A peine Elwen fut descendue du Jumper qu'elle fut prise ne charge par les militaire de la citée, il la menèrent en cellule de détention, mais le long de sa "promenade" elle pu admirer le style de la citée d'Atlantis, une architecture qui lui rappelait certain monument de sa galaxie, de rares monuments, mais le genre architectural était quasi identique, regardant a droite et a gauche, a chaque intersection, des scientifiques affairer a diverses taches, des ingénieurs, des soldat, beaucoup de soldat, il y avait de l’activité, même de nuit, elle se remémora son arrivée, pas forcément le meilleur moyen pour les mètre ne de bonnes dispositions a son égard, elle avait après tout assommer deux fantassin et blesser trois autres, elle voulue demander des nouvelles des blesser, mais a peine avait elle commencer sa phrase qu'un peut aimable et sec " la ferme!" vin lui clouer le bec, elle devait faire profil bas et cela pouvait se comprendre.

Une nouvelle série de couloirs, toujours se style familier, la marche continuait, visiblement, la citée était vaste, remarque elle en avait eu un bon apperçu quand elle avait piquer droit dessus avec son chasseur endommager, mais cela paraissait plus grand a l’intérieur qu'a l’extérieur, finalement on l'enferma dans une cellule protéger par un champs de force, une vulgaire couchette sans oreiller ni couverture, visiblement se peuple d'humain ne connaissait pas le minimum pour les prisonnier, enfin bref, ce n’était pas cela qui allait empêcher Elwen de dormir, elle avais connue bien pire au combat, elle s’allongea donc et fixa le plafond un moment, réfléchissant a se qui venait de se passer, puis, le sommeil fut le plus fort, elle se ramena légèrement en boule, un bras pendant dans le vide, les yeux clôt, un sommeil réparateur, plus que prévu et sans mauvais rêves, se fut le bruit d'une série de coup frapper contre du métal qui la tira de ses songes, elle se mit assise et s’étira, ses muscles ne lui faisait même pas mal, se qui eu pour effet de faire faire une grimace a un des gardes, visiblement il tablait sur le fait que la couchette inconfortable laisse des "traces" sur Elwen, mais quand on est habituer étant plus jeune a dormir a califourchon sur une branche d'arbre, sa vous forme un peut sur la définition du mot inconfortable.

La féline se mit donc debout, se disant que soit elle allait avoir un truc a grignoter, soit elle allait passer directement a l’inévitable interrogatoire d'usage, elle penchait plus pour la seconde solution, elle était la, a attendre, se demandant a quelle sauce elle allait être mangée.

Elizabeth soupira en reposant le compte rendu du Lieutenant Mcqueen et celui du Capitaine Summers. Quelques heures plus tôt, les deux officiers avaient du prendre en chasse un vaisseau non identifié qui les avaient attaqué. Summers c’était occupé de la partie aérienne et Mcqueen de celle terrestre. En lisant le rapport Elizabeth tentait tant bien que mal d’établir le profil psychologique de cette inconnue. D’ailleurs elle avait apparemment un physique des plus étranges ou tout du moins peu commun dans cette galaxie a ce qu’avait décrit les militaires. Quoiqu’il en soit, il commençait à ce faire très tard lorsque l’étrangère avait été arrêté par l’équipe au sol et Weir s’en sentit rassurée. Après tous, les Athosiens n’habitaient pas très loin et qui sait ce qu’il se serait passé si cette Astimar avait débarqué dans leur campement et elle ne voulait pas le savoir. Ils avaient évité le pire.

Malheureusement pour elle sa journée était loin d’être terminé, d’habitude c’était à Sheppard de s’occuper des interrogatoires avec toute l’arrogance dont il avait le secret. Mais cette fois son second était en mission et le docteur voulait à tous prix savoir à qui il avait à faire avant de prendre la moindre décision… Elle se leva emportant avec elle les deux dossiers des chefs d’équipes. A ce qu’elle avait compris elle avait mis KO plusieurs militaires et détruit l’un de leur Jumper… Heureusement il n’y avait pas eu de mort… Weir se dirigea alors vers les vitres de son bureau, elle observait avec respect et crainte cet anneau des anciens qui leur apportait tant de choses… Que ce soit des bonnes ou des mauvaises. Elle inspira un bon coup, c’était le moment de s’occuper de leur dernière prisonnière en date. Elle se dirigea donc d’un pas rapide vers les cellules à un étage plus bas. Plusieurs soldats avaient été postés sous ses ordres devant la porte du secteur carcéral, car à ce qu’elle avait compris leur prisonnière était plutôt maligne et surtout un bon soldat… Elle arriva enfin devant la dite porte et un lieutenant se dirigea respectueusement vers elle.

