Visiblement le gars avais fait le choix de rester sur place seul, bien, si il voulait, pas de problème, je ne doutait pas qu'il pouvait se débrouiller, Finalement cerise monta derrière moi, l'autre homme prit Astrod alors que éclat d'ombre était sous mes jambes, je lança le cheval au galop, le second suivit de lui même, nous partons pour une bonne chevauchée, qui dura bien trois heure, le début au galop sur les premier cinq cent mètres puis nous passâmes au pas, et enfin nous arrivâmes a la forteresse, un immense mur de bois fait de solide tronc d'arbre, je fit signe aux sentinelle de nuit qui me reconnurent, il crièrent que l'on ouvre les portes, avec un sourire j’entrai avec Cerise et l'autre gars don je ne retenait pas le nom, en même temps je me décida enfin a recharger mes armes, car ici on ne sait jamais, je fit un sourire a Cerise a demi retourner sur la selle pour la voir.

Voici la forteresse d'Atinal, un lieu a l’abri des Nagal, nous pourrons dormir tranquille et vous pourrez faire un brin de toilette comme promis, mais d'abord, j'ai une ou deux chose a régler, par contre, ne me lâchez pas d'une semelle une fois pied a terre, les gents d'ici n’ont pas l'habitude de voir des étranger, et surtout que vous, on vous remarque.

Je fit avancer le duo de chevaux dans les rue sombre, les connaissant parfaitement, je fit halte devant le saloon et mit pied a terre pour attacher les chevaux, enlevant la sacoche cavalière contenant les quelques petites choses trouver dans la maison.

Aller, venez, on vas boire un coup et manger un morceau, puis on dormira, demain je ferait des emplettes et on verra si les vôtres vous contact.

( le fort ressemble a un fort de type far west avec une ville a l’intérieur toujours dans le type far west)

Équipement

Fusils a levier 10 /10 coup

Colt a droite 2 fois 6/6

Colt a gauche 2 fois 6/6

Katana en parallèles a fourreau du fusil a levier

Poignard dans ma botte gauche

Ceinture de cartouche 45: 13 cartouches

Ceinture de cartouche a levier : 29 cartouches

Cerise et le grand me suivait parfaitement, les rares personne que l'on croisait les regardait étrangement, mais ce n’était pas un problème pour moi, je n'avais cure de se qui se racontait, dailleur elle disait que se serait une bonne idée de faire un brin de toilette avant de passer a table sinon on vomirait plus que mangerait a cause de l'odeur, se qui me tira un petit rire, d'un coter elle n'avais pas tord, c'est vrais qu'elle puai la charogne, voir pire, toujours est il que je voulait faire deux trois affaires avant de passer a table, je me rendit a l'armurerie ou je fit le plein réel de munitions, pour mes armes, je mit aussi dans un sac ne toile un petit quelque chose pour mademoiselle Cerise, elle l'aura a la fin du repas, je pense que sa devrai lui plaire, d'autant plus que sa sera utile pour la suite.

Bien, allons manger et nous reposer, on en a besoin, je préviens sa sera pas de la haute gastronomie, mais au moin sa nous calera le coco jusque a demain.

Je les mena au saloon ou j'avais une chambre attitrer, Cerise pu comme sa se décrasser un peut et devant la porte de la salle de bain, je déposa une de mes tenue pour qu'elle puisse se changer, et ainsi passer plus inaperçue, une paire de botte, un pantalon marron avec une chemise noire et une veste en cuir marron elle aussi, et bien sur, un chapeau, je me disait que cela lui irait parfaitement, puis, je redescendit avec le gars qui l’accompagnait et nous primes place autour de la table en attendant Cerise, une attente longue et un peut ennuyeuse car on pouvais pas dire qu'il avais vraiment envie de parler.

Nous fumes a peine servi dix minutes plus tard que Cerise nous rejoignait, j’eus un moment de flottement quand je la vit, dans cette tenue, elle était tout simplement magnifique, le style de mon monde lui allait comme un gant, et elle nous souhaita une bon appétit, quand je reporta mon regard sur le plat de porc aux haricot j’eus envie de rire, toujours est il que nous avions de la viande au menu c'etait déjà pas mal.

