Liam allait la tuer. Trop d'anticipation, d'envie montait en elle, elle avait l'impression que son cœur finirait par lâcher avant la fin. Sa main n'en finissait pas de serrer la fourrure alors qu'il s'amusait de sa bouche sur sa peu dénudée.
Sur que si quelqu'un était entré là, enfin avait osé entré surtout, nul doute qu'il aurait vu autre chose qu'une première fois, que deux inconnus. Enfin personne n'oserait déranger une lune de miel bien sur, il fallait être stupide, mais si quelqu'un les avait vu là, on se demande bien ce qu'il aurait pensé. Ces mains qui cherchaient sans peine leurs destinations, cette tension entre eux, on serait passé pour des vicieux, des lubriques s'il n'y avait pas eut cette attention, ses gestes qui se cherchaient, ses regards qui se perdaient l'un dans l'autre. Un échange passionné et complice qui ne laissait pas de place au doute, ou a leur sentiment sur l'instant. Ils étaient dans leur monde à eux, loin de tout, du temps, du reste. Il n'y avait qu'eux et leur besoin irrationnel d'eux. Cette envie de vouloir se posséder entièrement, de ne faire qu'un, tout en sachant qu'ils étaient fait pour ça, ils le savaient, ce n'était pas la première fois après tout.
Pour l'instant qu'il soit un terrien, un major, n'importe importait peu. Il était juste Liam, celui qu'elle voulait. Cette attraction des corps, cette danse si sensuelle pour ne pas dire sexuelle encore entre eux, était vertigineuse. Bastet n'en menait pas large là, couché sous son puissant guerrier, grognant par moment lui aussi sous ses caresses, et pourtant elle n'avait encore rien fait à part subir...
Chaque morsure qu'il faisait sur sa peau halée la faisait se cambrer, accrocher un instant sa main dans ses cheveux, alors que son ventre bougeait au rythme saccadée de sa respiration haletante.
Mourir, elle allait mourir de plaisir avant l'heure, mais quel plaisir de l'entendre aimait cela tout autant qu'elle. Ils se perdaient l'un l'autre, dans un jeu bien dangereux mais ô combien agréable et surtout d'une manière si complice que cela en était beau.

Il releva la tête contre son ventre et elle ne put que le regarder doucement et amoureusement sur l'instant. Elle avait si chaud, elle sentait son corps entier si tendu que ça allait devenir douloureux, mais elle se détendit légèrement quand leur regard se croisèrent et qu'il ne décide, enfin, a rejoindre de nouveau ses lèvres.
Bastet frissonna d'extase en sentant son corps puissant la frôler, la caresser tout du long avant de venir se caler, bassins contre bassin. Elle se mordit les lèvres en ne pouvant s’empêcher sur le moment de serrer ses cuisses contre lui, tellement elle avait l'impression d'être en feu. Là, de suite, qu'ils en finissent, elle n'en pouvait plus, elle ne tenait plus il avait gagné.
Elle le regarda s'approcher en cherchant doucement ses lèvres des siennes, comme si c'était un besoin, une nécessite, qu'elle était en manque, mais elle s’arrêta avant de l'embrasser, écoutant avec grande attention ce qu'il disait. Elle en frissonnât, ses yeux de brillant d'une émotion incontrôlée et elle ne put sur l'instant empêcher ses yeux d’étinceler - like a goa'uld - quand il la dit sienne.
Elle bougea lentement, laissant une jambe venir contre la fourrure, laissant ses mains s'accrocher désespérément a ses épaules, découvrir un instant ses bras musclé avant de venir doucement glisser sur son torse, se qui déclencha un tourbillon d'ivresse.. ou est-ce que c'était les baisers enflammé qu'ils échangeait sans vouloir s’arrêter, comme s'ils étaient drogués, comme si c'était vital.
Elle se crispa en sentant une de ses mains glisser le long de sa cuisse, et sachant sa destination, elle ne put retenir un grognement, un ronronnement sur l'instant contre la bouche de Liam.
On pouvait admirer par ses mouvements de bassins des années de pratiques de danse, mais aussi une sensualité mise a rude épreuve par un amant si quémandeur, exigeant mais à qui elle offrirait tout.
On ne pensait plus a rien d'autre qu'aux caresses, aux ongles qui s'enfoncèrent doucement dans sa peau lors d'une caresse intime trop poussée qui lui arracha un gémissement de plaisir non feint, qu'aux baisers si sensuels qui ne semblaient pas vouloir cesser, exacerbant au possible les émotions de Bastet. Cran par cran ils semblaient décidés à repousser les limites de leur passions, envies, résistances. On ne pensait pas à faire attention, à se retenir de faire du bruit, c'était hors contexte, trop loin pour eux. Existait-il toujours quelque chose en dehors d'eux ? Est-ce qu'il avaient encore conscience d'être dans ce tipi, ou avaient-il déjà dépasser ce stade.
En tout cas, une dernière caresse qu'il lui prodigua l'électrisa des pieds à la tête, la faisant se cambrer à l’excès, dans un souffle retenu. Elle vient caler la tête de Liam dans son cou alors qu'elle rejetait  la tête rejetée en arrière en se laissant aller a un profond gémissement en se mordant doucement les lèvres comme pour se retenir, les mains perdue dans la chevelure de son amant. C'était comme s'il la connaissait sur le bout des doigt, comme s'il savait comment elle fonctionnait... c'était instinctif, une passion mutuelle.
Au son de cette voix rauque de désir, a ses paroles elle glissa ses mains être eux pour caresser son torse, suivre le dessin de ses muscles puissants. Ses yeux brillèrent un instant -like a goa- en l'observant, let elle le dévora du regard. C'était incontrôlable, elle avait eut tellement de mal la première fois a se maîtriser pour cela, mais s'il était prés a l'accepter, elle pouvait bien se laisser allé complètement, être elle sans retenue non ?
Bastet laissa sa langue venir humidifier ses lèvres, un regard amusé, tentant, joueur, avant qu'elle ne vienne prendre possession de ses lèvres en glissant un mains sur la clavicule de Liam alors que l'autre glissait le long de son torse, venant caresser son flan.
Les lèvres entrouverte, elle fit doucement glisser sa langue entre ses dents, avant de faire un petit sourire sensuel et un brin carnassier, alors qu'elle exerça une pression de la main sur l'épaule de Liam et qu'elle le faisait basculer sur le dos, se retrouvant au dessus de lui.
S'écartant de lui un instant elle se redressa, et de le voir ainsi étendu sous elle, sentir la présence entre ses cuisses, cela la fit remonter a des mois passé, lors de leurs première fois... et de celle d'Aya pour la peine. Il l'avait laissé tout contrôler, à son rythme, à son envie, il avait été gentleman malgré tout et ce souvenir lui arracha un tendre regard . Puis un regard complément coquin, elle glissa ses mains amoureusement, de son nombril à ses épaules, doucement, le détaillant des yeux, tout en se penchant de nouveau sur lui. Même si ainsi le contact était encore plus présent à un certain niveau, rendant ce contact douloureux presque par leur envie, cela ne faisait aucun doute ni pour l'un, ni pour l'autre , cette petite pause, cette petite distance la fit redescendre d'un cran.
Arrivée contre ses lèvres, elle s’arrêta a quelques millimétré avant de murmurer sensuellement.

-''Parfaite... vraiment ?"

Visage contre visage, souffle court pour souffle court, sentant son envie d'elle contre sa féminité, les deux pressés l'un contre l'autre, sensation agavé par un délicat roulement du bassin,  elle s'empara de ses lèvres goulûment en se redressant lentement mais sûrement, souplement sur ses genoux, venant mettre une distance entre leur corps. Distance salutaire sur l'instant, ou est-ce que ce n'était que pour le torturer d'autant plus?