« Docteur Weir, notre prisonnière est en train de dormir, souhaitez-vous que je la réveille ? » demanda-t-il. Ce militaire était un peu brut de décoffrage, mais elle savait que ce n’était que parce qu’il y avait un de ses hommes qui avaient été victimes de l’arrivée surprise de ce soldat.

« S’il vous plait oui. » dit-elle en inclinant la tête positivement, serrant toujours ses dossiers dans ses bras. Elle le suivit donc alors qu’il rentrait dans la pièce, plusieurs gardes étaient de nouveau à l’intérieur, on ne rigolait pas avec la sécurité. Elle posa ses dossiers un peu plus loin sur une petite table pour être libre de ses mouvements.

« Debout la dedans ! » lança-t-il d’une voix brusque tout en tapant de sa crosse contre le métal de la cellule. La féline, car c’est ce à quoi elle ressemblait, se releva doucement. Elizabeth eut tout le temps de l’observer à la dérobée, son regard fixant d’abord le soldat qui l’avait réveillé. Elle passait presque inaperçu, mais ce n’était qu’une question de temps. Elle s’avança alors, se mettant en avant.

« Merci Lieutenant, vous pouvez retourner à votre poste. » dit-elle d’une voix sans équivoque avec cette autorité naturelle. Elle fixa alors droit dans les yeux leur nouvelle prisonnière, son corps était droit et fier et elle joignait ses deux mains en face d’elle, laissant ses bras tomber de toute sa longueur.

« Je suis le Docteur Elizabeth Weir. Dirigeante de cette cité et vous êtes ? » demanda-t-elle simplement. Il fallait d’abord voir si elle allait être coopérative avec eux, ce qui était bien sure dans son intérêt.

Elwen était toujours debout quand une femme arriva, elle l'observa des pied a la tête, une simple humaine, elle pouvait le sentir a l'odeur, plus de première jeunesse non plus, elle se présenta, Elizabeth Weir, nom peut commun chez elle, mais bon, elle devait se méfier tout de même, elle était la dirigeante de la citée, et donc elle se devait de lui témoigner du respect, la féline la salua a la façon Alkan, main gauche sur l'épaule droite et elle s'inclina légèrement en avant, puis elle revit a une position normale.

Soldat Elwen Astimar, je fais partie de l'escouade noire de l'infanterie polyvalente Alkan, je tien a vous présenter mes excuse pour ma réaction hostile vis a vis de vos forces de combat, et j’en profite aussi pour vous demander si les hommes que j'ai blesser vont mieux.

Elwen se entait mal a l'aise, elle n'avais eu affaire a une matriarche qu'une seule fois au cours d'un repas avec son père, elle ne savais pas quel était les usages avec ce peuple humain, si cela se trouvait, elle venait de l’offenser gravement, avec la matriarche Asoka, une telle chose pouvait passer car elle avais de l'humour, mais la, elle ne savais vraiment pas si c'etait bon, son malaise se retrouvait physiquement par un transfert de poids constant d’une jambe a l'autre et de mouvement rapides de sa queue, La matriarche humaine avais aussi un dossier papier, Sur le moment Elwen ne comprit pas, généralement les dossier était rendue sur tablette de contrôle, plus sur papier depuis des lustres, étai-ce une manœuvre ou était ils vraiment moins avancer technologiquement?

Elizabeth restait le plus neutre possible dans sa position et son regard, mais elle ne pouvait s’empêcher de la détailler. Après tout ce n’était pas tous les jours qu’on rencontrait une personne de ce genre. Elle avait une longue queue… Des oreilles de chat et des petits touffes de fourrure blanche . Il fallait bien avouer que c’était anodin. La dirigeante espérait juste ne pas énerver leur captive en l’observant ainsi, bien qu’il n’y ait aucun dédain dans son regard. Lorsqu’elle se présenta à elle, la féline s’inclina respectueusement devant elle. Tout du moins elle prit cela comme une marque de respect et espérait que c’était bien le cas pour le peuple de la féline. Elle ne mit pas longtemps à répondre à sa question de qui elle était. C’était donc un soldat. La doctoresse se demandait quelle était ses capacités du point de vu physionomique vu qu’elle n’était pas formée comme eux… Surement devait-elle avoir quelques particularités.

