Après avoir aider délicatement Taténen a retirer son pantalon, Bastet frissonna d'appréhension en sentant l'envie de Taténen contre elle et son envie à elle réagir de même.
Ils ne pouvaient le cacher et ne le cherchait même pas, de toute façon il n'était plus l'heure de cela bien au contraire, pour cela qu'ils s'étaient retirer dans sa chambre.
Mais pour autant, ils avaient un coté attentionné, doux, qui montrait qu'ils prenaient leur temps, le temps de se découvrir et de rassurer l'autre vis à vis de ce que chacun ressentait.

Ils se comprenaient et quand Taténen lui dit que cela faisait un long moment pour lui aussi, Bastet sourit doucement. Un sourire franc et délicat entre deux baisers passionnés.
Doux, ardents, délicats, tentant... leurs baisers démontraient leur attirance respective. Une attirance contre laquelle elle ne luttait pas, la laissant monter en elle en une douce chaleur qui palpitait tels des papillons dans son bas ventre et menaçait de la faire chavirer. Elle laissait le désir prendre le contrôle, lentement, doucement, bougeant avec grâce contre lui, le laissant prendre les commandes, l'attirer à lui, le couvant d'un regard brûlant et charmeur, glissant ses bras contre son torse, les rapprochant l'un de l'autre, mettant aussi peu de distance que possible.
Bastet appréhendait toujours un peu ce qui allait se passer, mais il avait tout fait pour qu'elle ai confiance et elle le voulait. Il l'a fascinait, l'attirait, la séduisait par son coté viril de meneur, et il faisait montre de tan de de prévenance, d'amour envers elle, même si elle ressentait la tension de ses muscles puissant sous toute la délicatesse de ses gestes... au contraire cela la fit frémissait de plaisir.

Ma douce... comme cela sonnait si doux à ses oreilles. Elle le détailla et laissa glisser ses mains sur lui, caressa ses bras, remontant jusqu'aux clavicules... ses yeux scintillèrent de nouveau sous l’émotion.
Les mains de Taténen qui la parcourait avec ravissement la firent soupirer de plaisir. C'était enivrant, surtout quand il l'attira a lui. Elle se laissa faire, se serrant d'autant plus, ses bras autour du cou de son amant, se cambrant en sentant ses mains s'activer dans son dos et retirer les derniers barrages de tissus entre eux.
Bientôt ils seraient tout deux dans le plus simple appareil, et ainsi l'un contre l'autre, leurs corps se cherchant et s'épousant avec grâce et sensualité, nul doute sur ce qui allait se passer. Mais en attendant, ils prenaient le temps de se découvrir, attisant leur désir par leurs caresses... et c'était ensorcelant.

Bastet se laissa glisser de nouveau sur le lit, toute offerte aux caresses de son amant. Elle soupira en l’attirant à elle un instant, voulant capturer ses lèvres en un long, tendre et voluptueux baiser, avant de le laisser faire et découvrir son corps, la posséder entièrement. C'était si exaltant et Taténen était si précautionneux malgré son ardeur que Bastet ferma les yeux et le laissa faire à sa guise.
Ronronnant sous les baisers qui enflammaient son être, elle laissa ses mains caresser la nuque de Taténen tandis qu'il partait a la découverte de sa peau mise a nue de ses mains et ses lèvres. Se cambrant a chaque caresse trop précise, Bastet n'en menait plus large et finalement cessa complètement de lutter contre sa passion.
Elle se laissa aller sous les caresses de Taténen, gémissante doucement, murmurant son nom perdue dans cet amour qu'il lui faisait ressentir. S'il voulait la rendre folle, il était en bonne voie.
Son cœur battait à mille a l'heure et elle avait l'impression de brûler de l’intérieur alors qu'elle ne cherchait qu'a le toucher, a répondre a ses gestes. Mais elle n'était pas en reste, il la désirait, il l'avait dit et elle le sentait contre elle, alors elle laissa une main, vicieuse, descendre délicatement le long du corps de Taténen pour atteindre le caleçon de Taténen et lui rendre la pareille : Le faire frémir doucement sous ses doigts, ses baisers, le voir s'offrir à elle, tendrement tans qu'ils en étaient encore capable de tendresse.

Les regards étaient chauds, brûlants même, comme s'intensifiant à chaque rapprochement de leurs corps. Bientôt la passion et l'envie de ne faire qu'un devraient bien trop forte pour lutter, mais d'un coté ni elle ni Taténen n'avait cette envie. Ils suffisaient de les voir à cet instant, elle allongé sous lui, une jambe relevée frôlant doucement les cotes musclées de Taténen, les mains parcourant avec douceur mais précision leurs corps pour savoir qu'aucun d'eux ne voulait faire marche arrière.
Bien au contraire, les joues rougies d'extase, Bastet se mit à lui murmurer d'une voix rauque de passion des mots doux en goa'ulds....
Son Taténen, si fort, si viril, un vrai mâle et en même temps il la couvait de tans d'affection de son amour avec tans de prévenance, qu'elle ne pouvait lutter contre ce déluge de sensations enivrantes.  
Elle ne se laissait pas de ses caresses, ces touchés, le sentir si proche d'elle alors qu'elle sentait son propre corps se tendre contre lui.  La respiration de plus en plus courte, son regard ce fit lourd d'envie et d'admiration. Après tout, vu ce qu'il lui disait, lui promettait depuis tout à l'heure, il serait son futur roi ... si tout se passait bien entre eux, mais c'était en bonne voie non?