Sous la lumière des lampes a huile, Cerise me questionna tout en mangeant, me demandant de nouveau d'ou venait les Nagal, depuis combien de temps nous vivions comme cela, l'etendue de notre civilisation et notre culture, le grand gars ne tarda pas a faire une sale reflection qui ne me plue pas, mais visivblement Cerise, plus diplomate que moi utilisa le chantage, laissant une belle insinuation sur sa virilitée douteuse, ajoutant qu'il pourait bien dormir par terre ou aller garder les chevaux, se qui, avec le joli sourire sadique qu'elle employait me donnait envie de rire, se que je me retin de faire pour ne pas trop vexer le pauvre gars qui se faisait démonter verbalement, puis, redevenant la fille la plus charmante du monde, je pu enfin lui répondre.

Bien, je vais vous dire se que je sait, ces créature, les Nagal, était des gents comme vous et moi, il y a un moment, je devais avoir a peine huit ans a l’époque, mes souvenir son trouble, une chose est tomber du ciel et a frapper la terre, des curieux on tenter de manipuler cet objet, une roche parrait il, et il se sont transformer en Nagal, Nagal dans notre jargon veut dire "mort qui marche", car ce n'est pas possible d'encaisser un tir de levier en plein coeur et de rester debout, enfin bref, il se sont rependue rapidement, les plus rapide comme ici on batit une forteresse autour de la ville, sa dure depuis se jours.

Je bue une gorgée d'eau avant de poursuivre.

Pour se qui est de notre culture, je dirait que la devise sa serait plus "garde ton six coup a portée de main en toute circonstance" que "l'es champs sont plein de jolie fleufleur"
Et l’étendue de notre nation, ce n'est pas grand chose, des fort a droite a gauche, et des ruines, ainsi que du sable a perte de vue, le plus grand truc inventer chez nous c'est la poudre et les armes a levier, je ne sait pas a quoi sa ressemble chez vous, mais en tout cas, niveau matos, vous devez être en avance.

Et nous pûmes terminer de manger dans me silence, une fois le repas terminer, je sortit de sous la table le sac de toile et le tendit a Cerise.

Ce n'est pas grand chose, et je n'ai pas eu le temps de faire de paquet, mais c'est un cadeau, sa sera plus utile que votre arme qui tire de la foudre, inefficace contre eux.


Dans le sac, il y avais un ceinturon avec deux six coup noir en holster, charger, avec quatre barillet de recharge, se qui lui donnait une autonomie de trente six cartouches, pas mal pour une débutante.

Visiblement mon cadeau plus a Cerise, se qui me fit sourire, elle me demanda si elle pouvais aussi garder mes vêtement le temps de rentrer surement, car peut être que les, les quoi?, enfun bref, les gars de chez elle voulait faire des truc avec les reste de Nagal, je ne savais pas du tout se qu’était les "rientiqhiste", mais surement un truc important chez elle, afin de cacher mon manque de connaissance sur leur civilisation je lui fit un grand sourire charmeur et lui répondit doucement.

Si ils te plaisent a se point la, je t'en fait cadeau également, sa pourait t’être utile plus tard qui sait, on ne sait jamais.