Quoiqu’il en soit la dirigeante fut touchée de l’attention qu’elle porta aux hommes qu’elle avait blessé. Elle ne savait pas si c’était de la manipulation,  mais elle la croyait sincère et son instinct la trompait que très rarement. Elle annonça alors faire partie de l’infanterie Alkan et Elizabeth ne voyait pas du tout ou ce monde pouvait se trouver. Non pas quelle pensait connaître toute la galaxie, mais elle aurait du entendre parler de ce peuple… Surtout qu’il semblait assez évolué au vu de l’équipement qu’on lui avait confisqué… La dirigeante décida d’incliner la tête calmement.

«  Ils vont bien, l’un d’entre eux est gravement blessé, mais notre médecin m’a assuré qu’il allait s’en sortir… Mais on ne peut pas en dire autant de notre vaisseau que vous avez… Explosé. » dit-elle  concernant le vaisseau que le soldat avait fait explosé au-dessus de l’océan. Sa voix c’était fait plus froide. Elizabeth voulait clairement lui faire comprendre que pour l’instant elle n’avait pas d’autre solution que de répondre à leur question si elle voulait être au moins bien traité… En soit la dirigeante n’avait rien contre elle… Mais prudence est mère de sureté.

«  Qu’êtes-vous venus faire sur notre planète ? Et d’où venez-vous exactement ? » La questionna –t-elle.  Elle avait réellement l’impression d’être en train de faire un interrogatoire, en même temps elle n’avait pas réellement le choix. Elle devait assurer la sécurité de la cité.  

«  Que pensez-vous des wraiths ? »demanda-t-elle de façon neutre. Elle ne savait pas si le peuple d’Elwen ne faisait pas parti de ceux qui avait passé un pacte avec ses monstres. Par exemple le peuple qu’ils avaient rencontré et qui donnait en pâture leur prisonnier ou leur criminel…

Elwen fut rassurer par les dire de la dame ne face d'elle sur les blesser, elle se décala d'un pas sur la droite, afin que le soldat de garde puisse l'avoir en visuelle elle et son interrogatrice, eviter de se prendre une balle dans le dos au premier geste rapide pouvais faire la différence, puis, la dirigeante de la citée posa deux questions, ou plutôt trois, se qu'elle faisait ici, d’où elle venait, et se qu'elle pensait des Wraiths, facile, attend, de quoi? Les Wraiths? bon, elle avisera surement sur la question, pour elle répondre dans l'ordre était primordial.

Bien, je serait honnête avec vous, pour commencer se que je fais sur votre planète, a vrais dire c'est le hasard qui m'a mener ici, une surcharge de mon hyperpropulseur pour être précise, je n'avais rien a faire ici, et j'enchaine donc sur la seconde question, je suis originaire de la galaxie de Nahistar, je suis née sur la planète Dator.

du point de vue d'Elwen, le professeur Weir ne devait pas saisir grand chose, ou alors elle comprenait subitement que la demi féline a qui elle parlait venait d'une autre galaxie que celle la, toujours est il qu'elle voulait être franche au maximum, donc, cette réponse était inévitable, tout comme la réponse sur les Wraiths, la sang mêlée se demandait bien de quel genre de peuple elle parlait, mais elle avais eu beau tenter de prendre un ton neutre, elle devina que c'etait une faction ennemie a la leur, elle devais a la fois être sincère et ne pas dire une connerie.


En revanche, pour se qui est des Wraiths, je suis désoler mais comme je vous l'ai dit, venant d'une galaxie différente je ne connait pas se peuple, que vous sembler ne pas porter dans votre cœur.

