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 Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]

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Liam Matheson
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyMar 11 Fév 2014, 19:34

Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 7f1o

Un but, oui mais lequel ? Bonne question. Et il pouvait s'en poser des questions actuellement. C'était difficile de réussir à trouver de quoi il s'agissait. De plus, c'était des machines, elles devaient avoir un programme ou quelque chose dans le genre non ? Tout cela allait le rendre dingue de toute manière. Surtout que visiblement elles n'avaient pas le même "but" avec eux, qu'avec Miller et Coburn, ou c'était tout à fait cela, juste que cela se passait différemment avec eux. Non vraiment s'il commençait à se triturer le cerveau avec tout cela, il n'avait pas fini, bien au contraire.

Restons concentré malgré tout sur cette tâche, sur ce qui se passait, non finalement peut-être pas sur ce qui se passait. Car si c'était le cas, il se laisserait un peu trop dominé. Par quoi ? Ces instincts animaux ? Peut-être. Sa raison combattait cette réaction, ces instincts primaires qui faisaient surface. Se rapprocher de Liz, marquer son territoire en quelque sorte, comme un animal, comme un loup, comme le mâle alpha au sein d'une meute qui défend ce qui lui appartient. Il secoua la tête, non, ne pas se mettre ce genre d'idées en tête, il allait en perdre la tête, mais le fait de se trouver juste en face d'elle, de pouvoir l'observer, cela n'aidait en rien à garder un esprit clair, bien au contraire en fin de compte. Il combattait tout ceci, difficilement. Il n'avait qu'une envie, la rejoindre en fin de compte.

Il en avait presque même amorcé le geste de se relever, avant de rester assis à même le sol, mais le regard prédateur, gourmand, qu'il avait, ne trompait pas. Les nanites faisaient vraiment n'importe quoi avec son système. Il fallait trouver un moyen de s'occuper l'esprit, il valait mieux, il n'était pas du genre - bien au contraire - à sauter sur tout ce qui bouge, et oui, il admettait volontiers que Liz était particulièrement attirante - il n'était qu'un homme - mais il était habituellement un gentleman, pas un de ces dragueurs fous et là, c'était comme si on le poussait à passer à une étape supérieure alors qu'ils se connaissaient à peine.

Fort heureusement, il avait trouvé un sujet de conversation, banal à souhait vous me direz, mais cela les occupait pas vrai ? En tout cas, la bouteille d'eau avait rapidement diminué. Il avait besoin de s'hydrater actuellement, beaucoup, va savoir pourquoi.


"C'est bien d'avoir pris les devants. Les quartiers qu'on nous réserve ici, sont bien quand il s'agit des rotations pour partir en mission, mais rien ne vaut un chez soi, pour l'intimité."

Un regard lourd de sens, qu'est-ce qui lui prenait d'un coup ? Non il fallait calmer ses ardeurs. Plus facile à dire qu'à faire. Rien que de l'observer, c'était comme lui tendre la tentation à portée de bras, ne lui laissant comme choix que d'y céder. Il en déglutit à nouveau, serrant les dents pour éviter de commettre un quelconque geste déplacé. Cela devenait vraiment compliqué. Bon au moins une bonne nouvelle c'est qu'actuellement, il ne sentait plus la fièvre, cette chaleur, soit c'était passé, soit, il avait l'air un peu trop préoccupé actuellement. Va savoir. Ou les nanites avaient fait leurs effets.

La conversation, voilà, cela éviterait de laisser son regard s'égarer sur elle, un peu trop de façon prononcée à vrai dire.


"Un chien c'est bien. J'en ai un moi-même. Un berger malinois, pas encore tout à fait adulte. Disons que cela fait plaisir quand on rentre d'avoir quelqu'un content de vous voir. Cela vous change de ce que vous pouvez voir de l'autre côté."

De la Porte des Etoiles bien entendu. Pourquoi est-ce qu'il parlait de son chien ? Peut-être parce que c'était le sujet de conversation ? Mais également aussi parce que cela permettait surtout à ses pensées de se focaliser là-dessus. Pour autant, ce n'était pas pour autant qu'il ne pensait à bien d'autre chose. Il voulait la toucher. La garder pour lui, la proclamer sienne. Il n'avait qu'une envie, la sentir contre lui actuellement, malgré ces tentatives pour mettre tout ceci de côté. C'était de plus en plus difficile de ne pas laisser les instincts prendre le dessus, il flanchait, souvent, il suffisait de voir les regards pour le moins enflammés, brûlants, dirigeaient vers elle, de voir ses poings se serrer pour se faire violence et ne pas se rapprocher d'elle.

Il en ferma les yeux quelques instants, essayant de mettre de côté les images peu subtiles qui venaient de traverser son esprit. Leurs deux corps enflammés, cette bestialité, il fallait se calmer, il en grognerait presque. D'une voix rauque, il reprit la parole.


"Liz......vous allez devoir utiliser ce pistolet que je vous ai données.....Je risque fort de faire quelque chose de déplacé..."

Et penser à monter et remonter une arme n'aidait pas non plus pour le coup, ou se réciter le manuel complet du parfait petit Rangers, voir de la panoplie de l'armement en stock au SG-C. Bientôt il allait compter les imperfections au plafond, pour autant, cela n'arrangeait à rien la situation. Que faire ? Se laisser aller complètement à ces instincts ? Ce n'était pas forcément la bonne chose à faire, ils étaient sous influence alienne n'oublions pas. Alors quoi ? Rien faire ? Cela ne ferait qu'empirer les choses aussi.

"Faut vraiment que je fasse quelque chose ou je vais vous sauter dessus..."

