Vala méditait dans son lit. Enfin méditer est un bien grand mot disons plutôt qu'elle lisait les dernières nouvelles de ses couples de star préférés. C'était sa méditation à elle. Bref après avoir appris à son plus grand regret que Victoria et David Beckham s'étaient séparés. Il faut dire que ces derniers temps rien n'allait plus. Soudain elle regarda l'heure 19H mon dieu elle était en retard. Elle courut prendre sa douche en bousculant deux trois soldats sur le chemin et courut tout autant pour mettre sa tenue de soirée. Une belle robe noire sans plus

Suite a venir

Une gorgée de ce liquide brûlant vient lui caressait doucement la gorge. Elle reposa sa tasse de café ne lâchant pas des yeux son ordinateur. Elle devait terminer ses calculs pour dans trois jours, bientôt elle allait devoir monter dans le Prométhée pour mettre en place les nouveaux réacteurs. Les derniers paramètres devaient être opérationnel pour qu'elle vérifie que tout était bon pour l'essai. Mais quelque chose lui résistait, elle n'arrivait pas régler les compensateurs inertiels par rapport à la nouvelle puissance des réacteurs. Alors qu'elle continuait son travail acharné, quelqu'un se décida à la déranger. Elle leva son regard azur vers la personne qui venait d'entrer et qu'elle ne fut pas sa déception de voir que c'était juste Felger..

«  Ah Colonel Carter ! Vous allez bien ? Je vous voulais savoir si vous aviez réussi à régler les compensateurs inertiels ? »
«  JE suis en train de travail dessus docteur. » dit-elle en reposant son regard sur l'ordinateur.
«  Ah d'accord... Et dites moi vous comptez aller à la fête de Thankgiving ? Non parce que je me disais que peut-être je pouvais vous y accompagner et... »
«  Je ne sais pas si je vais avoir le temps... Il faut que je termine mes calculs avant donc... »
«  Oh je comprends tout à fait ! Vous voulez de l'aide peut-être ? » proposa-t-il en s'avançant vers elle. Il cogna alors contre le bureau et réussit à renverser la tasse de café. Sam eut le réflexe de relever la tasse le plus rapidement possible, mais le mal était fait le liquide chaud venait de tomber sur son pantalon. C'est alors que Felger s'empressa de prendre son mouchoir pour venir lui essuyait son pantalon, s'excusant en toute les langues. Elle le leva les bras tentant de se calmer avant de le repousser par les épaules.

« Felger c'est bon ! Je vais me débrouiller toute seule. Merci. »

Son regard était sans appel. Heureusement le docteur comprit qu'il fallait mieux qu'il déguerpit si il ne voulait pas être découpé en morceau. Elle soupira et se releva pour aller chercher des mouchoirs et tenter d'éponger le liquide sur sa table. Avec chance il n'avait pas touché l'ordinateur ou ses papiers. Elle tenta de rattraper le mal qui avait été fait à son pantalon, mais c'était peine perdu. Elle regarda l'heure... Elle n'avait pas beaucoup de temps si elle voulait aller à Thanksgiving et finir ses calculs. Elle se décida alors de continuer son travail dans sa tenue remplie de café.

Elle but une autre gorgée, ou plutôt elle essaya, mais sa tasse était vide. Elle se leva et alors qu'elle allait se diriger au messe pour remplir sa tasse et elle regarda l'heure. Son cœur rata un battement. Elle était en retard pour la fête. Est-ce qu'il allait lui en vouloir ? Elle reposa sa tasse et se dirigea a petite foulée vers ses quartiers. Elle prit rapidement une douche pour se débarrasser de l'odeur de café. Elle revêtit son uniforme bleu marine qui lui allait si bien. Elle se dépêcha d'aller dans la salle. Elle avait manqué le discours du général. A peine arrivé dans la salle qu'elle voyait Felger se diriger vers elle...Malheur ! Elle avait tout sauf envie de lui parler ! Elle vit alors son sauveur un peu plus loin. Elle se dirigea vers lui et arriva avant que le scientifique ne la rattrape.