Elwen restait sur place, ne sachant pas trop comment réagir vis a vis de cette faction humaine, elle avait pourtant ordre de ne pas révéler quoi que se soit de majeur sur la fédération Alkan, a savoir surtout le point de vue technologique, mais si son chasseur ne c'etait pas auto détruit, ils pouvais bien récolter des données qui serait fort dangereuse, car oui, de sue qu'elle avais pu observer sur cette citée, la technologie n’était pas du tout le même que celle a laquelle elle avais l'habitude, elle devais jouer serrer, mais pour le moment sa l’était vraiment serrer, elle n'avait pas une grande marge de manœuvre.

Elizabeth ne savait pas réellement quoi penser de la présence de cette femme féline dans les murs d’atlantis. Elle n’avait pas le moindre moyen de savoir s’il pouvait lui faire confiance ou non et si c’était un véritable danger. Quoiqu’il en soit à ce qu’elle avait pu lire dans les rapports cette Elwen avait des capacités militaires très intéressante et étrangement Weir n’en doutait pas. Après tout c’était un soldat de son monde apparemment alors quoi de plus naturelle qu’elle ait reçu un entrainement. La diplomate écarquilla les yeux lorsqu’elle lui révéla venir d’une autre galaxie, cela faisait une sacrée trotte pour venir jusqu’ici ! Elle n’était même pas certaine que Mckay soit capable de situer la galaxie qu’elle mentionnait.

«  Personne n’a pu vous suivre alors ? » demanda-t-elle alors qu’elle s’imaginait déjà une armée débarquer sur la planète. Mais au vu de ce qu’elle avait dis c’était une défaillance technique dont il ne devrait pas avoir de poursuiveur, mais mieux valait s’en assurer. Quoiqu’il en soit elle ne put que noter que l’hyperpropulseur qui l’avait amené ici aller être une véritable cadeau de technologie pour l’équipe scientifique. Elle s’imaginait déjà leurs yeux brillants lorsqu’elle leur annoncera qu’ils vont pouvoir étudier sa technologie.

Concernant le sujet des wraiths en effet sa question n’avait plus vraiment de sens… Si on pouvait vérifier son histoire il était logique qu’elle ne connaisse pas leur ennemi. Weir acquiesça d’un signe de tête. Rien qu’en passant à leur ennemi cela lui donnait froid dans le dos. Elle savait que beaucoup de peuple donnerait n’importe quoi pour exterminer la menace wraith, mais pour l’instant c’était impossible.

«  En effet… Ils sont selon nous les plus grands prédateurs de notre espèce dans cette galaxie. » dit-elle avec le sérieux qui lui caractérisait. Elle dévisagea de nouveau la féline pour lui demander ;

« J’ai cru comprendre que vous avez engagé le combat aérien… pourquoi ? »

Son regard restait froid, elle ne voulait pas influencer leur ‘invité’ avec un regard sympathique ou sévère. Quoiqu’il en soit il était facile de deviner que le peuple de cette jeune femme était nettement plus évolué que les terriens au vu des choses qu’il avait découvert dans le vaisseau. Elle fronça ensuite les sourcils, la question qu’elle allait poser été plus délicate.

«  J’ai remarqué que vous n’étiez pas… Comme nous… J'ai raison ?  » dit-elle dans l’espoir qu’Elwen prenne la parole pour lui expliquer son peuple et ses origines plus personnel.

« Vous pensez pouvoir rentrer facilement chez vous ?»

Visiblement l'idée que l'armée Alkan la suive semblait être source de peur pour la dame en face d'elle, et elle pouvais, car elle même ne savais pas si son père allait tout faire pour justement savoir ou elle est, car si oui, Le Tichondria ou un overcraft était envoyer a sa suite, et que les humain tentait quoi que se soit d'hostile, sa allait barder pour leur matricule, il suffisait que le vaisseau la localise, estime ses tir et façe un pilonnage stellaire dans les règles pour réduire a néant la résistance terrienne.

Et bien je doit vous avouez que je ne sait pas, si mon père a eu le temps de loquer mon bond, il y a des chances pour qu'il vienne en personne me récupérer, si je me range de votre coter en mentant que vous m'avez sauver il n'y aura pas de casse je serait juste téléporter sur le Tichondria et nous repartirons, mais si vous avez l'intention de déclencher une guerre, je doute que cette superbe citée tienne plus de trois minutes a un pilonnage stellaire intensif.