-'' Humm... Liam..."

Posant une main sur son plexus et se mit en devoir de découvrir de ses lèvres cette peau tan convoité. Son menton, la courbe de son cou, le creux de ses épaules...

-'' Mon major adoré... si beau, si fort...humm!"

Sa main glissa doucement le long de son large torse viril pour venir se poser plus bas, contre son bas ventre alors qu'elle hésita sur ce qu'elle allait faire de lui, en rivant un regard transcendant le reste.Enfin hésiter, disons qu'elle prit quelques secondes de réflexion pour revenir posséder ses lèvres ardemment, passionnément. Cela en était presque violent tellement ils le voulaient.. mais elle cessa le baiser et laissa glisser sa main dans une caresse lascive le long de son bras alors que du bout de la langue elle traçait un chemin vers ses pectoraux, tout en glissant souplement une jambe, puis l'autre entre les siennes et qu'elle ne vienne doucement coller leurs bassins l'un contre l'autre en un mouvement lent et contrôler, se déhanchant doucement, et laissant ses long cheveux venir frôler le corps du militaire dans un geste délibéré. Léger déhanchement avant de revenir porter son poids sur ses genoux, libéré de son poids la masculinité du beau brun. D'un geste de la main, elle rejeta ses cheveux en le regardant d'un regard noir de désir et a genoux elle se pencha pour de nouveau embrasser ses abdos, savourant le goût si particulier de sa peau, lui laissant ici ou là une léger morsure à peine appuyée. Elle laissa ses mains remplacer ses baisers ardent pour descendre encore et toujours plus bas, jusqu'à ce que ses fesses ne vienne toucher ses talons et que ses lèvres ne rencontre un bout de tissus. Elle releva légèrement la tête vers lui pour l'observer, capter son regard, avec l'envie qu'il la dévore des yeux puis, délicatement, elle laissa glisser sa main dessus, sans trop serrer au vu de la contention. Malicieuse, elle fit remonter une main qui finit par se perdre dans le flot de ses cheveux longs qui couvraient présentement le ventre du major pour laisser une langue glisser dessus un instant avant de se mordre les lèvres et de revenir vers lui, pour retrouver sa bouche divine et tentatrice en venant de nouveau prendre place contre lui, coller son bassin contre le sien, délicatement à coup de léger mouvement oscillant. Elle vient doucement se caler contre son épaule, ses jambes entre celles de Liam, tentant qu'il ne supporte pas son poids mais c'était bien difficile vu la position adopté.

-'' Hum... ?"

Léger levé de sourcil, sourire coquin, amusé avant qu'elle ne laisse ses cheveux venir tomber en cascade sur le coté gauche de son visage et ne vienne de nouveau prendre possession de cette bouche attirante, en laissant une main posé sur l'épaule du militaire pour se soutenir. Quand elle reprit son souffle, elle ronronna presque d'envie en sentant cette pression reprendre le dessus sur eux alors que chaque mouvement, chaque frottement du bassin déclenchait en elle un flot de sensation inimaginable et ses mains qu'il laissait sur son corps... c'était divin

-'' Hum Liam, mon Liam..."

Elle planta son regard bleu chaleureux et empli d'une passion débordante dans les siens avant de reprendre possession de sa bouche en cherchant encore plus ce contact, jouant à un jeu bien dangereux...

Un nouveau baiser, un nouvel échange... On aurait du commencer directement par là quand on s'était retrouver tout à l'heure,au lieu de vouloir parler et de finir par s’engueuler... Enfin là, Bastet ne pensait plus a tout cela. La gêne qu'elle avait ressentit en le voyant, la peur qu'il ne la dénonce, cette lourde incompréhension entre eux, cette colère ... Envolées toutes autant qu'elles étaient.
On oubliait tout : ce qui se passait dehors, où on était, dans quelles conditions... on oubliait même de réfléchir. C'était son corps qui s'exprimait et à travers lui, son esprit, mais de manière innée , inconsciente, incontrôlable... ce moi profond s'exprimant et ce en tout liberté.

Se laissant aller, Bastet en grognait doucement de plaisir, c'était limite un ronronnement tellement cela devenait intensément trop long et douloureux à subir. Une douce torture qu'ils s’infligeaient comme cherchant à se marquer mutuellement au maximum, volontairement, cherchant encore et toujours à aller plus loin. Un manque à compenser peut être allé savoir. En tout cas, cela ne se contrôlait pas, c'était un jeu à deux. Ils se cherchaient, s'éprouvaient, tentaient la limite de leur volonté, de leur passion. Nuls doutes qu'ils se mettaient l'un comme l'autre à rude épreuve, c' était comme si aucun des deux ne souhaitait aller trop vite, sauter des étapes... Ils voulaient tout. Profiter de tout, tout partager … tout prendre.
La langue se faisait agile, alternant lente caresse et danse enfiévrée, cherchant encore et toujours la sienne, la posséder, procurer le plus de sensation, comme si c’était possible. Et il lui rendait bien, tellement, que sa tête commençait à en tourner sous la pression, l'envie, la chaleur, les émotions.
Cela faisait un moment que leurs baisers n'avaient plus rien de saint... et que dire de leurs regards qui se cherchaient lorsqu'ils s’arrêtaient pour quelques secondes avant de repartir à l’assaut l'un de l'autre ? Chacun des deux pouvaient sentir ô combien l'autre le voulait, insistant pour reprendre encore et toujours cette danse érotique, sans laisser à l'autre de répit, trop demandeur, quémandeur, comme s'ils n'y pouvaient rien présentement, que c'était vital.

Elle avait eut l'envie de le faire ''payer'', de lui faire regretter ce mauvais traitement qu'il avait prit tan de plaisir à lui infliger justement avant... un juste retour des choses non ? A cheval sur lui, elle avait donc laisser ses mains, sa bouche avide, partir à l'exploration de ce corps qui n’appelait qu'elle, elle le sentait pulser sous elle, cela en était quasiment douloureux et torturant même pour elle.
Chaque déhanché, chaque caresse finissait invariablement par arracher à l'autre un gémissement, un souffle rauque, comme s'ils étaient arrivés au bout, perdus en fin de compte. On risquait de ne pas pouvoir continuer longtemps à ce petit jeu ou il n'y aurait sûrement pas de vainqueur.
Bastet bougeait lascivement, sans réellement en prendre conscience, perdue dans ses sentiments, et encore plus en sentant ses mains puissantes la coller plus encore contre lui si possible, le tissus étant presque de trop entre leurs bassins. Chaque mouvement la faisant trembler d'anticipation, de cette envie de ne refaire plus qu'un avec lui encore une fois, ou de ne faire réellement plus qu'un cette fois-ci, car après tout, si on enlevait qu'elle lui avait ''menti'' et qu'ils avaient été drogués quasiment au GHB, pouvait on considérer cela comme autre chose que de faire , cette fois, un une fois, une première fois l'amour pour de vrai, en bonne et du forme ?

-'' Oh Liaaammm..."

Ses baisers, ses caresses, ses regards chauds et enivrant, son souffle chevrotant... tout allait la rendre folle, et cela s'entendait à la douceur de ses murmures rauques.
En sentant ses mains remontées, douces sadiques, sur ses cuisses pour s'en allé remonter lentement cet ersatz de jupe, Bastet se crispa et se pencha dans le creux de son cou pour y enfouir sa tête un instant, serrant ses mains dans son dos un instant, étouffant un gémissement langoureux, avant de se mordre les lèvres, chancelante. Qu'il l'arrache et qu'on en parle plus ! C'était limite ce qu'elle avait envie, et en même temps, non, qu'il prenne son temps, tout le temps, on avait la nuit devant soit, il aurait été tellement dommage de n'en profiter qu'une heure et que ce soit fini... Elle le retrouvait, son si grognon, taciturne, mais si doux et beau major, alors elle ne comptait pas en rester là. Juste s'amuser quelques minutes ? une heure ? Non. Ce serait leur nuit, sa nuit et il comprendrait alors...