Par contre la discutions prit un tournant intéressant, le grand gars, Patchoulie, se mit a discuter armement avec moi, notamment sur le fonctionnement et terme technique, je demonta alors un de mes colt devant lui pour lui montrer, mais il ria et me dit qu'il connaissait déjà le principe du barillet et de l'arme a levier, une étape dépasser par leur peuple, en vue a des armes plus puissante, et surtout, tirant en un mode exclusif pour moi, l'automatique, pas besoin de lever un chien ou de faire jouer le levier pour tirer de nouveau, juste garder le doigt sur la détente et toute les munitions suivent, étonnant, il me montra alors son arme, qu'il appela le P-90, je nota le nombre impressionnant de munition dans se qu'il appelle le chargeur, il me dévoila qu'il y en avais 50 au total, mais je nota aussi que les cartouche n’était pas dans le bon sens quand il mettait le dit chargeur, il m'exopliqua aussi que le P-90 était la seule arme a faire sa, faisant faire une rotation d'un quart de tour a la munition pour la tirer, et quand il me donna la cadence minute de l'arme, je fut stupefaite, pendant se temps, Cerise c'était endormie sur sa chaise, se fut la que la conversation se fini, mais du coup, entre Patchoulie et moi, il y avais un début d'entente, l'armement, peut etre autre chose plus tard qui sait, si bien sur je par avec eux, se que j'espère bien sur.
Patchoulie monta Cerise dans ses bras pour la mètre au lit, et je rejoignit ma chambre également, dormant d'un sommeil de plomb, comme a chaque fois que je dort a la forteresse, je me réveilla la première et alla toquer a la porte de Cerise une fois habiller et prête, quand elle ouvrit, elle avais les cheveux en bataille se qui me fit sourire, la tentation de l'embrasser était forte, mais je m’abstins de le faire, ne sachant pas de quel bord était la demoiselle.

Bonjours, oui, une bonne nuit, pour une bonne journée en perspective, et je suis tout a fait pour le fait de retrouver votre équipier, si il devais vous contacter et que cela n'a pas été fait, je trouve sa aussi inquiétant, bien que je ne doute pas de ses aptitudes sur la survie, retrouvez moi en bas pour un déjeuner, ensuite, on selles les chevaux, et on y vas.

Une fois devant la table nous eûmes la chance d'avoir du pain frais et de la confiture, une denrée rare, mais le barman, Edye, était un bon amis a moi, et une connaissance sure, mais alors que le petit déjeuner touchait a sa fin, un groupe entra dans le saloon avec violence, je les reconnue immediatement, la bande de Nedertoon, une petite frappe qui se croyait fort, je murmura alors a Cerise et Patchoulie.

Si jamais sa dérape laissez moi faire, ne vous en mêlez pas, sa pourait mal finir.

ALors que la bande se dirigeait ver Edye qui ne savais pas trop quoi faire.

Évidement , comme d’ordinaire se lourdaud tenta de me faire la cour, a sa manière bien sur, mais bon, pas du tout interesser par lui moi, je le serait plus si c'etait Cerise qui tentait de me séduire, puis voyant que cela ne marchait pas (encore) il se rabatit sur cerise qu'il embarqua dirrectement sur son épaule, mais avant que j'ai eu la moindre chance de faire quoi que se soit Patchoulie intervint et mit a terre le lourdaud, expédiant Cerise sur la table a coter ou heureusement elle ne se fit pas mal, et la situation, comme je m'y attendait dégénéra, Cerise avais jouer un joli coup de bluff en faisant mine de dégainer, les autres se désintéressèrent d'elle mais pas de moi ni de Patchoulie, et se fut la mêlée, coup de poing coup de pied, fracas de bouteille éclater sur un crane, tout y passa, et finalement, arrivant a nous soustraire discrètement a la baston et nous pûmes ainsi filer du fort, et donc retourner ver la ville ne ruine pour retrouver l’équipier manquant pour mètre les voiles, et se j’espérais bien définitivement, je ne voulait plus remettre les pieds ici, mais nous voici a présent a l'orée de la ville, les bâtiments se distingues facilement, mais j'ai soudainement une idée maussade, je ne pourait surement pas emmener mes deux chevaux la ou nous allons, alors je sait quoi faire, une fois arriver je fait mètre pied a terre a tout le monde et défait harnachement des deux chevaux, et les laisse partit au loin, avec des larmes dans les yeux, je fini par les chasser, je sait bien qu'il serons en sécurité, se sont des chevaux intelligents que j'ai eu, ils s'en sortirons, de plus, les Nagals ne s'en prenne pas aux animaux.

Bien allons retrouver votre amis, mais toujours discrètement, on ne sait jamais, le plus simple, c'est les toits, allons y.

Je fit signe ver l’échelle qui menait au toit le plus proche, et je la gravit en éclaireur, personne sur le toit, je fit signe a Cerise et Patchoulie de venir.