Dans un grognement, il se redressa, allait-il se diriger vers elle ou s'éloigner ? Bonne question, deux parties en lui quelque part luttaient pour savoir ce qu'il allait faire. Avancer vers elle ou s'éloigner vers les expériences ? Pour autant, elle resterait toujours autant dans son choix de vision n'est-ce pas ? Pour le coup, difficile à dire, les poings serrés, les muscles tendus, comme sous l'effet d'un effort ou autre, il n'y avait pas beaucoup de solutions, à vrai dire la seule qu'il trouva ce fut de se passer le visage sous l'eau du robinet d'un des lavabos présents, histoire de se rafraichir les idées.

D'ailleurs, il y avait été comme s'il avait eu le diable aux fesses. Mais nul doute en tout cas que ces instincts le poussaient à bout et qu'au final, ils gagneraient certainement si cela durait trop longtemps. Il suffisait de voir à quel point son corps réagissait sans même qu'il soit en contact avec elle. C'était comme s'il l'appelait, la voulait, et imaginait déjà bien des choses. Non d'abord se plonger la tête sous l'eau. Cela le calmerait non ? On y croit !.....ou pas.
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Elizabeth McCowell
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyMer 12 Fév 2014, 18:51

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N'importe quelle personne qui serait rentrée à ce moment là aurait sentit la tension dans la pièce. Une tension à couper au couteau tant les regards qu'ils avaient l'un sur l'autre étaient électriques. Liz était toujours assise sur le lit de camps mais cela devenait dur de maîtriser son corps pour ne pas rejoindre les bras de Liam. L'instinct animal qui avait pris possession d'elle, enfin les nanites qui jouaient avec leur système hormonal plutôt lui ordonnait de le rejoindre. Pourtant elle n'était pas comme ça, pas le genre de femme à lever le premier homme venu. Et pourtant son cerveau lui commander de se laisser faire, d'aller vers l'homme en face d'elle comme si elle lui appartenait.

Elle comprenait un peu mieux les réactions des Marines maintenant. Elle avait été la seule femme sur le moment au gymnase auprès de Liam. Les Marines avaient voulu s'approprier la femme. On se serait cru dans un documentaire animalier si la situation n'avait pas été aussi grave.

Un sujet de conversation lancé leur avait permis de penser quelques minutes à autre chose. Enfin si on oubliait la tension qui émanait de la voix de Liam et qui aller poussait la jeune femme à se lever pour lui sauté dessus. Fermant les yeux, elle chercha à se recentrer pour lui répondre.

"J'aimerai prendre un chien que je puisse amener courir avec mois ou faire de grande balade. Un chien hyperactif comme moi ! Un golden peut être."

Bon le tableau périodique y était passé tout comme l'ensemble de son doctorat. Plus rien n'arriver à distraire son esprit elle avait même quasiment oublier les expériences en cours. Jetant un coup d'œil à la machine au fond de la pièce qui tournait encore, elle fit l'effort de se lever pour y aller, créant un espace supplémentaire entre elle et Liam. L'animal en elle ne fut pas d'accord et c'est comme un coup au cœur qu'elle reçu. Ces nanites étaient des vrais saletés ! Elle récupéra les résultats, qui ne confirmaient que ce qu'ils pensaient déjà. Leur système hormonal était déréglé de façon exponentiel et cela ne pouvait venir que de leur cerveau. Ok, ils avaient la conséquence, il ne manquait plus que la solution.

"Je pense que même si je voulais vous tirer dessus, les nanites m'en empêcheraient."

Pas qu'elle voulait lui tirer dessus, cela ne lui avait même pas traverser l'esprit. Mais elle se sentait incapable de lui faire du mal.

Elle vit Liam se lever, poings fermés les yeux braqués sur elle.

"Faut vraiment que je fasse quelque chose ou je vais vous sauter dessus..."

Ouais c'est sur qu'en lui disant ce genre de chose ça allait totalement la calmer ! Ou pas ! Elle le vit se passer de l'eau sur le visage. Les muscles de son dos attiraient Liz plus qu'elle ne l'aurait voulu ou qu'elle ne l'aurait dû. Son cerveau c'était mit en mode pause. Elle se rapprocha doucement de lui, levant la main afin de la poser sur le dos du jeune homme.
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Liam Matheson
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyMer 12 Fév 2014, 20:21

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Oui parler, se détourner l'esprit du reste, oublier un instant les nanites et ce qu'elles faisaient dans son corps, sur son corps, va savoir exactement. C'était le but. Malgré tout, et même si le sujet "chien" pouvait être banal et permettre de s'occuper, visiblement, il en était tout autre de ses réactions de son corps en tout cas. Il essayait, vraiment, de ne pas être....intéressé, enfin pas qu'il ne la trouvait pas attirante, loin sans faux, mais il se devait de rester professionnel. Sauter sur tout ce qui bouge, sauter les étapes, faire du rentre-dedans, aussi rapidement, ce n'était pas lui. Mais ce n'était pas comme s'il avait voix au chapitre on dirait. Quoiqu'il veuille, ou qu'il se dise, son cerveau, ses hormones et son corps hurlaient tout le contraire. Mais essayons malgré tout.

De plus cette petite douche froide avait fait un peu du bien en tout cas. Un peu seulement. Cela ne pouvait pas vraiment faire baisser cette tension qui existait dans cette salle. Une tension sexuelle qu'il n'y avait pas eu au premier abord dans cette salle d'entraînement, mais les nanites étaient capables de chambouler n'importe qui. Même les plus irréductibles blocs de glace en fin de compte. Il resta quelques instants en fin de compte, la tête sous l'eau, avant de se tenir contre le rebord, soufflant, expirant, inspirant. Reprendre son calme. Tu parles. Tout son corps lui hurlait de la faire sienne. Mais il ne pouvait pas. Enfin c'est surtout qu'il essayait de se répéter cela pour que cela entre. Les signes montraient tout le contraire.