Ce feu qui grandissait à l’intérieur de Bastet menaçait de l'emporter très loin, et en même temps lui donnait l'envie de se mêler à lui pour ne faire plus qu'un... peut être pour cela que ses baisers se firent plus insistant,voluptueux alors qu'ils n'en finissaient plus de doucement se frotter l'un contre l'autre : les mains, le torse, sa virilité contre sa féminité, s’excitant au possible, leurs mains vagabondant aux grès de leurs envies pour marquer l'autre, ne laisser aucun centimètre carré de cette peau nue vierge de leur empreinte.

Sous ses mains Bastet trouvait son major si beau, si appétissant... la tentation incarnée. Il s'était montré doué et joueur lors de leur première fois et en même temps maladroitement tendre. Cela l'avait tellement touché, même si ce n'était pas elle qui avait eut son amour mais Aya. Elle en avait déglutit sous cette pensée, à peine une seconde, car elle savait que là il n'y avait qu'elle pour lui non ? Ou elles allez savoir. En tout cas, c'est ce qu'elle comprit quant il les redressa.
Glissant félinement ses bras autour de son cou alors qu'il s'occupait très bien de ne pas les séparer, rechignant à libérer l'emprise qu'il avait sur ses fesses, comme si cela aurait été trop dur de s'éloigner, ou qu'on ne le voulait pas, elle soupira d'aise.
Elle riva ses yeux dans les siens quand il s'écarta juste à peine d'elle, juste pour murmurer qu'il était temps de passer à autre chose. Elle se cambra en sentant ses doigts glisser contre son dos et commencer a tirer sur le nœud dans son dos. Retenant sa respiration, fermant à moitié les yeux, appréciant dans un souffle libérateur cette sensation du tissus qu'on tendait et qui finalement glissait pour ne laisser plus rien qu'elle contre lui.
Elle rouvrir les yeux en dévorant Liam d'un regard savourant cette caresse emplie de douceur, d'amour peut-être contre sa joue ? Comme quoi la douceur, la tendresse ne s'était pas enfuit, elle était juste quelque peu malmener par leurs émotions respectives mais présente, il n'y avait pas qu'un acte primitif et animal. Déglutissant, elle fit de nouveau glisser sa langue sur ses lèvres entrouvertes, les humidifiant a nouveau face à cette chaleur torride entre eux.
Ton Liam, Ma Bastet... cela voulait tout dire en cet instant précis. Elle frissonna contre ses lèvres par cette torture. Son nom... Sans connotation, aucune. Pas de supériorité, pas de reine, de déesse, juste Bastet et rien qu'elle. Qu'il le murmure autant que possible c'était une si douce mélodie quand c'était lui. Elle se perdit dans un nouveau baiser, venant d'elle même coller sa poitrine contre son torse, laisser leurs peaux enfin se toucher, grognant un instant en jouant de ses doigts dans les cheveux de son amant... car c'était bien ça après tout là ? Rien ni personne ne l’empêcherait de le faire sien, et lui de même encore.

-'' Attends, Liammm ! Humm...
Dis moi... qu'est-ce qu'un ''round ?'' "

Il suffisait d'entendre cette voix lourde de désir et légèrement effrontée, et surtout de voir le sourire coquin qui étira ses lèvres pour s'en rendre compte qu'il s'agissait plus d''un jeu qu'autre chose, elle était joueuse jusqu'au bout. Bien sur, Bastet ne savait pas ce que c'était, mais elle s'en doutait. Quoique s'il voulait être son professeur il se rendrait vite compte qu'elle apprenait vite et qu'elle était... très assidue.

Un nouveau baiser pour se perdre encore et toujours dans leurs sensations et plus encore, surtout maintenant que leurs peau pouvait enfin se toucher en quasi totalité. C'était si bon de se perdre l'un dans l'autre dans ses baisers fiévreux et charnel, tellement perdue qu'elle ne remarqua pas sur le moment qu'il venait se se libérer de la dernière emprise sur son corps. Mais de toute façon,on avait franchit un cap en retirant le bandeau de Bastet, cela avait fait l'effet d'une bombe, libérant un flot d'émotions, de passions. Comme s'ils étaient passé d'un slow langoureux à un rock voluptueux.
Ils avaient trop jouer, trop poussés loin... le point de non retour était dépassé depuis longtemps. Ils le savaient, ils s'en étaient brûlés si intensément et avec tan de plaisir et d'envie qu'ils leur étaient dorénavant impossible de ne pas vouloir épancher leurs soifs d'eux. Il n'y avait qu'une solution, mais à les voir là, se défiant d'un regard, leur corps se cherchant par des frôlements, Oui.. ils le savaient, ils ne cherchaient et n'attendaient même que ça en fin de compte. C'était leur finalité... ou un commencement, mais on verrait cela après ce fameux premier round ( ).
Bastet se cambra un instant, s'éloignant juste assez pour que sa poitrine ne le frôle, en faisant quelques déhanchés lents et longs dont elle avait le secret, basculant le bassin, bloquant le mouvement avant de reprendre doucement en le regardant, attentive, amoureuse, soufflant légèrement contre ses lèvres, jouant du fait qu'elle, elle avait encore sa jupe et ce qui servait de sous-vêtements : c'était déloyal après tout, mais c'était la dernière limite, le dernier rempart contre cette union sacré de deux corps qui ne voulait que cela. Posant ses mains sur les épaules de Liam, d'un coup de bassin appuyé elle se colla contre lui, avant de remonter doucement, souplement, se redressant légèrement à genoux, laissant leurs peaux se frôler tout du long jusqu'à ce qu'elle puisse poser son front contre le sien, en fermant les yeux, soupirant.
Une douce et dernière torture, qu'il prenne cela comme un cadeau. S'il voulait tout alors elle lui donnerait tout, le torturerait jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'a bout il dépose les armes, qu'il abdique... bien qu'elle sache qu'il lui ferait ensuite payer au centuple... c'était si déraisonnable, mais si bon.

-''Liam.. Oh mon Liam..."

Se cambrant, doucement, délicatement, cherchant sa masculinité mais pas trop vite, Bastet ne savait pas si cela faisait réellement descendre la température entre eux, ou l'aggraver. Les papillons dansant dans son bas ventre en tout cas eux ne faiblissaient pas. Détachant son front du sien, un sourire doucement sadique aux lèvres alors qu'elle les savaient plus que prêt et désireux de s'unir enfin... Tout cela, cette dernière tentative, ces dernier préliminaires étaient tout aussi une torture pour elle que pour lui.
Elle finit par redescendre doucement, jusqu'à ce que ses lèvres puisse délicatement, lentement embrasser celle de Liam, une douceur passagère car sa langue, vilaine coquine, repartit doucement dessiner un chemin brillant vers le lobe de son oreille, le mordillant avant de finalement arrêter sa course pour venir parsemer de baisers papillons son cou. Ses mains pendant ce temps là remontaient doucement de part et d'autres, caressant ses larges épaules, ses trapèzes, son cou, sa nuque, avant de s'enfoncer un instant dans ses cheveux et l'attirer à elle, attirer sa tête contre elle alors que doucement, elle se penchait en arrière pour lui offrir son cou en gémissant, toute frissonnant de passion inavoué, revenant coller leurs parties intimes, y prodiguer un certain massage doucement, lascivement. Son corps musclé contre elle, elle recherchait sa chaleur, sa puissance, son envie, sa douceur... tout. Qu'il ne soit qu'a elle, que là pour elle.
Tiendrait-on longtemps ? Cela en était de moins en moins sur car les caresses, les frictions elles, ne s’arrêtaient pas loin de là.