Elle déglutit en l'entendant l’appeler sa déesse. C'était si étonnant venant de lui, et d'autant plus plaisant. Elle comprenait qu'il n'y avait rien de religieux, juste l'expression de son amour et elle grogna de plaisir avant de venir prendre d'assaut les lèvres de Taténen qui se jouait trop d'elle a son goût.
Finit de le laisser jouer avec douceur, Bastet se cambra,bougea contre lui en de long et lent déhanchés dont elle avait le secret, remontant doucement sa jambe contre son flan de façon a ce que leur corps soient totalement collé l'un a l'autre, chacun ressentant d'autant plus ainsi l'envie de l'autre.

Elle le sentait, il l'aimait, il la désirait et vu toute la douceur dont il avait fait preuve, c'était bien plus que juste pour "tirer un coup". Elle se perdit dans son regard et ses bras. Cette étreinte, cette danse n'en était pas a sa fin mais bientôt ils passeraient un cap, un point de non retour, rendant la chose plus intime, plus enivrante. Leur passion s'intensifierait pour ne faire qu'une, comme leur corps et leurs âmes...

-"Oh Taténen, mon aimé... je suis à toi."

Bastet attrapa le visage de Taténen entre ses mains doucement mais fermement et l'attira a elle pour un nouveau baiser sensuel. Les langues se mélangeants de nouveau, exigeantes, quémandant plus encore d'amour si possible. Leur corps bougeant l'un contre l'autre, se cherchant, tendant la situation à l’extrême.

Les yeux fermés Bastet se laissait aller sous les douces caresses de son compagnon. Elle bougea lentement pour l'aider a la dévêtir, appréciant la grande douceur dont il faisait preuve. La tension monta d'un cran, car leurs bouches se retrouvèrent pour de nouveaux baisers sensuels et leurs peaux mises à nues et qui s’enflammaient a chaque caresses de leurs mains avides.
Ils se cherchaient du regard, se contemplant avec complicité et douceur malgré l'envie qui les taraudait. La main de Taténen était douce sur sa peau, mais y faisait naître milles frissons qui attisait ce feu qui la brûlait intérieurement.

Un regard entendu, un sourire tendre et doux après un baiser fougueux qui l'avait laissé un peu pantoise, Bastet apprécia du bout des doigts la musculature de son futur amant. Elle fut réellement touchée par les gestes si prévenant et emplis de douceur de Taténen. Ce n'était pas comme cela que Bastet avait imaginer que cela se passerait, mais elle devait avouer qu'il l'avait agréablement prise au dépourvu et qu'elle ne regrettait rien.
Elle se tendit doucement quand Taténen l'embrassa, sentant que le moment était venu. Ils prenaient le temps de se découvrir, ils faisaient attention l'un à l'autre. Tout était si doux entre eux que quand leur corps se trouvèrent enfin, elle gémit doucement en serrant sa main dans le dos de Taténen avant de venir délicatement embrasser son épaule en le sentant tout aussi bien qu'elle en cet instant de grâce.
Doucement, comme profitant de chaque seconde, de chaque caresse, leur corps se cherchant à l'unisson, Bastet se laissa marquer par toute cette passion. Ses mains venant chercher leur place dans le dos musclé de Taténen, le caresser, l'attirer à elle par instant,savourant ce corps à corps intime et si enivrant. Son corps suivant le rythme imposé par son amant si attentionné, se perdant dans le déluge d'émotion qui submergeait son être. Murmurant son nom en un lent murmure passionné, Bastet vint embrasser Taténen, mêlant leurs langue dans un baiser autant passionné que leur corps à corps. Malgré le doute, qu'elle pensait bien être commun au vu de ce qui avait été dit plus tôt, Bastet trouvait qu'ils s'en sortaient bien, et si naturellement. Ils ne tâtonnaient pas, au contraire, ils se trouvaient avec douceur et complicité.
Elle aperçut la lumière face à elle changer, mais ne s'en préoccupa nullement, ni même ne garda cela en esprit. Elle avait bien d'autre chose en tête, comme de profiter de cet instant de bonheur et de béatitude avec son Taténen adoré. Loin d'être timoré, Taténen était sur de lui, sur de lui mais délicat avec elle, elle avait l’impression qu'il se contrôlait pour ne pas être brusque ou brutal avec elle.

Bastet se laissa aller entre les bras de son amant, en confiance, murmurant son affection à son égard en goa'uld, le caressant par instant, rajoutant encore plus de douceur entre eux. Elle se sentait si bien, si détendu, si amoureuse en cet instant, qu'elle oublia tout, la fête, ses serviteurs, le lothar de Taténen qui trouverait plus tard leurs effets dans le salon... tout, elle oublia tout pour ne garder qu'eux en tête, partager autant d'affection que possible dans ce corps a corps qui marquait un début pour eux, certainement... leur première fois.