"Un golden ? J'espère que vous appréciez l'eau, apparemment, ils sont très attirés par cela. Vous savez où allait pour vous en procurer un ? Vous en souhaitez un pur race ?"

Faire marcher sa cervelle, pour autant, sa cervelle pensait à bien d'autre chose actuellement, surtout en la voyant bouger pour aller voir les expériences, enfin voir les résultats, et malgré le fait qu'il essayait de rester obnubilé par le lavabo, il avait tourné la tête légèrement pour observer sa démarche, et il fut bien difficile de cacher ce regard qui s'attarda sur ses courbes, il en grogna d'appréciation, serrant d'autant plus le lavabo. Il allait finir par casser le matériel si cela continuait. Dieu que c'était intenable comme situation.

Il allait vraiment finir par la plaquer contre le mur, contre la table du laboratoire, ne pouvant y résister d'avantage en fin de compte. Il finit malgré tout par se retourner pour s'appuyer contre le dit meuble, juste à temps pour la voir finalement se rapprocher de lui, la main tendue, proche, trop proche peut-être de lui.


"Liz....."

Qu'est-ce que vous voulez qu'il dise ou fasse à vrai dire, il était tenté, très tenté actuellement. La voir si proche, douce torture en tout cas. Néanmoins il captura sa main avec la sienne avant de la rapprocher vers lui. Que voulez-vous, ce n'était pas comme s'il pouvait se convaincre qu'il ne voulait pas que cela arrive. Ou plutôt que son cerveau le lui dise. Ils étaient proches, très proches, trop peut-être ? Il pouvait l'observer à merveille, sentir presque son souffle contre lui, plonger son regard dans le sien. Il déglutit légèrement, alors que leurs corps se touchaient si aisément. Il fallait se ressaisir avant que cela ne tourne au drame....enfin drame. Tout le monde le comprenait.

"Alors ces expériences ? Quelles sont....les résultats ?"

Oui, il essayait - vainement - de revenir sur ce qui les intéressait, bien qu'actuellement, ce qui était le plus tenter c'était ces lèvres qui s'offraient presque à lui actuellement, comme si elle lui appartenait. Mais non, il ne devait pas penser à cela. Fermant les yeux quelques instants, il essaya de garder le contrôle sur soi, tu parles, sa main de libre s'était posé sur sa taille, la ramenant tout contre lui, appréciant d'autant plus cette proximité.

"On doit trouver.....une solution...."

Pas parce que ce n'était pas bien, enfin dans un sens c'était le cas, être aussi attiré par quelqu'un à cause de l'effet de machines aliennes, ce n'était pas franchement le mieux pour commencer une relation professionnelle, voir personnelle aussi s'ils s'entendaient bien en fin de compte. Pour autant, il n'avait pas l'air de vouloir la lâcher, se reculer, s'éloigner, bien au contraire. Il se contentait de plonger son regard dans le sien, cette lueur avide à l'intérieur. Ce côté animal qui prenait le dessus. Espérons que les caméras étaient éteintes dans les parages quand même, sinon bonjour les rumeurs avec Walter.
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Elizabeth McCowell
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyJeu 13 Fév 2014, 19:08

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Liz ne se reconnaissait plus. La moindre pensées cohérentes à mettre en place dans son cerveau était un effort de tout les instants. A il était beau le petit génie, son QI c'était fait la malle depuis longtemps ! Bravo ! En tout cas, ces nanites étaient efficaces pour faire perdre la raison. Et c'était tellement facile, un simple dérèglement hormonale et deux personnes dans la pièce s'attiraient inexorablement. La jeune femme ferma les yeux essayant de formuler une phrase cohérente.

"Ne vous en faites pas je suis bonne en natation ! Je ne sait pas encore où l'adopter, il doit bien y avoir des éleveurs dans la région."

Elle avait totalement lâché prise en se rapprochant de lui. C'était paradoxal, c'était terrifiant d'être contrôlée par une force alien qui vous dictez votre conduite, vous faisant régresser au stade... primaire. Mais le fait de vouloir s'approcher du jeune homme était comme réconfortant pour la jeune femme. Ces nanites étaient vraiment un bijou de technologie et si Liz n'avait pas été obsédée par les muscles saillants de Liam, elle aurait été toute folle pour les étudier.

Au moment où elle approcha sa main du dos du jeune homme, ce dernier se retourna. Plantant son regard déjà noircit par le désir, sa main dans la sienne. Liz gémit doucement comme si elle avait trouvé sa place. Elle pouvait suivre du regard les gouttes d'eau, descendre le long du cou de Liam. Laissant sa main libre vagabonder, elle traça doucement le chemin de l'une d'elle arrivant jusqu'au tatouage du jeune homme où elle effleura le contour. Déjà au gymnase elle avait voulu lui en demander la signification, mais elle était comme hypnotisée par sa peau chaude pour formuler sa question. Il était encore plus difficile de se concentrer maintenant. Néanmoins, elle souhaitait répondre au jeune homme, éclaircie ce qui leur arrivait. Bien c'était très clair comme situation vu la position dans laquelle ils étaient.

"Les résultats.. hum oui.. c'était ce que je pensais. Les nanites dérèglent nos hormones à partir de l'hypophyse. Il n'y a que cet endroit qui leur permet de jouer sur notre système à ce point..."

La fin de la phrase fut plus murmurait que parlait, Liam avait posé sa main sur sa hanche pour la rapprochait de lui. La jeune femme ferma un instant les yeux avant de relever doucement son visage vers lui. Il la surplombait bien qu'elle ne se pensait pas petite. Ce n'était pas bien.. enfin si c'était agréable... très même... mais elle aurait préféré ne pas brûler les étapes avec cet homme. C'est vraie peut être qu'ils auraient pu commencer à se connaitre et plus si affinités.