-'' Oh... Oh, Liaamm.. Liammm ."

Nouveau gémissement au creux de son oreille en murmurant désespérément son nom... A chaque mouvement de son bassin collé au sien, elle le sentait là, prêt, prêt pour elle, juste pour elle... et prête, elle l'était tout autant. Elle sentait son envie qu'elle soit enfin à lui, sa Bastet, et cette fois, ce ne serait pas comme avec ces autres hommes qui ne pensaient qu'à accomplir leur besogne, qu'a « tirer leur coup » non... il y avait plus en jeu, elle le sentait, elle le savait, et cela l'électrisait encore plus.

-'' Oh oui … mon Liam ... enfin..."

Enfin le dire, réellement. C'était sortit tout seul, sous l'instant, sous ses baisers, ses caresses, son envie, ses sentiments. Ou peut être voulait-elle dire qu'elle le voulait là, enfin, maintenant, qu'elle n'en pouvait réellement plus, perdu dans ses bras qui la maintenant si serrer à lui, l’empêchaient de s'éloigner, de cesses ces contacts sensuels et plus encore, ô combien désirés. Ils avaient trop joués l'un de l'autre, c'était trop marqués pour que ce soit un simple plan cul. En les voyant là, cette simple hypothèse semblant sordide tellement leur passion, leurs regards, leurs gestes... tout semblait crier, qu'ils aspiraient à un autre chose de plus profond, de plus vrai...
Oscillant son bassin, rapprochant au grès de ses envies, de leurs envies, se jouant dans ses dernières force de Liam, Bastet là, se sentait si femme dans ses bras puissants. Une envie de le séduire, de le détruire... Détruire sa volonté, sa résistance, qu'il ne soit plus qu'a elle , à jamais. Possessive oui, elle l'était finalement... Mais en cet instant elle se sentait si bien dans ce corps, son corps, parce qu'elle savait qu'il la trouvait belle et désirable. C'était tout ce qu'il lui fallait.
Cette étreinte, cette l’énergie des corps, cette lutte amoureuse n'en était pas à sa fin, mais bien au seuil d'un nouveau chapitre du jeu, qui menaçait d'entrer en action d'ici peu. Et ce mouvement alors qu'elle se laissa de nouveau retrouver le confort de ses jambes, coller son bassin à lui, le ressentir douloureusement contre son bas ventre, palpitant, n'attendant qu'elle. Ce lent et long frottement contre sa virilité qui lui arracha un si long gémissement était bel et bien là preuve : Elle n'en pouvait plus. Elle le voulait, elle le désirait, tellement que s'en était inhumain. Une main tremblante sur la joue du beau brun, elle l'attira doucement à elle pour l'embrasser à nouveau, tendrement puis passionnément mais cette fois-ci réellement tremblante d’excitation, d'anticipation et de cette horrible frustration qu'au final elle s'imposait elle même. Un souffle de plus en plus court, le visage en feu, elle le dévora d'un regard ardent et sensuel à damner un saint...

Bastet ne se lassait pas de s'enivrer de toute cette passion. Ses baisers fiévreux, ses mains qui la maintenait si prés de lui, contre lui, contre sa virilité qui l’appelait. Tout : la douceur, la fièvre, ce coté animal qu'elle sentait poindre de plus en plus, elle prenait tout de Liam.
Pour tout cela qu'elle avait désiré un dernier baiser emplis d'une certaine douceur... enfin du peu de douceur qu'il lui restait encore car bientôt, ce feu qui les chauffait allé submerger le reste, et cette la douceur risquerait de leur faire défaut. Elle serait remplacée par une passion brûlante, dévorante de l'aimer et d'être aimer plus que tout...
Un dernier mouvement du bassin, une dernière danse de sa langue contre la sienne et tout bascula : le tipi, le haut et le bas...
Enfin non, c'est elle qui bascula en toute sécurité dans les bras de son amant qui n'en pouvait visiblement plus. Il avait finalement cédé sur la pression et quel sentiment cela provoquait en elle que de le voir ainsi, crispé et brûlant de passion pour elle, luttant contre cette envie irrépressible, tout ça pour … eux. C'était intense, fort et beau.

Bastet déglutit en gigotant légèrement sur la fourrure, se calant mieux contre lui, bougeant inconsciemment en rythme, tout en repartant de ses doigts, de ses touchers explorer son dos, la chute de ses reins, ses fesses si fermes qu'elle s'en mordit les lèvres un instant.
Un round ? Elle le regarda un brin amusée en glissant sa langue sur ses doigts, souriante. Oh ? Et il comptait lui montrer comment hum ? Enfin, sous Liam qui reprenait les commandes, Bastet se laissa faire, se cambrant en le sentant de nouveau jouer avec son corps.
Bastet gémit un court instant alors qu'il s’arrêtait contre sa poitrine hypersensible.

-''Humm.... Liam tu triches !"

Oui, après tout c'était pas chacun son tour ? Ou alors il décidait de changer les règles à son avantage... et il l'était là a son avantage. Sa respiration se fit haletante, chaotique à mesure qu'elle sentait sa progression, ses lèvres humides qui embrassaient, mordillaient son corps en feu... Elle avait la tête qui tournait sous tout ce flot de sensations enivrantes.

Elle ouvrit grand les yeux et agrippa la fourrure de sa main droite quand elle sentit qu'il s'attaquait à cette jupe ridicule et ses dessous. Elle se cambra, se contorsionna doucement pour l'aider, trop pressé qu'il en finisse. Elle entrouvrit les lèvres en laissant échapper quelques gémissements haletants alors qu'il lui arrachait plus qu'autre chose ce dernier rempart entre leurs corps, leurs envies.

Enfin. Ils y étaient enfin. Plus d'artifices entre eux. Plus que du naturel, eux, juste eux et leur envie, leur passion. Elle ne put que frissonner de plaisir et d'appréhension en se sentant enfin nue sous ses mains, ses baisers. Les sentir tous les deux nus... c'était une vraie extase que de se dire qu'on y était enfin, que tout allait commencer. Elle déglutit en laissant allez sa tête en arrière dans cette fourrure, fermant les yeux, gémissante alors que ses doigts glissaient dans la chevelure de Liam qui se laissait glisser sur elle, imiter l'acte délicatement, les chauffer plus que c'était nécessaire... Il prenait goût au jeu lui aussi on aurait dit.
Il vient lui réclamer un nouveau baiser et elle ne put que lui donner, lui offrir avec ferveur tout en lâchant la fourrure de sa main pour venir la poser contre son fessier si ferme en se cambrant sous lui, cherchant son contact plus encore en se raidissant de plus. Une danse torride, électrisante de leurs langues qui reflétait l'exacte envie qu'ils avaient l'un de l'autre, leurs corps nus l'un contre l'autre, attendant juste le bon moment, le départ pour une nouvelle danse bien plus torride et corporelle.

