Je m'approchais du Chaapa'ai et enclenchais les différents symboles que j'avais vu sur la tablette de Nirrti. Dans mon autre main, je tenais une étrange boite que j'avais trouvé peu après le départ des tau'ris. Magria m'avait expliqué qu'ils avaient lancé un truc semblable au milieu du cercle. Je me demandais à quoi cela pouvait servir, mais c'était peut-être une coutume Tau'ris.

Je reculais lorsque je vis le grand cercle de pierre "s'allumer". Il y avait une sorte de liquide bleu en son centre. Je m'approchais et le touchai. La texture était vraiment étrange et je me demandais comment cela fonctionnait. Après quelques secondes d'hésitation, je lançais l'étrange boite dans le cercle après avoir appuyé sur un bouton. Puis je passais moi aussi le chaapa'ai sans vraiment savoir où j'allais atterrir exactement.

Pendant ce temps, au SGC, une alarme retentit signifiant une arrivée non prévue par la porte des étoiles. Mais un code d'identification arriva. Ce qui étonna Walter fut qu'il s'agissait d'un code appartenant à l'équipe russe. Mais cette dernière était présente à la base. Il ouvra malgré tout l'iris et envoya un message au général O'Neil. Des hommes de la sécurité se mirent en position devant la porte des étoiles et se tinrent près à tirer. L'alarme hurlait toujours lorsque le vortex apparu enfin et qu'une petite boite traversa la porte des étoiles.

Je ne savais pas combien de temps s'était passé depuis que j'avais passé le chaapa'ai, mais lorsque j'arrivais enfin, j'entendis le bruit de mes pas sur du métal. J'étais complétement déboussolée et mis quelques minutes pour retrouver tous mes sens. C'est alors que je vis que j'étais encerclée par des hommes tous habillés de la même manière et armé d'étranges armes.

Je n'avais jamais vu ce genre de chose. Je les regardai d'un air intrigué et en même temps un peu apeurée. Car sans le vouloir, je ressentais leur détresse et leur inquiétude. Mais je ne savais pas comment les rassurer et leur faire comprendre qui j'étais. Je décidais donc de m'adresser à eux par télépathie en espérant qu'ils me comprennent :

[Goa'uld] **Tek'ma'te (bonjour). Matal (je suis) Shallya. Matal (je suis) une Ok'tar de Nirrti. Goah Sha Kree.(Je ne crois en aucun Dieu). Je veux rencontrer les Tau'ris.**

Je ne savais pas quelle allait être leur réaction, mais je devais avouer que les armes qu'ils pointaient sur moi m'effrayaient et il n'était jamais bon que je sois effrayée. J'attendis donc avec une certaine crainte perceptible la réaction des humains en face de moi.

[HJ : je ne parle qu'en goia'uld et ** signifient que c'est par télépathie.]

Après un repas des moins passable, j’étais retourné dans mes quartiers avec la conviction de finir mon rapport. Une fois dans la chambre, ma conviction s’évapora plus vite que ce qu’elle était arrivé. La nuit s’annoncer calme au SGC, bien propice à une bonne nuit de sommeil. Evidemment comme toujours dans ces cas là, je n’avait aucunement envie de dormir et pourtant ça n’aurait fait aucun mal.
Je m’allongea sur mon lit, avec un magazine empruntais à un autre militaire, je pense que le marchand de sable aura raison de moi. Tu parle, mais pas un clignement de paupière. On peut pas dire que ce magazine était passionnant, les coût économiques sur notre pays, Sam ou Daniel ça pourrait à la limite les intéressait mais pas moi. Je posais le magazine et replia mes bras sous ma tête et laissa mon esprit vagabonder.