« Tealc. Je suis heureuse de vous revoir. Comment allez vous depuis la dernière fois ? » demanda-t-elle poliment. Heureusement Felger en voyant le grand black avait fait demi tour ! Et en plus elle était en charmante compagnie.

William sourit aux commentaires de son supérieur concernant les politiques américaines, affirmant préféré avoir affaire à une ordre sanguinaire de Jaffas. Alors qu'il répondait au Général, il remarqua que Abbygaëlle lui rendit son petit salue. Mais, elle semblait très occupée à remettre à sa place son ami. William lui sourit avant de se concentrer de nouveau sur sa conversation.

«Je veux bien vous croire mon Général. J'ai eu affaire à quelques spécimens quand j'étais au FBI.»

En effet, l'ancien agent avait travaillé sur une ou deux affaires impliquant des politiciens. Si cela n'avait tenu qu'à lui il leur aurait bien mit son point au nez. William avait d'ailleurs reçu à coincer à de ses pourris, qui moisissait maintenant en prison. Cette enquête avait presque coûté sa plaque à l'ancien agent, s'attaquer à un politicien n'était pas une chose aisée. De plus, son patron ne l'appuyait pas dans sa démarche. Heureusement, il avait réussit à récolter assez de preuves.
Il but une autre gorgée de sa bière, écoutant le conseil de son supérieur concernant la recherche d'un logement en dehors de la base.

«Je veux bien vous croire. Maintenant, il ne me reste plus qu'à trouver un petit moment pour faire le tour des appartements du coin.»

Depuis son arrivée au sein du SGC, le Sergent n'avait pas chaumé. Il faut dire que cela prend beaucoup de temps de se faire croquer par une créature mystérieuse et féroce (surtout féroce), être bloqué sur une autre planète et cetera. De plus, il attendait toujours l'autorisation d'avoir un logement en dehors de la base, mais l'administration ne semblait pas être pressé. Il aurait peut être une autorisation à sa retraite...

William sourit aux remarques de son supérieur concernant les Asgards et le fait qu'il devrait éliminer son subordonné dans le cas où il lui en apprendrait un peu trop.

«Parce qu'il y a des secrets plus gros que la porte des étoiles ? Non, ne me dites pas. Kennedy était un Asgard ?»

Bien entendu, il plaisantait. Quoique, nous ne pouvons être sûr de rien, n'est-ce pas ?

«Vous pensez qu'un jour ce secret sera révélé ? Je parle de la porte, pas de Kennedy.»

Le Sergent se demandait si s'était une bonne idée de faire découvrir au monde que l'univers était remplit de vie. Au moins en ce qui concernait deux galaxies, alors pourquoi pas les autres ? Cela permettrait peut être à l'humanité de se rendre compte que les conflits internes n'étaient rien fasse à l'immensité de l'univers.

L'ancien agent du FBI sortit de ses pensées pour se concentrer sur les personnes que désignait le Général O'Neill. Il montra d'abord un homme, un verre à la main, en train de discuter. William comprit qu'il s'agissait du Docteur Daniel Jackson. Ce dernier avait réussit à comprendre le fonctionnement de la porte des étoiles. Il paraissait qu'il avait effectué plusieurs fois l'ascension, et qu'il ne tenait pas l'alcool. Ce dernier point donna un sens à la phrase suivante, que Teal'C ferrait mieux de le surveiller.

«Une blague Jaffa ? Ça existe ?»

William était agréablement surprit, et malgré la mise en garde du Général, il aurait ravi d'entendre une blague Jaffa, une blague extraterrestre. Ce n'était pas tous les jours que l'on pouvait entendre une blague qui venait d'aussi loin dans la galaxie.
Il continua de balayer la pièce du regard, observant quelques personnes, lorsque O'Neill désigna un scientifique. Il conseilla d'ailleurs à William de l'éviter au temps que possible.