Bastet grogna mécontente quand il cessa le baiser, elle aurait voulu que cela ne s’arrête pas et le regarda, un regard fiévreux et qui n’appelait que lui : elle le voulait là, contre elle, sur elle, elle voulait son attention. Elle trembla d'anticipation en cherchant son regard quand il glissa sa main entre ses cuisses pour pouvoir enfin se glisser entre ses jambes, se caler contre elle, en elle. Elle se laissa faire avec délice, se cambrant, doucement, cherchant son bassin, puis, elle laissa une main se caler sur son omoplate et l'autre se perdre dans la fourrure.
Elle eut l'impression que ce moment était intemporel, elle n'avait plus la notion du temps, perdu dans le regard gris de Liam qui elle en avait l'impression l'aimait d'un regard. Elle déglutit en sentant son souffle chaud se prendre sur ses lèvres et chercha du bout des lèvres les siennes, telle une caresse. Un baiser qui ne viens pas car Liam allait prendre la parole, lui donner la leçon du jour, et elle ne le quittait pas d'un regard débordant de sentiments mêlés : passion, amour, impatience... S'en était finit de l'attente, de ce jeu, de se tourner autour en cherchant a se prouver qu'on avait envie l'un de l'autre. Liam eut l'air d'attendre un accord qu'elle lui donna tacitement en laissant une jambe se replier, se relever doucement, caresser contre son flan, lui offrant par la même une meilleure approche possible.Elle le sentit une dernière fois contre elle, avant qu'il ne la possède, doucement, lentement dans un grognement. Sa main contre l'omoplate de Liam se tendit alors que son corps se crispait d'extase de le sentir enfin en elle. C'était si bon, et en même temps douloureux d'avoir attendu si longtemps qu'elle ne put qu'en gémir doucement mais intensément, sentant le feu lui monter même au visage. Elle lâcha la fourrure, l'omoplate pour venir, chancelante, les poser sur ses joues, sentant son souffle court, erratique venir se perdre contre la bouche de son amant, sentant son front contre le sien.
Elle ne bougea pas, ou si peu, appréciant le moment, la sensation de le sentir cette fusion de leur corps, c'était quasiment jouissif au final. Les yeux clôt, elle se perdit un instant dans cette sensation particulière de le sentir enfin en elle, puis elle laissa ses mains glisser sur son cou, ses épaules, tentant de reprendre doucement son souffle et de ne pas exciter plus son homme. Pas besoin de plus, il fallait laisser Liam apprécier ce nouveau contact, cette chaleur, se reprendre, doucement, pour pouvoir profiter intéressement de cet instant magique à deux. Elle fit glisser ses mains dans la nuque du beau brun et le caressa et massa quelques secondes, avec beaucoup de douceur. Plus il se collait a elle, plus elle avait envie de se cambrer encore plus, de faire en sorte que le contact entre eux soit total et absolu... On en était dingue, ou accros ? Ou simplement qu'on se voulait mutuellement, qu'on voulait l'autre, le posséder, le marquer de son empreinte, fusionner un moment. Elle grogna quand il serra sa cuisse, la relevant de ce fait, se laissant guider par sa main pour qu'il soit plus a l'aise, que le plaisir soit total.
Elle aurait bien voulu lui répondre qu'elle, elle appelait pas ça un round, mais le souffle et la volonté lui manquait. A vrai dire il n'y eut un gémissement de plaisir qui franchit ses lèvres, alors qu'elle fronçait doucement les sourcil et serrait doucement la peau de son épaule entre ses doigts.

-''Oh … Oh oui... enfin... Liaaam."

Un murmure appuyé, une confession d'un plaisir enfin partagé. Oh il avait tellement raison, c'était si bon. Si bon d'être là, dans ses bras, qu'il soit en elle, comme si cela faisait des mois qu'elle attendait cela, qu'ils attendaient à voir cette passion se déchaîner comme un volcan. Et qu'il la trouve désirable et envoûtante ne fit qu'accentuer son envie de lui et ce plaisir qu'il commençait juste a se donner. Ce fut comme une bombe dans son cerveau. Trouvant sans mal son épaule elle se mit en devoir de l'embrasser, de laisser glisser une langue gourmande vers son cou, le mordre délicatement, elle était totalement perdue, vouée a ce feu intérieur qui la dévorait et cette passion commune.
Elle le regarda intensément, mutine et amoureusement même alors qu'il lui disait le programme, son programme. Et quel programme !

-'' Toute la nuit ?! Vraiment..."

Il se mit en devoir de l'embrasser, de resserrer cette étreinte de ses mains sur ses cuisses, comme cherchant à pousser au plus profond en elle pour ne faire plus qu'un. Bastet le chercha d'un regard, d'une caresse encourageante sur son fessier, l'engageant à ne surtout pas s’arrêter. D 'un léger coup de bassin, impatiente, elle vient chercher le sien, approfondissant encore plus leur union, retenant son souffle, savourant cette parfaite fusion.
En sentant leurs corps enfin unis, elle gémi de plaisir doucement, sans réussir a parler, frémissant de tout son corps contre celui puissant de Liam en cherchant désespérément ses lèvres.
Un baiser.
Elle attrapa doucement sa mâchoire dans ses mains et l'attira vers sa bouche pour échanger un long et langoureux baiser, laissant leurs langues se trouver, s’électriser encore et encore, le temps de se remettre de cet émotion, de s'habituer a lui, a sa présence si dure. Il devenait urgent de respirer, de reprendre ce souffle si court qui commençaient a faire défaut, et posant son front contre le sien, elle soupira contre la bouche de Liam rivant son regard au sien avec cette même intensité.
Elle frissonna sous ses paroles. Toute la nuit, tout cela ? Oh mais là elle était déjà sienne.

-'' Oh oui... ainsi, là comme ça oui... Oh Liam oui...."

Puis recherchant plus encore cette fusion absolue de leurs corps doucement elle écarta plus encore ses jambes sous la pression de Liam tout en bougeant lentement, en un cambrement faible, pour le sentir plus encore en elle et s'habituer a lui. Elle se crispa un instant contre lui, se sentant si bien, et a sa place là, perdue dans ses bras, cette passion, cet amour... Car c'était bien cela là ? Ce n'était pas qu'une simple coucherie, rien qu'a voir ce profond regard complice échangé sur l'instant, on sentait plus encore...

-'' Me faire crier de plaisir... Oui, tu peux toujours... essayer ?"

Léger sourire taquin. Le mettait-elle au défit ? Difficile a dire. Oh elle n'aurait pas put dire qu'elle était frigide ou qu'elle n'était pas du genre expressive, il savait très bien que c'était faux. Et elle ne doutait pas qu'il y arriverait de toute façon , mais elle se demandait comment il réagirait si elle tentait de garder ses soupirs, ses gémissements, se faisant silencieuse...
Elle laissa ses mains courir le long de ses bras musclés, les sentant crispés, œuvrant a rendre ce contact plus profond si possible et plus intense.

-''Hum.. oui oh mon bien aimé."

Un instant elle se rappela qu'il n'avait pas aimé ce terme la dernière fois, alors elle se tut et l'embrassa passionnément, chacun d'eux cherchant, ayant besoin de ce contact encore un peu, pour savourer plus encore les sensations de leurs corps réagissant a la présence de l'un dans l'autre.

-''Oh Liam... toute la nuit... aimes-moi, fait de moi ce que tu veux... je t'appartiens … hummm... "

Elle souffla en les sentant enfin unit, complètement, et tenté de reprendre un minimum de recul, ne pas se laisser allez au bas instinct, chercher a toujours vouloir plus, au maximum, rechercher leurs plaisir commun.
Rapidement elle se sentit parfaitement à l'aise, comme si c'était normal de le sentir en elle, qu'il était fait pour faire partit d'elle, qu'ils étaient fait pour ne faire qu'un. Elle fit par se contracter autour de lui et finit par laisser ses mains venir caresser son fessier, et le serrer tout contre elle, au fond d'elle, et apprécier de ses caresses ces formes, ce corps qui lui appartenait pour la nuit ou plus encore.

Unis. Enfin. Tout disparaissait avec cette union des corps :  la frustration de ces longs mois à penser à lui, à tenter de se perdre dans d'autres bras sans résultats, l'attente de le sentir si prêt d'elle et de ne faire que l'effleurer. S'en était enfin finit. Ils ne faisaient plus qu'un enfin.