Bastet n'eut pas tellement conscience du temps qui passait, se livrant corps et âme à Taténen, le couvrant de baisers, subissant ses assauts et éprouvant avec lui la limite de la passion qui les aminait. Doux, affectueux, les gestes se firent bien plus précis et enflammés au fur et à mesure que le temps passait et que les deux goa'ulds laissaient légèrement la tendresse de coté pour laisser s'exprimer la flamme ardente qui naissait.


Le vent qui soufflait doucement fit délicatement voleter autour du visage de la jolie blonde des mèches de sa longue frange. Déliora frissonna en ressentant la morsure du froid un instant mais elle devait dire que cela lui avait manqué. Elle appréciait Bubastis et la vie qu'elle y menait, mais n'oubliait pas d’où elle venait, ni les grandes saisons de froids intense.
Calée dans un coin, contre le pilier d'une arcade elle observait la foule en liesse. Son regard se porta sur Dey qu'elle aperçut à discuter avec des Taténos. Déliora pencha la tête en souriant, espérant qu'il ne lui prenne pas l'envie de jouer au coq, car cela ne plairait certainement pas à leur déesse. En y pensant, Déliora fronça son nez en levant la tête. Elle avait perdue de vue les deux maîtres goa'ulds, et bien qu'elle n'avait pas peur pour Bastet, sachant qu'elle savait très bien se défendre, elle n'était pas sereine non plus de la savoir elle ne savait ou, seule. Elle écarta de son esprit la perspective d'un enlèvement, elle avait l'impression que ces deux là étaient proches, jusqu’où elle ne saurait dire, sachant que Bastet appréciait les beaux garçons et ne sachant pas sa position envers les autres goa'ulds, mais Bastet n'avait jamais refusé une alliance, alors.... Elle fut sortit de ses pensées par un enfant qui en courant la bouscula et s'enfuit après s'être excusé. La fête battait son plein, et elle se dit qu'elle devrait tenté d'en profiter, bien qu'elle se sentait extérieure à tout ceci car elle ne faisait pas partit de ce peuple.

Déliora chercha Dey du regard se demandant si elle ne devrait pas le mettre en garde, mais elle le vit héler le lothar de Taténen et engager une discussion qui avait l'air sérieuse au vue de son attitude d'un coup plus professionnelle . Elle ne pouvait rien entendre et d'un coté, les histoires de lothar, à savoir qui s’habillera comment, et mangera quoi a quelle heure, et préférera un parfum aux agrumes plus qu'au fruits des bois, ce n'était réellement pas son truc.
Elle préféra les laisser s'entretenir entre eux, et elle savait que Dey était doué, sinon Bastet n'aurait pas prit un homme pour ce poste auquel il n'y avait que des femmes depuis des siècles.

Déliora croisa le regard Alec'to plus loin et lui sourit avant d'avancer vers lui pour parler un peu, espérant qu'elle pourrait rester un temps a ses cotés, pour profiter de la fête. Avec elle, il trouverait une oreille attentive s'il le désirait.

En tout cas, la soirée se passa bien et quand l'heure fut venu de prendre congé, Déliora fut surprise de la qualité des logements qu'elle avait. Pour sur, ce dit-elle, Taténen devait vouloir impressionner Bastet, ou la mettre dans de bonnes dispositions.
Dey quand à lui, alla dans les quartiers de Bastet. Non pas qu'il fut surprit de pas y trouver sa reine, sachant qu'elle dormait peu, et sachant que Dénéris lui avait dit que Taténen s'étaient retirer pour discuter affaire autour d'un thé. En tout cas, connaissant ses goût, il prépara une robe longue en soie rouge ainsi qu'un manteau, et se retira dans sa propre chambre. Se n'est qu'au matin qu'une question le tarauda et qu'il allât voir Dénéris....


Le sommeil se dissipait doucement et Bastet s'étira doucement. Elle se sentait bien et détendue en ce matin, c'était agréable. C'était … elle n'aurait pas sut définir, mais c'était le calme et la relaxation qu'on resentait quand onétait bien avec quelqu'un et en même temps le bienêtre que procurait le sarcophage... Un instant elle se demanda si c'était normal même de comparer cette nuit passionnée dans les bras de Taténen avec les effet d'un sarcophage... elle n'était pas certaine du tout.
Grognant doucement, Bastet se tourna pour chercher son tendre ami et se caler contre lui, avec l'envie d'être cajoler un instant et de se réveiller doucement dans des bras, mais ne trouva qu'un matelas vide. Fronça les sourcils, elle se redressa dans le lit, le cherchant d'un regard. Elle prit une profonde respiration et voyant ses vêtements plus loin, elle les attrapa et les enfila avant de se coiffer les cheveux en passant sa main dedans. Puis, sans remettre ses talons hauts, elle se dirigea encore un peu groggy vers le salon. Elle s’arrêta en apercevant la haute silhouette de Taténen devant la fenêtre...