"On doit trouver.....une solution...."

Là tout de suite trouver la solution était le dernier des soucis de Liz. Elle sentait que si ils se reculés, son cœur allait s'arrêter. Encore un symptôme bizarre de ces petites choses. Heureusement que la caméra du labo était positionnée comme dans le sien. Braquée sur le bureau et les machines. Depuis, les explosions, tentatives aliennes etc... chaque c'était les paillasses d'expériences qui étaient surveillés. La jeune femme n'aurait de toute façon pas bougé si il y en avait eu une dans chaque coin.
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Liam Matheson
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyJeu 13 Fév 2014, 19:46

Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 7f1o

Il essayait vraiment de se concentrer. Le problème c'est que sa concentration actuelle était surtout portée sur la jeune femme qu'il avait contre lui. Les mots qu'elle disaient, les paroles qu'ils échangeaient, à vrai dire, cela passait par une oreille pour ressortir par l'autre. Alors oui, ces nanites faisaient ce qu'elles voulaient, dérégler leurs organismes pour les faire se comporter comme des sortes de bêtes sauvages, pour laisser parler leurs instints primaires, et il n'aimait pas cela. Pas qu'il aimait le contrôle et tout, juste être maître de ses actes, et là, c'était tout sauf le cas à vrai dire. Il frissonna en sentant sa main sur sa peau, et en même temps, il serra les dents, pour éviter de laisser échapper un quelconque soupir de....plaisir ? Oui c'était cela.

Non, il ne pouvait pas se laisser aller, la garder contre lui, se pencher pour goûter à ces quelques parcelles de peau visible, voir en demander plus, ce ne serait pas....bien. Enfin bien, dans le sens moral du terme bien entendu. En tout cas, il était fort heureux que les caméras ne tournaient pas dans leur direction, sinon bonjour les dégâts pas vrai ?


"Je connais un chenil, enfin un centre pour animaux.....je pourrais vous le montrer.....il n'y a aucun risque."

Il essayait vraiment de ne pas trop....s'attarder sur le fait qu'elle était contre lui, de voir sa main sur lui, de l'entendre gémir, cela ne faisait qu'attiser d'autant plus son envie en fin de compte. Peut-être pour cela au final, il essayait de converser avec elle, de tout et de rien, et aussi d'en savoir d'avantage sur ce qui se passait, sur les effets des nanites. Pour autant, il n'arrivait pas suffisamment à faire abstraction de ce qui se passait actuellement. Délicatement, il passa une main dans ses cheveux, l'autre passant dans son dos, sous son t-shirt.

Ils devaient vraiment trouver une solution et son cerveau aux pensées perverses du moment en avait bien une, mais ce n'était pas vraiment celle escomptée au final. Certes, peut-être que cela amènerait à faire baisser toute cette tension sexuelle existante entre eux sur le moment, mais nul doute que si on cédait à la tentation, les nanites n'allaient pas les laisser tranquille une fois qu'ils auraient été allés plus loin. Il était difficile de mesure à quel point un homme pouvait avoir une totale maîtrise de soi, mais pour le coup, il dépassait les attentes, certainement que bien d'autres auraient déjà franchi le cas, mais il y avait ce côté en lui qui ne voulait jamais brusquer les choses, surtout pas dans ce domaine là où il était un véritable couard en fin de compte. Enfin surtout renfermé.

Se penchant vers elle, légèrement, effleurant sa joue de ses lèvres, il était encore toute en retenue même si ce feu brûlait en lui en fin de compte. Un feu ardent qui ne demandait qu'à s'exprimer. Il murmura légèrement.


"On ne doit pas.....ce ne serait pas.....bien.....enfin si.....mais.....on ne peut pas....pas comme ça...."

Dieu qu'il voulait la posséder actuellement. Non vraiment se retrouver dans un état primitif en fin de compte, ce n'était pas la meilleure des solutions pour faire connaissance et apprendre à s'apprécier. Bien que pour le coup, visiblement, ils allaient s'apprécier sur un tout autre plan. Il voulait en découvrir plus sur elle, la faire sienne, mélanger leurs odeurs, c'était typiquement bestial au final. Mais ils étaient des gens civilisés pas vrai ? Ouais enfin là...

"Liz.....je vous veux..."

En temps normal, il n'aurait jamais dit cela, surtout se connaissant à peine, mais ils n'étaient pas en temps normal, de plus le regard enflammé, brûlant de désir actuellement qu'il avait pour elle, ses lèvres si proches des siennes qu'ils pouvaient sentir le souffle de l'autre, presque un effleurement en fin de compte. Malheureusement, ce n'était pas comme si il avait été décidé qu'ils seraient tranquilles pour expérimenter la suite des effets des nanites, bien au contraire, il y eut du mouvement, des bruits de pas.

Deux hommes pénétrèrent à l'intérieur dans ce laboratoire confiné, en tenue NBC bien évidemment, avant de s'arrêter sur le seuil. C'était le médecin et son fidèle acolyte.


"Euh....on dérange je crois. Préparez deux injections, ils sont à un stade plus avancé."
"Bien Docteur, quelle dose ?"
"Commençons avec la dose la plus forte possible, histoire de les faire revenir un peu à eux-mêmes plutôt qu'à des bêtes assoiffées de copulation."

Enfin ce n'était pas comme si finalement, on les avait entendu, enfin si, quelque part se fut le cas, comme si on comprenait qu'il y avait du danger quelque part. La preuve, il avait bougé, légèrement, ou beaucoup, relâchant sa prise sur Liz d'un coup, pour venir se placer devant elle, en position de défense, comme s'il la protégeait, protéger sa femelle en quelque sorte.