J’étais partit rêver toute éveiller de mon enfance, quand une alarme de malade retentit me tirant de mon rêve, en un bon d j’étais assis. N’ayant pas changer de tenue, je fila en salle de contrôle en courant, en y arrivant tout le monde était surpris de ce qu’il voyait et moi dont. Le général O’Neill était dans la salle d’embarquement et parlait avec une jeune inconnue :
« Mais c’est une gamine »
« Exactement monsieur, répondit Walter, elle vient d’arriver par la porte avec le code de l’équipe Russe »

L’alarme hurlait encore, je demandais qu’on arrête ça de suite avant qu’on deviennent tous sourd :
« Vous ne rejoignez pas le général ? »
« Pourquoi il a fait appel à moi »
Sans attendre la réponse je rejoignit tout le petit groupe dans la salle d’embarquement, regardant Jack :
« Mon général »

Abbygaelle Drener
33 ans
Docteur en médecine

La jeune femme marchait d’un pas résolu vers l’infirmerie. Il était temps pour elle de se remettre au travail après sa petite matinée tranquille qu’elle avait passé chez elle auprès de ses… chats. Elle entra alors dans l’infirmerie et pour une fois le personnel de la base pu constater qu’elle était de meilleure humeur qu’à l’accoutumer, car il fallait avouer que la belle avait un véritable caractère. Enfin elle reprit ses bonnes petites vieilles habitudes et alla voir l’un de ses patients les plus fidèles.

« Alors Capitaine cette fois-ci c’est quoi ? La jambe ? Le bras ? Vous savez que vous êtes censé avoir appris à marcher il y de ça bien longtemps quand même il faudrait revoir les bases.

- Oh vous savez très bien que je me casse toujours quelque chose pour avoir la chance d’être en votre compagnie » lança ironiquement le militaire.

Elle se força alors à lui sourire, ayant bien entendu compris l’ironie dans sa voix. Oh ce n’était pas méchant ce qu’elle disait c’était la stricte vérité ! Il s’amusait toujours à tomber lors de ses missions d’exploration ça commençait à devenir agaçant de le voir tout le temps ici… Si il continue elle allait lui créer une carte de fidélité à force ! Enfin, elle fut sortie de ses pensées lorsque l’alarme de la base se déclencha. Toujours une activation extérieure et tout le blabla qui s’en suivait. Le truc c’était qu’à chaque fois les médecins devaient être prêts à intervenir, au cas où l’une des équipes était tombée sur un os. Pourvu que ce ne soit pas le cas… Abby n’avait pas du tout envie de courir à peine était-elle arrivée. Malheureusement pour elle, le téléphone rouge de l’infirmerie se mit à sonner et elle dut d’accrocher.

// Drener j’écoute.
Nous avons besoin de l’avis d’un médecin en salle d’embarquement, une inconnue est arrivée par la porte des étoiles
J’arrive tout de suite//

Elle se tourna alors vers le personnel de l’infirmerie et choppa au passage le pauvre petit infirmier Troter. Elle lui ordonna de prendre des calmants au cas où l’inconnue commençait à se montrer dangereuse. Quant à elle, elle se saisit du stricte minimum c’est-à-dire son fidèle stéthoscope et s’élança vers la salle d’embarquement, l’infirmier tentant de la rattraper après avoir pris le matériel.
Lorsqu’elle arriva dans la salle de la porte, elle remarqua qu’il y avait du monde, beaucoup trop de monde pour qu’elle puisse faire son boulot correctement. Cela l’agaça dans un premier temps et se permit de bousculer toute cette petite foule d’hommes, lâchant un « laissez-moi passer » pour enfin arriver à leur visiteur. Elle fut surprise de constater que c’était une jeune adolescente et pourtant elle ne semblait pas plus apeurée que ça. Ses souvenirs se bousculèrent en elle… Lorsqu’un enfant traversait la porte en général il y avait toujours une difficulté à surmonter… Elle se souvenait encore lorsqu’elle travaillait avec le Docteur Janet Fraiser… Ils étaient passés par la bombe dans la poitrine, dans les dents oh et aussi des nanovirus ! Elle s’attendait donc au pire et préférait rester prudente.