La fête continuait de battre son plein malgré l’absence des maîtres. Comme Taténen l’avait généreusement permis, ses invités pouvaient encore profiter de son palais. Clairement deux tendances s’étaient dégagées, d’un côté, il y avait ceux qui entendaient profiter de l’espace et de la musique pour se laisser aller à la danse, de l’autre, ceux qui en profitait pour graver à jamais ces les lieux dans leurs mémoires, contemplant l’architecture, les décorations et profitant aussi des terrasses chauffées pour observer la cité nouvelle.

En fidèle serviteur, Alec’to savait profiter de la fête tout en veillant à ce que tout se passe bien. A dire vrai, maintenant que leurs seigneuries s’étaient retirées, il sentait la pression se relâcher lentement. Alors qu’il venait d’engager la conversation avec un couple qu’il connaissait depuis son plus jeune âge, Alec’to croisa le visage de Déloria. Si belle prêtresse de Bastet… Dès le premier regard qu’ils échangèrent sur Bubastis, Alec’to sentit que quelque chose s’était passé en lui…

Ecourtant habillement et poliment la conversation, il ne tarda pas à la rejoindre, afin d’obtenir son ressentit sur la soirée. Curieusement, il faisait presque tout penaud en sa présence. Habitué à incarner une certaine autorité, une certaine image, une certaine référence pour tous les jeunes qu’ils enseignaient, tout cela semblait s’effacer, comme si elle lui faisait perdre ses moyens… Tous deux discutèrent alors un moment, le regard d’Alec’to transpirant d’admiration pour la jeune femme et multipliant les compliments à son égard.

De leurs côtés, les Taténos firent preuve d’une grande ouverture d’esprit face aux questions nombreuses de Dey. Même ses questions les plus hors de propos reçurent une réponse. Il faut dire que Dey était tombé sur les deux fers de lance de la garde. Saneb et Marek… Le glaive et la pensée... Le meneur d’hommes et le bricoleur… L’un ayant les faveurs du Prima de Taténen tandis que l’autre intéressait de plus en plus Taténen pour son esprit. Deux piliers qui n’étaient encore que garçon de fermer et apprenti charpentier quelques années auparavant. Tous deux se reconnaissaient d’une certaine manière dans l’attitude curieuse du lotar de Bastet. Ils s’étaient comportés de même face à Na’Alep et, d’une autre manière, face à Taténen.

Lorsque le prima de Taténen fini par se joindre à leur discussion, Dey fut encore plus impressionné par la présence du Jaffa qui, pourtant, portait la même tenu que ces hommes. Apprenant le grand intérêt du lotar, Na’Alep permis à Dey, si reine le permettait, de passer un temps avec les Taténos le lendemain afin de satisfaire un peu plus sa curiosité.

Dénéris n’eut même pas besoin de demander aux serviteurs du palais de reconduire les invités hors du palais. Tous étaient repartirent spontanément au fur et à mesure que l’heure tardive avançait, faisant ainsi preuve d’une parfaite discipline. La fête était terminée, mais son travail à lui ne faisait que se poursuivre… Il était le lotar de son maître, certes, mais cela ne l’empêchait pas de mettre les mains à la pâte, aidant, coordonnant le travail des serviteurs afin de nettoyer et ranger le palais. Ce n’est que très tard dans la nuit, voir quasiment au petit matin, que Dénéris pu prendre un peu de repos…


Le ciel au-dessus de la cité semblait être d’âme généreuse, prolongeant encore la belle journée ensoleillée de la veille, malgré d’imposants nuages gris au loin. Le soleil commençait doucement à se lever et à inonder la cité de ses doux rayons qui se reflétaient sur l’épais manteau de neige.

Debout devant la grande baie vitrée de la pièce principale de ses appartements, Taténen laissait divaguer son regard ici et là. Non loin de lui se trouvait sa table de travail, couverte de parchemins en grand nombre… Des plans, des schémas techniques, des lois, une diversité de documents étaient ainsi entassés. D’ordinaire, il serait déjà en train de s’affairer…. Mais il était là, immobile, les mains croisées dans le dos, portant une simple chemise en lin ample et confortable, le pantalon de son costume d’apparat et de simple chaussures ouvertes ne couvrant que son talon et ses oreilles.

La stratégie, l’ingénierie, la mécanique, la technologie, tout cela n’avait guère d’intérêt à cet instant… Ses pensées étaient toutes tournées sur ce qui s’était passé la nuit passée… Sur ce qu’il avait partagé avec Bastet. Pour la première fois depuis des années, des siècles sont esprits semblaient… en paix. Il se tourna un à moment, tiré de ses pensées, pour observer au loin celle qu’il aimait en train de dormir paisiblement sur sa couche… Ce qui devait se passer s’était passé… Comment les choses allaient-elles évoluer à présent ? Encore une fois, cela n’avait que peu d’importance…

C’est alors qu’un bruit se fit entendre dans l’anti-chambre dans appartements, attirant l’attention du goa’uld qui détourna son regard. Dénéris ne tarda pas à passer l’arche de séparation…

«Je vous souhaite un bon jour, mon seigneur. »

« Kel’sha Dénéris… »

Dénéris n’était en rien étonné de voir son maitre déjà debout à l’aube. C’était même pour cela qu’il s’était permis de pénétrer d’aussi bonne heure dans ses appartements. Mais son œil de maître de maison ne manqua pas de remarquer que son maître n’était pas aussi apprêté que d’habitude. Une tenue aussi légère et… débraillée ne lui ressemblait pas. Il était intrigué, mais il se garda bien de laisser se songes se développer plus avant.