«Oui, c'est ce que j'ai entendu. Littéralement. Son laboratoire a sauté à plusieurs reprises.»

L'ancien agent du FBI était un jour au niveau des laboratoire lorsque le scientifique s'affairait à mettre en place une expérience. A peine avait-elle débutée qu'une explosion se fit entendre sur plusieurs niveaux. William se demandait comme ce scientifique pouvait toujours être en un seul morceau.

Une voix féminine se fit entendre dans le dos des deux hommes. William se retourna pour voir de qui il s'agissait. C'était le docteur Cerise Mercier.

«Heu... wouah...en effet mon Général... Vous êtes... heu... resplendissante. Vous voulez boire un verre nous ?»

William sourit à la demie-réponse du Général O'Neill concernant les secrets sur les Asgards. En ce qui concernait le conseil de son supérieur de garder ses oreilles grandes ouvertes, il n'y voyait pas de problème, après tout il avait été agent spécial du FBI, non ? Qui d'autre pouvait mettre la main sur certaines informations. Il ne fallait pas non plus qu'il ne prenne pour James Bond, William ne faisait pas partie de la CIA, ou du MI-6 en l'occurrence.

«Ne vous inquiétez pas pour cela Général, j'ai été agent du FBI pendant un temps...»

Le Docteur Mercier était arrivée et William crut distinguer une lueur d'amusement dans le regard de O'Neill. Ses joues durent d'ailleurs rougir un peu lorsque la jeune archéologue lui signala qu'il s'était trompé en parlant. William s'adressa à Cerise.

«Ah ? Ce n'est pas ce que j'ai dis ?»

Il était convaincu qu'il avait dit «avec nous», mais dans sa confusion passagère, il s'était peut être emmêlé les pinceaux. L'ancien agent du FBI sourit en remerciement à la remarque de l'archéologue concernant la couleur de sa cravate qui ressemblait à la couleur de la robe de la jeune femme. La discussion dériva sur le, tout fraîchement promu, Major Matheson et sur des gâteaux. William avait fait partie du groupe du Rangers au cours de sa mission en Irak, et il devait bien admettre que Matheson n'était pas très loquace, loin de là. Pourtant, derrière cette armure apparente, le Sergent était convaincu que son supérieur était capable de s'amuser un peu, et ce même en dehors des missions.

Finalement, le Général O'Neill décida de prendre congé afin d'aller saluer d'autres personnes, notamment pour saluer Tyr, l'Asgard qui venait d'arriver. Il fallait dire que ces extraterrestres savaient faire une entrée remarquée. Au moins, ils avaient eu le temps de finir leur pierre avant de que le chef du SGC n'aille jouer au diplomate.

«Passez également une bonne soirée. J'espère qu'il ne Tyrera pas trop sur la corde raide.»

Bien que le jeu de mots ne soit pas des meilleurs, William en était particulièrement fier. Et si des personnes appréciaient, cela n'en serait que mieux. L'ancien agent du FBI se tourna vers Cerise tout en désignant la place que laissait le Général O'Neill afin qu'elle s'y s'installe.

«Je vous en pris.»

En bon gentleman, William ne perdit pas de temps pour proposer un verre à Cerise.

«Qu'est ce que je vous offre ? Alors, vous avez trouver quelque chose d'autre dans vos antiquités ?»

Le Sergent entama la conversation sur un sujet dont il savait que la jeune femme était passionnée. William savait également qu'elle était capable d'en parler pendant des heures. Cela ne le dérangeait pas, il adorait voir cette lueur danser chez une personne passionnée.

Lorsqu'elle vu battre en retraite ce cher Felger, la jeune femme se détendit. Bon sang ! Qu'est ce qu'il pouvait être collant... Et il l'était encore plus depuis qu'elle ne passait pas ses nuits dans son laboratoire. Non, maintenant la nuit elle avait trouvé une occupation beaucoup plus intéressante, agréable. Bref. Elle se tourna vers Tealc et lui adressa un sourire amicale comme elle savait si bien les faire. Elle se pencha vers lui pour lui murmurer.