"Je ne veux vraiment pas vous faire de mal les gars..."
"Nous savons Major. Mais vous nous laissez pas le choix."

Il était prêt à se ruer à l'attaque en fin de compte, ce qu'il s'apprêtait à faire quand les deux hommes utilisèrent des pistolets tranquillisants avec la bonne fléchette, lui en tirant deux dans le torse. Cela ne fit pas vraiment du bien, il essaya bien d'avancer encore un peu, mais il flanche, se rattrapant au bord de la table du laboratoire avant de s'écrouler au sol.

"J'ai vraiment cru que cela ne marcherait pas !"
"Oui, bien, Docteur McCowell ? Nous ne vous voulons aucun mal, ceci est....médicament, disons plutôt qu'il diminue les symptômes, le temps que vous trouverez comment arrêter ces choses. Et ne vous en faites pas le Major va bientôt se réveiller, juste une réaction à cette double dose. Laissez vous faire d'accord ?"

Le médecin s'avançait vers elle, passant au-dessus du corps de Liam, une seringue à la main, derrière lui, son assistant avait quand même le pistolet à fléchettes prêt, on ne sait jamais !
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Elizabeth McCowell
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyJeu 13 Fév 2014, 21:10

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La jeune femme sentait que Liam essayait de garder un minimum de contrôle sur lui mais les frissons sur son torse le trahissaient. Elle essayait aussi de ne pas prendre possession des lèvres si tentatrices du ranger. Et dire que son dernier petit ami de passage lui avait dit qu’elle était froide en apparence. C’est vrai qu’elle ne s’ouvrait pas forcément, qu’elle voulait faire confiance en l’homme avant de goûter aux plaisirs physiques. Là, elle était à cent lieux de son comportement habituel avec ces sales bêtes en elle. Elle était tellement tentée de poser ses lèvres sur la base de son cou et de remonter vers les lèvres du jeune homme. Stop Liz !!

« Oui je voudrais bien que vous m’y emmeniez… quand... quand nous sortirons.. »

Surtout quand ils auront laissé place à leurs pulsions. Non parce qu’il ne fallait plus se voiler la vérité. Les nanites cherchaient à les faire passer le cap si on peut dire. Les deux jeunes gens étaient en tout cas bien résistants. C’est bon, si un jour elle venait à se faire torturer par un Goauld elle repenserait à cette situation et à tout le contrôle qu’elle avait en elle sans le savoir jusque là. De toutes les femmes de la base qui avait surement des vus sur Liam, peut être que la plupart lui aurait déjà sauté dessus. La retenu de la jeune femme devait venir en partie de son expérience douloureuse avec les hommes et de son handicap avec les sentiments ou du miracle !

"On ne doit pas.....ce ne serait pas.....bien.....enfin si.....mais.....on ne peut pas....pas comme ça...."

« Je sais… mais c’est tellement dur de… résister. »

C’est lèvres effleurant son visage et la chaleur de sa main sous son t-shirt étaient une torture, elle voulait tellement se laisser aller. Bizarrement, elle complètement confiance en Liam. Comme si elle savait qu’il ne lui ferait jamais de mal. Liz gémit doucement quand il lui dit sa dernière phrase avant que la porte s’ouvre sur deux docs en tenus NBC. Elle sursauta quand elle ne sentit plus les mains de Liam sur elle. Se retournant elle le vit se mettre devant elle comme pour la défendre.

Liz vit la scène au ralentit comme si elle était spectatrice de dans son corps. Elle vit les deux inconnus tirer sur Liam les mêmes fléchettes tranquillisantes que le jeune homme lui avait données quelques temps auparavant.

« Non !!! »

La jeune femme passa en mode furieuse. Elle se précipita vers Liam comme une louve « enragée ». Elle avait sentit son cœur se brisé, un coup de poignard au niveau du cœur. Les nanites n’avaient pas dû aimer qu’on vienne contrecarrer leur plan. La jeune femme se mit à genoux à coté de Liam, en se tenant la poitrine. Elle ne voulait pas que l’approche ni elle ni Liam.

"Oui, bien, Docteur McCowell ? Nous ne vous voulons aucun mal, ceci est....médicament, disons plutôt qu'il diminue les symptômes, le temps que vous trouverez comment arrêter ces choses. Et ne vous en faites pas le Major va bientôt se réveiller, juste une réaction à cette double dose. Laissez vous faire d'accord ?"

Elle se remit debout en positions défensive comme Liam lui avait montré lors de leur entrainement.

« Ne m’approchez pas !! Je vais très bien !! C’est vous qui lui avez tiré dessus !! Sortez d’ici !! »

La jeune femme avisa le pistolet tranquillisant posé sur le bureau. Elle l’attrapa malgré la douleur sourde qu’elle avait dans la poitrine et le pointa vers les deux docs.

« Repartez d’ici immédiatement !!! »
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyJeu 13 Fév 2014, 22:15

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Il s'était fait avoir bêtement, c'était le cas de le dire, mais bon, vu son état, ce n'était pas comme s'il pouvait encore réfléchir posément à la situation pas vrai ? Atteint des deux fléchettes, il s'était effondré, perdant en quelque sorte connaissance, ou simplement c'était l'effet de ces darts plantaient dans sa poitrine qu'il avait eu le temps d'enlever avant de s'effondrer. En tout cas, il ne put voir le spectacle qui suivit. Enfin spectacle, disons simplement la réaction de Liz.

