Il n'y a pas longtemps, la voleuse avait apprit par un de ses contacts qu'un bijou appartenant à Quetesh avait été mis en vente au marché d'Oulec, au début bien sûr elle eu du mal à y croire. Puisqu'en réalité ce pendentif était à elle, son père lui avait ramené d'une de ses "excursions". Fin ses voyages pour gagner sa vie. Mais c'était ce pendentif qui l'avait précisément attiré ici, sur cette planète Aride et désertique. Il fallait qu'elle marche deux kilomètres maintenant pour arrivé au fameux lieu. Deux kilomètres dans le sable, alors elle se leva de son siège et changea de chaussures et mit des "baskets" noires. Elle enfila rapidement sa veste, et mit en stand-by son vaisseau. Vous vous demandez comment elle avait eu son vaisseau hein . Hey bien elle l'avait troqué avec une autre marchandise. Ou elle avait fait croire qu'elle valait plus, hors elle valait pas un clou. Mais elle avait su le convaincre, ironique non . Hey oui, elle la brune avait le don pour ça. Mais en réalité, elle avait bien écouter les aventures que son père lui racontaient plus jeune.

Et l'avait prit pour exemple. Elle en riait intérieurement, parce qu'extérieurement elle était assez septique. Elle se demandait bien comment ce bijou avait put se retrouver ici. La femme s'avançait à grand pas vers l'entrée du souk d'Oulec, sans pour autant paraître pressée. Elle regardait des yeux sont environnement, il était malheureusement assez grand, et les stands étaient dispersés aux quatre coins du village. Zut, elle espérait ne pas arriver trop tard pour pouvoir récupéré son bien. Hum, voyons voir par ou commencer ? Elle regardait les objets de loin marchant dans l'allée centrale, avec les mains serrés derrière son dos.

Demandant parfois si les passants avaient vu un bijou avec la description qu'elle leurs donnaient. fouillait partout dans les tiroirs qui servaient de lieux d'expositions. Elle n'avait pas finit la pauvre, juste pour retrouver un bijou de son père. Mais ou avait-il bien être mit ?  

La femme aux mèches dorées se fit interpellée par l'un des vendeurs, elle écoutait ce qu'il lui disait. Et se mit à fouiller des yeux les différentes choses que ce monsieur lui proposaient. Vala répondait avec un signe de tête négatif presque à chaque bijoux qu'il lui montrait. Elle finit par désespérer et haussa les épaules pour le dévoiler mais reprit du poil de la bête lorsqu'il lui en pointa quelque uns du doigts. Ils avaient la même forme, ce bijou était en fait une broche qui ressemblait un peu à un soleil. Était ce un signe d'affection ? Elle n'en savait rien. Mais elle y tenait ça c'était sûr, ha enfin ! Après une dizaines de bijoux, dans la catégorie broches, elle trouva enfin celui qu'elle cherchait. Comme quoi, la chance souriait encore à notre voleuse. Maintenant restait à savoir combien ce gentil monsieur le lui revendrait ou ce qu'il voudrait en échange...

Oh zut alors, Vala avait oubliée de se présenter bof c'était pas trop grave puisqu'elle n'allait pas rester longtemps après cet achat. Hum voyons voir ce qu'elle avait dans ses poches, ha ha, elle semblait avoir trouvé quelque chose qui ferait l'affaire. Elle réfléchissait juste à comment le rendre intéressant, quelque minutes suffirent largement à notre experte. Vala se mit à sourire, et sortit l'objet qui ne lui tenait pas du tout à cœur. Elle l'avait acheter une semaine plus tôt à un commerçant et elle le regrettait car celui-ci ne lui avait servit à rien. Mais ça évidement, elle ne lui dirait pas. Elle lui tendit pour le lui montrer et lui demander ce qu'il en pensait. Il hésitait sa se voyait, mais elle insistait sur le fait qu'il venait de lui dire "qu'un objet en votre possession dédommagera la perte de ce bijou."

Le vieil homme réfléchit puis accepta malgré tout, que ce ne serait pas une grande perte, et lui assura que son objet serait revendu. La brune était fière de son coup, et se dit qu'elle ferait mieux de ne pas trop rester dans le coin. Alors elle le remercia en ne donnant que son prénom, Vala.

Ensuite, elle tourna les talons pour continuer de visiter le souk.  Il y avait désormais un peu plus de monde qu'avant, et la femme était ravie au fond d'elle car elle avait retrouvée cette broche qui lui avait appartenu.