« Comme d’habitude, mon seigneur, je vous apporte du thé et quelques fruits ? »

« Non… Ce matin je veux quelque chose de plus complet...»

N’en laissant rien paraître, Dénéris s’étonna à nouveau de ce changement d’habitude… Mais il n’était pas là pour ce questionné mais pour servir. D’une certaine manière, il se réjouissait presque que son maître décide de manger plus le matin. Lui-même, n’hésitait pas à prendre un copieux petit déjeuner. Alors qu’il s’inclinait pour se retirer et préparer le déjeuner, Taténen l’interpella et lui dit doucement.

« Veille à ce qu’il y ai suffisamment pour deux… »

Immédiatement une étincelle s’éveilla dans l’esprit de Dénéris... Tout en acquiesçant et en se retirant, il remarqua les manteaux respectifs de Taténen et Bastet, posés à la hâte sur le canapé et le fauteuil du petit salon… Le plateau qu’il avait apporté la veille au soir était encore là et le tasse encore remplies du thé, qui était froid à présent. Son maître n’était donc pas seul… et n’avait pas passé la nuit seul… Lorsqu’il se retrouva dans le couloir, Dénéris se laissa aller à sourire simplement. Pour sûr, cela changeait de l’ordinaire…

Alors qu’il était reparti dans ses pensées, Taténen sentit alors quelque chose passer le long de son dos. Comme une douce caresse. Les mains qu’il sentait passaient doucement de ses omoplates au milieu du dos avant de glisser sur ses hanches. Taténen sourit calmement et agréablement… Devinant de qui il était devenu un sujet d’attention, le goa’uld glissa ses mains sur celles de Bastet, tendrement.

« Bonjour, ma douce amie… Comment te sens-tu ? »

Ses paroles étaient toujours aussi douces et apaisantes malgré sa voix symbiotique… C’est alors que Dénéris entra à nouveau dans les appartements de Taténen, mais il n’avait pas de plateau en mains. Constatant qu’il tombait au mauvais moment, le visage de Dénéris vira au rouge… Ne lâchant pas les mains de Bastet, Taténen se tourna vers lui en fronçant les sourcils.

« Pardonnez mon intrusion, Majestés… Dey, le lotar de son Altesse, demande à vous voir mon seigneur… il est… assez agité, je dois dire. »

Un instant hésitant, il fini par faire signe à Dénéris de le laisser entrer.

Après être resté quelques secondes à regarder la large silhouette de Taténen se découper à contre jour, Bastet s’avança sans bruit, les pas étouffés par le lourd tapis pourpre. Elle sourit en s'approchant de lui, puis elle glissa délicatement un main contre son dos.
Glissant ses mains en une douce caresse le long de son dos, Bastet vient tendrement se caler contre lui, en laissant ses mains descendre vers ses hanches. Bastet soupira d'aise en se disant que  même si les câlins c'était mieux à l'horizontale quand on était pas encore très réveillé, c'était agréable de sentir sa chaleur. Elle ferma les yeux et resserra son étreinte sur Taténen, laissant glisser ses mains contre son ventre et ronronna en sentant les mains de Taténen sur les siennes.

-" Humm, divinement bien... et toi mon très cher ..."

L'arrivée précipitée de Dénéris la coupa dans son élan, et lui fit hausser un sourcil. Alors voilà, leur moment était finit – pensa-elle - pour autant elle ne bougea pas, mais lui lança un regard en coin. Elle se demanda si elle devait s'en aller ou pas, mais Taténen ne lui lâchant pas, elle décida de rester là, délicatement posée contre lui. Elle sentit le corps de son amant se crisper contre elle, il n'avait pas l'air content. Retenant un sourire, elle décida de ne rien faire, après tout ce n'était pas son serviteur. Elle bougea doucement, d'un pas aérien en suivant le mouvement de Taténen, ne souhaitant pas le gêner, et garda son attention sur Dénéris.
Il avait l'air si gêné, que Bastet se dit que soit les effusions le mettaient mal à l'aise, soit... comme l'avait dit Taténen hier soir, cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas eut de compagnie féminine que son lothar en était gêné. Elle était assez flattée d'un coté et serra délicatement le tissus de la chemise sous ses doigts.

Si Bastet n'était pas encore totalement réveillée, elle le fut dans les 3secondes suivant l'ouverture de la bouche de Dénéris.

-"Sha Mel Kalaa ?!"