D'ailleurs les deux médecins qui pensaient que maintenant tout rentrait dans l'ordre n'avaient pas l'air d'avoir prévu la réaction de Liz. Et pourtant, ils auraient du pas vraiment en fonction des symptômes des deux autres non ? Mais bon, pour le coup, ils avaient du penser que cela ne fonctionnait pas de la même façon chez les femmes que chez les hommes. Ils avaient parfaitement entendu la menace, mais ils seraient capables de la maitriser pas vrai ? Peut-être pas autant une fois qu'elle eut cette arme dans les mains. D'ailleurs le médecin leva les bras, en signe de reddition ou pour montrer qu'il ne lui voulait pas de mal.


"Allons, je ne vous veux pas de mal Docteur, juste vous aider à vous sentir mieux."

Il avait remarqué qu'elle aussi, était complètement sous l'emprise de cette part animal que les nanites avaient éveillés au final. Qu'est-ce qu'ils devaient faire ? Ils ne doutaient pas qu'elle avait l'air de protéger son "homme" en quelque sorte, qu'elle était prête aussi à défendre son foyer, son territoire, et eux, ils étaient venus empiéter là-dessus apparemment. Mauvais signe les concernant.

"Bien, nous allons vous laisser, mais calmez vous, on ne vous veut aucun mal."
"Mais Docteur..."
"Chut ! Tu ne vois pas que si on continue, elle risque de ne plus se contrôler. On a déjà de la chance de ne pas s'être fait tirés dessus comme des lapins."

Ils reculèrent doucement, lentement, gardant les mains bien en évidence, avant de sortir de la pièce. Ils avaient eu chaud, mais il n'était pas bon de contrarier une femme sous les effets de ce genre de phénomènes, ils venaient de l'apprendre en quelque sorte à leur dépend. Toujours est-il qu'en entendant, il y en avait un qui se reposait du sommeil du juste, enfin se reposer. Visiblement les médecins avaient cru qu'une double dose aiderait certainement à le rendre plus lucide, va savoir, en tout cas, il était déjà en train de revenir à lui actuellement.

"Je déteste les fléchettes tranquillisantes."

Il avait parlé alors qu'il se trouvait encore complètement allongé sur le sol, la tête contre le béton. Il reprenait doucement contenance, visiblement, ces darts n'avaient pas été assez efficaces s'il s'agissait de le laisser endormi. Ou alors c'était censé avoir un autre effet va savoir en tout cas. Enfin pour le moment, il était temps de revenir parmi les mortels en tout cas. S'appuyant sur ses bras, il essaya de se redresser lentement. Il avait quelques douleurs dans le corps, va savoir si ce n'était pas un effet secondaire ou si c'était seulement le fait de s'être retrouvé au sol.

En tout cas, il finit bientôt par se retrouver assis au sol, ne souhaitant pas vraiment bouger.


"Ma tête..."

Il essayait bien de se remémorer ce qui s'était passé, mais après avoir reçu les deux fléchettes, il n'en avait aucune idée. La vue légèrement embrouillée pour le moment, il attendit que le tout s'éclaircisse avant d'observer les alentours. A première vue, il avait l'air tout à fait normal, peut-être que cela avait vraiment fait effet en fin de compte va savoir. Ou alors c'était juste le temps que cela se dissipe, va savoir. En tout cas, il remarqua Liz qui tenait un pistolet dans ses mains, en position de défense, prête à éviter que quiconque l'approche. Cela lui fit chaud au coeur, en quelque sorte, en tout cas, bien qu'il n'était pas du genre à demander de l'aide ou à se montrer faible, cela faisait palpiter son coeur un peu trop vite pour le coup, d'autant qu'il pouvait....observer avec un intérêt certain son fessier pour le coup.

Secouant légèrement de la tête, il reprit d'une voix qu'il espérait plus....normal...


"Liz ?.....tout....va bien ?"

Enfin bien, tout était relatif dans ce mot vous me direz. Surtout au vu de leur état, mais pour le moment, il essayait de comprendre ce qui se passait, sans oublier d'éviter de trop penser à ce qui aurait pu arriver il y a peu, d'autant que son corps n'avait pas vraiment l'air d'accepter le traitement reçu, qu'il le rejetait ou le combattait en quelque sorte. Une lutte de pouvoir. Oh il était lui-même bien entendu, si l'on peut dire, il restait à voir qui gagnera la partie et pour le moment, c'était un peu un match nul. Le désir, l'envie de protéger "sa compagne", "sa femelle", sa raison, l'analyse de la situation, tout se mélangeait et c'était un véritable brouillard.

"Que s'est-il passé ?.......et je pense que vous pouvez lâcher cette arme, tout va bien...."

Il avait fait l'effort de se relever, avant de se rapprocher lentement d'elle, autant pour la raisonner, que parce qu'il avait de nouveau envie d'être proche d'elle, cette intoxication des sens, vouloir de nouveau la toucher. Cela revenait, par moment, et il ne pouvait pas lutter. C'était bien au-delà de ses forces de toute manière.
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Elizabeth McCowell
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyVen 14 Fév 2014, 19:28

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Se sentir mieux, il y a 5 minutes avant que ces énergumènes ne tirent sur Liam. Elle se sentait bien. Enfin les nanites, lui donnait se sentiment... quoique être ans les bras d'un homme c'était toujours agréable. Elle ne sentait d'ailleurs plus toute cette fièvre depuis qu'elle avait rejoint les bras de Liam comme si la mission des nanites avaient quasiment prit fin. Mais il faut toujours un élément perturbateur.

Voilà qu'elle se retrouvait entrain de menacer les deux médecins avec un pistolet tranquillisant. Mon dieu, elle était complètement folle ! Rectification elle était sous l'emprise de sales bêtes aliennes qui allaient leur en faire voir de toutes les couleurs. D'habitude la jeune femme était beaucoup plus diplomate. Mais là elle ne pensait qu'à protéger "son homme". Et cette douleur dans sa poitrine qui l'empêchait presque de respirer depuis que Liam était tombé à terre, ça en devenait insupportable. Elle était bonne pour un examen cardio quand il sortirait d'ici.

