donc un peu perdu, ou alors pas très bien réveillée … Bref je me suis donc expliqué :

« J’aurais plutôt dit pour faire une expérience afin de satisfaire ma soif de connaissances et ma curiosité, mais ouai dire que j’ai l’intention de faire une farce digne d’un ado pré pubère avec cet iguane c’est valide aussi »

Lui-dis-ai-je en souriant, en revanche je ne saurais dire si c’était de l’autodérision ou parce que je venais d’envisager la tête de ma pauvre victime dans ma tête, allez savoir !?

Ensuite j’ai repris un air plus sérieux pour me montrer plus explicite et plus clair face aux interrogations de Keller.

Concernant le prédateur je lui ai donc dit que nous n’en avons pas croisé et que si nous sommes bel et bien à proximité d’une route fréquemment fréquentée il y a avait peu de chance que l’on en croise mais que pour autant ça ne voulait pas dire qu’il n’y en avait pas dans la région. Après tout nous n’avons passé qu’une nuit sur cette planète alors…

Pour ma part s’il y avait un moyen plus rapide de rallier la porte il fallait tenter le coup, ne serait-ce que pour pouvoir espérer retrouver les secours, après encore fallait-il s’assurer de le trouver ce moyen et pour cela je ne voyais qu’une option : jouer sur un coup de poker pour y parvenir.

Bref ! Quoiqu’il en soit il fallait agir et surtout ne pas s’éterniser dans cette forêt, comme je m’en doutais nos ressources n’allaient pas tarder à s’épuiser, il allait falloir jouer sur le rationnement.

« À défaut de savoir quand les secours vont nous retrouver mieux vaut économiser l’eau et les vivres, si possible essayez d’éviter d’y avoir recours à moins qu’il s’agisse d’une absolue nécessité »

Et que le calvaire commence ! Entre la fatigue qui va s’installer, la possibilité que l’on puisse perdre plus de temps que l’on en gagnerait et j’en passe ça promettait d’être une véritable promenade de santé ! Non mais sérieux pourquoi il faut toujours que ça tombe sur moi ce genre de missions …

Après un soupir de profond désespoir j’ai donc repris mes équipements, mon fusil et j’ai marqué une pause pour tenter de résoudre notre problème de cap de la manière la plus rationnelle possible.

Une fois fixé sur la direction à prendre, à savoir Nord-Est si je me souviens bien, je me suis retourné vers le doc pour lui faire signe de m’accompagner en me montrant le plus rassurant possible, après tout ce n’est pas comme si les chances que je me plante étaient élevées n’est-ce pas ?

Bref à défaut d’avoir un dieu en lequel j’aurais pu croire pour me détacher de toute responsabilité en cas d’échec critique je me suis rattaché à la superstition et j’ai croisé les doigts.

Quelques kilomètres plus loin et une centaine de scenar. catastrophes imaginés comme à mon habitude, la chance légendaire des membres du programme SG frappa, c’était pas trop tôt !

Bon je m’explique tandis qu’on continuait notre randonnée, perdus dans la pampa, des bruits inattendus se firent entendre au loin.

« Ça va derrière ? Vous avez d’une pau… ? »

M’interrompais-je en entendant des bruits de pas et ce qui s’apparentait à une discussion. Après quoi je me suis arrêté l’espace d’une seconde pour m’assurer que je n’avais pas halluciné, une fois la confirmation de ce que j’avais entendu j’ai pour ainsi dire fait les gros yeux et m’écriai :

« Oh putain, j’avais vu juste ! Allez on y va !»

Puis j’ai passé la 5ème et je me suis mis à courir dans la direction d’où venaient ces fameux bruits en jetant au passage un coup œil rapide par-dessus mon épaule pour voir si ça suivait derrière.
Pour ce qui est de la suite je suppose qu’elle est facilement anticipable :

On est sorti des fourrés pour déboucher sur la fameuse route dont on avait supposé l’existence et on est tombé nez-à-nez avec les secours qui se sont fait un plaisir de nous raccompagner jusqu’à la porte pour finalement rentrer sur Atlantis.

Bon sur deux missions d’escorte de scientifiques/civils j’ai eu droit à deux missions de survie je pense qu’à l’avenir je vais m’abstenir de recommencer ce genre d’expérience … enfin ça, seul l’avenir nous le dira ^^’

HRP:

Jennifer suivit Tom sans sourciller et sans se plaindre. Elle commençait à se faire à l'idée qu'ils ne rentreraient pas de suite. Elle évitait de boire même.
Plus le temps passait plus elle se démotivait. Elle devenait silencieuse et marchait tel un zombi. Cela l’empêchait de penser qu'elle avait mal. Mal aux jambes, mal au ventre et commençait à avoir mal à la tête.

Jennifer levait régulièrement la tête d'un air dépité. Elle n'avait qu'une envie : dire à Tom de continuer tout seul, qu'elle n'en pouvait plus, qu'elle ne pouvait pas aller plus loin.

Jennifer regarda Tom et peina à lui répondre. Si ça allait ? Non. Bien sur que non, elle n'en pouvait plus et sincèrement, elle avait envie de pleurer.
Ses yeux suivirent Tom et elle le regarda partir en se demandant pourquoi.. et comment il pouvait être si frais, alors qu'elle n'avait qu'une envie : se rouler en boule contre un arbre et pleurer.

-"Sp… Spencer ? Revenez, vous allez ou ? Hey !
Ne me laissez pas toute seule !"

Toute décoiffée et fatiguée qu'elle était, Jennifer fit un effort qui lui sembla surhumain. Elle partie dans la direction que le militaire avait prise, levant les mains pour protéger son visage des branches.

-"Lieutenant Spencer ?…Lieutenant ? T .. Tom !? Ou êtes-vous ?
Ahh !"

Débouchant sur le chemin, Jennifer glissa et tomba à moitié d’inattention, à moitié de fatigue.
Une équipe de la cité était belle et bien là ?! Elle en aurait presque pleurer de joie. Enfin, elle pouvait se reposer. Et c'est ce qu'elle fit : elle se laissa prendre en charge par l'équipe, délesté du poids de son sac et s'endormit à moitié dés qu'elle fut a l'infirmerie pour le contrôle de routine.
Dormir. Manger, et dormir encore. Cela lui semblait un bon programme.

Mais avant de dormir, elle expliqua les soins qu'elle avait administré au lieutenant Spencer et le nécessaire fut fait pour que sa plaie au crane soit soignée dans les règle de l'art.
Avant de se laisser aller a dormir de tout son soul, elle alla justement voir le lieutenant Spencer. Ils rire de leur balade en foret et se séparèrent : il était fort probable que de toute façon ils se revoient, Atlantis n'était pas si grand après tout.

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Houston on a un problème !

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