Pourquoi elle avait comme un début de migraine d'un coup... et pourquoi le monde était-il ligué contre eux ? Soupirant elle retira doucement une de ses main de la taille de Taténen pour se porter à ses cotés, sans lâcher l'autre. Puisque Taténen n'avait pas l'air de prendre de distance, puisque de toute façon cela allait se savoir, pourquoi faire des cachotteries ? Et puis, elle n'en avait pas envie assumant. Quand à Taténen, elle leva la tête doucement vers lui et lui fit un doux sourire. Elle verrait bien plus tard, ce qu'il en était, mais s'il avait été sincère … elle n'avait pas à cacher quoi que ce soit.
Dey apparut alors à la suite de Dénéris. Au regard qu'il lança à Bastet puis a Taténen, il était facile de voir qu'il était étonné, peut être pas surpris, mais étonné quand même bien qu'il eut l'air calme.

-"Shin tel Dey ? "
Qu'est-ce qui se passe?

Il s'inclina avant de relever les yeux vers Bastet. En croisant son regard, il se dit qu'il allait chèrement payer de les avoir déranger. Celui-ci masqua mal son léger embarra en se mordant la joue un instant et s'éclaircit la voix avant de parler. Bastet était toujours impressionner de voir comment il réussissait a garder son calme et cette attitude de fausse décontraction alors qu'il n'était qu'un chien fou dans l'âme. Mais c'était aussi pour cela qu'elle l'avait choisi, il l'amusait au quotidien. En tout cas, au vue du regard qu'il se permit de lui faire, il avait été inquiet quand même... avait-il craint pour sa vie cette nuit?
Cette pensée fit naître en elle le souvenir des mains de Taténen, ses baisers qui enflammaient sa peau... . Bastet repensa à la nuit qu'elle avait passé dans les bras de son compagnon et du dire qu'elle ne s'était pas sentit menacé, loin de là.

Dey la regarda et eut un sourire en coin en la voyant si épanouie. Il s'éclaircit la voix et parla clairement.

-"Ma reine, je me suis demander quel était votre planning du jour pour que je puisse adapter votre garde robe en fonction ."

Bastet Eut un sourire amusée et se risqua un regard vers Taténen. Dey la prenait au dépourvu car elle ne savait pas. Elle oublia même temporairement de lui en vouloir et réfléchit. Là de suite... elle voulait un câlin, un petit déjeuner, une douche aussi pourquoi pas, se balader... Cela fit tilt dans sa tête .

-"Pour l'instant je vais aller prendre un douche … "

Elle leva vers Taténen un doux regard complice avant de glisser sa main sur sa joue.

-"si tu me le permet mon ami ? Je me sentirais mieux pour déjeuner ..."

Sans réellement attendre de réponse, elle s'écarta de lui avant de se diriger vers la salle de bain attenante.

-"Et concernant mon planning, tu n'en fait pas partit aujourd'hui Dey ! Fait ce que bon te semble... après t'être acquitter de tes taches."


Dey la suivit du regard et sourit un instant avant de reprendre son sérieux, une fois qu'elle eut malicieusement disparut dans la salle d'eau de Taténen. Il n'osa jeter de suite un regard a celui-ci pour savoir s'il s'attendait a cela ou non, voir même s'il ne serait pas contre l'idée d'aller prendre un bain... Il se dit qu'il avait le droit a des vacances en quelques sortes et il savait déjà ce qu'il allait en faire, se rappelant des deux taténos avec qui il avait discuter la veille.
Malgré son impatience, il baissa la tête devant Taténen en signe de respect avant de le regarder dans les yeux un léger sourire malicieux aux lèvres.

-" Seigneur ? Une préférence quand aux vêtements que je dois porter à notre dame ?"

Il était ouvert à tout, et malgré le petit air amusé qu'il avait et qui lui donnait l'air de se moquer de la situation, il n'en était rien. Il passait déjà en revue dans sa tête les tenues. La robe rouge fluide en satin, une autre noir plus habillée, la tenue de marche qu'elle avait tenue à prendre aux cas ou … tout ce qu'il voulait savoir c'était ce qu'il devait apporté avant de pouvoir aller fureté pour retrouver les taténos...


Déliora quand à elle était déjà levé depuis longtemps, très longtemps. Comme elle ne savait pas la durée du séjour, elle tenait a en profiter et arpentait les rues de la ville. A un moment, elle se retrouva prés de la rivière ou Alect'o les avaient menés. Elle aimait bien être seule certes, mais la compagnie d'Alec'to était agréable et ne l'aurait pas gêné loin de là.  Il avait été charmant avec elle, et elle avait taché de lui facilité la tache en le voyant un peu charmé par elle. Elle sourit en se baissant et attrapant de la neige. Elle en fit une boule bien ronde et la lança au loin. Il lui avait fait nombre de compliments qu'elle ne pensant pas mérité, mais il avait été charmant et il était si intéressant...
Relevant la tête vers le palais, elle se demanda ce que faisait les autres...

Bastet pénétra dans la salle de bain et trouva la décoration... grandiose. Cela était dans le même style que la chambre a couché et elle devait dire qu'avec la lumière pale du jour c'était magnifique.
la salle de bain
Elle s’avança et en chercha le fonctionnement, jusqu'à ce que Dénéris n'arrive et ne mette tout en marche et ne lui sorte le nécessaire.
Elle l'observa faire, un sourire aux lèvres, et le regarda repartir. Avant qu'il ne passe la porte elle lui adressa quelques mots .

-"Tu dira à mon lothar que ma robe rouge conviendra très bien."