Elle se mit à la hautre de la jeune fille et tenta un sourire. Elle n’avait jamais été douée avec les enfants…. Elle se contenta donc de dire d’une voix qu’elle espérait douce.

« Je m’appelle Abbygaelle, je suis médecin, je vais faire quelques gestes qui vont te paraître étrange, mais c’est pour vérifier que tu n’as de… Soucis de santé. »

Elle avança donc son stéthoscope doucement de sa poitrine, le métal froid et les mains froides de la doctoresse rencontrant la peau chaude de la petite.

« Son cœur parait normal. » dit-elle au bout de quelques secondes. Elle lâcha alors son engin des mains et demanda par les gestes à la jeune fille d’ouvrir la bouche. Abbigaelle observa donc l’intérieur de sa bouche, espérant ne rien trouver de suspect. Elle sourit une dernière fois à la petite avant de se tourner vers le général.

« Pour l’instant, elle semble inoffensif, mais j’aimerai pousser un peu plus les rechercher pour pouvoir affirmer mes dires… Prise de sang, radio, bref tout ce dont vous raffolez Général. » dit-elle d’un ton qui n’avait rien à voir avec celui qu’elle avait utilisé quelques secondes plus tôt.

Shallya fixa les tau'ris de ses grands yeux noisette. Elle ne comprenait pas pourquoi ils étaient aussi tendus et braquaient leurs étranges armes sur elle. En tout cas, la jeune fille ressentait leur tension et leur nervosité. Elle avait l'impression que ça la traversait tel un tsunami sans qu'elle ne puisse rien y faire. La demoiselle leva la tête et remarqua qu'il y avait du monde derrière une vitre. Elle reporta de nouveau son regard vers la troupe de soldat plus angoissée que jamais. Sans le vouloir, la jeune Ok'tar transmettait son angoisse aux gens présents dans la pièce. Elle n'y pouvait rien, ne contrôlant pas du tout son empathie contrairement à sa capacité télépathique.

Quelques minutes passèrent dans un silence de plomb et une ambiance plus que tendus lorsqu'un autre tau'ris apparu à son tour dans la salle d'embarquement. Les soldats s'écartèrent quand ce dernier approcha. Shallya en conclut alors qu'il devait être le prima des Tau'ris vu l respect qu'il semblait imposer. Tous les hommes présent baissèrent leurs armes. Cela eut pour effet de rassurer un peu la gamine. Elle n'aimait pas vraiment se faire braquer. Surtout quand elle venait en paix. L 'homme commença à lui parler, mais le seul mot que l'adolescente comprit fut Kree. Malheureusement cela voulait dire beaucoup de chose. Le prima des tau'ris parla à un autre humain et ce dernier partit en courant.

Shallya avait du mal à comprendre tout ce qu'il se passait et son angoisse revint. L'humain se rapprocha doucement d'elle en lui montrant qu'il n'avait pas d'arme. Le demoiselle ne bougea pas de sa place, sentant qu'elle pouvait lui faire confiance. Contrairement aux autres, il ne semblait pas avoir peur d'elle. Du moins, elle ne ressentait aucune crainte émaner de lui. Puis il se remit à lui parler sans qu'elle ne puisse le comprendre. Alors que la jeune Ok'tar allait répondre au général, les portes de la salle d'embarquement s'ouvrit de nouveau. Un autre homme en uniforme se dirigea vers le petit groupe et s'adressa au chef des tau'ris.

Même pas une minute plus tard, les portes s'ouvrirent de nouveau et une nouvelle personne arriva et posa aussi une question au prima de tau'ris. Ce fut à l'intonation de la voix que la jeune fille compris que le second homme avait posé une question. Son regard parcourait toute l'assemblée et tout ce monde commençait à effrayé l'adolescente. Elle essaya quand même de garder son calme. Si elle perdait le contrôle de ses capacités, elle ne voulait même pas imaginer les conséquences. La demoiselle profita d’une accalmie de parole pour de nouveau s'adresser à toutes les personnes présente.