Elwen ne voulait pas paniquer Elizabeth, mais elle ne voulais pas non plus trop la rassurer en disant que personne ne viendra la chercher, elle dit simplement par la suite que les fameux Wraith était les plus grand predateurs de cette galaxie, pas plus d'info, puis vin la question qu'elle attendait avec crainte, pourquoi elle avais engager le combat, et le elle devais etre convaincante.

En premier, je doit m'en excuser, ce n’était pas mon intention première, mais je venais de sortir d'un bond hyperspacial difficile, mon chasseur lourdement endommager, désorienter et paniquer, quand j'ai vue sur mes écran que l'armement de l'engin qui est venu a ma rencontre était activer, j'ai paniquer de nouveau, m'attendant a une attaque, j'ai donc engager sans sommation.

une fois chose dite, il y eu un petit silence, la croyait elle? elle ne pouvait le savoir, puis, elle fit la remarque qu'elle était différente d'eux, en bref, le sous entendue peut discret était "parle moi de toi tu m'intrigue" de nouveau elle eu une hésitation, avait elle le droit de dire qui elle était vraiment? puis elle se dit que le franc jeux était plus simple.

Je ne suis pas comme vous, c'est vrais, enfin, en partie, je suis a moitié humaine, et a moitié félinéïde, sa ne m’étonnerait pas que vous ne connaissiez pas non plus cette race, c'est mon sang maternel, se qui explique notamment cela, ... elle désigna ses oreilles qu'elle fit bouger ..., ou la fourrure qui recouvre certaines partie de mon corps, comme mes mains, ou la queue que j'ai en bas du dos qui est typiquement de se sang, je ne suis pas un croisement artificiel, mes parents mon conçue, naturellement, comme le code génétique humain est souple comme celui des félinéïde, les hybrides sont parfois vue, plus ou moins bien, car ma race maternelle a longtemps été esclave des humain, et il y a encore parfois des tentions entre nous, mais j'ai aussi d'autres aptitudes de ma mère mes dents, l’équilibre, l’ouïe, la vitesse, la vue, bref, beaucoup de sens, exemple.

Elwen sauta alors debout sur le dossier d'une chaise et resta sur un pied en équilibre parfait, la longue queue de la féline contrebalançant parfaitement le déséquilibre logique de la position, elle resta ainsi un court instant avant de redescendre de son perchoir.
Puis, la matriarche lui demanda si elle pouvais facilement rentrer chez elle, Elwne eu alors une grimace indéfinissable.

A vrais dire je n'en sait rien, je pourrait dire oui comme non, cela dépend si on viens me chercher ou non, car je doute que mon appareil soit réparable, de plus, mon hyperpropulseur a griller, donc de se coter la, sa va être très dur.

Voila, elle avais répondue au groupement de questions poser pour le moment, elle restait face a la matriarche, les deux mais dans le dos dans une sorte de garde a vous, attendant la suite avec crainte.

Leur prisonnière était plutôt bavarde ce qui était un bon point pour elle. En même temps, coincée entre ces quatre murs, il était préférable pour elle qu’elle collabore plutôt de se montrer entêtée, surtout qu’elle avait réussi à détruire l’un de leur jumper et que ces petits vaisseaux leur seraient bien utiles… Mckay avait en effet découvert que dans près de trois semaines, les wraiths seraient à leur porte. Lorsqu’Elwen parla de son peuple cela ne rassura pas la diplomate. Après tout il n’avait pas besoin d’avoir un ennemi de plus qui se dirigerait vers Atlantis… La situation était déjà assez critique comme ça à son gout.

Elizabeth écouta avec attention, apparemment c’était une question de chance… Mais lorsqu’elle comprit que c’était le père de la jeune fille qui la recherchait, Elizabeth se dit qu’il ne fallait jamais sous-estimer la volonté d’un père ayant perdu sa fille. Elle savait qu’il n’y avait rien de plus fort que les liens familiaux et que pour une père sa fille était la 7ème merveille du monde. Elle posa son regard froid sur Elwen. Déclencher une guerre ? Ce n’était pas du tout son but au contraire, son but était d’assurer la sécurité d’Atlantis un point s’est tout.