Sans le regarder, elle commença a se dévêtir, puis elle monta les marche menant à la baignoire.



Dey quand à lui était toujours face à Taténen, le regardant droit dans les yeux, comme a son habitude avec ce petit, tout petit sourire en coin.
Il ne fut nullement effrayé aux paroles de Taténen. Pour lui personne ne pouvant être plus effrayant que Bastet, mais il n'était pas sure que c'était le bon moment pour dire cela à Taténen.
Il fronça légèrement les sourcils se demandant s'il devait ou non lui rétorquer que oui, décidé elle savait faire mais quand à s'habiller elle même c'était une autre histoire. Une reine comme elle avait une cohorte de serviteur et avait l'habitude d'être coiffée, maquillée, habillée... Il se mordit légèrement la joue pour pas sourire plus encore et laisser Taténen découvrir tout ça en temps et en heure.

-"Je suis honoré de servir Ma Dame n'en doutez pas. De mémoire elle n'a jamais eut de lothar homme : Pour moi, elle est déesse parmi les cieux.
… Sans vouloir vous manquez de respect Distra Taténen, sachez que je suis comme ma reine veut que je sois. Je ne fais que mon travail de lothar. Rien de moins, rien de plus.
Et si je puis me permettre...  je ne pense pas que devoir en "répondre" devant vous, ne mette ma reine dans de bonnes dispositions à votre égards."

Dey s'inclina respectueusement devant Taténen avant de relever la tête en réfléchissant un instant et sourit avant de prendre congés.

-" Je pense que sa robe rouge vous plaira."

Il vit Dénéris sortir de la salle de bain et s'inclina de nouveau devant Taténen avant de prendre la direction de la sortie.  Une fois dehors, il fit un clin d’œil à Dénéris pour répondre a son petit air interdit.

-"Bien. Allons chercher cette robe, car je doute que ma maîtresse se baladant en serviette dans vos couloirs soit de bon ton, quoique...
Et oui... tu verra, elle en serait capable."

Il partit chercher la robe . Il revient à la chambre et réfléchit :  Tentait-il de rentrer pour se faire mettre au cachot ou laissait-il la robe au pied de la porte ?  Cette idée lui sembla dénué de sens : quel lothar ferait ça ?

version 1:

Il se demanda ce que devait faire un bon lothar... et jugea qu'il devait se trouver auprès de sa reine, puisqu'elle lui avait dit de s’acquitter de son travail. Il pénétra donc dans la chambre et se dirigea tout naturellement vers la salle de bain, jetant un regard en coin à ce goa'uld qui avait des envies de meurtres envers lui, il en était certain... mais bon, ce n'était pas son maître, donc il agirait en conséquences...

Bastet quand à elle était toute tranquille dans son bain, elle profita de la baignoire pour se laver rapidement mais sans se presser. Puis elle sortit, et se sécha en regardant par la fenêtre les hautes montagnes. Elle sécha ses cheveux autant que possible, et les regarda commencer à onduler en faisant une moue.
C'est ainsi que Dey la trouva. Il posa la robe sur un montant, il se dirigea vers elle. Après l'avoir coiffée, pendant qu'elle finissait de se sécher, il l'aida à enfiler sa robe rouge et ses chaussure.

-"Voulez vous les sécher complètement ? Cela risque de prendre du temps et je ne suis pas certain d'en avoir."

Bastet leva un sourcil interrogateur.

-"Tu as quelque chose de plus important a faire que de t'occuper de mon bien être ?"

-"Noonn.... Je faisais plutôt référence à votre... hum …allié ? "amant" ?... qui j'en suis sur ne va pas apprécier de me trouver ici."

Bastet le regarda sans comprendre de quoi il parlait.

-"Je crois que va vite comprendre que je suis très tolérante Dey, et ce n'est pas plus mal s'il t'ai remit à ta place.
Sache que d'autres goa'uld te tueront juste pour un regard déplacé, alors si ce n'était que des menaces... Autant que tu fasse tes preuves avec Taténen.
Par contre ne lui manque pas de respect inconsidérément, je ne pourrais pas te défendre éternellement..."

On sentait malgré le ton doux de sa vie ma menace sous-jacente. Dey ne le connaissait que trop bien.

-"Je me suis dit que vous auriez besoin d'au moins cela."

Il sortit de sa poche le nécessaire vital de Bastet niveau maquillage, a savoir son rouge à lèvres rouge assortit à la robe, du mascara et du khôl noir. Elle sourit.

-"En temps normal, je te dirais "Fait ton travail en te moquant des autres", mais ici, je te dirais surtout de faire ton travail sans oublier que nous ne sommes pas sur Bubastis... Du moment que tu fait ton travail, personne ne te redira rien."

Dey aperçut Dénéris et attrapa les ancien vêtements de Bastet, et s'inclina avant de se faufiler pour sortir de la chambre en même temps que Dénéris... mais il avait l'impression de devoir agir à la sauvette alors qu'il ne faisait que son travail, enfin si Taténen manquait d'humour c'était dommage...
Une fois sortit, il regarda Dénéris en croisant les bras sur son torse bombé, fier d'avoir survécu quand même !