Bastet déglutit un instant en respirant difficilement, crispant ses doigts sur son fessier, posant son front contre le sien, luttant pour ne pas grogner son plaisir. C'était si bon, si profond, bien meilleur que l'autre fois.  Peut être car ce n'était pas, leur première fois … et pourtant c'était comme s'ils faisaient l'amour pour la première fois. Peut être par ce qu'ils avaient mis l’éthique aux oubliettes ? Qu'ils s'en moquaient de savoir qui était qui, qui était quoi. Tout ce qui leurs importaient c'étaient eux et seulement eux. Pour une nuit ? Quelques jours ou plus encore? On ne savait pas et on s'en moquait éperdument, c'était accessoire actuellement.
Ils ne voulaient qu'eux. Faire parti l'un de l'autre, se retrouver de nouveau, reprendre la place qui lui semblait être sienne, l'un dans l'autre enfin ne faire plus qu'un...
Et pour autant, on tentait de garder pour l'instant encore une petite distance, ne pas trop se perdre pour que cela n'aille pas trop vite. On voulait profiter de cet instant, de l'autre, et on remarquait que cette situation plus que de la vouloir ils l'assumaient complètement. Il n'y avait qu'a voir le ton de leurs paroles. Ni crues, ni détachées... ils étaient vrai l'un envers l'autre, sur ce qu'ils désiraient, ce qu'ils voulaient et en même temps on sentait un léger jeu entre eux, une complicité réelle.

Leurs regards noirs  de passion, extatiques cherchaient constamment celui de l'autre, comme si c'était vital de ne pas le perdre des yeux une seule seconde. Et quand ce n'était pas leurs yeux, c'était leurs mains qui ne pouvaient s’empêcher de parcourir leurs corps nus, dispensant milles et une caresses, appréciant de se sentir enfin nus, sans artifices. Leurs lèvres n'en étaient pas moins en reste, se cherchant, jouant l'une avec l'autre, mordant, embrassant l'autre, sa bouche, sa chair appétissante.
Une passion couvée, entière, et peut-être plus encore. Ce n'était pas juste sexuel, cela était juste une façon de plus de communier l'un avec l'autre. A bout de souffle, sourire aux lèvres, ils ne pouvaient là que s'aimer et aimer cela.

Bastet sourit  en voyant Liam si détendu.. enfin détendu, disons qu'il n'était pas sur la défensive. Enfin pas qu'il l'ai été depuis qu'ils avaient passé la porte du tipi, juste que là, c'était comme si elle le découvrait, qu'il était vrai, qu'il se laissait aller et elle aimait cela. Comme si c'était juste pour elle.  Elle glissa une main sur sa joue alors qu'il souriait. Oh a n'en pas douté il avait un plan, cela se voyait a son sourire amusé, ce regard emplis de malice et elle se dit qu'elle allait sûrement aimer cela...
Que de belles promesses il lui fit alors. Toute la nuit, se perdre en elle et l'aimer ? Ses paroles la firent frissonner d'un plaisir anticipé et elle s'en mordit la lèvre inférieure, étouffant un soupir.
Qu'elle crie stop ? Vraiment ? Est-ce qu'il se rappelait qu'elle pouvait se montrer exigeante?  Cela lui arracha un large sourire enthousiaste. C'est mots l’excitèrent encore plus et elle n'avait qu'une envie le mettre au défit.

-''Si tu pense en être capable alors ... "

Elle glissa sa langue sur ses lèvres en haussant un sourcil d'un air entendu. Puis, elle releva doucement une cuisse, bougeant son bassin pour mieux le sentir contre elle, en elle, alors que ses mains virent glisser de ses épaules vers son fessier en un geste ultra langoureux avant de le serrer tout contre elle, approfondir cette union sur l'instant.

Bastet riva ses yeux dans les siens, ses lèvres a fleurs des siennes réellement surprise alors qu'il commençait ses va et vient avec fougue. Vigoureux avait dit Yepa ? Oh elle aurait dit tellement plus : viril, puissant, impétueux, exigeant.
Bastet déglutit, se crispant à chaque mouvement puissant de reins de Liam, le sentant la posséder encore et encore, ne pouvant s’empêcher de se cambrer, elle laissa glisser une main sur la fourrure, la serrer entre ses doigts.

Se concentrer, ne pas hurler de plaisir, pas de suite, si tôt... mais c'était si dur. Elle rejeta la tête en arrière en se mordant les lèvres, s'en pour autant arriver a contrôler les tremblement de son corps tendu. Elle sentait ses cuisses l'enserrer, rechercher ce contact plus encore. Elle serra les dents, encore et encore, sentant qu'elle allait finir par arracher une partie de la fourrure sous ses doigts, se cambrant au maximum. Chaque coup de bassin, chaque sortie une vraie torture, mais en même temps un tel délice qu'elle se perdait dans ses sensations, mais se retient de réellement faire du bruits. Il n'eut que son souffle chaud contre ses lèvres, sa respiration haletante, ses regards enflammés, sa mâchoire crispée à chaque décharge de plaisir qu'elle recevait.

Doué, il était doué, c'était bon, si bon que s'il continuait comme cela elle ne tiendrait pas longtemps. Surtout d'entendre ses grognements, son envie pour elle à chaque pénétration, sentir qu'il aimait ça, qu'il l'aimait tout simplement elle.Elle était trop excitée, elle le voulait trop, l'attendait trop pour tenir à ce rythme endiablée. Il lui mettait en tête des idées, des envies moins catholiques les unes que les autres, s'en était presque difficilement supportable.  A bout, elle trembla de plus belle, redressant ses jambes autour de lui, puis, elle finit par ouvrir la bouche et souffla lentement, mais toujours se retenant, ne voulant pas capituler à leur petit jeu.

Elle souffla presque soulagée de le sentir ralentir, et détacha sa main de la fourrure pour venir la caler tremblante dans son dos. Haletante, elle s'abandonna a ses baisers, tournant la tête, lui offrant tout volontiers son cou. Sa main glissa vers son épaule, pour le serrer contre elle alors qu'elle l'écoutait.

Ces derniers mots eurent l'effet d'un déclic. Elle cala sa tête contre son épaule, la serrant et n'y tenant plus se laissa aller à un gémissement de plaisir, telle une délivrance de s'être retenue de son assaut ardant.
Mais qui pouvait-elle. Il avait raison, c'était bon, si bon.
Dés la première fois  il y avait eut ce feeling entre eux, cette passion débordante, mais retenue. Il était son coup de cœur, une déraisonnable passion... elle l'avait tout de suite sut mais n'avait pu faire autrement. Mais cela avait été la première fois de son hôte, puis la drogue, elle, eux. Oui, on avait été dans la retenue, ce qui n'était pas le cas cette fois-ci. C'était eux, en toute simplicité, sans artifices, en leur âme et conscience, même si ce n'était pas bon, juste, que c'était contre nature ou autre... ils s'en moquaient, ils s'aimaient c'était tout ce qui importait. Enfin on les avaient mariés de force, en quelque sorte, quoiqu'ils auraient put refusés, mais aucun ne l'avait fait. On ne les avaient pas non plus obligé a couchés ensemble, ils le faisaient car ils en avaient envie, car ils se voulaient, ils ne souhaitaient que s'appartenir, cela crevait les yeux... cela dépassait le simple acte sexuel en soit.