«  Nous n’avons pas l’intension de déclencher une guerre… Mais sachez que ce n’est pas en nous menaçant avec vos technologies que vous croyez plus évolué que cela va arranger les choses entre nos deux peuples. On a la réputation d’être assez résistant dans cette galaxie »dit-elle avec un petit sourire presque provocateur. Elle n’aimait pas qu’on sous- entende la destruction de la cité, ce qui était plutôt logique. Et surtout elle ne voulait pas que ce soldat pense qu’ils étaient impuissants et sous développé, ce n’était pas le cas. Enfin pas vraiment.  «  Quoiqu’il en soit, nous ne vous ferons aucun mal, il ne devrait donc avoir aucun problème. Mon but est juste de savoir si vous êtes un danger pour mon peuple, je suis sure que vous comprenez donc les mesures qui ont été prises. » Ajouta-t-elle simplement pour ensuite enchaîner sur une autre question, surement la plus importante. Pourquoi les avoir attaqués ?

Dans un premier temps elle s’excusait. C’était déjà un bon début ou alors était-ce une stratégie pour mieux les amadouer et leur faire du tord ? Elizabeth tentait de décrypter le comportement de la jeune femme. Elle avait toujours été doué pour faire ça, après tout des années à se confronter à des politiciens l’avaient aidé, mais elle n’était pas sure des réactions de la jeune femme. Après tout elle n’était pas totalement humaine.  Elle semblait légèrement anxieuse sur sa réponse. Quoiqu’il en soit la dirigeante l’écoutait avec attention… C’était vrai que se retrouver dans un endroit inconnu et accueilli par un vaisseau armé ne devait pas être des plus rassurant… Elle se contenta de la fixer en silence, juste quelques secondes pour décrypter sa réaction. Elle posa ensuite la question qui lui brulait les lèvres. Qui était-elle ?

Félinéïde… En effet elle ne connaissait pas cette race… Mais qu’importe elle ne pouvait que la croire de toute façon vu qu’elle n’avait jamais croisé des gens comme elle… Elle lui décrivit son monde, tout du moins son peuple. Elizabeth se demanda si la jeune femme avait eu une enfance heureuse, après tout cela ne devait pas être facile d’être à la fois de deux peuples, mais de ne vraiment l’être.  A ce qu’elle comprit, Elwen avait donc des capacités supérieur aux êtres humains… C’était impressionnant. Pour lui donner un petit avant goût de ses capacités, la félinéïde sauta avec grace sur le dossier d’une chaise pour en suite y rester en équilibre. Elle lui faisait penser à un chat.

«  C’est impressionnant. » lui confia la dirigeante avec un petit sourire presque amical. Restait à savoir si elle pouvait rentrer chez elle. Si c’était le cas alors la chose serait réglé, elle rentrerait tranquillement chez elle et la cité reprendrait sa défense contre ses ennemis de toujours.

« Vous ne pouvez donc pas rentrer chez vous par vos propres moyens… »

Le fait qu’elle n’évoque pas de porte des étoiles voulait surement dire que leur peuple ne connaissait pas ce système de transport. Elizabeth savait déjà qu’elle ne lui parlerait pas de ce moyen pour partir, juste une question de sécurité.  Quoiqu’il en soit la diplomate pouvait déceler un sentiment de crainte qui s’échapper de leur prisonnière. Il fallait dire que pour l’instant elle ne pouvait rien faire… Elizabeth se rapprocha un peu plus de la cellule.

«  Est-ce que vous pouvez me promettre que vous n’êtes pas un danger pour notre cité ? » dit-elle d’une voix sérieuse et forte. Elle fixait Elwen droit dans les yeux, sans ciller.

Visiblement la matriarche de la citée la croyait et fut visiblement impressionner par la prouesse d’équilibre sur le dossier de la chaise, elle confirma d'un hochement de tête quand Elizabeth dit qu'elle ne pouvait rentrer par ses propres moyen chez elle, puis, la question que Elwen attendait aussi, la matriarche voulait savoir si elle ne serait pas un danger pour la citée, bien sur, elle ne pouvait être sure a 100% que la féline ne répondrait pas oui pour mieux les trahir, mais elle ne voulait aucun mal enver cette citée, mais comment le prouver? Comment faire pour garantir qu'elle ne serait pas un danger pour le groupe en se lieux.