[Goa'uld] **Tek'ma'te (bonjour). Matal (je suis) Shallya. Matal (je suis) une Ok'tar de Nirrti. Goah Sha Kree.(Je ne crois en aucun Dieu).**

Puis avant d'avoir une quelqconque réponse, la porte de la salle s'ouvrit de nouveau. Quelques secondes plus tard, Shallya vit une jeune femme se placer face à elle et lui adresser un sourire. Cette dernière portait un étrange vêtement blanc et un objet bizarre autour du cou. L'adolescente la regardait avec curiosité. Son regard semblait la transpercer. La jeune femme semblait se présenter. Le cerveau de la jeune fille s'activa et travailla à toute vitesse.

En quelques secondes, elle assimila que l'humaine en face d'elle se nommait Abbigaelle. Médecin devait surement désigner son statut comme elle c'était celui d'Ok'tar. La voix de la jeune femme était douce. Cela fit que Shallya ne recula pas quand cette dernière lui appliqua le stéthoscope sur la poitrine. Le contact froid du métal et des mains de la médecin fit frissonner la jeune demoiselle. Puis Abbigaelle lui fit comprendre ce qu'elle voulait qu'elle fasse. Pas très rassurée malgré tout, la jeune fille obtempéra. L'adolescente s'adressa à la doctoresse :

**Abbigaelle...médecin ; Shallya...Ok'tar Nirrty**

Puis après lui avoir fit un dernier sourire avant de s'adresser de nouveau au chef des tau'ris. La jeune Ok'tar ne comprenait pas un mot de ce qu'il se disait et même si son cerveau enregistrait ce qu'elle entendait, cela l'angoissait de ne pas comprendre. Et de nouveau sans le vouloir, elle transmettait son angoisse aux personnes présentes autour d'elle. Apeurée, elle attendit la réaction des adultes présents autour d'elle.

[HJ : lorsque je ne fais pas de précision dans mes dialogues, je parle en "terrien"]

Abbygaelle Drener
33 ans
Docteur en médecine

[i]Après avoir fait les premières analyses de santé de la jeune fille, Abby était légèrement rassurée. Il ne semblait pas avoir de problème pour le moment, la seule chose a faire était de ne pas inquiéter la petite. Elle tata sa nuque : aucune trace d’un symbiote et sa gorge n’était pas rouge. Elle n’était donc pas l’hôte d’un quelconque Goauld. La doctoresse tentait tant bien que mal de paraître sympathique l’adolescente, gardant toujours une voix calme et posée. Alors qu’elle avait fini son osculation rapide, la petite l’observa de ses grands yeux noisette et lui parla. Bien que parler n’était pas réellement le terme exact. Elle fut surprise de constater qu’elle communiquer par télépathie.

**Abbygaëlle...médecin ; Shallya...Ok'tar Nirrty**

Elle la regarda quelques instants, tentant de retrouver son calme pour lui dit d’une voix toujours douce.

« Oui c’est ça. Abbygaëlle, Shallya. » ajouta-t-elle en ce désignant puis en la désignant au niveau de la poitrine lui accordant de nouveau un sourire. Elle s’appelait donc Shallya, seulement la suite de sa présentation n’était rien de bon. Ok’tar de Nirty ? Mouais il fallait vite procéder à des examens plus poussés pour être sûr qu’il n’y avait aucun danger que ce soit pour l’enfant ou pour la base.

Elle se tourna ensuite vers le général, lui indiquant ce qui lui semblait le mieux pour la situation actuelle : c’est-à-dire de l’emmener avec elle pour d’autres examens. Apparemment le chef de la base était d’accord avec elle et tous pensait à la même chose. Si l’enfant venait de Nirty ce n’était rien de bon. A la fin de l’explication du général, Abbygaelle décida de se retirer pour se mettre à côté de l’adolescente avec un petit sourire tandis que le général se penchait vers elle pour lui sourire également. Il se présenta alors à son tour enfin se présenter à sa façon. Mais Abby pressentait que la petite était une futée elle se débrouillerait surement très bien.