-''Si bon... Liam. "

Ne se retenant plus, Bastet chercha ses lèvres des siennes un instant, le mordant doucement avant de l'embrasser goulûment, pour finalement céder et laisser son corps réagir de lui même, bouger en rythme avec lui, chercher à atteindre ce plaisir commun, chercher cette communion de leur être. Elle s'en moquait de savoir là qui allait gagner ou perdre, elle se perdait volontiers en lui.
Et que dire de coté si viril et un brin musclé, dominateur qu'il avait là ? C'était déconcertant et si agréable, elle ne pouvait dire le contraire, elle aimait cela. La dernière fois aussi il avait eut un moment ainsi, c'était flou dans son esprit a cause de la drogue, mais elle s'en rappelait vaguement, il s'était montré légèrement autoritaire,  prenant les choses en main et elle s'était laisser faire, s'était laisser porter en pur délice. Mais là, pas de drogue pour expliquer pourquoi on avait envie de le laisser faire, pourquoi on aimait même qu'il la domine, à part simplement de dire qu'elle avait confiance en lui. De toute façon c'était compliqué entre eux, et ce ne serait jamais simple. Il avait une emprise sur elle, quelque chose qu'elle s'était toujours interdit, de tout temps, mais là, ça c'était fait, c'était ainsi, elle n'avait pas choisit, c'était juste arrivé sans prévenir.

Cette danse douce de leurs corps, ce plaisir échangé se faisait plus doux lui laissant le temps de venir de passer le barrage de ses lèvres, chercher sa langue, s’électriser encore plus par cette autre possession, gémir doucement contre ses lèvres entrouverte, aspirer ses soupirs. Sa respiration se fit moins chaotique, plus ample, plus profonde, tout en bougeant doucement, en rythme alors qu'elle enfonçait doucement ses doigts dans son épaule droite, alors qu'un lent et long grognement de plaisir venait mourir contre l'oreille de Liam.

-''Oh oui ..... Liam ..... Liam..."

Avant qu'elle ne hoquette en sentant sa main sur sa poitrine la caresser. Elle se tendit, gémissant de nouveau, fronçant les sourcils et serrant d'une main le creux de ses reins. Elle se perdait sous ses caresses, ses baisers, de le sentir en elle... c'était un tout qui la rendait folle, mais elle se perdait dans cet abîme sans fond en toute connaissance de cause et de sa propre volonté.

-''Oh... non... pas ça... . Hhhmm ! Liam ..."

Elle rejeta de nouveau la tête en arrière en gémissant de plus belle, tendue sous les caresses de son amant. Elle devait grimaçait sûrement mais elle ne s'en rendit pas compte, elle se laissait complément faire par lui, car le sentir l'aimer ainsi était divin. C'était comme si elle découvrait quelque chose qui lui avait fait défaut. Peut être pour cela qu'on voulait que ça dure, le plus longtemps possible cette fois ci, et peut-être pour la nuit ? En profiter, s'en enivrer, s'en marquer, même si cela la perdrait pour toujours, là, on ne voulait que ça : le sentir en elle, sur elle, sentir ses regards, ses baisers, ses attentions.. tout. On voulait tout. Être au centre de son attention, de son envie, de son amour ? Possible. En tout cas, cette fois-ci pas question qu'il n'ose penser a une autre. Elle voulait être l'unique au centre de ses pensée.

Possessive ? Jalouse ? Certainement. Elle n'y pouvait rien, elle le voulait pour elle, rien qu'a elle. Il l'avait perdu dés qu'elle avait rencontré. Il ne la suivrait pas, jamais, elle le savait. Jamais il n’accepterait de changer de camp de la rejoindre, comme elle ne le ferait pas. C 'était perdu d'avance... peut être,  mais on s'en moquait, on voyait et on voulait plus que cette guerre, que tout cela. On savait que ce ne serait plus jamais pareil, on le chercherait quand on serait seul le soir, on le voudrait sans pouvoir l'avoir, mais on savait aussi que lorsqu'on le retrouverait, si on le retrouvait, ce serait là, tapis en elle, en eux, ce feu couvant, cette envie dévorante, ce besoin d'être ensemble, de se posséder, de s'aimer et d'enfin ne  faire plus qu'un.
S'aimer, oui car là,  à n'en pas douter ils s'aimaient.  En tout cas, peut pouvait se vanter de lui avoir arracher autant de soupir. C'était elle qui dirigeait, imposait un rythme normalement, elle ne laissait aucun mâle faire a son envie, peu désireuse qu'ensuite on se sente supérieure à elle et qu'on ne souhaite la dominer... mais là, c'était Liam, c'était différent, c'était autre chose. Elle le laissait faire volontiers, en toute acceptation. Ce n'était qu'entre eux, et pour eux, il n'en abuserait pas, ne lui ferait pas de mal. Il l'aimait comme on aime une femme, et elle se sentait justement femme dans ses bras. Plus de goa'uld, de déesse, de reine. Juste une femme, une femme et son homme, rien de plus et c'était suffisant. Cela rendait la chose plus belle, plus grande, car dans ses yeux elle voyait qu'il ne voyait qu'elle et rien d'autre.

Leurs corps nus ondulaient l'un sur l'autre en totale harmonie, et ce mouvement doux et répétitif était comme une vague qui amenait toujours plus de plaisir, car c'est ce qu'ils cherchaient après tout. Attentif l'un a l'autre, se cherchant, se testant par moment, mais toujours une recherche commune de faire plaisir a l'autre, de répondre a ses attentes. Bastet fit glisser ses mains contre son dos, se pliant au mauvais traitement de Liam, ses caresses mesquines qu'il distribuait sur sa poitrine et elle  entreprit de glisser ses jambes voluptueusement contre lui, le caresser avant de venir l'enserrer, les glisser autour de sa taille en gémissant doucement. Puis elle l’attira à elle de ses mains sur ses joues,  goûtant ses lèvres avant de finalement sceller cet échange d'un long et langoureux baiser si intense qu'elle avait l'impression qu'il ne cesserait jamais, enfin jusqu'à ce qu'un mouvement de Liam lui arrache un cri qu'elle tenta désespérément de perdre dans son cou en pure perte...

-''Encore..... plus fort... oui.. hm! Liam, oh mon Liam... "

En tout cas, ils s'étaient trouvés et n'avaient aucun mal a communiquer sur ce plan, quoiqu'on pourrait même dire qu'ils communiait tans c'était intense et de façon si naturelle. Cela se vit dans le regard qu'elle lui fit en lâchant ses lèvres, cherchant sa main de la sienne pour mêler leurs doigts avant qu'un nouveau gémissement, murmure, ne vienne sonner a l'oreille de son amant, telle une récompense. Oui, elle s'offrait totalement à lui...
On était bien loin de la raison, des conséquences ou pas de leur acte, on s'en fichait pas mal, on y réfléchirait plus tard... ou pas
Pour l'instant on en voulait juste encore plus : plus de contact, plus d'attention, de douceur, de fièvre, de sentiment, d'amour ? Peut être tout cela. On voulait juste que ce soit total et absolu. Se perdre, tout oublier, se marquer a en mourir et qu'il n'y ai plus qu'eux au monde. Au moins pour cette nuit qui était la leur...

Encore, encore plus, toujours plus... Se perdre toujours plus dans ses bras, ses caresses, ses va et viens enchanteur qui la faisait frémir à n'en plus finir.
Elle ne se rendait pas tellement compte du bruit qu'ils faisaient... ou non. Ils étaient dans leur monde, leur bulle. Ce tipi, cette fourrure qui leur servait de lit était leur seul univers pour le moment. Ses baisers torrides, ses caresses qui enflammaient son corps et la faisait se tordre sous ses doigts d'un simple contact... Il la rendait folle de lui, plus qu'elle l'aurait pensé.
Ce moment avait un goût de paradis. On ne l'avait pas prémédité ce moment, on ne l'avait que désiré tout au long de certaines nuits ou hanté par des souvenirs trop fort, on sentait encore la caresse de ses mains, son souffle se perdre contre sa peau... Et on avait souffert en silence, car c'était déraisonnable. Cela avait eut lieu et cela faisait un beau souvenir.
Mais là, l'avoir vu dans cette prairie lui avait rejeter tout ça a la figure, la troublant de trop et toutes leurs attentions, douces, entêtante, les avaient inexorablement entraîner dans une étreinte voluptueuse ou ils se laissaient allé l'un comme l'autre, comme si demain ne viendrait jamais.
Laissons de coté ce jour qui viendrait assez tôt et laissons les profiter de ce moment rien qu'a eux, comme s'il pouvait par tous leurs baisers, leurs caresses, ses ongles contre sa peau rattraper ce temps perdu, cette nuit et se grisé a jamais.