Je me doute que ma simple parole ne vous suffira pas, mais si possible, j’aimerai aider sur la citée, un peut comme une peine d’intérêt général si vous voyez se que je veut dire, il est vrais que ma réaction hostile ne premier lieu ne m'a pas aider a se que vous me fassiez confiance, mais j'aimerai que vous puissiez me croire, que vous puissiez me faire confiance, alors si je peut aider en quoi que se soit sans m'approcher d'une arme, je le ferait.

Elwen avais fini de parler, mais dans sa voix on pouvait y sentir une part de tristesse, elle était évidement sincère sur le fait qu'elle voulait aider, mais elle n’était pas sure que l'on croie se qu'elle disait, d'un coter cela se comprenait, mais elle se demandait aussi elle même comment elle pourait aider sur la citée, peut être que ses connaissances apprise en entrainement pourait aider, surtout le plan mécanique, sachant faire les réparation de bases sur un chasseur, elle pouvait donc aider a l'entretien d'un jumper, ou aider les soldat a s'entrainer au corps a corps, qui sait, cela pourait les aider aussi, car au contact se qu'elle avais vue des fantassin, ce n’était pas vraiment au point, enfin, Elwen fixa elle aussi la matriarche dans les yeux, de son regard océan, voulant la convaincre qu'elle pouvais être utile.

Vous savez, même servir de coursier me conviendrait, mais j'ai des bases en mécanique avancée, je peut aider vos hommes a s'entrainer au combat avec les technique que j'ai apprise, bref, je ferai se que vous me demanderez.

Elwen voulait vraiment trouver une utilités au fait qu'elle soit la, compte tenue du bordel qu'elle avais déclencher

La confiance… Elizabeth avait appris à la donner aux bonnes personnes, mais il lui arrivait encore de se tromper. Sauf qu’à présent ses erreurs pouvaient être fatal pour l’expédition qu’elle dirigeait. C’était une énorme responsabilité qu’elle avait quotidiennement sur les épaules et elle avait beau garder la tête haute ce n’était pas tous les jours facile. Elle observait avec curiosité Elwen, savoir si l’on pouvait faire confiance à quelqu’un que l’on ne connaissait pas été difficile. Pourtant Liz était toujours partie de la foi en l’homme… De toute façon que pouvait-elle leur faire ? Ils étaient plus nombreux, plus armés et connaissaient parfaitement la cité contrairement à elle.

Elwen parla avec sagesse. Il était vrai qu’une parole n’était pas beaucoup, mais ça pouvait suffire parfois… Elle écoutait attentivement les dire de la jeune fénéïde… Elizabeth crut déceler de la tristesse dans sa voix et espérait que ce n’était pas un leur pour utiliser ses sentiments et sa compassion. En tout cas elle semblait vraiment peinée et presque désespérer. Il fallait dire que la seule chance d’avoir une vie descente en attendant ses secours était qu’ils leur fassent confiance et qu’ils ne la laissent pas pourrir en prison ainsi. Elle planta son regard dans le sien, c’était d’ailleurs un très beau regard, avec cette forme si particulière des chats.

«  Je ne doute pas de vos capacités Mademoiselle Astimar… Vous l’avez dit vous-même, ce n’est pas facile de ce contenter de parole quand on a une cité entre les mains.. » ajouta-t-elle en la fixant. Elle inspira et lui accorda un sourire bienveillant.

« Je vais attendre le retour de mon chef militaire, j’estime que c’est une décision que nous devons prendre ensemble. »dit-elle d’un ton calme et plat. «  Sachez cependant que pour l’instant, je suis pour votre libération partielle dans un premier temps… Vous seriez accompagné de garde que vous accepterez sans tenter de les semer ce qui serait considéré comme une fuite… » finit-elle par ajouter par un ton des plus sévères.

Elle s’inclina légèrement et se dit qu’il était temps pour elle de prendre congé et de réfléchir à tout ceci en attendant le retour de son second. Elle se saisie de ses dossiers papiers et se retourna de nouveau vers Elwen.

«  Avez-vous besoin de quelque chose ? de l’eau, de la nourriture ? »

Après ces rapides politesses la docteur en politique finit par clore la discussion.

«  Je viendrai vous voir dés que nous aurons pris notre décision. D’ici là prenez votre mal en patience. »

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