Le général avait alors osé ce que la doctoresse n’avait pas fait. Il lui avait tendu la main. Abby avait toujours eu peur de se faire rejeter par les enfants, elle ne savait pas pourquoi cela l’avait toujours angoissée. Après tout un gosse c’était ce qu’il y avait de plus franc au monde alors la vérité n’était pas toujours bonne a entendre. Elle s’humecta les lèvres et sourit de nouveau à la petite, laissant trainer sa propre main non loin d’elle au cas où elle aurait eu l’envie de le lui prendre.

Elle ne put s’amuser de la remarque du général, c’était vrai que les gars n’avaient pas l’air des plus détendu et que leur sourire ressemblait plus à des grimaces qu’autre chose, mais bon elle pouvait toujours parler elle avec ses sourire crispées… En même temps ce n’était pas sa faute si ce n’était pas dans ses habitudes de sourire… Mais étrangement pour la petite elle avait envie de faire un effort. Et puis c’était toujours plus pratique d’avoir un patient qui était sympathique envers vous qu’un patient qui avait peur de vous… Quoique ça dépendait des cas.

« Ne t’inquiètes pas Shallya, nous ne te voulons aucun mal d’accord ? » dit-elle d’une voix douce qui se voulait rassurante. Elle voulait que la petite apprenne à avoir confiance en eux, mais surtout qu’elle comprenne qu’elle était en sécurité ici. Cependant un mystère restait entier… Comment avait-elle traversé la porte des étoiles ? Et Surtout… pourquoi était-elle venue ici ? Espérons que tout cela ne soit pas un piège de leur ennemi…

Il y avait en effet beaucoup de monde dans la salle d’embarquement, on se serait cru à une super fiesta, sauf que là sa manquait de décorations comme des ballons, ou bien des banderoles avec des choses sympas écrites dessus. En plus il n’y avait vraiment rien à boire et le lieu pourrait être sympa, mais il manquait tout de même de charme, un peu trop gris à son gout, c’était à ça qu’était parti l’esprit de William en attendant de voir comment les choses allaient évoluées, certes il ne semblait pas spécialement intriguée par la gamine, après tout ce n’est pas la première fois que quelqu’un arrive à passer la porte des étoiles sans qu’on s’y attende. Enfin il était là à attendre ce que le général pouvait bien lui vouloir, même si il s’en doutait un peu puisque personne ne semblait lui parler avec aisance, ce qui voulait sans doute signifier qu’elle parlait un dialecte Goa’uld ou bien peut-être même la langue des Anciens, qui pouvait avoir il ne l’avait pas encore entendue parler. Quand soudain il entendit une voix résonnée dans sa tête, il se demandait d’où elle pouvait provenir, il pensait que la Doc venait de dire quelque chose, mais c’était du Goa’uld qui venait d’entendre, alors à moins qu’elle ait décidé de parler Goa’uld couramment cela l’aurait fortement étonné.

**Tek'ma'te (bonjour). Matal (je suis) Shallya. Matal (je suis) une Ok'tar de Nirrti. Goah Sha Kree.(Je ne crois en aucun Dieu).**

C’était cette phrase qu’il entendit, simple comme bonjour pour lui qui passait sa vie dans ce langage, il nu aucun mal à comprendre ce que cela signifiait, c’est donc après avoir traduit tout cela dans sa tête qu’il comprit qu’en réalité il s’agissait de la gamine qui s’emblait communiquer par un autre moyen que ses cordes vocales. Elle était une Ok’tar, une des expériences de surhomme réalisé par Nirrti afin d’obtenir un hôte parfait, cela inquiéta un peu William en repensant à ce dont ce genre d’individus était capable, des pouvoir de téléchynésie, à la télépathie, elle pouvait cacher de nombreuse chose sous ses air de gentille fille. Cependant il fût fortement rassurer lorsqu’il entendu qu’elle ne croyait en aucun dieu, même si ce n’est que ça parole cela vaut déjà mieux que rien. Là où il fût le plus surpris c’est de voir que la gamine était parfaite, elle n’avait pas subi de déformations physionomiques et ne semblait pas être prête à se décomposée sur le champ. William décida alors de traduire ce qu’elle venait de dire au général et aux autres personnes présentes.