"Sortez !" ne put-elle que murmurer plus que parler.

Fermant les yeux un instant pour reprendre ses esprits après que les deux intrus furent partie, elle ne vit pas Liam reprendre connaissance. Elle c'était légèrement reculée pour prendre appuie dos contre une des armoires du labo. La fraicheur de l'acier la ramenant doucement sur terre. Tout danger était écarté pour le moment. Enfin danger, elle se demandait si ce n'était pas elle le danger à cet instant. Elle était complètement perdu, trop de pensées se bousculées dans sa tête et elle n'arrivé pas à en faire le tri.

"Liz ?.....tout....va bien ?"

C'est la voix de Liam qui la ramena sur terre lui demandant si elle allait bien. C'était un grand mot là tout de suite. Mais le voir de retour et réveillée entrain de se lever, c'est comme si son corps revivait. La douleur sourde dans sa poitrine se dissipée petit à petit. Les nanites venaient surement de comprendre que le jeune homme était de nouveau parmi eux. C'était effrayant l'intelligence artificielle qu'elles possédaient.

"J'ai... eu peur.. mais ça va maintenant..."

Peur ? Non son instinct l'avait poussé à avoir peur de perdre "son homme" alors que la scientifique savait que ce n'étaient que des fléchettes tranquillisantes.

"Que s'est-il passé ?.......et je pense que vous pouvez lâcher cette arme, tout va bien...."

"Les docs vous ont tiré dessus avec des fléchettes après que vous vous soyez mis devant moi. J'ai..."

La jeune femme déglutit difficilement.

"Je les ai menacé avec ça..."

Elle n'avait d'ailleurs même pas fait attention qu'elle tenait encore le pistolet entre ses mains. Elle le laissa tomber au sol doucement. Elle le vit se rapprocher d'elle. Là tout de suite, elle n'avait qu'une envie c'est de se réfugier dans ses bras. Sentir à nouveau sa chaleur contre elle, et ses lèvres sur sa peau. C'est ce qu'elle fit en faisant un pas dans sa direction
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptyVen 14 Fév 2014, 19:50

Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 7f1o

Il restait dubitatif. Bon certes, elle avait l'air d'aller bien. Enfin bien, vu les circonstances, on pouvait dire qu'elle allait bien. Pour autant, il n'avait pas l'air très rassuré de son état. Il faut dire que leurs comportements à tous les deux avaient été particulièrement troublants ces derniers instants. Oui, il se rappelait parfaitement ce qui s'était passé, c'était très clair dans son esprit. Juste qu'il ne savait pas ce qui était arrivé pendant qu'il était dans les vapes en tout cas. Mais nul doute que cela avait du la chambouler quand il l'observait actuellement.

Pour autant, une part de lui-même, enfin quelque chose en lui, avait l'air soulagé de la savoir encore éveillée, là, toujours parmi eux. C'était fou que malgré tout, la simple présence de l'autre était perceptible par ces petites machines en fin de compte. Non parce que depuis qu'il avait posé ses yeux sur elle, depuis qu'il était revenu de son inconscience, c'était comme si tout son corps fonctionnait à nouveau normalement. Bien entendu, il avait encore une part de raison, certainement les contres coups des médicaments vous me direz, peut-être pour cela qu'il ne se montrait pas aussi possessif, aussi pressé de l'avoir contre lui.

Bien que visiblement l'envie ne lui manquait pas. Enfin pour autant, il fallait désarmer la situation, la rassurer en quelque sorte. Mais c'était comme si, on lui dictait ses actes et ses paroles, presque, lui disant ce qu'il fallait qu'il fasse actuellement, prendre soin d'elle, la garder dans un cocon, la protéger. Il luttait contre cela.


"Eh...tout va bien....ils sont partis de toute manière..."

Il avait remarqué qu'elle s'était rapprochée, autant que lui, lorsqu'ils avaient fait un pas l'un vers l'autre, pour quasiment se retrouver l'un contre l'autre. Le manque de l'autre se faisant sentir, pour autant, ce n'était pas comme si on agissait sur une impulsion, même si c'était le cas en quelque sorte. Il avait vu le pistolet tomber au sol, elle avait du se rendre compte qu'il n'y avait plus aucun danger autour d'eux. Dingue comme parfois ils pouvaient se comporter comme des bêtes sauvages, sous l'influence de ces nanites en tout cas.

Nul doute qu'à l'instant présent, ce qui compta le plus, malgré toutes les alarmes qui sonnaient dans sa tête, façon de parler, ce fut de la prendre dans ses bras, de l'entourer de ses bras, de la prendre contre lui, la serrant légèrement, comme une sorte de soutien, montrer que tout allait bien.


"Je pense....qu'ils ne viendront plus....ils ont retenu la leçon..."

Il savait qu'il devait se reculer, mettre de l'espace entre eux, mais visiblement il n'en fit rien du tout au contraire, il resserra légèrement son étreinte, baissant légèrement la tête, pour venir poser ses lèvres sur sa nuque. Il était fou ou quoi ? Qu'est-ce qu'il faisait franchement ? Ce n'était pas cela qu'il devait faire ! Ils devaient trouver une solution pour tout ceci. Mais c'était plus fort que lui, il voulait de nouveau sentir sa peau contre ses lèvres, goûter à cette nouvelle chair, laisser son empreinte en quelque sorte. Il murmura même quelques mots.

"Ma Liz.....si forte...."

