Au petit matin, le prêtre se réveilla en sentant une légère pression et une tendre chaleur sur son dard. Ses yeux ouvert lui permis de voir la jolie Diedre, qui posé ses lèvres sur son torse dénudé. L'ecclésiastique senti le tracé humide des baisers qui descendait vers son intimité.
Au bout de quelque instant la légère pression sur sa verge se transforma en chaleur humide. Deidre était vraiment une experte dans l'art du plaisir de la chair. L'homme ressenti un extrême plaisir.
La jeune demoiselle, se releva et enfourcha la vigueur du prêtre. Elle se mis à faire onduler son corps d'avant en arrière à un rythme lancinant. Elle lui pris les mains et les guida jusqu’à ses jolie seins en forme de poire. Elle ne devait jamais avoir eut d'enfant car ils étaient bien ferme et les petits tétons roses pointés naturellement vers le haut. Les mains qui au départ caressaient timidement la poitrine se mirent à raffermirent la prise au fur et à mesure que le rythme de la servante augmentait. Le prêtre se concentra pour ne pas laisser son plaisir partir en elle, mais ne put si contraindre trop longtemps, la bougresse était véritablement douée. Elle fini par se laisser choir à son coté.

Mais moins d'une minutes après ce réveil énergique, elle se releva. Elle attrapa le tissus blanc tellement léger qu'il laissé voir ses courbe parfaite. Le plaisir avait été tel qu'il se devait de lui rendre l'appareil.
Il se leva à son tour et l'empoigna. Surprise elle lâcha le tissus. Il l'a jeta sur le lit. Le geste malgré la violence était des plus juste pour ne pas la blesser. En s'avançant, ramassa d'un ample mouvement de bras la robe, et d'un autre la fis tourner sur elle même afin qu'elle s'enroule.
Deidre écarta ses cheveux que le vol avait mis devant son visage. Elle vit le visage du prêtre à quelque centimètre d'elle. Elle avait l'impression qu'il avait parcouru la distance en un battement de cils.
Sans agressivité, et avec un tendre sourire au lèvre il empoigna les mains de la courtisane, et d'une contorsion les lui noua dans le dos. La bestialité de l'acte, l’excitait autant que l'effrayait.
Le prêtre d'un habile mouvement la retourna, elle se retrouva la face dans les oreillers. Il se positionna derrière elle, et commença la besogne.
Elle senti le phallus du prêtre la pénétré et la vigueur de ce dernier qui à son tour aller d'avant en arrière. Il adopta un rythme lent pour ne pas traumatiser les lèvres inférieur gorgées de sang.
Elle donnait sans s'en rendre compte le rythme, il suivait les soupirs de la demoiselle. Plus il augmentait la vitesse de balancement, plus elle gémissait et plus il augmentait, et ainsi de suite, jusqu'au moment où en un moment de communion, ils jouirent en même temps.
Il se retira, se leva et regarda la jeune femme comblé qui les fesses en l'air, le regardait embuée dans ses larmes.
Il remis ses vêtements et quitta la pièce, la jeune esclave toujours attaché et nue sur le lit. Il ne jeta même pas un regard en arrière.

Ce n'était plus l'homme qui sortait de la pièce mais le prêtre d'Apollon.