« Mon général, elle dit s’appeller Shallya, c’est une Ok’tar » Il s’arrêta sur ce mot, le général ne semblait pas réellement comprendre quoi il s’agissait alors il expliqua.

« Vous avez déjà rencontré des Ok’tars, il s’agit de surhommes crée par Nirrti afin d’avoir un hôte parfait, capable de pouvoir de téléchynésie, mais aussi de télépathie et de bien d’autre chose. Là ce qui est surprenant c’est de voir que Nirrti semble avoir atteint son but. Elle ne présente aucun déformation de son corps, elle semble en bonne santé et totalement indépendante du traitement quotidien que devait subir les autres expériences. »

Il s’arrêta la pour continuer le reste de la traduction.

« Enfin, voilà, je ne pense pas qu’elle représente un réel danger, Nirrti n’aurait s’en doute pas piéger un nouvelle hôte potentiel et puis elle prétend ne croire en aucun Goa’uld… »

Il s’arrêta un moment pour se dérouler les événements avant de s’adresser à nouveau à O’neill.

« Monsieur, laissez-moi tenter de communiquer avec elle, peut-être vais-je pouvoir apprendre ce qu’elle attend de nous, pourquoi elle ici, s’il vous plait, laissez-moi tenter quelque chose… »

"Ayez l'air décontracté, et amical, vous savez, sourire tout ça. Peut-être qu'elle sera plus en confiance. Et j'ai dis sourire, pas des grimaces."

Apparemment on avait l’air tendu. J’aurais bien aimais vous voir à notre place . Elle avait l’air très jeune. Mais elle parlait pas, enfin pas directement, elle communiquait en nous parlant dans nos tête. On appelle ça de la télépathie ou un truc dans le genre. Je la sentais pa vraiment à l’aise. Mais heureusement notre médecin qui venait arriver avec un autres type avait réussit à l’apaiser. Ouais le truc de télépathe c’est un coup a vous filer un mal de crâne à se cogner la tête contre les mur.

Le traducteur Estwood comme l’appelait le général O’Neill, je doute que se soit son vrai nom, communiquait avec elle ou du moins essayait. Je n’écoutait pas vraiment ce qu’il se disait, je surveillait la jeune femme, quand il y le nom de Goa’uld dans une phrase en général c’est mauvais signe.

Mais quand le traducteur Will ou William quelques chose, prononça le mot Ok’tar, je failli rentrer dans le médecin n’ayant pas remarquait qu’elle avait ralenti. OK’tar Nirrti ça fait beaucoup et je ne put retenir de dire :
« Une OK’Tar ? Génétiquement modifier comme Carter… »

Je décida de pas continuer ma comparaison, voyant la tête du général, et oui j’ai lu aussi ce rapport. A part Jonas Quinn tous avait passé un sale moment. Mais sa télépathie est ce normal ou une résultante des expériences de la goa’uld :
« Une question vu qu’elle comprend rien de ce qu’on dit, si c’est une machin chose tard, vous craignait qu’elle soit dangereuse et qu’elle comment dire… se liquéfie ici à nos pieds, c’est juste une hypothèse »

J’avoue depuis quelques minute maintenant je ouais moins les fière, au final j’aurais peut être pas du les rejoindre et rester derrière la vitre ou mieux dans mes quartier :
*Cam, ta curiosité te perdra*

Malgré tout je suivait le groupe, j’attendit l’archéologue l’autorisation de Jack de tenter un truc, mais quoi ?