« Merci Teal'c je vous dois une fière chandelle. » et encore c'était peu dire ! Elle inspira un bon coup et observa les environs. Teal'c n'était pas la personne des plus bavardes malheureusement, mais bon elle l'aimait tout de même ce bon vieux Titi ! C'est alors qu'elle put remarquer l'arrivée fracassant de cet asgarde. Tyr ? Elle ne connaissait pas... Il faudrait sûrement qu'elle pallie à cela, mais pour l'instant elle préféra chopper au passage une coupe de champagne sur un plateau. Elle put également remarquer que Daniel était en charmante compagnie et cela la fit sourire. Il devait sûrement vouloir partir sur Atlantis en bon terme avec la gente féminine. Un petit sourire flanait sur les lèvres de la lieutenant-colonel, on ne savait pas vraiment il était joyeux ou triste... A dire vrai elle se disait que c'était bien cette fois-ci où cela serait la dernière fois qu'elle pourrait voir Daniel... et en regardant Tealc dans ces vêtements, la réalité lui venait droit dans la figure. SG-1 n'était plus.

Elle sirota sa coupe, se tournant vers son ami jaffa dans l'espoir de lui retirer quelques mots de plus. Heureusement son sauveur arriva. Le général O'neill avait tendance à réussir à toujours trouver quelque chose à dire, chose qu'elle admirait d'ailleurs car elle, elle en était bien incapable. Elle lui lança un léger sourire et un signe de tête pour lui dire bonjour, ils avaient beau être dans la même base ils ne s'étaient pas vu de la journée, trop occupée dans ses recherches et lui dans l'organisation de la petite fête. Quoiqu'il en soit elle sirota tranquillement son champagne tandis que les deux hommes discutaient, enfin plutôt que Tealc répondait aux questions du militaire.

C'est alors qu'il posa son regard sur elle. Étrangement, elle sentait qu'il avait remarqué sa venue tardive et qu'il allait sûrement la faire tourner bourrique avec cette histoire. Mais elle était prête à faire comme d'habitude, foncer la tête baissée, droit dans le panneau. C'était comme depuis huit ans alors pourquoi cela changerait ? Elle plongea son regard dans le sien. Était-elle fautive ? Sûrement. Surtout qu'il lui avait rappelé hier soir, lui rappelant qu'il allait encore devoir faire l'un de ses somptueux discours. Elle ouvrit la bouche, cherchant ses mots pour se justifier.

«  Et bien en faite j'ai eu un soucis avec les compensateurs inertiels pour le Prométhée et donc je... »

Elle quoi ? Il fallait juste qu'elle avoue qu'elle n'avait pas vu le temps passé et que dans un sens si elle venait c'était pour lui faire plaisir et revoir le reste de SG1. Il lui lança alors qu'elle lui devait une danse. Son cœur rata un battement, heureusement qu'ils avaient déjà passé l'étape supérieur, sinon elle en aurait sûrement tourné de l’œil. Mais il fallait dire que c'était assez surprenant, en public opérait un rapprochement ? Dans un sens qui avait-il de mal à danser ? Un petit éclair nouveau traversa son regard saphir. Elle se contenta de lui sourire et d'acquiescer d'un signe de tête.

«  Oui... Je peux bien faire ça. » Un petit sourire timide se dessina sur ses lèvres. «Surtout que j'ai manqué votre discours, je vous dois bien ça mon général. »

Elle se racla ensuite la gorge pour observer les alentours. Peut-être un peu gênée.

« En tout cas, le personnel à l'air de s'amuser. La fête semble réussi, vous avez mis les petits plats dans les grands. » ajouta-t-elle avant de tremper de nouveau ses lèvres dans le liquide d'or pétillant.