C'était sa peau contre sa peau, son corps contre son corps, leurs souffles, leurs lèvres qui se mêlaient. Deux corps qui se cherchaient et s’enchaînaient par pur délice de cet instant magique qui n'était qu'a eux. Comme si c'était le dernier, comme s'il n'y aurait pas de lendemain, comme si on savait bien que c’était impossible... mais qu'on voulait en ce sens tout voler, tout garder à jamais, que cela soit inoubliable.
Chaque soupir, chaque mouvement du bassin entraînait un grognement auquel son envie de lui faisait écho. Elle se sentait si fragile en cet instant dans ses bras, se donnant toute entière, corps et âme. Un instant unique oui... mais elle l'aimait aussi déraisonnable que cela soit, c'était ainsi.

Leur corps dansaient a l'unisson, leur mouvements se coordonnant de la plus belle des manières, surtout quand elle glissa ses jambes autour de ses reins. Elle L'un comme l'autre se perdait dans tout ceci.
Grognement, soupirs gémissement... heureusement que le lit lui ne grinçait pas, sinon les voisins se seraient plaints.
Liam accéléra le rythme et elle serra plus encore sa main dans la sienne, haletant sous ses assauts vigoureux, ayant l'impression qu'elle avait mourir de plaisir.  Ses vas et vient la rendaient folle au possible lui arrachant régulièrement de petits gémissement qui se perdaient dans son souffle si court.
Sa main libre parcourant le dos de son amant, se tendant par instant avant de se crisper tremblante contre cette peau si désirée. Et ses gémissement, ses grognements qui lui faisait échos étaient pour elle la plus belle des mélodies. Elle en voulait plus encore... toujours, plus encore et encore.
Bastet écarta les doigts de sa main libre pour les mêler a ceux de Liam et ils levèrent les mains les posèrent de part et d'autre de sa tête. Excitation, passion, tendresse partagée... tout cela se mêlait si intimement et la fit trembler des pieds a la tête en murmurant encore son nom comme s'il s'agissait d'une formule magique.

Elle serra ses mains en grognant, se cambrant nerveusement en le sentant changer de rythme, répondre a son envie avant qu'un long et profond gémissement ne vienne finalement ponctuer leurs corps a corps. Elle perdait pied, totalement, plus rien ne comptait, plus rien d'autre qu'eux et leur bonheur.. Car c'était ça non ? Un instant de bonheur, de pure félicité.  C'est ce qu'elle cru lire dans ce regard de braise qu'il lui accorda, ses yeux qui la dévoraient, ou elle sentait la même passion que dans les siens... et elle devait maintenant se laisser guider sans ses mains qui était comme soudées aux sienne. Son corps ondulait contre le sien, cherchant à approfondir chaque coup de reins, chaque pénétration pour qu'elle ne soit totale, qu'ils ne fassent plus qu'un.

Il la fit frissonner d'extase en quelques mots : Comme elle aimait qu'il prononce son nom ainsi, si sensuellement de sa voix rauque et viril qui lui ferait faire n'importe quoi... elle ne pouvait et ne voulait pas résister.
Son envie et son inconscient lui avaient dicter les mots qu'elle avait prononcé, et Liam les avaient prit pour une volonté, des ordres, même si c'était plus une demande, un souhait. Mais c'était peut être le cas, c'était un ordre de leur passion, de leur amour. Si fort, intense, absolue en ce moment, qu'il défiait tout...
En tout cas, Il avait très bien comprit cette fois, aucun de malentendu. D'un coté, ils avaient l'air en total accord là, fait l'un pour l'autre, perdus l'un comme l'autre dans ce corps à corps qui désiraient tan. Le grand esprit ne s'était peut être pas trompé en les unissant... et ils lui rendait bien car leur union était là totale.

Bastet lui rendit ses baisers, serrant par instant ses doigts dans les siens, se cambrant, le frôlant de ses jambes par instant, le caressant d'un souffle court quand elle respirait, mais c'était rapide car sa langue cherchait désespérément celle de Liam comme si elles ne souhaitaient pas arrêter cette danse sensuelle. C'était si intense, si beau même de le sentir l'aimer ainsi de façon si vrai... cela la touchait en son âme même, la marquait d'un fer rouge. Toujours plus loin en elle, plus fort, l'un comme l'autre se cherchant, se désirant au delà des limites.
Elle s’échappa de ses baisers un instant voulait le voir, l'observer, le détailler. Il lui était nécessaire, vital de se nourrir de cet homme qui l'aimait en cet instant plus que tout au monde, enfin c'est l'impression qu'elle en avait. Elle voulait graver cet instant, ses regards, sa peau, les ombres qui dansaient sur sa peau luisante de cet effort...
Puis elle referma les yeux un instant, offrant son cou a ses lèvres exigeantes, le laissant l'embrasser, la mordre si telle était son envie. Bastet se laissa porter par ses gémissements si rauques qui ponctuaient leur ébat, les entendant se mêler aux siens dans une mélopée parfaite, prenant de longues respirations, avant de se mettre à bouger plus en rythme, légèrement saccadées, comme cherchant de plus encore leurs corps a corps avant de le regarder dans les yeux et de jouer un jeu dangereux, en gémissant en rythme, sans le quitter du regard pour voir son excitation grandir.
Plus loin encore si c'était possible... Viens pour moi ma Bastet... Comment de simples mots pouvaient avoir un tel pouvoir ? Et voilà que maintenant son imaginaire s'emballait complétement !
Oh oui,  elle ne comprenait que trop bien ce qu'il voulait, et elle aurait vu tenir plus mais ses sensation conjugué à l'effet que lui firent ses mots le lui interdirent.
Elle le sentait de plus en plus ce va et vient, chaque fois qu'il se retirait pour ne revenir encore plus fort... cela lui arrachait des grognements puissants et effilochait le dernier rempart que possédait son âme.

-'' Oh Liam je te veux...... Je te veux tellement... oh oui.... encore...... juste..... juste un peu Hmm !"

Tremblante elle se tendit sous lui, crispant sa mâchoire, resserrant ses jambes autour de lui, lâchant une de ses mains pour la caler contre son dos en hoquetant,pour  le serrer plus si possible alors que la seconde elle ne le lâchait pas.
Cette chaleur dans le bas ventre qui se rependait, ce feu au visage qui menaçait de la brûler, son corps qui ne réagissait plus que de lui même a ses assauts, a cette peau a vif qui le frôlait, l'aimait...

-''Liam...... Oh... non!"

Haletante, à bout de souffle elle rejeta la tête en arrière en libérant un gémissement - ou d'un cri elle ne savait pas trop   libérant cette passion à son paroxysme.
Elle se laissait envahir par cet sensation électrisante, limite paralysante qu'il venait de déclencher par un puissant coup de reins, et elle se cambra à l’excès en gémissant, tremblante. Une larme perla au coin de son œil droit sous le déluge de plaisir, pendant qu'elle se laisser sombrer dans l'extase de la jouissance suprême. En quelques secondes elle avait ses bras autour de son corps, son souffle court et chevrotant se perdant dans son cou alors qu'elle était assaillit de long sursaut de plaisir. Aux portes du 7em ciel, elle vint lui voler un baiser ardant, emplit de toute la passion qui se décharnait en elle à cet instant avant de finalement se laissé perdre dans son cou, ses lèvres frôlant sa peau brûlante, savourant son odeur, sa chaleur...