-"Bien, me voilà libéré pour l'instant de mon travail de Lothar. Sur ce, j'ai rendez-vous avec mon jour de congés !
Amuses-toi bien."

Puis il s'en fut, laissant Dénéris là ou il était avec un clin d’œil.

Bastet prit son temps pour dessiner délicatement le trait noir au dessus de ses grands yeux bleus, elle voulait être parfaite. Au bout de quelques minutes elle s’avança dans la pièce et vit que Taténen était en train de se servir du thé.
Elle s'approcha d'un pas aérien derrière Taténen et vient lui déposer un baiser dans le cou en glissant ses mains de ses épaules vers ses clavicules, puis elle se releva et fit le tour du canapé. Elle lui fit un sourire mutin en minaudant un instant, tourna doucement sur elle même en le regardant.

-"Alors, comment me trouve tu ?
Dey a t-il choisi une tenue qui te plaît ? … "

Elle s’avança vers le fauteuil en face de lui en finissant la phrase sur un ton amusé et coquin.

-"Je peux l'enlever sinon... "

Puis en gloussant doucement, elle s'installa en croisant les jambes.
Elle l'observa si bien mis dans ses beaux vêtements... mais cette fois ci il n'était pas dur pour elle de savoir comment il était sans. Elle eut un sourire amoureux et complice et et resta là, peu maquillée les cheveux lâchés qui commençaient à faire de belles boucles et lui sourit en haussant un sourcil d'un air amusé.

-"Tout cela a l'air bien délicieux. Il faut dire que nous n'avons pas réellement touché au plat de hier soir..."

Elle joua un instant avec une mèche de ses cheveux sans quitter son amant des yeux, avant de regarder les bonnes choses devant elle : elle avait un appétit de loup, et milles questions en tête, et un sourit ravit aux lèvres.

Bastet était en train de s'installer quand Taténen annonça que ce ne serait pas déplaisant de la voir sans robe. Elle ne put s’empêcher de lui faire un regard chaud et complice. Elle découvrait la facette intime de son ami et devait dire que c'était différent et tout à fait agréable. Elle sourit et se mordit délicatement la lèvre en baissant les yeux un instant.

-"Alors, si cette robe te … comble... je pense que je vais la garder."

Elle croisa les jambes et appuya sa tête sur son poing, le coude posé sur l'accoudoir du fauteuil et lui fit un beau sourire amusé. Elle se redressa et attrapa délicatement la tasse proposée et la porta à ses lèvres. Elle en profita pour humeur l'odeur doucereuse de la boisson et regarder d'un air intéressé les collations apportées.
Bastet eut l'air très intéressée par les viennoiseries et regarda Taténen en prendre une triangulaire et la briser en deux. Intriguée, elle écouta Taténen parler de Dey et se remémora que son lothar avait eut quelques différents léger avec Taténen plus tôt. Elle déglutit en se réfléchissant à que dire, puis elle bougea, s'installant au bord du siège en rivant son regard dans le sien. Elle avança sa main, chipa un petit bout du croissant de Taténen qu'elle ramena vers sa bouche sans briser leur contact visuel.
Elle savoura le goût et la finesse de ce gâteau.

-"Hum... Délicieux."

Finalement convaincue, elle en prit un entier et commença a découper un des angles et le mangea petit bout par petit bout.

-"Hum... Dey est un bon lothar, même s'il débute et que les jaffas lui mènent la vie dure. Il a son petit caractère ...
Mais disons qu'il n'a pas l'habitude que je passe la nuit hors de mes quartiers. Ni que j'ai une aventure avec un … goa'uld."

Bastet sourit en mangeant un bout du croisant puis finit sa tasse de thé et se resservit. Puis regarda Taténen sa tasse à la main.

-"Il n'aime pas tellement qu'on me tourne autour, je crois qu'il est inquiet pour moi..."

Elle eut un sourire légèrement carnassier et amusée.

-"S'il savait..."

Elle gloussa en se disant que Dey ne savait pas comment elle se battait, ni jusqu’où elle pouvait aller... ce qui n'était pas plus mal car il ne l'aurait peut être plus jamais regarder pareil.

-"En tout cas, ça lui passera. Tu verra il s'adapte vite.
Enfin j'espère pas trop vite, car je sens qu'il va passer la journée à traîner avec tes gardes. Il était très intrigué et intéressé... ce qui ne m'arrange qu'a moitié je dois dire. Mais bon... ce sera sûrement amusant de le voir tenté de s'affirmer contre Relana au retour..."

Elle pouffa de rire en imaginant Dey vouloir tenir tête a sa prima et se prendre un vol par dessus le balcon. Heureusement que c'était en rez de chaussé. Cette idée lui sembla si drôle qu'elle en sourit largement.
Elle but une gorgée aprés avoir finit son croissant et reporta son attention sur Taténen, le regard doux et attentif.

-"De toute façon, si nous venons a continuer, il faudra bien qu'il s'adapte … et vite. "

Bastet prit un peu de miel du bout d'un doigt et le porta a sa bouche en lâchant un petit "hum" le trouvant délicieux.