Un moyen de réconfort comme on pouvait. Mais il se devait de reprendre contenance, de faire abstraction de cette attirance entre eux, ce n'était pas normal. Cela ne se passerait pas comme cela en tant normal. Non, on ne sautait pas sur les gens sans raison. Mais là, il ne résistait pas. C'était elle que son corps appelait actuellement, qu'il voulait, et rien ne pourrait se mettre au travers de son chemin en quelque sorte. Pour autant, contre son gré, il finit par tenter de sortir de cette étreinte ou plutôt d'éviter plus de rapprochement que ce qui n'était déjà fait.

Il fallait se ressaisir, dans un sens, il pouvait remercier en quelque sorte, ce qui lui avait été injecté en tout cas, vu que cela lui gardait une parcelle de raison qui visiblement, il n'aurait pas eu sans cela.


"Il faut......trouver comment arrêter....ces choses....ou vous et moi......et je ne veux pas....commencer...comme ça..."

Pas qu'il n'aimerait pas, il doutait fortement de ne pas aimer - que ces pensées perverses du moment s'en aillent un peu merci ! - mais ce ne serait pas convenable, ils se connaissaient à peine, ils étaient dans la même équipe, et ce n'était pas un coup de coeur ou un coup de foudre, juste les effets de stupides machines en fin de compte, bien que quelque part, si elles avaient agi ainsi, c'est qu'elle avait remarqué malgré tout une certaine alchimie pas vrai ? Mais cela restait des machines, des programmes basées sur des réponses pré-enregistrées, pas de place pour le doute ou pour la réflexion.

"Que.....peut-on faire ?"

Il n'y connaissait rien malheureusement dans ce genre de technologies en tout cas, et il essayait vraiment de garder ses pensées tourner vers cela, plutôt que vers la jeune femme, plus qu'attirante, qu'il avait dans ses bras, que son corps appelait. Il n'en tiendrait qu'à cela, il la ferait sienne, laissant parler le langage du corps au final, laisser la bête qui sommeillait en nous se réveiller. Mais il essayait d'être convenable. Combien de temps avant que les médicaments ne cessent ? Bonne question, mais leurs effets se réduisaient au fil du temps, bientôt, il ne serait même plus capable de réfléchir à la situation. Il se contenterait de savourer à vrai dire.
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MessageSujet: Re: Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ]   Gymnase du SG-C....quarantaine assurée ! [ Fe Liz ] - Page 3 EmptySam 15 Fév 2014, 15:41

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Confus était un mot faible pour décrire l'état d'esprit de la jeune femme à cet instant. Il lui avait fallu un temps avant de comprendre qu'ils ne craignaient plus rien. Enfin, qu'on ne leur tirerait pas dessus à nouveau dans les prochains temps. Voir Liam face à elle avait réveillé à nouveau son envie de lui appartenir et de se réfugier contre lui. Elle avait bien vu que le jeune homme avait refait surface et était pour le moment moins atteint qu'elle. Surement dû aux sédatifs qu'il avait dans l'organisme.

Néanmoins, elle se laissa faire quand il la pris dans ses bras, passant elle aussi ses mains autour de sa nuque. Elle se retint de gémir de plaisir en sentant à nouveau sa chaleur contre elle. Les mots de réconfort lui firent du bien et lui permirent de retrouver un rythme cardiaque plus ou moins normale au vu de la situation. Les lèvres du jeune homme contre son cou lui donnèrent de frisson le long de son corps.

"Ma Liz.....si forte...."

Sa possession envers elle était agréable aux oreilles de la jeune. Indépendante comme l'était, elle appréciait de lui appartenir. C'était vraiment contradictoire. Elle avait elle aussi envie de le marquer comme sien, d'être sa seule femme. Elle posa tendrement ses lèvres à la base son cou. Cela allait être compliqué de se détacher de lui, de se recentrer sur cette solution afin de les sortir. Car il lui avait fait confiance dès le début de cette quarantaine, en lui disant qu'elle trouverait la solution. Liz ferma les yeux un instant, elle sentait dans les geste et paroles de Liam qu'il était plus "froid" ou plus raisonnable des deux.

"Il faut......trouver comment arrêter....ces choses....ou vous et moi......et je ne veux pas....commencer...comme ça..."

"Je sais... je vais y arriver..."

Et bien que ça lui briser le cœur, elle fit un pas en arrière gardant un main encore contre lui. Les nanites n'étaient pas d'accord, c'est comme si elle luttait contre une force en elle. Ressentant à nouveau cette douleur dans la poitrine. Elle avait appris à gérer la douleur quand ses parents étaient morts mais celle là était encore pire. Comme si leur lien était écartelé mais elle n'avait pas vraiment le choix si il voulait sortir de là. Après tout, toute cette attirance qu'il ressentait pour elle n'était dû qu'aux nanites. Il ne la connaissait qu'à peine. Mais Liz sentait qu'une alchimie un lien était déjà créait entre eux, sinon les nanites n'auraient pas été si rapide dans leur croissance. Si ? Le sentait-il lui aussi ? Ce n'était pas le moment ni le lieu pour en parler, la situation était trop compliquée pour le moment. Dieu qu'elle avait envie de poser ses lèvres sur les siennes, juste sentir ce que ferait un baiser avec lui, de goûter le plaisir de la chair. Ces hormones continuaient d'être en ébullition les repoussant toujours vers Liam.

Elle savait qu'elle devait retrouver un minimum d'esprit, elle avis la la seringue que le médecin avait laissé sur la table avant de partir. Elle avait crû comprendre dans sa colère que ça lui permettrait reprendre un minimum pendant un temps ses esprits pour trouver de quoi les sortir de là. Elizabeth prit la seringue et la tendit vers Liam.

"On va faire ce qu'ils avaient prévu, vous allez m'injecter le sérum. Je dois...retrouver l'esprit clair pour trouver comment... éviter... nous sortir de là."

C'est impressionnant comme rien que le fait d'imaginer ne plus être attirée par lui la peinée.
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